Franck PASTOR

Bataille de jeux de mots sur Twitter entre les deux protagonistes d'hier 😄 https://twitter.com/WoutvanAert/status/1534212171617427457?ref_src=twsrc^tfw

Elle avait une protection, elle était dans un sachet plastique de type Ziploc. Visiblement, c'était insuffisant… le sachet était déchiré.

Avant de sortir en fin d'après-midi, j'ai été mis direct dans l'ambiance : j'ai voulu monter un pneu neuf et voulais donc y mettre une chambre à air neuve…mais la première que j'ai voulu monter était déjà percée (ça ne lui a pas réussi visiblement de traîner trop longtemps dans la sacoche de selle au contact d'autres objets…), et la deuxième… avait une valve Schrader ! Heureusement que j'en ai un bon stock, au cas où… La prochaine fois que mon vélociste m'en fournit une, je vérifierai le type de valve à sa place! Après avoir enfin monté ce pneu et cette chambre, je sors de mon appart, et la pluie se met à tomber quelques minutes après mon départ. Deuxième sortie consécutive sous la flotte donc… et cette fois, ça a détraqué mon compteur, qui ne voulait plus rien compter ! Vitesse égale à 0 km/h, cadence égale à 0 tour/min et distance parcourue égale à 0 km pendant la moitié du trajet, jusqu'à ce que la pluie s'arrête. C'est la première fois qu'il me fait ce coup-là, et pourtant il en a connu des draches avec moi ! Bref, au retour le compteur m'indique 17 km alors qu'il y en a au moins le double. Vélo bien sale bien sûr, à nettoyer à fond à nouveau… C'était le pied, aujourd'hui ! Retour via Tervuren et son très beau parc:

C'est justement ça la "snake bite". Parce que ces deux fentes évoquent une morsure de serpent… D'ailleurs, la crevaison par pincement, ça a toujours été ça pour moi : talonnage suite à un passage dans un nid-de-poule (ou, façon belge, d'une dalle de béton à une autre nettement plus basse) et PAF! J'ai une belle expérience en la matière… J'ai même réussi une fois à pincer mes deux pneus quasi simultanément, en roulant sur un gros caillou sur une piste cyclable. La crevaison en rentrant la tringle, lorsque tu montes (mal) une nouvelle chambre à air, c'est autre chose encore. Rien que pour éviter ces galères-là, ça vaut le coup de tester le tubeless, pour voir.

Ils le savaient déjà.

Coureur ardennais plus que prometteur. Paradoxe apparent, alors qu'il a gagné la Vélomédiane, cyclosportive plus que vallonnée, il se voit plutôt marcher dans les pas de Tom Boonen plutôt que de Philippe Gilbert. Ses performances au sprint semblent lui donner raison. Mais j'espère qu'il ne se contentera pas de son sprint à l'avenir.

Traduction littérale de l'anglais «snake bite» ce qui signifie littéralement « morsure de serpent ». C'est comme ça qu'on dit pincement en anglais et apparemment donc aussi en néerlandais des Pays-Bas. Un vélociste flamand chez qui je vais régulièrement dit, lui, «pincette», dans son néerlandais à lui! 🙂

4,5 bars pour ce poids-là et avec du 25 ? Il n'y a que toi qui roule sur ton vélo, mais quand même, sois prudent ! Les pincements ne sont sûrement pas loin. D'autre part, le roulement ne doit pas être bien top sur des surfaces lisses. Pour avoir roulé après crevaison et regonflage sur des pneus de 25 gonflé à 4 bars environ seulement, je sentais la différence avec la pression habituelle (7-7,5 bars), et pourtant je ne roule pas très vite et je suis léger (61-62 kg). Actuellement, je mets 4 bars dans mes pneus à chambre actuels, mais ces pneus ont 30 mm de section (32 mesurés). Je ne mettrai pas plus bas : j'étais parti de 5 bars, et maintenant cette pression de 4 bars me semble convenable sur tout type de terrain (pavés, plaques de béton disjointes, asphalte crevassé…). Descendre plus bas, selon mes sensations, serait chercher les ennuis. Sur mes chères routes belges j'ai déjà crevé par pincement avec des 25 mm gonflés à 7 bars…

Ça m'avait surpris aussi, quand j'y étais monté (en bagnole hélas, j'avais une mauvaise tendinite à l'époque), mais après réflexion, ça me paraît logique. Panorama mis à part l'environnement immédiat est sinistre, ça caille, la place manque, et surtout c'est balayé par des vents particulièrement violents (le col juste en-dessous n'est pas appelé col des Tempêtes pour rien), Bref, on est content d'y arriver, mais on n'a pas envie d'y rester ! Remarque que c'est loin d'être un cas isolé, il n'y a rien non plus au col du Galibier par exemple, pour des raisons assez semblables. Pour se détendre, il faut redescendre au niveau du tunnel, ou encore mieux au col du Lautaret.

C'est pas une limite à ne pas dépenser… Et de toutes façons, certains n'hésitent pas à dépasser leur plafond, physique ou budgétaire. 😄

Donc : pneumothorax, six côtes cassées, luxation de l'épaule, et des plaies… Purée, le contact avec cette cycliste belge aura été rude !!! 😮

🙄 Tu pourrais peut-être descendre un peu dans la page de présentation de Speedplay et ne pas te contenter de l'en-tête ! Le système Speedplay y est très clairement présenté, avec toutes ses spécificités, animations à l'appui. Pour rappel : https://fr-eu.wahoofitness.com/devices/pedals/speedplay

J'ai fait les 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff en 2017 et en 2019. J'étais seul dans les deux cas, sauf pendant une cinquantaine de km en 2019 pendant lesquels Jérémie m'avait accompagné (il avait pris le train avec son vélo pour me rejoindre à Gouvy, aux 2/3 du parcours, et m'a accompagné jusqu'au sommet du Rosier avant de rentrer chez lui par le chemin le plus court). Dans les deux cas, je n'ai consommé que du liquide le long du parcours (boisson énergétique Hydrixir Bio + aliment liquide Hydrixir 640 d'Overstims). Pas de gel (je n'en aime pas trop la consistance, et puis ça colle, c'est désagréable) et rien de solide. Ah si, peut-être une barre de céréale au dernier ravitaillement, pour m'offrir une petite récompense gustative puisque la fin était en vue 🙂 Il fut un temps où je consommais régulièrement du solide pendant mes longues sorties, c'était aussi le temps où j'avais régulièrement des troubles digestifs… qui ont quasiment disparu quand je suis passé à l'alimentation liquide. Mais l'alimentation, c'est comme les braquets 😉 c'est éminemment personnel : je me garderai donc bien de conseiller ma façon particulière de m'alimenter à quelqu'un d'autre. La météo ne t'aurait pas plu en 2017, il avait plu pendant une partie de la rando (vers la fin, ceci dit). Question météo, c'était pas top donc. Décidément, je personnifie la contradiction quasi permanente à tes points de vue. 😇

Bon, comme prévu, sortie en cours de journée, entièrement sous la flotte, mais autour de chez moi et pas dans les Ardennes… 86 km dans le sud-ouest de Bruxelles, que tu connais bien, du côté de Braine-le-Château, Ittre et Beersel (le Bruine Put était à nouveau à mon programme). Mais pas d'orage, donc. 🙂 Températures assez douces (19°) et peu de vent, ce qui est toujours bienvenu. Evidemment, vélo ultra-crade à l'arrivée. À Ittre, la route que je voulais initialement prendre était fermée à la circulation : les coureurs de la Brussels Classic passaient par là, apparemment…

Les orages, j'évite, oui, depuis toujours. Ce n'est pas un phénomène météo anodin, d'une part, et depuis que j'ai vu la foudre tomber chez des voisins et enflammer leur toiture, je suis devenu encore plus méfiant. 86 km de sortie aujourd'hui, entièrement sous la pluie. Mais sans orage : je me suis débrouillé pour sortir pendant une plage horaire sans ce risque selon la météo. Excursion du côté d'Ittre (où passait la Brussels Classic qui a lieu en ce moment même), Braine-le-Château et Beersel, avec les belles côtes de cette zone, dont à nouveau le Bruine Put. Pluie constante donc, mais assez peu de vent et température assez douce, ç'aurait donc pu être bien pire, même sans orage.

Les manivelles des temps anciens étaient complètement droites. Résultat, pour ceux qui pédalaient talons en dedans, les talons et les malléoles des chevilles pouvaient venir frotter à chaque coup de pédale (ça m'arrivait parfois à moi-même). Ça a bien changé depuis. Les Shimano ont depuis longtemps introduit le concept du « low profile », des manivelles qui sont évasées au niveau de l'insertion au pédalier. Résultat, la cheville a plus de marge de passage… et de rotation. Ça s'est généralisé depuis, mais certaines manivelles restent plus droites que d'autres, comme les Spécialités TA Carmina que j'utilise quand même (évasement moindre que celui d'un pédalier Shimano, mais suffisant pour moi).

Je serais sorti aujourd'hui aussi si je l'avais pu. La chaleur, j'adore, moi ! Tu auras donc refait la fameuse «trilogie» qui m'avait fait exploser par des crampes la dernière fois ? 😏 En plus, je ne pourrai pas sortir ce lundi de Pentecôte, le plombier doit venir chez moi à un moment non précisé de la journée… sachant combien c'est difficile d'obtenir un rendez-vous pour un plombier (et en plus un jour supposé férié — c'est lui qui s'est proposé de passer ce jour-là, je précise), je ne vais pas me risquer à décommander!

Liberté angulaire de 0° à 15° pour les pédales Speedplay. Et ajustable en plus. Entre autres possibilités d'ajustement. https://bikeci.com/fr/se-mettre-au-velo/debuter-route/liberte-angulaire-cales-automatiques-route/ https://fr-eu.wahoofitness.com/devices/pedals/speedplay

D'une part, certaines manivelles laissent plus de marge de rotation que d'autres, et d'autre part certaines personnes pédalent les pieds très en canard et donc décalent leur pied au maximum vers l'extérieur (en fixant leur cale plus vers l'intérieur du pied) pour se donner plus de marge de rotation pour leur talon.

Demain a lieu Tilff-Bastogne-Tilff, la principale randonnée cycliste de l'année que j'avais cochée dans mon agenda. https://www.tilffbastognetilff.be/fr/ Gros problème : des averses orageuses prévues pour toute la journée sur le parcours. La pluie, je m'en arrange, mais les orages… 🙁 Je me tâte encore, mais je crois bien que je vais renoncer. Quitte à sortir sous la pluie — ce qui sera inévitable demain, où que ce soit en Belgique — autant que ce soit sans orage, donc probablement l'après-midi autour de Bruxelles, toujours si je me fie aux prévisions météo. Pour ceux qui se demanderaient pourquoi je ne suis pas sorti aujourd'hui alors qu'il fait un temps radieux : je ne suis pas libre aujourd'hui, je suis avec ma fille et si elle aime le vélo, elle n'en est pas autant fan que son père. 😎

???? Tu n'en as certainement pas vue de près pour affirmer tout ça ! Il n'y a beaucoup de pédale plus simple qu'une Speedplay, au contraire. C'est la cale qui peut paraître complexe, puisque c'est à elle qu'est transféré le mécanisme de fixation. Logique donc qu'une cale Speedplay soient plus chère qu'une cale d'un autre modèle de pédale ! Mais le mécanisme de fixation lui-même est d'une simplicité enfantine : deux arceaux dans lesquels vient s'emboîter la pédale. Grosso modo une fixation du même type que celui des pédales Time Atac, par exemple, que j'utilise. En gros, le système Speedplay inverse le rôle des cales et pédales d'un système classique. C'est la pédale qui vient s'encastrer dans la cale. Ce qui rend les cales Speedplay très proéminentes et elles ne sont donc absolument pas pratiques pour marcher ! L'énorme avantage de ce système cale-pédale est la très grande liberté angulaire qu'elle permet, ce qui la rend très peu traumatisante pour le genou. D'où son succès.

Plus loin dans le temps, Bernard Hinault a aussi mis fin à sa carrière à 32 ans.

Il fait de l'aïkido, pas du judo. Une différence notable, c'est qu'en aïkido il n'y pas de compétition, et donc pas toute la pression qui va avec. Mentalement, c'est donc certainement plus facile de faire une pause quand le corps dit «stop»…

25 km à la sauvette cet après-midi, juste après le boulot. Balade dans les rues pentues d'Uccle et Ixelles, donc en pleine ville…

Bon courage ! Tiens-nous au courant.