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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Pour les crevaisons, peut-être y a-t-il aussi un problème de fond de jante ?
  2. OK merci. Donc ajouter au coût celui d'un chargeur...
  3. Ce sont les modèles où on peut mettre une 18650 ou 3xAAA ? J'ai fait quelques recherches, mais sans vraiment trouver celles auxquelles tu fais référence. Un lien, peut-être ? Merci.
  4. Exactement. Qu'il dise tout ce qu'il sait. Il n'y a pas de raison qu'il soit le seul à morfler. Et au sujet des résultats des Français, ça semble évident. Il n'y a qu'à voir les étapes du TdF. Un groupe devant avec deux Français et un Espagnol (ou un Italien, ou un autre, peu importe). Si le groupe va au bout, c'est toujours les deux Français qui sont complètement cuits à l'arrivée. 😆
  5. J'ai vu ça, ça semble intéressant même si les lumens annoncés m'ont paru fantaisistes, mais si c'est 800 au lieu de 1200 ou 1800, au prix où ils les vendent, c'est vrai que ça reste intéressant. Le côté le plus déplaisant, c'est cet aspect "usine à gaz", avec câblage et pack de batteries séparé.
  6. Merci, c'est intéressant. Et ça confirme d'une autre manière les propos de Bassons.
  7. Les déclarations du genre "oui, j'étais dopé, mais à l'époque tout le monde l'était", je trouve ça minable. Minable parce que, en général, champion ou tocard, celui qui dit ça le dit à un moment où il n'a plus rien à craindre. Minable aussi parce que c'est accuser globalement sans preuves. Minable encore parce que c'est une manière de s'absoudre de toute tricherie en laissant entendre que "tout le monde trichait et que je n'ai fait que suivre le mouvement" ; et que puisque tout le monde le faisait, ce n'était pas grave, finalement. Minable toujours parce que c'est aussi une façon très hypocrite de s'acheter bien gratuitement une conduite, style repentir tardif, en disant "moi, j'avoue, je reconnais, mais les autres ce sont des salauds de tricheurs qui ne disent rien ou continuent de nier". D'autres peuvent trouver cette attitude très bien, mais moi pas. Déclasser a posteriori (je veux dire : des années plus tard), c'est aussi ridicule. Il faudrait mettre des limites précises, me semble-t-il, en ce qui concerne les classements. Par contre, s'agissant de professionnels, des sanctions financières devraient rester applicables, même des années plus tard, dirais-je. Les coureurs et directeurs sportifs sont aussi responsables. S'ils veulent qu'on ne leur parle plus de dopage, qu'ils commencent à lutter les premiers contre ce fléau. Qu'ils refusent ces pratiques et les dénoncent dès qu'on tente de les leur imposer. Mais, comme le disait Christophe Bassons : "Si tu brises la loi du silence, tu peux considérer que tu ne gagneras jamais plus une course." Le chemin est encore long.
  8. Tu penses à Riis, Ulrich et Pantani, par exemple ?
  9. Il y a des gens qui aiment mettre des barrières entre eux, qui font des trucs très bien, et les autres qui font autre chose ou font les choses autrement et ne méritent que le mépris. Je ne sais pas s'il faut appeler ça de l'élitisme ou de l'étroitesse d'esprit, mais ça existe. Un peu comme les collègues cyclistes qui ne te disent bonjour (ou pas) qu'après avoir examiné ta dégaine et ton vélo. Le vélo couché (et les tricycles qui sont des variantes du vélo couché), le BMX, le VTT, le vélo de route... et même celui du gamin avec ses petites roues et son poids de 15 kilos, ce sont des vélos, et rouler dessus en pédalant, c'est du cyclisme.
  10. "(...) Previous statements expressing support for Lance Armstrong also raised some eyebrows, particularly when he said that he considered the Texan the rightful winner of his Tours if he passed the tests at the time. (...) " Évidemment, vu sous cet angle...Mais au foot, on est aussi ridicule dans les déclarations, avec des "main de Dieu" et autres cornichonneries que tout le monde voit et revoit des dizaines de fois et qui ne remettent pas les résultats en question, alors que c'est de la tricherie manifeste, devant des millions de témoins.C'est toujours le cyclisme qui raque, et ça aussi c'est injuste. Si on y raisonnait comme au foot, LA n'aurait pas été déchu de ses victoires au TdF.
  11. Entièrement d'accord avec cette manière simple et intuitive d'envisager les choses.
  12. Non, non, je te rassure, ce n'est pas pompeux du tout ! La lecture est très plaisante, au contraire. C'était juste une petite remarque en passant. J'aime bien vos petits compte-rendus avec les images, c'est bien. Je pourvuivrai ma lecture ce soir. Bonne continuation !
  13. Sans expertise aucune en la matière, je dirais que tu réponds un peu toi-même à la question : "plus je roule, plus je vois ce qu'il faudrait que je change. Mais cela vaut il le coup? Envisager de changer de vélo pour quelque chose de mieux, aie le budget (pas trop envisageable pour le moment)." Donne-toi le temps, comme suggéré ci-avant, et quand tu auras les moyens, fais-toi plaisir. Avec l'expérience, tu sauras mieux ce qui te convient. Tant que ton vélo fonctionne et est adapté à l'usage que tu en fais, il me semble que c'est bon. Réparer ce qui ne fonctionne pas très bien (pneus, direction ?) s'impose en premier. Je te suggère de montrer l'engin à quelqu'un qui s'y connaît bien ou à un vélociste, qui pourra te dire ce qu'il convient de faire et ce que ça peut coûter.
  14. Je découvre ce joli blog ! Lecture intéressante et très plaisante, même si les doubles narrations mériteraient peut-être d'être un peu plus concertées pour éviter les redondances. Je retournerai y lire d'autres articles.
  15. Certains ont évoqué l'aspect psychologique et, bien que n'ayant pas du tout l'impression que le vent soit psychologique, ils ont sans doute raison. Déclivité, frottements, vent... ne sont que des forces à vaincre pour avancer. Le côté désagréable du vent vient du fait qu'il dilue les sensations auxquelles on s'attend parce qu'on regarde où on va. Le terrain, le relief nous promettent des difficultés et des facilités, et le vent vient brouiller les cartes. C'est difficile à gérer.
  16. Pour attendrir une selle, rien de plus économique qu'une paire de fesses. Mais je ne prête pas les miennes, elles sont délicates. (Oui, oui, je sors...)
  17. Oui, c'est vrai qu'un vent défavorable dans un faux-plat montant, c'est un peu comme si on ajoutait du pourcentage. C'est une manière positive de voir ça quand, comme chez moi, on manque de reliefs pour simuler de longues côtes. Mais il n'empêche que ce n'est pas drôle. Et puis, partir vent de face ou de dos, encore faut-il pouvoir choisir. Tout le monde ne fait pas des aller-retour en ligne droite. Chez moi, ce serait plutôt des parcours en boucle. Donc on en bave toujours quelque part. Le plus dur, avec le vent, c'est qu'il est imprévisible dans ses effets. Ce n'est jamais la même chose d'un jour venteux à un autre jour venteux. Et ça peut changer beaucoup de choses, d'autant plus que sa direction et sa force peuvent varier en cours de sortie, alors que la côte et le faux-plat sont toujours là, difficiles mais rassurants, finalement. Le vent perturbe facilement la gestion de notre effort. Il rend la pluie cinglante, le froid mordant... On part en en gardant sous la pédale parce qu'on se doute bien que... et on finit quand même à la cravache, écœuré (provisoirement, puisqu'on remettra ça dès que possible) et meurtri.
  18. Le vent est un inépuisable trouble-fête. Contrairement au froid (on s'habille en conséquence) et à la pluie (on s'en accommode), le vent ne s'apprivoise pas. Dès les premiers tours de roue, quand on entame un parcours connu et que le vent s'invite à la fête, on devine où on va en baver, mais c'est difficile de savoir à quel point. Le vent défavorable accentue toutes les difficultés, vous obligeant parfois à pédaler hardiment dans les descentes pour ne pas vous y traîner... Près de chez moi, ce sont essentiellement des faux-plats, beaucoup en rase campagne. Le vent peut y être usant, démoralisant et même très dangereux (s'il vient de gauche et qu'un camion vous dépasse, l'écran qu'il fait soudain en s'interposant vous attire vers lui). J'aime pas le vent.
  19. Je viens de regarder cette vidéo... C'est fou quand même de les voir sans casque sur ces routes et dans ces conditions !
  20. Citation : "Ca, c'est une ânerie, puisque même en signant ce papier, il est bien indiqué en bas qu'en cas de séquelles apparaissant plus tard, on peut se retourner contre l'assurance. Car si tu ne signe pas le papier, tu ne touches jamais d'argent de la part de l'assurance adverse concernant le pretium doloris." Il y aura toujours sur les forums des gens incapables de rester courtois lorsqu'ils expriment un avis différent de celui d'un autre. Il suffisait de lire ce que j'ai écrit et non d'en tirer n'importe quoi. J'ai bien écrit : "Et, après tout ça, surtout ne jamais signer de papier présenté par la compagnie d'assurance et où tu déclares "je n'ai plus de séquelles". Même plusieurs années plus tard et même si tu ne ressens plus rien." Cas vécu par moi-même et par plusieurs de mes proches : après nous avoir indemnisés, les assureurs nous envoient des lettres apparemment anodines où ils s'inquiètent de notre état de santé, de savoir si nous sommes bien rétablis et ne subissons plus de séquelles de notre accident, s'ils peuvent "clôturer le dossier", etc. Peut-être bien que quand on a signé "c'est fini", on peut quand même faire encore appel à l'assurance, mais ce sera certainement beaucoup plus compliqué que si on avait affirmé n'être pas encore complètement rétabli. Et, d'un autre côté, je ne vois vraiment pas pourquoi il faudrait, pour être indemnisé, signer un papier où on déclare déjà ne plus subir de séquelles. Manquerait plus que ça !
  21. Tu aimerais passer au compact, mais pourquoi ? Le 39/52 est trop "gros" pour ton usage ?
  22. Et, après tout ça, surtout ne jamais signer de papier présenté par la compagnie d'assurance et où tu déclares "je n'ai plus de séquelles". Même plusieurs années plus tard et même si tu ne ressens plus rien.
  23. Tout faux ! Les vingt-deux mecs et les six nanas sont des passants et des gens issus des premiers véhicules. Les autres sont toujours dans les bagnoles, à grogner en se demandant pourquoi la file n'avance plus ! 😆 Allez, une drôle : regarder vers 0:55... http://www.youtube.com/watch?v=wZPrggWvofo
  24. Et là, derrière, un bouchon de 45 bagnoles, avec vingt-deux mecs et six nanas qui regardent sans intervenir les deux protagonistes se mettre sur la g... Triste époque sans respect d'autrui ni solidarité.
  25. En réalité, nous n’avons besoin ni de doubles, ni de triples. Nous avons juste besoin, en fonction de notre pratique, d’un certain nombre de braquets. Avec un peu d’habitude, nous pouvons les définir et envisager diverses combinaisons. Calculer les braquets et leurs équivalences, ce n’est pas compliqué. L’idéal est d’avoir ceux dont on a besoin sans s’encombrer d’autres qui ne serviront pas ou feront double emploi, mais à moins de recourir à une transmission du type Rohlof (qui a d’autres inconvénients), c’est rarement possible. Nos transmissions seront donc des compromis, faute de pouvoir disposer du système idéal. À partir de là, ceux qui « ne comprennent pas comment on peut choisir ceci alors que cela est tellement mieux » oublient qu’un triple, ce n’est pas nécessairement un double 39/52 auquel on ajoute un plateau de 30 ; et un compact, ce n’est pas obligatoirement un 34/50. D'ailleurs, l’affirmation très courante selon laquelle « avec un triple, on passe partout » n’a pas de réel fondement, parce que (sauf impondérable) nous ne passerons partout que si nous disposons des braquets qui nous conviennent et de l’énergie pour les emmener. On peut donc acheter un vélo équipé d’un triple 30/39/52 avec cassette 12-25 en pensant passer partout… et caler quand même dans un col si le 30x25 est encore trop long pour nos guibolles ! Pour éviter ça, on peut bien sûr faire installer une cassette 12-30. Avec le 30x30, on peut passer le col, mais la cassette moins resserrée fait déplorer les « trous » lors des changements de braquets. On réalise alors que, tout compte fait, ce n’était pas la cassette qui posait problème, mais les plateaux. Avec de l’imagination, on aurait pu demander un pédalier 24/36/48 avec une cassette 11-26. Ou se contenter d’un double 24/38 avec la même cassette parce qu'on ne fait pas la course et qu’on profite des descentes pour récupérer au lieu d’essayer de pousser le 48x11. S'il y avait une solution idéale, elle s'imposerait. Mais il n’y a pas de solution universelle parce que tout le monde n’a pas les mêmes aptitudes physiques, le même âge et les mêmes envies ; et que ce qui convient aux uns sera inadapté aux autres.
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