Thierry GEUMEZ

Je possède 3 vestes d'hiver dont les degrés de protection contre le vent sont différents. La plus imperméable retient effectivement la transpiration et je ne la porte qu'en-dessous de 5°C. La moins protectrice comporte un empiècement micro poreux sur le haut du dos, sa capacité à évacuer la sueur la rend supportable jusque 12-13°C (avec un sous-vêtement à manches courtes)

Les parois du coeur épaisses est un phénomène connu, typique des sports d'endurance. Concernant l'arythmie cardiaque, elle peut survenir à tout âge, y compris chez les non-sportifs. Ma compagne y est sujette, son coeur arrête de battre pendant 1 seconde, le cardiologue l'a rassurée. Un ex-collègue a commencé à en souffrir à 20 ans. Chez lui, c'est le coeur qui accélère sans raison. Des examens ont permis de déceler que des nerfs étaient en cause et on les a "brûlés". Possibilité de récidive. J'étais présent à deux reprises lorsque son coeur s'emballait. Il était très anxieux à ce moment et prenait un médicament. Chaque cas est différent... Tu fais allusion à l'hygiène de vie. La pratique régulière d'un sport est bénéfique pour la santé mais pas les efforts très intenses et répétés comme en compétition. Comme en tout, les excès sont nocifs. Je sais à quel point on peut accepter de se faire mal pour ne pas décrocher du peloton les jours de méforme... par orgueil.

Faudrait ouvrir une rubrique matrimoniale sur le forum : "Nos conseils infaillibles pour trouver chaussure à son pied ?" 😍

Moi, je trouve que c'est très imprudent de faire du parapente 😊

C'est ton choix et nous le respectons mais pourquoi l'imposer aux autres ?

Implémenter est dans le dico. Il y est précisé que le verbe vient de l'anglais et signifie accomplir. En français, son usage a débuté en informatique. Vu que le Schtroumpf parle de programmation... 😉 "Mettre en oeuvre" serait plus adéquat dans un cadre "généraliste". Merci à vous deux pour nous encourager à cette analyse étymologique 😊

Tu le referais avec tes pneus de 25 ?

Voilà qui va dans le sens de ton avis de mardi : le "lâcher de lions au cul du peloton". Et n'oublions pas la dimension politique de la chose : "Panem et circences", on n'a pas encore trouvé mieux pour gérer les peuples 😇

Je me suis sans doute mal exprimé ci-dessus, ou plutôt incomplètement. Je ne conteste pas le droit des coureurs d'exprimer leurs souhaits, comme il ne me viendrait pas à l'esprit de remettre en question la légitimité des syndicats partout ailleurs dans le monde du travail (j'étais affilié à la FGTB pendant mon parcours professionnel et j'ai participé à des grèves). La viabilité des associations humaines dépend de l'équilibre, toujours à rechercher, jamais définitivement acquis, entre les intérêts des différentes parties.

Un sport "professionnel" n'est pas seulement l'opportunité donnée à quelques individus talentueux et privilégiés de pratiquer leur jeu favori en étant rétribués . Il implique aussi des sponsors, des organisateurs et des spectateurs sans lesquels il n'aurait plus de sens.

Par pudeur (ou pour ne pas faire de jaloux), vous ne passeriez pas en MP pour poursuivre vos roucoulades d'amoureux transis ?

No comment 😉

Il faut aller plus loin, ne pas se mettre de barrière dans notre quête de la plus grande sécurité possible. Lorsque tous les vélos seront (obligatoirement 🤣) équipés de disques, de pneus plus larges et de l'ABS, le seul moyen de réduire les distances de freinage sera, si on exclut le parachute, de diminuer le rapport "hauteur du centre de gravité/distance horizontale entre le centre de gravité et le point de contact sol-pneu avant". Vu qu'il est difficile de baisser le centre de gravité sans recourir au vélo couché, il ne reste plus qu'à augmenter l'empattement avant en couchant la fourche, façon moto chopper ☺️ (Si mon imagination peut prêter à sourire, mes arguments techniques sont rigoureusement exacts 😜)

La solidité d'une chaîne est en effet limitée par son maillon le plus faible et les patins mettent moins les pneus étroits en difficulté. Par ailleurs, ton choix manifeste de privilégier les performances à vélo semble justifier l'inutilité des freins à disques. C'est un raisonnement pervers. Il serait plus honnête de dire "je reconnais que les disques freinent de manière plus sûre dans les circonstances pluvieuses mais je préfère les patins et les pneus/jantes plus étroits qui pénalisent moins l'aérodynamique".

Michel, si Shimano dit que ton dérailleur est prévu pour 30 et que le 30 provoque un dysfonctionnement, il faudrait savoir pourquoi. Soit le dérailleur n'est pas réellement prévu pour 30 dents, soit la patte de ton cadre est trop courte. Dans la deuxième hypothèse, le prolongateur est effectivement la solution. Quant à ton interdiction de croiser à l'extrême, j'y adhère personnellement parce que ça me fait mal aux yeux et au ventre de voir la chaîne tordue en S, mais cela ne peut en aucun cas être une façon de contourner une mauvaise conception de départ : le croisement extrême doit être possible sans que cela ne provoque de casse.

Les "RZ" ? Je ne connais pas. Ce sont des "RO" équipées d'un petit moteur électrique caché dans le moyeu pour larguer les copains dans les côtes ? 😇

L'idée de remplacer la chape par une plus longue est excellente. N'oublie pas qu'il faut aussi régler l'écartement entre le plus grand pignon et le galet supérieur de la chape au moyen de la vis "H" mentionnée sur la page 6 du manuel technique que tu renseignes ci-dessus.

Difficile de ne pas céder aux sirènes du marketing. Après des Mavic Ksyrium Elite (2004), j'ai acheté des Campa Eurus qui m'ont donné toute satisfaction. Ensuite, les Eurus se faisant vieillissantes, j'ai pris des Bora One 35. Sensations un peu différentes, notamment lors des relances et au niveau du bruit, freinage différent, look flatteur... mais impossible de me prononcer quant aux performances : je roulais toujours pareil. J'ai pris des Zonda pour mon dernier vélo. Je me disais qu'elles me seraient utiles en hiver pour épargner les Bora One mais depuis que ces dernières ne freinent plus sous la pluie (traitement de surface AC3 usé), j'hésite à les remettre. Objectivement parlant, je roule aussi vite (à 2 ou 3 dixièmes de kilomètre/heure près, impossible de vérifier à mon niveau) avec les Zonda qu'avec les Bora One (4 fois plus coûteuses) mais dans ma tête, je ne peux m'empêcher de penser qu'avec les Bora One, c'est mieux. Parce que tout le monde le dit, parce que les fabricants le disent. Et quelque part je suis frustré parce que je sais que mon rêve n'était qu'un rêve.

Le beurre, l'argent du beurre... et le sourire de la crémière ? Et pourquoi les fabricants continuent-ils de s'embêter à multiplier les références ? Il faut rester pragmatique : ça fonctionne bien tant qu'on respecte les limitations d'usage (éviter strictement d'utiliser le ou les deux plus grands pignons quand on est sur le grand plateau).

Je ne dis pas que tu inventes, Bruno, je ris seulement de constater que tu ne rates pas une occasion de reparler de cette question 😉

🤣🤣🤣

Un de mes collègues avait tenté l'opération sur son smartphone après avoir regardé un tutoriel : il ne lui a fallu que 2 minutes pour fendre son écran 😭

Je me suis trompé concernant la couleur de l'étiquette, c'est un "A" blanc sur fond noir. Pour la longueur de la chape... je te propose de passer chez toi pour vérifier 🤣 Pour réduire tes développements, je ne connais que deux solutions : changer la transmission pour qu'elle accepte un 32 dents ou changer de pédalier (46/30 au lieu de 50/34 par exemple)

C'est déconseillé mais possible sur le plan mécanique si on respecte les préconisations du fabricant. D'ailleurs, certains pros le font, j'en ai vu lors des ascensions sur le Tour de France. Entre ce qu'on peut faire et ce qu'on fait PS : pour être complet, un dérailleur arrière est limité par le plus grand pignon admissible (limite que le prolongateur permet de repousser) et dans sa capacité à absorber les braquets extrêmes (ça dépend de la longueur de la chape). Si ces limites sont respectées, la combinaison grand plateau/grand pignon est possible mécaniquement. Exemple, dérailleur campa super record 12 V : capacité 39 dents, plus grand pignon 34 dents. Avec 16 dents d'écart entre les plateaux, la différence maxi admissible entre les pignons est de 39 - 16 = 23. La cassette 11- 34 convient donc, même pour la combinaison extrême 52x34 (ouf, ils savent compter chez campa ). Mais une cassette 11-40, si elle existait, ne permettrait pas 52x40, même avec un prolongateur.

Il ne manque que le béret. C'est un retour aux sources, une pratique cycliste spontanée et décomplexée, sans chichis. Rien à voir avec les cyclos qui se déguisent pour ressembler aux coureurs.