Nicolas JOARY

Les adversaires vont vraiment finir par s'en méfier, de cette équipe ! 😆

Seulement si "ça passe" au cadre et à la fourche du vélo.

Est-ce qu'on ne peut pas s'entraîner à mieux supporter la chaleur ? Je songe à Tim Wellens, par exemple, qui n'a pas l'air d'aimer ça et qui "marche" mieux dans le climat "à la flamande". Merckx faisait parfois du rouleau dans un sauna...

On raconte des choses sur les casses de cadres et fourches en carbone. Apparemment (c'est peut-être pas le mot qu'il faut), une faiblesse due à un choc, une chute, un serrage trop optimiste... n'est pas toujours visible et, quand on la voit, c'est déjà trop tard. Mon vélo est en alu, mais en le nettoyant, j'accorde souvent à sa fourche carbone de longs regards soupçonneux.😃

Quelque part, les fabricants de pneus font ch* avec leurs dénominations ambigües. Quand ils en ont une qui a fait leur renommée, ils "capitalisent" dessus en mettant le nom à toutes les sauces. "Grand Prix" et "Grand Prix 4000" chez Continental ; "Marathon" chez Schwalbe ; "Rubino" chez Vittoria... (liste non exhaustive). Pour quelqu'un qui ne connaît pas et cherche des infos, ça peut être source de confusion. Surtout qu'en dehors de la marque et du nom, ces multiples cousins ont souvent peu de choses en commun !

"course des femmes grand prix de plouey avez vous vu cette concurrente qui donne des coups de pied dans son dérailleur pour faire passer ses vitesses .je pense que le système à cable est plus fiable que l'electrique. le progrès d'accord mais pas sans la fiabilité" N'a-t-on pas vu ça au récent TdF ? Bardet à l'offensive et donnant des coups de pompe dans son dérailleur... L'électronique/électrique a cette particularité, par rapport à la mécanique pure, de lâcher d'un seul coup sans en avoir donné le moindre signe avant-coureur. Souvent pour des problèmes de contacts foireux ou de batteries qui n'en veulent plus. Je n'aime pas les batteries Li-ion. C'est puissant, compact et léger ; mais capricieux. J'en ai eu qui ont rendu l'âme d'un seul coup. En plus, comme ce n'est pas standardisé, chaque marque (voire modèle) a besoin de son chargeur dédié. J'en ai un tiroir plein. Comme ils sont tous fabriqués en Asie, j'ai collé des étiquettes dessus pour repérer les accus ou appareils qu'ils sont supposés charger.

Tu as raison, Sylvain, il y a d'autres sites ; mais, n'ayant jamais traité avec eux, j'ignore s'ils sont fiables (et j'ignore aussi si le 4xl qu'ils propose est en stock). Rose, je connais, c'est très sérieux, leur catalogue est Kolossal et leur stock également. Une rapide requête sur leur site m'a indiqué que des tenues dans les tailles pour les costauds sont disponibles.

http://www.velo101.com/forum/voirsujet/boucher-les-trous-pneus-ou-boyaux--8538/

Comme le suggère Romain : chez Rose. J'y ai vu jusque du 6XL.

L'hydraulique, c'est pas de batteries, pas de contacts, traditionnels points sensibles des systèmes électriques. L'hydraulique, ce sont des joints, des tuyaux et du liquide... avec leurs faiblesses.

Moi, j'ai un peu l'impression que tous les pneus sont glissants sur route mouillée. Certains un petit peu plus, d'autres un petit peu moins, je te l'accorde volontiers, mais rien qu'en voyant le nombre de pros qui se viandent quand il pleut - et qui ont pourtant de bons pneus ! -, je me dis que ce qui garantit le billet de parterre, c'est davantage un excès d'optimisme ou une manœuvre douteuse du cycliste, et parfois une portion de route vraiment trop glissante (typique sur les marquages ou lors d'une "première pluie" sur une route poussiéreuse ou tachée par des hydrocarbures). Sur route mouillée, la prudence est quand même de mise.

Quand on voit la vitesse, la précision et la fiabilité des systèmes mécaniques actuels, les systèmes électriques ou hydrauliques n'apportent pas grand chose de plus. Ce sont les guibolles qui font la vraie différence, non ?

Bravo pour ce projet, que je ne peux qu'encourager ! Tu verras, c'est vite une addiction... Pour le niveau de sécurité offert par l'abri à vélo que tu mentionnes, je ne sais pas. Dans le doute, même pour un VTT pas trop cher, il vaut mieux un solide cadenas à clé, de préférence un modèle rigide en "U". C'est lourd, mais si tu peux le laisser verrouillé sur place quand tu t'en vas, ça peut le faire.

Monter des escaliers, c'est un petit peu comme pédaler, parce que les muscles des jambes sont sollicités à peu près de la même façon. Descendre, c'est très différent. Après s'être fatigué sur un vélo, pour descendre des marches on a les jambes raides, on dirait que le genoux ne veulent pas plier... ce n'est pas fluide.µ Je ne connais pas ton niveau d'entraînement, mais si c'est "après l'effort", ça me semble normal. Cinquante bornes sur le plat, ça peut sembler peu, mais ça dépend des conditions météo, de la vitesse qu'on s'efforce de maintenir et de la condition physique dont on dispose.

Pour SM et LA j'ai bien l'une ou l'autre idée, mais à mon avis c'est pas ça.😆

Le WD40 n'est pas un lubrifiant. C'est un nettoyant/dégrippant qui laisse, après séchage, un très léger film huileux sur la chaîne. C'est bon pour une petite sortie, guère plus. Après ça, il faut en remettre. Par contre, pour nettoyer une chaîne sans la démonter, c'est rapide et efficace : un chiffon pour faire tourner la chaîne à la main en y pulvérisant du WD40, et l'affaire est faite.

Et le piéton qui court, alors ? S'il renverse un cycliste qui roule à 6 km/h ?

Je répondrais que ça me semble intéressant parce que ça déplace le supplément de poids vers le pédalier, d'une part ; et que ça permet d'utiliser une roue "normale" à l'arrière, d'autre part. Cela mis à part, les avantages et inconvénients sont du même ordre que pour le Rohloff. En dépit du scepticisme que ces systèmes soulèvent, je suis persuadé qu'on peut, en y mettant les moyens et la volonté, alléger le système et améliorer son fonctionnement.

J'ai déjà lu ces "règles", auxquelles je multiplie personnellement les entorses. Mais j'avoue que c'est rigolo.

C'est clair. Autrement dit, dans un piétonnier, il vaudrait mieux marcher en poussant son vélo. Et effectivement, des vélos qui roulent vite dans une rue avec des piétons circulant en tous sens, c'est slalom dangereux garanti ! Voilà pourquoi - entre autres choses - je préfère de loin les semi-piétonniers, qui laissent à presque tous les usagers une place appropriée pour circuler.

Indépendamment des autorisations à les conduire, je trouve ces engins extrêmement dangereux. En eux mêmes et pour les autres usagers qui doivent éviter ces chicanes mobiles. Comme si les convois agricoles ne suffisaient pas ! Et encore : les tracteurs agricoles sont munis d'un gyrophare jaune/orange, pour des raisons de sécurité.

Merci pour l'info ! Je suis allé voir ça : c'est effectivement un tout autre vélo que le Secteur. Affaire de goût, mais ce Diverge, bof bof bof.

Je n'aime pas les rues piétonnières dans les grandes villes : le soir après la fermeture des magasins, ça me fait toujours l'effet de coupe-gorges. Il n'y a que dans les quartiers très touristiques, avec beaucoup de restaurants, de terrasses... et du beau temps quasi tout l'année, que ça reste supportable. En Belgique, je préfère le semi-piétonnier. On n'en arrive pas à de telles débilités en matière de limitation de vitesse de vélos (plus aucun intérêt à prendre son vélo, si c'est pour aller plus vite à pied).

Bravo pour la performance, merci pour le récit ! Sympa, le petit échange avec l'autre cycliste. Comme quoi un petit mot, un petit geste d'encouragement peuvent transformer une petite rivalité de circonstance en une rafraîchissante complicité.

Vous savez ce que je trouve navrant, dans cette cohabitation ? C'est quand un automobiliste me frôle dangereusement en me dépassant, moi cycliste, et que derrière sa bagnole, il y a le vélo sur le porte-vélo. 🙁