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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Ah, les vélos de ville donnés en location, ça se rapproche souvent de l'enclume !
  2. Beau temps ce matin, contrairement à hier, où c'était c*ca jusqu'au milieu de la journée. Je suis allé faire une rando organisée par un club proche de chez moi ; 72 km très agréables sur beaucoup de routes que je connaissais (fatalement, celles qui sont dignes de rouler dessus sont souvent parcourues par les cyclos du coin - beaucoup de balisages divers au sol en témoignent), mais aussi deux ou trois bonnes que j'ajouterai aux itinéraires fréquentables. Très beau temps pour rouler, les derniers kilomètres par vent défavorable, même si relativement plats, m'ont quand même fait mal aux jambes. J'avoue manquer un peu de patate, ayant peu roulé la semaine écoulée (une seule sortie de 43km lundi). En ajoutant la liaison entre chez moi et le point de départ, cela m'a fait 85 bornes. Je devrais dormir correctement (et rêver de la Provence au lieu d'y penser dans mes insomnies).
  3. Et au milieu de tout cela, le pique-nique ! Et chapeau pour la copine au monovitesse. Comme quoi quand on veut, c'est déjà une bonne part de faite. Et même si tu ne nous étonnes plus avec tes distances, c'est toujours aussi respectable.
  4. Kim Clijsters répondait en français, au début de sa carrière internationale, puis elle a cessé parce qu'elle maîtrisait mal son français et ses erreurs et approximations pouvaient être mal interprétées. En outre, si j'ai bonne mémoire, son papa était probablement un peu flamingant.
  5. Le Pino Hase, c'est un tandem un peu spécial... Il existe dans diverses versions, avec ou sans assistance électrique : Je mets ce lien vers leur site...
  6. Hahaha. Non, pas le Valais pour moi. Je suis récemment rentré de Provence et je suis occupé à m'organiser pour y retourner, peut-être pour longtemps à présent que je suis retraité. Sinon, bravo pour tes sorties. Et c'est sympa de pouvoir y associer Madame. Nous le faisons parfois nous aussi, mais ce n'est pas évident. J'ai vu récemment un Pino Haze, qui est un tandem très particulier que j'aimerais bien essayer, à condition que ma femme se prête à l'exercice...
  7. Et dire qu'il y a des Belges qui envisagent sérieusement de s'établir dans le sud... 😄
  8. Je n'ai rien vu du tout. J'avais du taf (ouais, même retraité, ça arrive). Tant mieux pour Remco, il faisait partie des favoris, mais il faut toujours assumer.
  9. À ce que je vois, rouler sur des tubeless ne dispense pas d'emporter de quoi réparer "traditionnellement" (démonte-pneus, chambre, cartouches...).
  10. Des fois, ça vient juste des chaussures...
  11. Une semaine sans vélo, ça peut aussi faire un peu de bien. Par moments, il faut relâcher un peu et se changer les idées.
  12. Et ceux qui ont terminé n'étaient pas des seconds couteaux, si j'en crois le classement.
  13. Merci pour le partage, Fluo ! C'est toujours plaisant de lire tes aventures illustrées par l'image. Et tes commentaires sur le matériel et l'équipement peuvent servir à d'autres !
  14. Une crevaison, ça n'a rien de mathématique. C'est de la malchance, éventuellement de la maladresse. Si, sur une saison, tous les coureurs subissent le même nombre de crevaisons en course, il n'y aura égalité... qu'au nombre de crevaisons ; car, entre deux coureurs subissant une seule crevaison, par exemple, les circonstances créeront des différences importantes. Crever à 10 bornes de l'arrivée de Paris-Roubaix pour l'un et 10 bornes après le départ de Milan-San Remo pour l'autre, c'est différent. Pour l'un, ce sera une course perdue, pour l'autre un incident sans grandes conséquences. Pour mettre fin à la polémique, je voudrais rappeler que, lorsque j'ai soulevé la question du temps perdu lors d'une crevaison, je ne parlais pas d'inégalités de chances entre concurrents, mais je m'interrogeais sur le fait que, désormais, la crevaison semble faire perdre davantage de temps qu'auparavant, quand les attaches étaient rapides et les freins à patins.
  15. Hahaha. J'aime prendre des photos quand c'est joli, mais je n'aime pas m'arrêter dans une côte. C'est l'attrait du paysage qui décide. Et les plus belles vues ne sont pas souvent au sommet. Donc...
  16. Une montée qui ne laisse pas beaucoup de répit. Enfin, si, mais pour cela il faut s'arrêter en chemin ! 🤪
  17. Tous les coureurs perdent en effet plus de temps sur une crevaison. Celui qui subit le plus de crevaisons est toujours désavantagé, mais c'était déjà le cas avant. Par contre, le temps perdu est devenu beaucoup plus difficile à rattraper, parce que plus important. Dans une finale de course, c'est devenu désormais presque impossible de "rentrer" après une crevaison. "Boucher" une minute au lieu de trente secondes, cela change beaucoup ! Edit. : Michel m'a grillé, sur le coup.
  18. Cela confirme mon impression. Je n'avais jamais chronométré l'incident, mais je me souviens de comment ça se passait avant. Y compris comment un coureur enlevait déjà lui-même sa roue et, parfois, en recevait une d'un équipier avant l'arrivée du mécano. Et les changements semblaient quand même rapides. En comparaison, hier, Laporte a perdu beaucoup de temps (le temps d'attendre le mécano et celui du changement de roue) et n'a pas pu rentrer dans le groupe. Je ne sais pas si les mécaniciens sont "empotés", mais leurs interventions me semblent lentes. Enfin, quand j'écris "c'est dingue", c'est en songeant que pour une crevaison on change carrément de vélo ! J'essaie d'imaginer ça en course de moto ou de F1...
  19. Je vais louer pendant un an et voir ce que ça donne, si ça nous plaît la vie par là et si on est partants pour nous y établir.
  20. Difficile de me motiver à enfourcher le vélo, depuis mon retour de Provence. Ici, c'est venteux, pluvieux et sans charme ; avec une circulation automobile de dingue, des chantiers de tous côtés et, en dépit de ces derniers, des routes en piteux état. Un peu de soleil ce matin, mais le vent était frais. J'ai choisi les manches longues et je n'ai pas eu trop chaud. 43km et 421 m d+ en descendant vers la vallée de la Sambre pour remonter ensuite vers les hauteurs du grand Charleroi. Les jambes sont meilleures que les routes (ce n'est pas difficile), c'est déjà ça ! 🙂
  21. C'est dingue, non ?
  22. Autrefois, les coureurs avaient parfois déjà eux-mêmes enlevé la roue avant l'arrivée du mécano.
  23. Dommage aussi pour Laporte. Jamais nous ne saurons s'il aurait terminé dans le groupe des meilleurs sans son ennui mécanique. À ce sujet, et pas uniquement dans le cadre de ce championnat du Monde, il me semble qu'un changement de roue est moins rapide maintenant qu'autrefois.
  24. Evenepoel a essayé. D'autres aussi. C'était difficile pour eux sur ce circuit face à un Van Der Poel en très bonne condition. À l'arrivée, Remco a déclaré que le circuit était "trop explosif" pour lui et qu'il ne pouvait plus suivre. Il n'a pas parlé de la pluie mais, à l'évidence, il n'aime pas beaucoup ça. Il n'a pas insisté et a terminé sans forcer. Le circuit était techniquement difficile, dangereux sous la pluie, avec les bosses qui se prenaient en force. Dans l'ensemble, les Belges ont fait une très belle course (trois dans les dix premiers), souvent à cinq dans le groupe des favoris. Van Aert a dit ne pas avoir pu faire mieux car VDP était le plus fort. Il a ensuite roulé pour la seconde place et s'estimait heureux de son classement.
  25. Eh ben, derrière VDP, bien sûr !
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