Je reviens sur l'idée de l'escalier roulant après une nuit de sommeil...
Pourquoi appeler ce défi "everesting" alors qu'il ne s'agit pas de gravir réellement le Mt Everest ? L'épreuve deviendrait autrement inhumaine, le cycliste étant obligé de finir l'ascension avec des bouteilles d'oxygène sur le dos 🥴
Cela nous renvoie à l'importance des symboles dans nos vies. L'Everest, aussi appelé le "toit du monde", représente l'élévation ultime, la réalisation de toutes nos potentialités à laquelle nous aspirons.
Concernant la performance physique, le commun des mortels s'en tape un peu finalement. Sauf s'il est cycliste et aime les défis montagnards. Monter X fois la même côte pendant 7h30 ou pédaler pendant 7h30 sur un home trainer, quelle différence ? Mais imaginer qu'on observe le monde depuis l'Everest qu'on vient d'escalader à la force de nos pauvres jarrets...
Bonne journée Bernard !