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Thierry GEUMEZ

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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ

  1. Si tu as déjà un vélo et que la position te convient, tu es mieux placé que nous pour savoir la taille qui te convient. Et si tu veux plus de conseils, le minimum est que tu donnes les cotes de ton vélo actuel et que tu dises la longueur de ta potence, s'il y a des bagues en-dessous, etc.
  2. C'est ton premier vélo ?
  3. 😉
  4. L'explication n'est pas donnée dans le lien que tu as mis. Le liquide de frein est incompressible. En retirer du circuit ne peut s'effectuer qu'au prix d'une entrée d'air, sauf en introduisant un dispositif supplémentaire. Un vase d'expansion similaire à celui d'un chauffage central ne peut être utilisé parce que le circuit serait sous pression en permanence... Il faudrait trouver une notice détaillée de Avid.
  5. Je viens de lire la section 2.3 de ton lien. Le "réglage du point de contact des plaquettes" est un perfectionnement du système traditionnel, il inclut donc un dispositif supplémentaire, que je ne connais pas. Ton système de freinage comporte ce perfectionnement, avec notamment une molette de réglage ?
  6. J'ai essayé de lire les détails de ton lien mais c'est trop petit sur un smartphone. J'attendrai d'être sur un PC.
  7. Impossible d'arrêter le progrès... 😛
  8. Pourquoi supprimer de l'huile dans le circuit augmente a priori la garde, je ne sais pas exactement. Lorsque tu as évoqué ce problème précédemment, tu avais aussi parlé d'un manque de jeu entre le disque et les plaquettes et les deux problèmes ont pu être résolus en retirant un peu d'huile. Comme je te l'ai déjà expliqué, il n'y a plus de pression dans le circuit hydraulique lorsque tu relâches le levier (sauf s'il a de l'air dedans). Tout se joue au niveau du ou des pistons de l'étrier : ils doivent reculer pour que les plaquettes ne frottent plus. Cette fonction est assurée par la déformation d'un joint situé autour du ou des pistons. Lorsque tu freines, le joint se déforme en même temps que le piston se déplace vers le disque. Lorsque tu relâches le frein, le joint tend à reprendre sa forme initiale et fait reculer le piston. Si le piston ne peut reculer, soit parce qu'il est grippé, soit parce que le joint est insuffisamment déformé, les plaquettes frottent en permanence et la garde du levier est réduite. Ceci dit, la seule explication que je puisse imaginer (sous réserve de présence d'air) est que ta manipulation (laisser un peu d'huile s'échapper) a permis au joint de reprendre sa place normale et de remplir à nouveau son rôle.
  9. la quantité d'huile présente dans le circuit influence la garde du levier de frein Cette explication n'est pas claire. C'est comme si tu disais que l'écartement d'un levier de frein à patins varie lorsqu'il manque un bout de câble dans la gaine. Le circuit doit toujours être complètement rempli d'huile, sinon il y a de l'air dedans.
  10. Le modèle 2021 sera bientôt dépassé... A ta place, j'attendrais encore un peu, ce serait quand même %@!? de rater les derniers perfectionnements à venir.
  11. Il suffit de voir une video d'évier qui se vide à l'envers, dans l'hémisphère sud, pour en être assuré! Puisque tu sembles t'intéresser à la force de Coriolis, voici une petite vidéo amusante pour l'illustrer : https://www.futura-sciences.com/planete/definitions/meteorologie-force-coriolis-3621/
  12. content q'une demoiselle apprécie nos bétises .... Une demoiselle ? Et nous, nous sommes des garçonnets ? 😲
  13. 525 chez les pros. Il faut ajouter celles dans les autres catégories
  14. Ton avis est moins partisan que le mien, j'ai laissé s'exprimer l'ex-adolescent fan d'Eddy. Ceci dit, les suppositions de Guimard n'engagent que lui 🆒
  15. L'avis de Guimard sur Evenepoel est secondaire, il laisse surtout entendre que Hinault était plus fort que Merckx, signe de sa rancoeur inconsolable 😉
  16. Je tourne également mieux à gauche. Ayant lu que nous nous dirigeons vers l'endroit que nous regardons, je constate lorsque j'y fais attention que mes yeux se portent instinctivement moins loin dans les virages à droite mais n'en ai jamais cherché l'explication. A moto, cette "réticence" à tourner vers la droite concernait également tout le corps : appui sur la selle, rotation des épaules, etc
  17. Les roulements comportant un joint des deux côtés ont une référence qui se termine par "2RS"
  18. En espérant que ça puisse t'aider :
  19. Tu aurais dû acheter Mavic. J'en connais qui en sont très satisfaits 😇
  20. La position a effectivement une incidence sur notre capacité à développer notre puissance. Globalement, une position inconfortable réduit notre puissance en raison des tensions musculaires improductives qu'elle génère. Dans le cas d'une position de CLM, la perte de puissance éventuelle est à mettre en balance avec le gain aérodynamique. La durée de l'épreuve est à prendre en considération également : une position relativement inconfortable peut être tenue pendant quelques minutes mais pas pendant des heures. Enfin, c'est aussi une question d'habitude, la position CLM se travaille à l'entraînement, pas seulement une ou deux fois par an. Concernant tes zones de puissance, tu dois les calibrer suivant le vélo utilisé si les positions sont différentes. Tu pourrais refaire un parcours à allure CLM sur ton vélo de critérium pour comparer les puissances développées.
  21. Quelle était la durée de ton criterium ? Il est normal que la puissance diminue lorsque la durée de l'exercice augmente. Par ailleurs, rouler en groupe réclame moins de puissance que seul.
  22. Pauvre Remco. Le métier ne rentre pas toujours sans douleur... Espérons qu'il s'en remettra sans séquelles compromettantes pour sa carrière cycliste.
  23. J'ai passé toute ma vie dans l'industrie, je n'ignore pas l'écart entre la théorie et la pratique 😉
  24. 😉Le ton décalé que tu adoptes depuis peu m'amuse beaucoup
  25. Indépendamment des dons de pilotage du coureur, la conduite d'un vélo à haute vitesse restera toujours plus délicate que celle d'une moto ou d'une voiture, essentiellement en raison de sa géométrie (empattement court, centre de gravité élevé, faible valeur de chasse). Parce qu'il est optimisé pour être suffisamment maniable à basse vitesse, le vélo devient nerveux et instable à haute vitesse, au contraire d'une moto qui est relativement pataude en-dessous de 40 km/h et reste imperturbable bien au-dessus des vitesses légales.
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