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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. OK. Je ne le vois pas sur l'appli smartphone, mais cela apparaît sur la version PC. Pour aujourd'hui, de 41 km/525d+, l'activation de la correction a fait passer la D+ à 560. Mais difficile de savoir si c'est plus correct ou pas. Garmin étant plutôt à la pointe en la matière, je présume que la correction a un sens. Pour le savoir, je présume qu'il faudrait faire plusieurs fois un parcours strictement identique, en conditions variées, et voir ce qu'en disent les deux versions : avec et sans correction. En principe, avec la correction, on devrait toujours obtenir le même nombre.
  2. Jamais lu ni entendu ! Faudrait l'ajouter à la liste avec Trécon, Montcuq, etc. 😄
  3. Où cette option se trouve-t-elle dans Garmin Connect ?
  4. Faut s'habituer à regarder les paysages plutôt que l'asphalte et à prendre de belles photos sans s'arrêter. 😂
  5. Exactement. Il n'y a pas que la baisse des performances dues à l'âge, il peut aussi exister des soucis de santé qui obligent à prendre certaines précautions. Pour moi, c'est éviter de rester longtemps en zone d'effort soutenu. Si je ne respecte pas ce principe, je le paie avec de l'arythmie cardiaque au repos. Cela peut être frustrant, je l'avoue. Grimper à 10km/h en "respiration nasale", alors que mes jambes me permettraient d'aller plus vite à condition d'accepter de respirer aussi par la bouche, cela demande de la patience. Je dois choisir un compromis qui n'emballe pas la pompe et me permet de respirer à l'aise. En gros, ça fait 120 BPM. Pas difficile de comprendre pourquoi je ne suis pas gras... 😉
  6. Je suis à présent retraité, mais lors de mes années vélotaf, j'évitais de prendre le vélo par trop mauvais temps. C'était 60 bornes a-r avec 500d+ ; et j'en avais en moyenne pour 2x80 minutes. Et pas de douche au bureau ! Donc j'évitais soigneusement les certitudes d'arrivé trempé au boulot. Au retour, par contre, je m'en fichais. Donc, le matin à 6h, c'était surtout le froid qu'il fallait combattre. Au retour, en cas de drache, veste de pluie et cuissard court, collant lycra de running par-dessus le cuissard si temps froid. Couvre-chaussures toujours à disposition dans le sac (top-case sur p-b Topeak ou sacoche roll-top Ortlieb). Quand il pleut, à moins de se mettre assez rapidement à l'abri (je l'ai parfois fait dans un abribus), on est mouillé. Si ce n'est pas par la pluie, c'est par la condensation ou la transpiration. Il faut éviter de prendre froid. Mon problème, par temps froid ou sous la pluie, c'est les mains. Elles dégustent en premier.
  7. Je souscris aux commentaires de Franck et Thierry. L'obstacle, quand on vieillit et que le physique n'y est plus, c'est d'accepter de rouler moins vite. On met des petits braquets et la moyenne baisse, mais on arrive en haut sans mettre pied à terre. Pour moi, l'intérêt principal de l'assistance électrique, c'est de mettre sur un vélo des gens qui ne pourraient pas ou plus pratiquer le cyclisme. Prendre un VAE pour aller plus vite et se donner l'illusion de n'avoir pas vieilli, ce n'est pas mon truc. Je comprends ces arguments (rouler encore avec des potes plus jeunes, etc.), mais sans les faire miens.
  8. Attention que les explications Garmin relatives aux montres ne s'appliquent sans doute pas aux cyclocomputers.
  9. Tiré de la littérature Garmin (Edge Explore 2) : "Votre appareil a été étalonné en usine et s'étalonne automatiquement par défaut par rapport à votre point de départ GPS. Vous pouvez étalonner manuellement l'altimètre barométrique si vous connaissez l'altitude correcte." Comme l'indique dAuvare, l'altimètre barométrique est calibré à partir de la position GPS au départ. L'appareil annonce d'ailleurs : "altitude étalonnée à cette position" lors du démarrage (pour autant que l'option de calibrage automatique n'ait pas été désactivée, bien sûr). J'ignore par contre si en chemin de quelconques recalibrages s'effectuent ou s'il existe un algorithme qui tient compte des données GPS et barométriques pour calculer les dénivelées. Sur un itinéraire en boucle, D+ est rarement égal à D-, bien que la différence soit toujours très faible.
  10. J'apprends encore des choses, sur le coup ! Je mourrai peut-être moins c*n, finalement ! Jusqu'à présent, je croyais que pour les dents jaunes, il fallait suivre le conseil de Coluche : porter des cravates marron. Je me trompais !
  11. Ma sortie du jour, c'était à pied le tour du pâté de maisons. J'ai bien senti qu'il y avait trop de vent (et en rafales) pour prendre du plaisir sur un vélo, donc j'ai fait le tour d'un second pâté de maisons. Comprenant de la sorte que même la balade pédestre n'avait rien de rigolo, je suis rentré chez moi et j'ai bu un café.
  12. À condition de lire l'anglais, on peut trouver sur la Toile quelques avis d'utilisateurs. Et quelques vidéos.
  13. C'est drôle. Sans les noms de lieux, on croirait que tu roules en Wallonie 😂 !
  14. Rien qu'à la regarder, j'ai déjà mal au Q. Comme quoi un postérieur n'est pas l'autre. 😂
  15. Écaussinnes, ça me remémore une sortie en juillet dernier. Alors que je suis en train de me préparer, ma femme me demande du quel côté j'ai l'intention d'aller rouler. - Heu... Je ne sais pas encore ! Tu sais, moi, c'est au feeling, la plupart du temps. - T'irais pas à Écaussinnes ? - Pourquoi, à Écaussinnes ? - Chercher le sac rouge que j'avais vu en vitrine. Comme quoi les femmes peuvent être parfois tête en l'air mais avoir bonne mémoire à d'autres moments. - S'il est encore là ! Nous étions passés par là, le sac lui plaisait, mais la boutique était fermée. - Je vais téléphoner... Voilà comment j'ai fait 75km aller-retour pour acheter un sac, que j'ai ramené sanglé sur un Topeak d-beam rack, petit porte-bagages qui se fixe à la tige de selle...
  16. Temps couvert ce matin, je suis parti vers 10 heures, ensuite de belles éclaircies et j'ai eu chaud avec mon maillot manches longues (la tirette a bien servi). Parcours ci-dessous, très agréable et déjà suivi précédemment en grande partie. Quelques belles côtes et une très jolie et agréable partie très roulante en faux plat descendant dans la vallée de la Molignée (nombreux motards, c'est dimanche). Passage près de l'abbaye de Maredret, image tout au début de la belle descente qui suit : Ensuite longue remontée vers Salet (centre du village). Passage près de Bioul puis longue descente sur la N932 vers Annevoie (et ses jardins aquatiques), où j'ai pédalé jusqu'à 55km/h avec mon 42:11 (pneus de 28), et atteint 61km/h le menton au guidon, les dents et les genoux serrés. Le parcours remonte encore très bien ensuite par Arbre et Besinne ; passage par Bambois où le ciel s'ennuageait déjà. Retour par Fosses-la-Ville et Tamines. Mes cuisses ont chauffé vers la fin, mais pas de crampes bien que je sois fatigué. Une bonne préparation pour mon stage à Riccione... 🙂
  17. Juste une place à gagner... 😂
  18. Le car qui va m'emmener là-bas part de Barchon (Liège), embarque ensuite près de chez moi à Fleurus, puis aussi à Spy et à Habay. Une halte est prévue en France, au Haut-Koenigsbourg, si des gens ont réservé pour embarquer là. Ensuite, c'est direct vers l'Italie. Ce n'est pas très compliqué d'y aller par ses propres moyens, en réservant directement auprès de l'hôtel. Les stages avec guides se font au printemps et en automne. En été, c'est plutôt pour les touristes, bien qu'il y ait toujours possibilité de louer un vélo et de suivre certains parcours proposés par l'hôtel (suivant trace GPX, je présume).
  19. Ce qui m'incite à la prudence, c'est la répétition des journées d'effort. Je n'en ai pas l'habitude. La récupération sera cruciale. Mon niveau sur une sortie est probablement celui du groupe 2, mais quant à remettre ça le lendemain dans le même groupe, c'est une autre paire de... guibolles ! Mais ce qui est sympa, c'est qu'on n'est pas lié à un groupe. On peut en changer en cours de séjour suivant la forme et les envies. Je vous raconterai en détail !
  20. Evenepoel a connu un très mauvais jour. Cela arrive à tout le monde, dans la vie professionnelle, ce genre de journée où, de manière quasi inexplicable, rien ne va et on n'en touche pas une, comme on dit. Chez un champion de sa trempe on dit que ça ne devrait pas arriver, mais ça arrive, oui. Cela le rend plus humain, je trouve. D'autres que lui ont parfois un jour "sans", ce n'est pas si rare. Le problème, c'est que ça peut arriver un jour où, justement, il vaudrait mieux pas parce que l'étape est très difficile et le risque de prendre une branlée est très élevé. Si le mauvais jour de Roglic arrive le jour d'une étape pas trop casse-pattes, par exemple, ça peut presque passer inaperçu parce que son équipe est assez forte pour contrôler. L'équipe de Remco n'a pas ce niveau, la défaillance s'est payée cash sur un parcours compliqué. On peut discuter sur l'option qu'il a prise de "laisser filer" et prendre 27 minutes plutôt que de s'arracher pour limiter la perte à 8 ou 10, et Merckx n'aurait pas fait ça, mais c'était effectivement une autre époque. En laissant filer, Remco s'est mis hors course pour le CG, ce qui lui a permis de recevoir des "bons de sortie" dans les étapes suivantes. Il n'était pas seul à vouloir se distinguer de la sorte, mais il l'a fait de main de maître. Pour lui, remporter des étapes et terminer avec un maillot distinctif est certainement plus important que de viser un "top 10". On se souviendra davantage de sa défaillance et de ses sursauts d'orgueil que d'un classement honorable au général. D'autres ont fait pareil avant lui. Uijtdebroeks avait annoncé au départ qu'il roulerait pour un bon classement, si possible dans les dix premiers, sans essayer de se glisser dans une échappée pour viser une victoire d'étape. Il le fait de brillante manière, c'est important pour lui, pour son début de carrière chez les pros. Evenepoel avait des objectifs différents pour sa saison : il en a atteint plusieurs, tout en se loupant au Giro pour cause de maladie. La Vuelta ne figurait pas à son programme, il s'est loupé aussi pour d'autres raisons, mais ça ne l'a pas empêché de briller d'une manière qu'on n'attendait pas. Peut-être ne gagnera-t-il jamais un grand Tour (la Vuelta qu'il a gagnée n'était pas un grand Tour, paraît-il, car il n'avait pas d'adversaires), mais son palmarès est déjà impressionnant sans ça !
  21. Voici le lien vers la page des programmes hebdomadaires . En encodant les dates (du samedi au samedi), on obtient le programme et les parcours. J'arrive le 30/09 pour une semaine.
  22. Super ! Merci beaucoup pour ces renseignements. En principe, je m'en tiendrai aux parcours guidés, pour une première fois, c'est plus prudent. Avec l'habitude acquise au fil des séjours, je comprends qu'on ait envie de se concocter ses propres trajets. Le programme des tours guidés est déjà copieux, en kilométrage et d+, avec des groupes de différents niveaux. (Edit : Je pars avec mon vélo. Le car tracte une remorque dédiée, vélos emballés dans une caisse carton comme en reçoivent les vélocistes.) Je ferai gaffe à mes roues, mais en tant que cycliste Belge francophone, j'ai l'habitude des routes en piteux état ! Si c'est pire que chez nous, c'est grave ! 😂
  23. Il faut reconnaître que quand une équipe domine au point que les principaux "rivaux" du porteur du maillot de leader du CG sont ses propres équipiers, cela peut susciter toutes sortes de questionnements et d'agacements, voire d'animosité. Il convient toutefois de rappeler que la Jumbo aligne sur cette Vuelta une équipe très compétitive, Vingegaard et Roglic étant les deux meilleurs coureurs de Tour présents au départ, les autres favoris étant soit encore très jeunes et moins expérimentés, soit nettement moins bien entourés, quand ce n'est pas les deux en même temps ! Ajoutons à cela la présence de Kuss dans l'équipe, un excellent grimpeur qui a déjà montré tout son talent sur d'autres grands Tours et qui mériterait certainement une place de leader servi par "Sepp" coéquipiers, et en prime quelques autres très bons rouleurs qui font le job quand il s'agit de mener un peloton ou d'assurer un bon rythme ; on comprend déjà qu'avec de tels atouts, la Jumbo soit au-dessus du lot.
  24. Peu de kilomètres pour moi aujourd'hui, mais l'agenda était serré. 36 km le matin, avec 439d+ en répétant plusieurs côtes entre Roux (canal Charleroi-Bruxelles) et les hauteurs de Jumet. 2x8km l'après-midi avec l'entraînement de ping-pong au milieu. Du jardinage en début de soirée. La retraite remplit aussi le calendrier, mais avec davantage de choses plaisantes.
  25. C'était un arrangement de façade, avec coups de couteau dans le dos et grosses rancœurs dans la foulée. Effectivement, sur le moment on essayait de sauver les apparences... Je pressens que c'est comme ça que ça se passe actuellement chez JV.
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