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Thierry GEUMEZ

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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ

  1. --> Thierry, ce n'est pas toujours aussi évident... Je pensais que mon humour était perceptible grâce aux émoticônes 😳 Je dois également surveiller mon poids... et impossible de retrouver le gabarit de grimpeur de mon adolescence (53 kg pour 1m67). J'oscille depuis mes 30 ans entre 62 et 73 kg, 66 actuellement.
  2. Avec tes patins pincés à l'envers, pour moi tu fais l'inverse, l'eau s'accumule sous le patin alors que si tu as l'avant du patin qui mord d'abord, l'avant du patin "pousse" l'eau Pour le coup, je ne suis pas d'accord. Vu le sens de rotation de la roue, l'eau sur la jante vient en premier sur l'arrière du patin, c'est donc l'arrière du patin qui doit racler l'eau. La logique du mécano qui m'a conseillé ce réglage me semble valable uniquement pour le freinage sous la pluie, ce qui ne m'arrive pas très fréquemment, d'où mon dilemme...
  3. Malheureusement un passé de triathlon et la muscu pour garder une épaule en mesure de d'attaquer sur mes joueurs (je suis entraineur de volley) je ne peux pas fondre du haut..... Pfffff ! Tes excuses ne sont pas convaincantes 😆😆😆 Elles témoignent surtout d'un manque de motivation évident ! C'est pourtant simple : plus de muscu du haut du corps (on ne pédale pas avec les bras) et une alimentation rééquilibrée, et le tour (pas le Tour) est joué... Quand on veut, on peut ! 😃 😇
  4. J'ai vérifié et c'était à la page 34 ! Je ne sais que penser... 😲
  5. après quelques freinages, les patins s'useront de façon à redevenir parallèle à la jante Théoriquement, la flexibilité des étriers provoque une accentuation de l'usure à l'arrière des patins. Mais tu sais l'écart entre la théorie et la pratique...
  6. M'en fous, mon prochain vélo sera équipé de disques 😛
  7. Remarque pertinente, Bernard ! 😉
  8. J'ai connu cette humiliation il y a une dizaine d'années, une époque où j'étais moins entraîné, dans la montée du "Bruine Put" depuis Dworp. Je grimpais à mon rythme, pas très rapide il est vrai, et j'ai été intrigué d'entendre un halètement derrière moi. Peu après un joggeur me doublait... 😳
  9. Effectivement, j'ai été étonné, c'est la première fois que j'entends cette explication. Mais ce n'est pas absurde
  10. un vélo ça ne grimpe pas aux arbres mais ça avance bien plus vite qu'un piéton, même plus du double :-) Tout dépend du pourcentage de la pente. Cette question a déjà fait l'objet d'études approfondies. On parvient à une égalité des efforts à près de 25%.
  11. J'ai toujours fait comme toi, Gérôme... mais j'ai bien expliqué au mécano mon souci de manque de frein sous la pluie
  12. J'ai également répondu au mécano qu'on préconisait l'inverse pour éviter le bruit. Il a maintenu que le pincement devait s'effectuer à l'arrière pour améliorer le freinage sous la pluie. Selon lui, le pincement à l'avant favorise la rétention de l'eau entre le patin et la jante, ce qui provoque un effet "d'aquaplanage". Son argument se tient.
  13. Lors de l'achat de nouveaux patins de freins, le mécano du magasin m'a conseillé de mettre du pincement de manière à faire attaquer l'arrière du patin en premier. Ceci permettrait selon lui d'améliorer le freinage sous la pluie, l'eau étant raclée avant qu'elle pénètre entre le patin et la jante. Avez-vous déjà entendu parler de cette pratique ? Qui l'a déjà utilisée ?
  14. Motivé à seulement 150 % ??? Je te trouve plutôt radin. On parle de conquérir l'infini, là 😛
  15. J'ai très bien compris le conseil de Franck d'aborder les ascensions avec philosophie et respect. Et je n'y suis pas opposé puisque je n'arrête pas de réduire mes braquets au fur et à mesure que je vieillis. Mais je ne peux adhérer à son refus général et par principe de toute aide extérieure, électrique en l'occurrence. Ce qui est bon pour lui ne l'est pas forcément pour d'autres. Penser le contraire revient à adopter une position égocentrique et sectaire.
  16. il faut accepter d'être mentalement piéton dès qu'on grimpe une côte Et pourquoi le faudrait-il ? Tu as déjà expliqué ce point de vue, tout aussi respectable que celui de quiconque, mais qui n'est pas partagé par tous. La plupart des individus n'apprécient pas de rouler à 6-7 km/h, tout simplement, et rien ne les y oblige.
  17. On veut des preuves 1) qu'ils vont BEAUCOUP plus vite 2) parce qu'ils ont de petits braquets Voilà que tu te mets à exagérer : je n'ai pas écrit "beaucoup" en caractères majuscules et gras 😉 Nous n'ignorons ni l'un ni l'autre la difficulté de comparer les performances à travers les époques, les évolutions du matériel et des modes de préparation des coureurs rendant la tâche presque impossible. Je me réfère donc à l'approche de plus en plus scientifique de la gestion des courses actuelles. La tendance générale des coureurs est de tourner les jambes plus vite dans les cols qu'il y a quelques décennies et si ce n'était pas rentable, les adeptes des gros braquets seraient globalement avantagés et ça se saurait. Enfin, je connais ta préférence pour les cadences modérées en montagne et tes bonnes performances ne prouvent pas que tu n'aurais pas fait encore mieux en apprenant à gagner 10 tr/min supplémentaires 😆
  18. Les Shamal existent en version tubeless. Par rapport aux Zonda, leurs rayons en alu plutôt qu'en inox leur confèrent plus de rigidité.
  19. la logique c'est d'abord de perdre son gras et travailler sa force .... C'est un bon début. Puis arrive le moment où on accepte ses limites... ou pas.
  20. maintenant on fait du sport mais on ne force plus, c'est tendance Tu sembles exprimer le regret d'une époque où la souffrance était à l'honneur, où la volonté était censée vaincre les obstacles et élever les âmes. Ou peut-être recherches-tu un plaisir masochiste ou as-tu besoin d'expier éternellement une faute impardonnable 🤐 Sur un plan pratique, les pros d'aujourd'hui utilisent de plus petits braquets que leurs aînés en montagne... et ils avancent beaucoup plus vite !
  21. J'ai essayé il y a deux ans des roues carbone Giant SLR1 30mm, super sensations, mais mal à la colonne vertébrale l'après midi. Les "super sensations" auxquelles tu fais allusion viennent probablement des efforts que tu as fournis pour te persuader que ces roues devaient forcément te faire avancer plus vite. Les douleurs au dos en sont probablement la conséquence. Si tu les utilisais sur une plus longue période, tout rentrerait dans l'ordre : performances inchangées et douleurs disparues 😆 Une question quand même : la pression des pneus sur les roues carbone n'était-elle pas plus élevée que tes pressions usuelles ? Sauf si tu es un compétiteur qui as besoin de grapiller quelques petites secondes pour une éventuelle victoire (ce qui suppose qu'elles soient plus légères et/ou plus aérodynamiques que tes roues habituelles), le principal avantage des roues en carbone est esthétique.
  22. Le rendement des pneus fait aussi la différence Pas au point de justifier une différence de 3 km/h, les Conti 4 saisons n'ont pas un mauvais rendement
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