Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    15 839
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    79

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Attaque de Niewiadoma après la Holstheide, Vollering suit. Un duo costaud en tête à 20 km. Edit : rectification, c'est Rooljackers qui a attaqué et non Niewiadoma. J'avoue ne pas la connaître.
  2. Un mot sur la Moskesstraat, que j'ai parcourue plusieurs fois récemment. Le pavage avait été refait de fond en comble l'année dernière, mais les interstices ont été comblés avec du sable (pourquoi ???), qui s'est presque complètement évacué avec toutes les intempéries qui ont suivi. Résultat, il n'y fait pas bon rouler avec des pneus étroits !
  3. Peloton groupé à 33 km de l'arrivée… Entame de la Moskestraat pendue et pavée.
  4. Aujourd'hui a lieu la Flèche Brabançonne. https://www.debrabantsepijl.be/ Malgré son parcours bien plus flandrien qu'ardennais, elle lance généralement la campagne des « Ardennaises », mais le chamboulement du calendrier en raison des élections la fait placer cette année juste avant Paris-Roubaix. Le parcours est long (205 km pour les hommes, 141 km pour les femmes) et assez difficile : les côtes sont toujours courtes mais nombreuses et certaines très raides, dont la Moskesstraat que les derniers championnats du monde ont fait connaître. Celle-ci fait partie du circuit final à cinq côtes (Hagaard-Hertstraat-Moskesstraat-Holstheide-Brusselsesteenweg) que les élites hommes devront parcourir quatre fois, les femmes trois fois. Tros grands favoris chez les hommes : le vainqueur sortant Pidcock, Alaphilippe, Evenepoel. Les protagonistes de l'Amstel, Kwiatkowski et Cosnefroy, sont également de la partie, ainsi que Jan Tratnik, Tim Wellens, Philippe Gilbert… Grands absents : Wout van Aert et Mathieu Van der Poel. Chez les femmes, Demi Vollering (2e en 2021), la championne du monde Elisa Balsamo, Elisa Longo Borghini. La tenante du titre, l'Américaine Ruth Winder, ne sera pas de la partie, ainsi que la championne de Belgique Lotte Kopecky.
  5. 127 km aujourd'hui, pour une sortie au sud, sud-ouest de Bruxelles jusqu'au Hainaut (Ronquières et le bois de la Houssière) et retour. C'était une sortie qu'il ne faudrait pas proposer à Michel Dury, sinon il fuirait à l'autre bout du continent (ah ben mince, c'est justement ce qu'il va faire demain) : absolument pas roulante, quasiment pas de plat, quasiment que des bosses, certaines pavées, et bien sûr un max de raidards. Mais il faut bien ce qu'il faut pour préparer Liège-Bastogne-Liège Challenge dans onze jours… et peut-être les Géants des Flandres lundi prochain, si je juge ma forme suffisante. Ce serait déjà une sacrée belle succession de côtes, certes courtes mais plus difficiles les unes que les autres, ceux qui connaissent les «Ardennes flamandes» pourront en juger: https://www.reuzenvanvlaanderen.be/fr/parcours/ Une belle frayeur au retour, à Beersel : alors que je roulais sur une piste cyclable longeant une série d'habitations, une dame sort de son garage avec sa voiture, sur ma droite, à 20 mètres… elle regarde d'abord sur sa droite et s'engage sur la piste ! Elle ne daigne tourner la tête à gauche et m'apercevoir qu'après que j'ai pilé net à deux mètres de sa bagnole ! Évidemment elle a eu l'air de tomber des nues… Je n'ai pas donné suite mais j'ai bien eu envie de sortir des noms d'oiseaux, pour l'occasion ! Moment plus sympathique : passage par le bois de Hal, avec ses immenses parterres de jacinthes sauvages en fleur. J'ai essayé d'en prendre une photo, mais elle ne rend pas justice à ce fabuleux décor, dommage. De bien plus belles photos sont sur ce site: https://vivreabruxelles.be/floraison-des-jacinthes-sauvages-au-bois-de-hal.html
  6. Je me fait une coupure au doigt il y a deux ans en l'approchant du bord d'un disque de masque TRP. La même manip sur un disque SwissStop (Catalyst) ne m'a rien strictement fait. J'ai même pu arrêter la roue en mettant mes doigts sur le bord de ce disque. La différence est que le SwissStop a un contour aux bords bien arrondis, tandis que celui du TRP (que j'ai mis au rebut suite à cette histoire) avait des rebords aiguisés comme des lames de rasoir. Morale : vérifiez les bords de vos disques…
  7. 47 km pour mon dernier jour à Grenoble pendant ces vacances, avec une autre grimpée pas piquée des vers: le col de Vence, en Chartreuse, par des chemins de traverse, mi-urbains mi-campagnards, selon cet itinéraire: https://climbfinder.com/fr/montees/col-de-vence-grenoble-chantemerle 5,5 km pour 550 m de dénivellation, soit 10 % de moyenne, avec des sections particulièrement raides, notamment juste avant le sommet du col un passage terrible qui doit approcher voire dépasser les 30 % sur une centaine de mètres, la fin du «chemin de Château Pilon». Certes, c'est une estimation au pifomètre, mais c'est le seul passage routier que je connaisse qui fasse systématiquement descendre mon compteur sous les 6 km/h. Pour compenser, quasiment tout le long on a de très belles vues plongeantes sur Grenoble, avec même quelques passages en corniche assez vertigineux. Départ sous la bruine, qui s'est heureusement vite arrêtée. Mais arrivé au col de Vence (800 m d'altitude), il s'est mis à neigeoter. Ça m'a refroidi, si j'ose dire, pour continuer jusqu'au fort du Saint-Eynard à 1350 m d'altitude, comme j'en avais l'intention au départ, et je suis donc redescendu vers la plaine en passant par Clémencières et Saint-Martin-le-Vinoux. Retour ensuite vers la maison familiale, à nouveau sous la bruine, cette fois continue. Temps typiquement nordique donc pour ma dernière sortie grenobloise. Demain, retour en Belgique en voiture, et il fera grand beau… Ça n'aurait pas pu être l'inverse ? 😡
  8. Je ne sais pas vraiment. 2 ou 3 km/h, peut-être ? Mais ce sont mes jambes que j'écoute, pas le compteur que je regarde. Pour des distances supérieures à 200 km, je m'interdis absolument de sentir mes muscles «chauffer», même dans les pires bosses, sauf à toute fin si je m'en sens la capacité. Mes tout petits braquets aident à cette gestion de l'effort, bien sûr.
  9. À noter que sur les roues pour freins à disques, c'est maintenant souvent l'inverse. Par exemple, on voit le même type de rayonnage à l'arrière côté moyeu et côté disque, et un rayonnage dissymétrique à l'avant, par exemple croisé côté disque et perpendiculaire au moyeu côté droit…
  10. Je ne risque pas de m'attirer tes éloges. 😎 J'ai terminé les 260 km du BRA (Brevet de Randonneur Alpin, de Grenoble à Grenoble en passant par le Galibier, le Mollard et la Croix-de-Fer) en 14 h 30 en 1997, et les 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff (Liège-Bastogne-Liège en un peu moins vallonné) en 12 h 30 environ, deux fois (2017 et 2019). Dans chaque cas, c'étaient des randonnées, pas des compétitions et je me mesurais à moi-même, au parcours et à la distance. Pas à d'autres cyclistes, d'ailleurs je n'y roule pas en groupe, et je laisse filer sans problème de conscience ceux qui me dépassent. Affirmer que de faire de longues distances à son propre rythme est «présomptueux et suicidaire» me fait sourire. On voit que tu n'es pas familier de ce type d'effort. Oui, certes, c'est exigeant, et d'ailleurs j'ai dû abandonner mon premier Tilff-Bastogne-Tilff en 2014, perclus de crampes au bout de 200 km. Mais je souffre au moins autant sur de bien plus courtes distances quand je m'y donne à fond, par exemple quand je grimpe un col alpin en voulant «faire un temps», que j'ai souffert sur le BRA ou mes deux éditions réussies de Tilff-Bastogne-Tilff. L'effort à fournir pour les 250 km d'un TBT, d'un LBL ou d'un BRA est pour moi un pur effort d'endurance. Le même type d'effort que je fournirais lors d'une randonnée pédestre en montagne sur une durées similaire. Me connaissant, et l'expérience aidant, je sais ce que je dois faire pour tenir une douzaine d'heures d'affilée sur mon vélo sur un parcours en dents de scie comme celui-là. Comme je sais quel type de préparation je dois faire pour boucler une randonnée pédestre en montagne qui vous prend un jour entier. Cela requiert une préparation axée d'abord sur la distance, ou plutôt le temps passé sur le vélo, et que mes contraintes professionnelles ne me permettent pas de boucler pour la fin avril pour Liège-Bastogne-Liège Challenge, mais plutôt fin mai - début juin, pour Tilff-Bastogne-Tilff.
  11. Les parcours détaillés viennent d'être mis en ligne sur le site: https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?mid=1M3HI2yhxLjO6kRZGj75GXgS0rY-Mtm5x&ll=50.44865779882863%2C5.749285000000013&z=11 Le 147 km est le parcours tracé en rouge, que je viens d'étudier. Si le tracé est exact, ces sournois d'organisateurs n'y mentionnent pas trois côtes conséquentes, qui s'y trouvent pourtant : le Hornay (mais c'est un oubli habituel), la côte de Saint-Jacques (juste après l'Ancienne Barrière) et surtout la côte de Wanne ! Si bien qu'on aura droit à la fameuse trilogie de Stavelot sur ce parcours intermédiaire: Wanne, Stockeu et Haute-Levée.
  12. Tu disais vouloir monter un 30/34, donc tu dois avoir une cassette 11-34 ?
  13. Et le parcours de 81 km ne t'intéresse pas non plus? Avec seulement la Redoute et la Roche-aux-Faucons comme morceaux à fortes pentes.
  14. Le 147 km. J'avais l'intention de faire le 255 km, mais le max que j'ai pu faire cette année en une sortie, c'est 160 km, sur un parcours beaucoup moins vallonné, et il ne me reste plus que deux semaines avant le jour de la rando. Je renonce donc et me prépare pour le 147 km. Ce parcours-là n'est pas une rigolade non plus. Je dirais que c'est du niveau de difficulté de ton parcours de 179 km du Tour des Flandres, les pavés en moins et la longueur des côtes en plus. Tous les obstacles «officiels» mentionnés sur le descriptif du parcours sont à prendre au sérieux, certains recèlent de vrais murs (Stockeu, Redoute, Roche-aux-Faucons) et il y a pléthore d'autres côtes, non mentionnées dans le descriptif car plus courtes et moins pentues, mais qui cassent les jambes bien comme il faut. Mieux vaut y aller avec un minimum de préparation ! J'ai déjà participé 5 ou 6 fois à la distance intermédiaire de LBL Challenge et j'ai toujours terminé, mais jamais à l'aise.
  15. J'ai mangé des calamars «frais du jour» grillés avec salade à Grenade il y a quelques années, ça a fini en gastro la nuit suivante. Quant au soleil et aux 23 degrés, si c'est pour 8 jours seulement, c'est pas la peine. C'est juste une très bonne façon d'avoir le blues au retour. (Loin de moi l'envie de te dégoûter à l'avance de ton séjour, tu penses bien.)
  16. Tu as déjà accumulé bien plus de kilomètres que moi, alors que devrais-je dire ? Je suis peut-être un peu présomptueux, mais je me sens paradoxalement plus en forme qu'en septembre dernier, malgré les kilomètres bien moins nombreux. En me contentant du parcours intermédiaire (vu mon kilométrage, je sais que je peux oublier la grande distance), et en «ménageant la monture», je devrais y arriver, comme pour les éditions précédentes.
  17. Pour lever tout malentendu et pour ceux qui ne connaissent pas les deux lascars en question, Eric Hennuy et Jérémie Laplac : ils sont tellement forts que nous suivre est pour eux une véritable épreuve… de patience. C'est pour cela que je parlais d'« astreinte » !
  18. Bon ben le message précédent le prouve, tu as raison, il se défile encore, le lâche. Dire qu'il préfère les plages et les calamars grillés aux côtes ardennaises, ça situe ses priorités ! 😝 Par contre, on sera pour ainsi dire à un jet de pierre de chez Jérémie, peut-être sera-t-il de la partie, lui. Et peut-être Eric aussi? (Dans les deux cas, s'ils viennent, mieux vaudra les laisser filer devant, à moins qu'ils s'astreignent à nous suivre…).
  19. Je viens de faire un tour sur le site de Liège-Bastogne-Liège Challenge: https://www.sport.be/lblcyclo/fr/ En regardant les parcours proposés, j'ai remarqué deux nouveautés parmi d'autres : le départ et l'arrivée se feront à Banneux, au sud de Liège, près de Remouchamps, et non plus à Liège même (l'année dernière c'était déjà déplacé, mais à Angleur) et surtout le Stockeu figure maintenant aussi au menu de la distance intermédiaire de 147 km. https://climbfinder.com/fr/montees/stockeu Normalement, ce ne sera que le premier kilomètre du profil ci-dessus qui sera parcouru, mais c'est de loin la partie la plus raide. Michel, Thierry, avec la Redoute et la Roche-aux-Faucons, ça vous fait une raison supplémentaire d'affûter vos plus petits braquets !😉 Autre modif : la dernière côte du parcours (toutes distances comprises) est celle de Cortil, qui était la première côte l'année dernière. La Roche-aux-faucons sera cette fois-ci l'avant-dernière. Plus question de s'y donner à fond, par conséquent. Cette côte de Cortil n'est pas très pentue, mais elle est assez longue, et donc largement suffisante pour qu'elle fasse très mal si on est déjà bien entamé…
  20. Tu ne crois pas si bien dire ! Je n'ai pas changé mes cadences de pédalage mais j'ai tiré plus gros que d'habitude dans ces bosses, pour les grimper à plus forte intensité. Toujours avec LBL Challenge en tête. Résultat, les crampes sont apparues en fin de parcours. Mais mieux vaut avoir des crampes à l'entraînement que le jour J. 😎
  21. Azraël, mon gros matou, viens ici ! Je vais t'emmener voir un ami en Hesbaye brabançonne, tu vas voir, tu vas l'adorer !
  22. Oui, j'ai mon vélo à disques. Quant au dénivelé, je ne suis pas équipé pour le mesurer. Puisque le balcon de Belledonne a lui seul fait dans les 1500 m de dénivelé en 60 km d'après le site que j'ai pointé plus haut, et compte tenu des autres ascensions de mon parcours, je dois avoir fait dans les 2000 m aujourd'hui.
  23. 97 km aujourd'hui, avec au menu les quelques 60 km du Balcon de Belledonne et son profil ultra-torturé, dans le sens Allevard-Uriage, avec quelques variantes pour corser encore le parcours : montée au col du Barioz non pas par Saint-Pierre-d'Allevard mais par Salles-le-Haut (variante plus courte et donc plus pentue), et une fois le Balcon terminé, descente non pas sur Uriage mais sur Murianette, par Venon et Le Japin, ce qui rajoutait encore quelques méchantes petites bosses au passage. Présentation et tracé (standard) du Balcon : https://www.alpes4ever.com/france/isere/les-plus-de-1000-m/balcon-de-belledonne/ J'ai fini bien entamé et avec des crampes aux deux cuisses, ce qui est souvent mon lot dans ce genre de parcours truffé de bosses en tout genre. Je préfère de loin les longues ascensions régulières, et à part le col du Barioz à l'entame du parcours, le Balcon n'en propose pas. Ceci dit, c'est une bonne simulation d'un parcours ardennais, et j'ai toujours Liège-Bastogne-Liège Challenge en tête pour fin avril… Rayon anecdotes : je me suis fait courser par un chien dans la montée du col du Barioz. Belle poussée d'adrénaline… et sprint effréné ! 😮 Heureusement il n'a pas insisté et mes mollets sont restés intacts.
  24. Robustesse, durabilité et résistance aux intempéries. Mais quand ça finit par s'user, il faut tout refaire, et ça coûte très cher. Raison pour laquelle les autorités belges les font souvent durer bien au-delà de l'acceptable, surtout en Wallonie où les budgets sont serrés. Pour ne rien arranger, le réseau routier belge est un des plus denses du monde. Tu as dû forcément t'en apercevoir pendant ta randonnée flandrienne: des routes, il y en a un peu partout et elles partent dans tous les sens, même en «campagne». Ce qui fait aussi un nombre faramineux de routes à rénover…
  25. (Bis) Tu peux garder les pneus de 25 comme le font les pros. Ce n'est pas parce que les disques permettent de monter de plus grosses sections de pneus que c'est obligatoire.
×
×
  • Créer...