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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Je supporte moi aussi bien mal le froid, surtout les mains. Je suis Belge d'origine, tout comme mes parents et grands-parents, peau claire, cheveux blond de plus en plus cendré. Je supporte beaucoup mieux la chaleur, à condition de me protéger du rayonnement solaire direct ; question de peau !
  2. Rrrraaaaaah ! Y'a des veinards !
  3. Je partage ton avis. Je ne comprends pas (mais je l'admets volontiers) que l'on puisse passer au VAE pour aller plus vite. Pour moi, l'intérêt du VAE, c'est de pouvoir encore rouler à vélo alors que sans assistance je ne le pourrais plus. Mais je n'en suis pas encore là. Autre débat qui nous éloigne de la question de Gérard...
  4. 1°C à 7 heures ; seulement un de plus ce midi. Pas la moindre envie de sortir pédaler... ☹️
  5. Nous sommes un peu spéciaux... Ma femme, qui n'est jamais aussi pragmatique que lorsqu'il s'agit de délier les cordons de la bourse et qui peine déjà à comprendre comment on peut acheter une bicyclette dont l'étiquette de prix affiche quatre chiffres avant la virgule, aurait encore davantage de peine à admettre qu'on puisse envisager d'investir à moitié autant là-dedans que dans l'acquisition d'une petite bagnole. Les vélos coûtent quand même horriblement cher ! Bonne chance pour ton argumentation ! 😉
  6. Nicolas JOARY

    plateau VTT

    C'est probablement un Deore, 4 branches asymétriques. Pas compliqué, en principe. La chaîne ne monte pas bien ? Il est fichu ? De prime abord, on ne dirait pas, mais la photo n'est pas terrible. Tu devrais en poster d'autres.
  7. Nicolas JOARY

    plateau VTT

    Tu choisis "répondre". En bas de la fenêtre où tu écris ton texte, tu trouves une case à côté d'une attache-trombone : "cliquer pour choisir les fichiers". Tu choisis la photo (tu peux en mettre plusieurs, dans le cas de ta question, prends plusieurs photos, sous divers angles). Quand elle est chargée, elle apparaît en dessous, en miniature. Tu choisis "insérer" pour chacune des images. C'est inclus dans ta réponse. Plus qu'à envoyer... En même temps, tu devrais indiquer pourquoi tu veux changer de pédalier. Il est fichu ? Le ou les plateaux sont morts ? Ca grince et ne tourne pas bien ? Tout va bien mais tu veux autre chose parce que... Etc.
  8. Nicolas JOARY

    plateau VTT

    Bonjour. Pour que quelqu'un puisse te répondre, il faut des renseignements plus précis : Quel pédalier as-tu actuellement ? Quelques photos sont souvent explicites également.
  9. Finalement, pas de verglas autour de Fleurus, malgré un sol encore partiellement gelé, un brouillard humide et une température qui reste calée à zéro degré. Franck parle de trottoirs verglacés (discussion météo) en Brabant. Je suis passé du côté de Marbais, et c'est vrai qu'il y faisait très nettement plus humide qu'à Fleurus. Ceci expliquant sans doute cela. 40km, à allure de mou de la cuisse, mais difficile de "taper dedans" par cette température, avec le Buff remonté sur la bouche et la tendance "goutte au nez" ! L'important, c'est avant tout de faire un peu d'exercice en attendant de meilleures conditions pour la pratique cycliste sur route ! Bon vélo aux téméraires !
  10. Au N-E, pas l'air d'y avoir du verglas. Je vais sortir le vélo pour m'en assurer...
  11. Je n'aime pas la neige, mais il faut reconnaître qu'elle crée plus facilement une ambiance de Noël. En Belgique, en ce moment, l'ambiance, c'est pas un cadeau.
  12. Ils sont fous, ces cyclistes !
  13. Pierre, ça évoque déjà un peu son menhir.
  14. * sans manger
  15. Le thermomètre extérieur, chez moi, c'est la sonde du chauffage central. Elle est au N-NE à l'abri d'une gouttière, et ne reçoit qu'un tout petit peu de soleil le matin en plein été uniquement, quand le chauffage est à l'arrêt. -7°C ce matin à sept heures trente. Hier c'était -8. Bref, sakaï, comme on dit en japonais.
  16. Faute de triple, j'ai remplacé le 50 par un 42. Sur les 11 dents et pneus de 28, je suis en prise (en descente) jusqu'à 50 km/h et même un peu plus en tournant bien les jambes. Franchement, comme je roule seul , je n'éprouve aucun besoin ni envie de dépasser cette vitesse. Même en descente de col.
  17. "Marathon" chez Schwalbe, c'est un peu comme "gélule" chez le pharmacien. Il y en a de toutes sortes. Du "racer" au "tour plus", dans la même dimension, le poids peut être double voire triple. La résistance aux crevaisons, au roulement et à l'usure est très différente aussi d'un modèle à l'autre.
  18. Ils ont des jurons beaucoup plus beaux que les nôtres.
  19. Entre zéro et moins deux degrés cet après-midi, du soleil, vent faible à modéré de N-E ; ça m'a donné le courage de sortir. Bien habillé, en multicouches. 40 bornes dont la première partie contre le vent, donc en direction de Gembloux. J'ai fini par avoir froid au bout des doigts, malgré la pommade grasse, les gants en soie et la grosse paire de moufles. Pas facile de rouler l'hiver, quand on a les mains délicates !
  20. Amusant !
  21. Si on veut être maniaque/hyperprécis, non seulement on tient compte de l'écrasement, mais on rectifie en cours d'usure du pneu et aussi quand on change la pression. Qui fait ça ? Le GPS est moins précis sur un itinéraire sinueux, et plus on va vite, plus c'est imprécis parce qu'il trace des segments de droites entre des points. Il n'y a qu'à superposer la trace enregistrée et la route dans une descente de col, c'est très visible. En outre, je pense qu'il existe un réglage de la fréquence des points de relevés de position par le GPS. De seconde en seconde ou plus espacé, la fréquence la plus rapide est évidemment plus précise, mais sollicite davantage la batterie.
  22. Si tu en parles avec des Anglais, qui ne font rien comme nous, leur frein avant est à droite. Comme les motards. Et ils trouvent ça logique.
  23. C'est peut-être un art, ça ne s'improvise pas, mais à vélo je n'ai pas l'impression que ça s'étudie et se travaille beaucoup. Pas à notre niveau. C'est juste l'expérience et les sensations qui jouent. Je freine presque toujours des deux freins, mais je suis bien incapable de dire où, quand et comment je module les pressions sur les poignées. C'est "au feeling" et je suis persuadé que cela peut être très subtil. En freinage d'urgence, mais vraiment d'urgence - donc aucune anticipation, je vais aussi faire pareil : appuyer sur les deux poignées. Et ce qui se passe alors est classique : la roue arrière se déleste et bloque. Et la réaction immédiate est de relâcher l'arrière. C'est un réflexe. Je suis par contre incapable de dire si je relâche aussi l'avant, mais probablement pas tant que la roue ne bloque pas. C'est si rapide ! Chaque main a son indépendance bien formée par la pratique sans avoir travaillé ni étudié la question. La preuve : nous en discuterons et émettons présomptions et hypothèses, mais bien peu de certitudes.
  24. Quand je roule en montagne, ce qui n'était vraiment pas dans mes habitudes jusqu'il y a peu, les muscles de ma main gauche sont plus fatigués que ceux de la main droite. Avec les patins (je ne me prononce pas pour les disques), freiner juste avec l'arrière me semble suicidaire.
  25. Comparer moto et vélo a des limites. C'est OK sur le principe : le freinage sollicite davantage l'avant, l'accélération davantage l'arrière. Pour le reste... À moins de jouer à la conduite hyper économique, freinages et accélérations ne sont pas vraiment ressenties comme des dépenses ou gaspillages d'énergie quand on est motorisé. À vélo, on est bien plus parcimonieux ! Sans doute la raison pour laquelle, en plaine et sans esprit de compétition, on privilégie douceur et anticipation : une tâche qui convient bien au frein arrière.
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