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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ
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La question du poids est relative : - Es-tu à ton poids de forme ? - Un gain de 30 secondes sur l'ascension d'un col est-il primordial pour toi ? Sinon, puisque tu es satisfait de tes freins sous la pluie, la question ne se pose pratiquement pas.
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De toute évidence, tu ne poserais pas ce genre de question si tu avais lu ce post. C'est en partie pour cette raison que les pros n'utilisent pas les disques en montagne : ils perdraient plus de temps dans les ascensions qu'ils n'en gagneraient dans les descentes. Mais ta remarque sur les descentes sous la pluie m'interpelle. As-tu des patins spéciaux ? Quels sont tes étriers et tes jantes ?
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Tu veux un Colnago ? Je peux te revendre le mien, je te ferai un prix.
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Je faisais plutôt allusion à ton combat pour l'orthographe 😆
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Tu vas donc en profiter plus longtemps ! C'est une belle manière de cheminer dans la vie 😄
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On se rassure comme on peut... 😉 Ceci dit, un septuagénaire qui projette de refaire l'ancien parcours de la Marmotte est aussi un privilégié. Tu as une idée du temps que tu vas mettre ?
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Je sais ce que c'est. J'ai une hernie discale, pas trop handicapante heureusement, juste quelques périodes de 4-5 jours un peu difficiles. Le privilège de l'âge 😛
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J'ai regardé les derniers messages 😳
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No comment 🆒
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Lorsque tu iras mieux, tu pourrais mettre en pratique les conseils du fil "gainage intérêt ???" Bon, honnêtement, je sais que je devrais faire des exercices mais j'ai tendance à reporter au lendemain...
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Tu réponds concernant le bruit ou la progressivité ?
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Et pour avoir essayé les DT Swiss OXIC, je pense que les roues freinage à étrier n'ont pas dit leur dernier mot. Combien de temps a duré cet essai, Georges ? As-tu testé aussi sous la pluie ? Je m'interroge aussi sur l'usure des patins et la durabilité du revêtement en céramique des jantes.
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Tu ne sembles pas prendre ce que je dis au sérieux Eric. La plupart des intervenants qui ne souhaitent pas le disque affirment qu'ils n'ont pas de problème de freinage sous la pluie alors que c'est pour moi un réel souci. J'essaie de comprendre : 1) nous n'avons pas les mêmes exigences (l'écart me semble énorme) en matière de freinage 2) mes associations patins/jantes ont toujours mal fonctionné, depuis plus de 20 ans, et je suis preneur de conseils 3) les opposants aux disques préfèrent mal freiner sous la pluie plutôt que rouler en disques, c'est leur droit. Pour tous les inconvénients qui ont été cités, je ne souhaite pas spécialement passer aux disques, d'autant que je ne pâtis d'une insuffisance de puissance de freinage que quelques jours par an. J'aimerais seulement obtenir un freinage sécurisant sous la pluie, pas la lune...
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Je rentre d'un test pratique (involontaire, je ne suis pas maso) : après une demi heure, très grosse pluie hivernale ! Les 2 premiers freinages sont corrects après avoir actionné les leviers brièvement 2 ou 3 fois pour sécher les jantes. Ensuite, le mélange des résidus de patins et d'eau a formé une boue grise qui a diminué fortement la friction entre les patins et les jantes, réduisant les freins au rôle de ralentisseurs. Je me vois descendre le Ventoux dans de telles conditions 😬 Les patins Campa (sur roues Eurus) ont un peu plus d'un an et sont usés à moitié... ça n'explique pas tout.
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Tous les paramètres interviennent ensemble. La solidité d'une chaîne dépend de son maillon le plus faible. Les freins sur jante sont le maillon le plus faible dans les descentes mouillées. En améliorant le freinage, on fait apparaître le second maillon faible : l'adhérence des pneus. Faut-il revenir aux patins ou augmenter les performances des pneus pour empêcher ceux-ci d'avoir la plus mauvaise note ? Et pour augmenter la puissance de freinage sur le sec, allons-nous augmenter l'empattement des vélos au détriment de leur maniabilité ? Si l'on ne considère plus que le freinage soit une finalité en soi mais un maillon de la chaîne que constitue le vélo, ou de la performance à vélo, où se situe ce maillon dans la hiérarchie ?
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Quelques remarques techniques. L'ensemble cycliste-vélo a un centre de gravité placé relativement haut par rapport à l'empattement du véhicule. Ce qui signifie que la limite du freinage "standard" (c'est à dire en ligne droite) sur sol sec ne vient pas habituellement de l'adhérence des pneus mais du risque de basculement par dessus la roue avant. Il faudrait pour y remédier abaisser le centre de gravité et/ou augmenter l'empattement du vélo. La question de l'adhérence des pneus concerne plutôt le freinage en virage et/ou sur routes mouillées. L'adhérence des pneus diminue avec des pressions de gonflage trop importantes. Je le rappelle aux amateurs de pressions élevées. Lors de la phase de freinage, il y a transfert du poids vers l'avant en raison de l'inertie. Le frein avant doit donc être plus puissant que son homologue arrière. C'est toujours le cas sur les voitures et les motos. Alors, pourquoi ne le fait-on pas systématiquement sur les vélos pour réduire le risque de blocage de la roue arrière ? Par exemple 160 à l'avant et 120 à l'arrière (deux disques de 320 à l'avant et un seul de 220 à l'arrière sur une moto sportive). D'après les témoignages de certains, les freins à disque actuels présentent encore des soucis de bruit ou de progressivité. Je pense que les fabricants attendent la demande des acheteurs avant de s'appliquer à résoudre ces problèmes. On est capable de le faire pour les véhicules motorisés, pourquoi pas sur les vélos ?
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En fait, en dehors de la pression des fabricants, le choix est relativement simple. Pour le cyclo qui fait beaucoup de dénivelé par n'importe quel temps, le disque. Pour tous les autres, le patin.
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Si les disques ne permettent pas de gommer en descente cette perte de 2 ou 3 watts, c'est bien que les pros n'en ont strictement aucune utilité. C'est bien ce que je dis, le bilan montée/descente est le plus souvent défavorable aux disques. Sur le plat, les 500g ont beaucoup moins d'importance.
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Donc à part trois ou quatre jours dans l'année et conditions exceptionnelles, je ne trouve aucun intérêt aux freins à disque pour ma pratique. C'est également mon opinion : les disques ne me seraient vraiment utiles que quelques rares jours par an
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Comme si les pro-disques n'étaient pas capables d'admettre les inconvénients du système, même s'il y a des avantages bien évidemment dans certaines conditions. Si tu as suivi depuis le début, Jean, je n'essaie vraiment pas de convaincre quiconque de choisir des disques. J'ai seulement parlé des capacités de freinage dans les descentes mouillées et tu t'es évertué à en minimiser l'intérêt. Dans toutes les autres circonstances, les freins à patins n'offrent que des avantages, je n'ai aucun mal à le reconnaître
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Comme Kittel qui ne roule en disques que sur les étapes de plat, justement quand il n'y a pas besoin de freins, pour satisfaire sa clause contractuelle de rouler XX jours en disques sur l'année. Mauvaise analyse : les coureurs ne prennent pas les disques en montagne en raison de leur inefficacité en descente mais à cause du temps qu'ils font perdre dans les montées.
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On tourne en rond, comme toujours quand il s'agit des freins à disque... Je te parle de temps de séchage des jantes et tu me réponds l'adhérence des pneus... Tu me dis aussi qu'il vaut mieux anticiper, prendre un peu moins de vitesse, tenir compte du temps de réaction de l'étrier sur jante... Tout ça pour ne pas reconnaître que le disque est meilleur dans cette circonstance !!! Ca te gêne tant que ça de préférer les freins à patins malgré la supériorité des disques sous la pluie ?
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Tu parles des courbes abordées à hautes vitesses, je te parle des virages qui nécessitent un gros ralentissement
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Effectivement, je freine comme à moto : le plus tard possible. Sur le sec, ça me permet de doubler pas mal de monde, mais sur le mouillé, le temps de séchage des jantes m'a déjà donné quelques sueurs froides... Je ne suis toutefois jamais allé à la faute 😬
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J'ai l'impression qu'on ne parle pas de la même chose. Un pilotage "en douceur sans freinage brusque", tu le fais comment quand tu as une épingle après une portion droite ? Comment passes-tu de 60-70 à 20-25 km/h "en douceur" ? En commençant à freiner 100 mètres à l'avance ?