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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. J'ai souvent apprécié ses récits. Toutes mes condoléances à sa famille et à ses proches.
  2. Bonsoir et bienvenue sur le forum ! J'ai 58 ans et encore quelques années à bosser. Le temps, on en trouve toujours, c'est une question de motivation et d'organisation. Pour moi, un jour, c'est 3x8h : 8h boulot, 8h dodo et 8h pour le reste. Davantage d'heures "pour le reste" les week-ends, vacances et jours fériés ; donc il y a toujours bien du temps à trouver pour aller pédaler. Quand on peut "vélotafer" de temps à autre (ou toute l'année), ça permet d'ajouter du temps "utile" : j'aime toujours mieux 1h sur le vélo que 30 minutes au volant. Bon vélo !
  3. Ils sont bien, les Panaracer ?
  4. Il faut essayer (en peaufinant bien les réglages) et si ça ne va pas, tenter de comprendre ce qui ne va pas (où ça fait mal, s'il faudrait plus large, plus fin, plus plat, plus creux, etc.). Dans la pratique, même avis que Michel Serres : trouver un vélociste qui en prête (Fizik a effectivement un programme de prêt) et acheter chez lui celle qui convient. On peut aussi acheter sur la Toile et revendre sur les sites de seconde main. On peut même aussi acheter sur les sites de seconde main : il y a plein de selles presque neuves qui n'ont pas convenu à d'autres et qui, après essai, pourraient convenir à ton postérieur.
  5. Toujours de belles images et une moisson de souvenirs. Merci ! Quand j'étais ado, Pino Cerami avait sa boutique de vélos à Couillet (sud de Charleroi). Mon père m'avait offert chez lui un "demi-course" d'entrée de gamme. Un des modèles assemblés dans l'atelier de Pino, sous sa propre marque. C'était un 10 vitesses (2x5) et, si ma mémoire est bonne, ce devait être du Huret. Je me souviens bien de l'accueil de Pino Cerami dans son magasin. Il était très simple, sympathique, chaleureux et de bon conseil.
  6. Il était le Champion du Monde, il le reste incontestablement. Qui, plus que lui, l'aurait mérité ?
  7. Le vélotaf, ça permet de transformer du temps habituellement "perdu" (en voiture ou tec) en temps "utile". Pour ma part, c'est échanger, à chaque fois que possible, 2x35min de bagnole contre 2x75min de vélo. En outre, mon employeur m'indemnise à 0,15€/km, ni plafonné ni imposable (en Belgique). Tout profit, donc. Cette année, malheureusement, de très gros ennuis de santé sont venus ternir le tableau. J'ai peu roulé, et le peu que j'ai roulé, c'était vraiment pas vite.
  8. Le mulet, c'est moi. Surtout parfois en vélotaf.
  9. Sans conteste, la selle (SMP) qui convient à ma pratique et à mon postérieur.
  10. Plutôt que de jouer les Dr Frankenstein de la cassette, on peut mettre un grand plateau plus modeste qu'un 50 dents.
  11. Nicolas JOARY

    Disques imposés

    Avec les JO, l'athlétisme est roi en ce moment. Ces marques jouent à fond le lancement du disque. De toute façon, les patins, c'est aux JO d'hiver.
  12. Elle s'est bien préparée. C'est comme ça qu'on fait.
  13. Nicolas JOARY

    JO 2016

    Un beau podium, pas surprenant.
  14. Nicolas JOARY

    JO 2016

    C'est simple : on est battu parce que l'adversaire est meilleur. Celui qui gagne, s'il n'a pas triché, est inévitablement le meilleur : il connaît ses limites et celles du terrain, prend les risques qu'il faut quand il faut, profite des circonstances de course, sait qui il doit surveiller, sent bien dans quelle roue il doit bondir en cas d'attaque, reste sur son vélo quand d'autres chutent, etc. Tenter d'amoindrir la performance de Van Avermaet, c'est de la mauvaise foi. Si les autres étaient meilleurs, ils n'avaient qu'à franchir la ligne d'arrivée avant lui.
  15. Ha, ha ! Voilà qui me fait songer à une bande de gugusses qui participaient aux cortèges dans les fêtes villageoises, montés sur des vélos rigolos. Il y avait un biclou articulé au milieu... Je sais pas comment le mec arrivait à rouler avec ça (en crabe, assez souvent), mais il le faisait !
  16. Que de cyclistes heureux, là-haut ! Ça fait toujours plaisir à voir !
  17. Nicolas JOARY

    JO 2016

    Quelle saison, Greg ! Bravo !
  18. J'avais déjà remarqué une différence et je m'étais déjà posé la question. Moi, c'est plutôt pour tourner à gauche que je suis moins franc. J'avais trouvé ça logique, parce qu'en roulant près du bord droit de la route, le revêtement est souvent en dévers (surtout dans les ronds-points), donc la gîte relative est plus prononcée en tournant à gauche qu'en tournant à droite. En tout cas, c'est ce que je ressens : je glisserais plus facilement vers le bas-côté (virage à gauche) que vers le centre de la bande de roulement (virage à droite). Franck doit avoir donné la bonne raison : on n'est pas symétriques... Bon, désolé, c'est pas drôle comme réponse, mais j'ai fait ce que j'ai pu.
  19. Pas de problème avec mon VDO MC2 (fonctions de base et altimètre, comme tu cherches) ; mais c'est un ancien modèle filaire et, AMA, les compteurs filaires sont plus fiables et plus économes en piles.
  20. Bon courage et bonne route !
  21. Question de position et d'appui, comme expliqué ci-dessus. Certainement pas de canal carpien. Le syndrome du canal carpien, c'est autre chose et, surtout, ça n'attend pas qu'on soit sur le vélo pour se manifester.
  22. "Pendant toute sa carrière, il a gagné une course sur trois auxquelles il a participé." Voilà une donnée qui fait fi des époques ! Merci d'avoir rappelé ce chiffre.
  23. Il faudrait préciser ton objectif : simplement arriver en haut sans trop en ch* ou "faire un temps" ? De toute façon, éviter les heures les plus chaudes (partir de bon matin, c'est mieux : plus frais, moins de trafic) et les jours de grand vent (parce que c'est dangereux).
  24. Excellent !
  25. Eddy avait une bonne équipe, comme l'explique Claude, juste ici. Par contre, non, pas du tout à la manière de Froome. En haute montagne, Merckx n'était jamais entouré comme Froome dans les grands cols et certainement pas dans la dernière grimpette : la plupart du temps, il était seul. Seul devant comme en 69 et 70 ; seul à essayer de limiter les dégâts dans ses TdF suivants. À l'époque, si un de ses équipiers avait été en mesure de remporter un grand tour, il serait parti dans une autre équipe. Les cyclistes ne gagnaient pas lourd, sauf les grands leaders qui s'en sortaient bien. Claude fait une comparaison intéressante, parce qu'il est très difficile de comparer les époques. Pour en revenir à Sagan lui-même, je suis admiratif. Quel talent, quel panache ! Une évidence, c'est que si tous ses meilleurs adversaires jouaient les premiers rôles aussi souvent que lui (autrement dit, étaient aussi généreux que lui dans l'effort tout au long de la saison), Sagan remporterait plus de courses. Sagan, il a la soif de gagner, la rage de vaincre, du panache. Cette comparaison-là, on peut la faire avec Merckx sans hésiter. La plupart des meilleurs aujourd'hui, ils ont surtout la soif de fric. C'est financièrement plus intéressant de rouler pour ne pas perdre un accessit que pour tenter de gagner une épreuve. Financièrement plus intéressant de mettre ses ambitions sportives sous l'éteignoir et de rester, bien payé, au service d'un champion. C'est ça qui a changé. Et c'est ce qui fait que Sagan suscite l'admiration : des coureurs comme lui, c'est devenu rare.
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