Toutes les fins sont tristes, Nicolas. J'ai pleuré en quittant mon boulot, alors que j'aspirais à la retraite. Une page se tournait, une part de moi mourait. Pour ne pas mourir, on évite parfois de se lancer dans la vie, c'est la première page du roman qui reste désespérément blanche...
J'arrête de parler de la mort (voir ma réponse à Jacques sur le "sauvetage" de l'humanité), on va penser que je déprime. A moins que ce soit moi qui déprime les autres. Je vais finir comme le barde dans Astérix, ligoté et baillonné pour ne pas perturber la fête