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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY
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Votre sortie du jour 2025
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Joli, mais tu as dû appliquer (ou ton appareil photo) un effet pictural sur le ciel, il me semble... -
Douleurs au dos, automassage qui fait du bien
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel DURY dans L'entrainement et la santé
Moi, j'ai Chérie. -
Après recherche rapide, il y aurait une brasserie artisanale française ayant pris le nom "Jupiter", mais j'ignore où elle crèche. J'ai trouvé un article sur un site plus ou moins obscur qui parle de cette bière ; avec même en lien une vidéo qui n'a strictement rien à voir avec ladite brasserie artisanale française ancrée dans la tradition. Bref, j'ignore si une bière Jupiter existe autre qu'une bière présentée sous ce nom par la brasserie Moersleutel sise aux Pays-Bas. Quant à la bière Jupiler, comme indiqué précédemment, c'est un des produits-phares du plus grand groupe brassicole mondial et la "chope" sans doute la plus répandue en Belgique. Certains énergumènes inaptes à la lecture présentent sur la Toile des images de bières et articles associés portant bien clairement le nom et l'emblème "Jupiler" et n'hésitent pas à les baptiser "Jupiter". Tout cela pour dire que la vraie Jupiler, qui s'appelait autrefois "La 5", n'est pas une bière dont j'apprécie la saveur (il y a bien meilleur en Belgique). Et comme en plus, c'est aussi la bière typique des supporters braillards du Standard de Liège (club de football), je l'apprécie d'autant moins. En bon Carolo, je préfère celle-ci :
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Oui, je me souviens avoir lu ton commentaire à cet égard, dans les premières pages de cette discussion sur les Elite Wheels. Pour un gars comme moi, les mêmes jantes avec des rayons acier seraient probablement plus polyvalentes. Cela dit, je n'ai aucune envie d'encore rouler sur les RS171, qui flirtent avec les 2 kilos. À peine 1300g pour les Drive, c'est plaisant à emmener et leur stabilité quand la vitesse augmente est rassurante. Je n'ai pas de regrets à ce jour.
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Tour de Lombardie
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Le peloton professionnel
Je relisais dernièrement certains propos tenus par Eddy Merckx après qu'il eut cessé d'être coureur cycliste professionnel. Il disait que le nombre de produits interdits empêchaient déjà de se soigner "comme tout le monde" en cas de maladie. Pour rappel, à son époque, les professionnels couraient toute l'année. Eddy enchaînait les courses, plus de 50 victoires par an dans ses meilleures années. C'était son gagne-pain. Les professionnels gagnaient beaucoup moins d'argent qu'aujourd'hui. Malgré ses quelque 500+ victoires, Merckx n'a pas arrêté sa carrière "fortune faite". Il a dû continuer à bosser. De son propre aveu, il se soignait mal. Malade, il continuait la course au lieu d'abandonner. Et il reprenait trop vite la compétition. C'était une autre époque. -
Tour de Lombardie
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Le peloton professionnel
Je trouve quand même très questionnable le fait de trouver, dans le staff des équipes professionnelles, des individus au passé très sulfureux. -
Oui, c'est une explication. Je n'ai encore fait que +/- 200km avec les Drive40, pas assez pour en avoir une opinion très arrêtée ; mais elles sont plus rigides, plus légères et plus aérodynamiques que les roues avec lesquelles j'ai déjà roulé. Je les trouve très agréables en montée et lors des relances ; mais, dans certaines situations, je pressens qu'elles pourraient me jouer un mauvais tour. Par exemple, lorsque la fatigue est là en fin de sortie et qu'il faut attaquer une bosse à 12-13% (cas vécu hier), je peux être soudain à la limite de rester planté. J'ai eu mal aux jambes, mais la bosse était courte et j'ai vite récupéré quand la pente s'est adoucie vers les 7-8%. Des roues rigides, pour une frite, ça peut être surprenant.
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Tour de Lombardie
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Le peloton professionnel
Sylvain, si tu relis bien ce que j'ai écrit, je ne prétends pas (et n'ai jamais prétendu dans aucun de mes milliers de messages) que "tous se dopent". Mon avis est que celui qui est "propre" ne prend rien d'interdit. Ce qu'il prend est donc soit autorisé, soit pas encore interdit. Il y a dans les équipes professionnelles, des gens qui sont payés pour "optimiser" les performances de leurs coureurs. Je ne suis pas compétiteur, mais si je voulais "optimiser" mes performances, je devrais faire appel à la compétence d'un nutritionniste, sans doute d'un médecin pour prescrire des analyses sanguines, etc. Rien d'illicite là-dedans ; mais, n'étant pas compétent, je dois faire confiance à ces professionnels. Sont-ils dignes de cette confiance ? -
Tour de Lombardie
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Le peloton professionnel
Si j'ai bonne mémoire, Eddy Merckx aurait un jour lancé une phrase du genre : "On ne gagne pas cinq Tours de France en buvant de la limonade". Suivant ce qu'on pense du Cannibale, on peut interpréter au premier degré cette déclaration ou y voir un aveu d'avoir pris des substances illicites. Qu'il en ait pris ou non, Eddy voulait évidemment dire qu'un sportif de haut niveau doit s'alimenter et s'hydrater avec soin. Il ne fait guère de doute que, depuis belle lurette, les compétiteurs qui se savent contrôlés flirtent presque continuellement avec les limites de ce qui est autorisé ou, plus précisément, de ce qui n'est pas spécifiquement interdit. Nous ne sommes pas naïfs. Que les enjeux financiers et sportifs soient importants (comme pour les professionnels) ou très secondaires, la compétition est inévitablement, pour certains, un appel à la tricherie. De nombreux enfants, dans leurs jeux, sont facilement tricheurs. À partir du moment où certains trichent ou sont à la limite de le faire, ceux qui n'approchent pas les limites partent perdants. Alors, quand la motivation vénale s'ajoute aux ambitions sportives... -
Quel temps chez vous ?
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans L'entrainement et la santé
Il est bientôt sept heures (d'été) et, en savourant ma première tasse de café, j'entends et regarde tomber la pluie. Ici, sur Valréas, il pleut comme 🐮 qui pisse. Bien à l'abri sur la terrasse, le thermomètre affiche 10°C. Nous connaîtrons peut-être une "journée à la belge"... -
Tes sensations sont donc trompeuses. Selon toi, qu'est-ce qui rendrait les Bora plus agréables et les Hyperon plus efficaces ?
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Votre sortie du jour 2025
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Tu as eu ton anniversaire ou encore seulement le cadeau ? -
Je pense que le problème est que nous ne parlons pas des mêmes choses. D'un côté, les chiffres indiquent que le changement de matériel les modifie peu, ce qui n'est pas le cas des sensations ; de l'autre côté, le ressenti, qui lui n'est pas chiffrable, se manifeste par une fatigue moindre quand le rythme à suivre est celui d'un groupe plutôt que celui d'un individu. Je comprends très bien ce que tu ressens, mais ça n'aurait pas été le cas si je ne m'étais pas rapproché d'un club et mis à rouler en groupe. Mon récent changement de matériel n'a pas modifié la vitesse moyenne du groupe ; elle m'a permis de terminer les sorties sans être complètement rincé. Il faudrait que je remette la paire d'enclumes qui me servait de roues afin de vérifier en sens inverse, mais je suis peu motivé à le faire, n'étant pas masochiste.
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Votre sortie du jour 2025
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Les peurs sont plus difficiles à chasser, surtout quand on a en mémoire une grosse gamelle vieille d'un mois et qui aurait pu avoir des conséquences tragiques. Prendre un poteau plutôt que le rocher juste derrière m'a peut-être sauvé. -
Votre sortie du jour 2025
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Nous avons pris le départ ce matin pour notre parcours club (90km/1120m+), sous un ciel partiellement nuageux. Le thermomètre était à 12°C sous abri ; mais, en quittant le centre pour des zones plus campagnardes, la sensation de froid s'est précisée (8°C selon Garmin, 7 selon les forces de l'ordre, 9 selon les organisateurs). Le ciel n'étant pas spécialement menaçant, nous comptions terminer le circuit avant la première averse. Quelques gouttes ont commencé à tomber en fin de sortie ; pas de quoi terminer trempés, loin de là, mais suffisamment pour mouiller l'asphalte rendu poussiéreux par près de quatre semaines sèches. L'itinéraire étant plus exigeant que celui de vendredi et l'allure malgré tout plus soutenue, j'ai dû "taper dedans" un peu plus souvent, confirmant mes meilleures aptitudes à la grimpette qu'à la poussée de gros braquets. Je poursuis mon apprentissage des déplacements en groupe, qui m'effraient toujours un peu lorsque l'allure d'un groupe compact atteint et dépasse les 40 km/h. Rester dans les roues sans les accrocher, faire le "jump" au bon moment, prendre son tour de relais sans en faire trop... c'est toute une technique difficile à maîtriser quand on s'y met tardivement. -
Je pose cette question à tous ceux qui aiment les chiffres (pas trop mon truc) et le matériel de mesure (dont je ne dispose pas) ; parce que souvent, quand on mesure la puissance de sortie de quelque chose, on doit aussi mesurer l'énergie absorbée pour produire cette puissance. Cela donne une mesure de rendement. Je ne pense pas qu'on puisse faire cela pour un cycliste, à moins de pouvoir mesurer son état de fatigue à l'issue de l'exercice.
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Quel temps chez vous ?
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans L'entrainement et la santé
12°C à 7h30 à Valréas. Nuit plus douce, donc, en raison d'une couverture nuageuse partielle. En quittant le centre ville vers 8h10 avec les potes pour la sortie club, nous sommes entrés dans des zones plus fraîches (8°C). En fin de sortie, une petite pluie a fait son apparition. Pas de quoi terminer trempés, loin de là, mais ce changement de temps après presque un mois de sécheresse rendait les routes glissantes. -
Je voudrais poser une question à ceux qui se fient aux chiffres donnés par divers capteurs... J'ai déjà lu ici qu'un capteur de puissance était plus réaliste qu'un cardiofréquencemètre, car ce dernier peut donner des informations biaisées par l'état de forme du jour (les pulsations peuvent être différentes pour une puissance produite identique). J'ai bien compris ? Je voudrais savoir s'il y a une méthode pour mesurer non pas seulement la puissance produite, mais aussi la puissance absorbée. En d'autres termes, mesurer les pertes de rendement.
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Je pense que nous parlons de choses différentes. D'un côté, il est question de développer une puissance égale sur un même parcours dans des conditions identiques avec du matériel différent à comparer ; toute dérive dans le protocole rendant le test peu significatif. De l'autre, il est question de savoir si tel matériel par rapport à tel autre permet de répéter un certain effort un plus grand nombre de fois de suite ou pas ; la variabilité de l'état de forme au départ pouvant rendre le test peu significatif.
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Que veux-tu mesurer de manière fiable, puisque tu ne crois que les chiffres ? Le temps que tu mets pour une puissance fixe sur un parcours identique en variant le matériel (des roues aéro ou non aéro, par exemple) ? Comment vas-tu t'y prendre pour comparer le matériel dans des conditions parfaitement identiques et pouvoir décréter à coup sûr que tel matériel donne ou pas un avantage sur un autre ; et s'il en donne un, le chiffrer ? Je pense que la seule manière fiable, ça doit être des essais en soufflerie. Quand on ne dispose pas d'un tel équipement, il faut établir un protocole et le respecter d'essai en essai pour sortir des chiffres fiables. Internet est plein de tests de ce genre, dont les résultats sont contestables parce que le protocole n'est généralement pas assez réaliste ou est orienté pour favoriser un objectif mercantile.
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Thierry, ton capteur et ton cardio, tu les poses sur quoi et sur qui ; et dans quelles conditions ?
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Votre sortie du jour 2025
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Belles images ! Je m'en vais boire une ADA en hommage ! 😋 -
Tour de Lombardie
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Le peloton professionnel
À moins de rouler sur terrain plat avec de longues lignes droites, la vitesse moyenne et la vitesse de pointe sont souvent assez éloignées. Ici, c'est vallonné voire montagneux ; donc, pour tenir par exemple une moyenne de 25 km/h sur une sortie de cent bornes qui comprend 15 km de grimpette à 15 km/h de moyenne, il faut bien rouler dans les descentes et les faux plats. Ce n'est donc pas la vitesse moyenne à elle seule qui doit déterminer l'intérêt ou pas de soigner l'aérodynamisme. -
Tour de Lombardie
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Le peloton professionnel
Bien sûr que si, que le matériel compte. Il y a toutes sortes de gains qui s'additionnent et permettent une économie d'énergie... qui peut être redistribuée par les guibolles. Difficile de dire comment Eddy aurait roulé avec du matos moderne. Il a dit lui-même que les améliorations importantes dont il aurait aimé disposer dans ses années de gloire, c'étaient les pédales automatiques et les changements de vitesses intégrées aux poignées de freins. -
Quel temps chez vous ?
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans L'entrainement et la santé
Une journée qui démarre comme les précédentes, dans le ciel au-dessus de Valréas. Le soleil est présent, mais les températures matinales sont fraîches (8°C à peine au lever du jour). De la pluie est annoncée pour lundi, cela fera près d'un mois qu'on n'en reçoit plus une goutte ; entretemps, le changement annoncé commence à se faire sentir. Le mistral s'est tu, le changement de direction des masses d'air se prépare...