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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Je ne serais pas étonné que cette route secondaire soit très défoncée parce qu'il y circule beaucoup plus de véhicules que ce qui était prévu dans un cahier des charges déjà trop léger à la base.
  2. Bon. Et si on causait un peu des pneus tubeless, maintenant ?
  3. Quand on sort une phrase de son contexte, c'est sujet à méprise. Encore une fois (et je n'insisterai plus), l'exagération dont je parlais ne visait pas les incidents/accidents rapportés. Elle visait seulement le débat qui surgit généralement quand on oppose une technologie ancienne et une nouvelle. C'est pour cela que je mentionnais aussi la photographie ou le support musical. Toutes mes excuses à ceux que j'ai pu choquer avec mes sous-entendus et ma mauvaise foi très involontaires. Ce n'était pas le but.
  4. Mais bien sûr, Pierre. Il n'y a pas de souci. Je suis certain que tu as raison et que le FAD finira par s'imposer. C'est l'évidence. Mais par ailleurs, ce n'est pas parce qu'une technologie est dépassée qu'il faut la jeter immédiatement aux orties. Cela prend du temps. Et je suis certain que les accidents rapportés par les uns et les autres sont réels. Le risque zéro n'existe pas. Bientôt, il y aura l'ABS, en plus des disques. Parce que le plus dangereux en freinage d'urgence, c'est la perte d'adhérence, surtout par blocage de roues.
  5. M'enfin ! Cèkiki exagère, là ?
  6. Serge Masselot doit bien connaître ça aussi, lui qui est encore passé récemment par "la vache qui pète". Fatalement, ça doit pas être tout propre, dans le secteur.
  7. Oui, j'aime bien lire tout ça. Et tout d'abord, il pleut, ici. Et puis y'a du vent. Et il fait pas chaud non plus. La lecture bien à l'abri, ça passe le temps.
  8. Je m'amuse à lire ce débat sans fin où tout le monde a raison avec des avis tantôt nuancés, tantôt radicaux. Mais c'est très souvent ce qui arrive quand une technologie tente d'en supplanter une autre, plus ancienne et qui a fonctionné pendant de longues années. Photographie argentique, musique sur support analogique, etc. Les exemples sont nombreux. Quant aux réactions, entre ceux qui bondissent sur la nouveauté et les réfractaires au changement, en passant par les méfiants, les attentistes et ceux qui s'en fichent complètement ; il y a de quoi débattre. L'exagération pointe le bout du nez quand on en arrive à penser que des patins ne freinent pas, que 9 ou 10 vitesses sont insuffisantes pour avancer, qu'un vélo de 9 kilos est une enclume, que sans GPS on ne peut que se perdre, etc. Mais c'est rigolo, hein ! Faut pas s'fâcher pour ça !
  9. De chaque gamelle que j'ai prise, même sans grosses blessures - heureusement pour moi - je garde en souvenir la vitesse à laquelle ça se passe, qu'on roule vite ou pas, et je me dis que je n'ai pas les bons réflexes. Difficile de s'entraîner pour ça, il y a tant de variables en jeu, mais quand on se sent partir, c'est souvent déjà trop tard pour se rattraper. Faudrait apprendre à tomber, mais le vélo c'est pas le judo.
  10. Merci pour ce récit très vivant, j'ai frissonné en imaginant la scène. Tu t'en tires bien, en fin de compte. Bon rétablissement !
  11. Je n'en avais pas trop envie, mais compte tenu de l'absence de pluie malgré un ciel gris avec de très rares éclaircies, j'ai mis le nez (et le reste) dehors en début d'après-midi. 43 km et 230m D+, au pas de course ce serait une belle sortie ; mais sur un vélo, même de 15 kilos, pas de quoi se taper le derrière au plafond. Je suis sorti, j'ai roulé, c'est déjà ça ! On se console comme on peut.
  12. La côte belge, faut aimer ! Il y a des endroits prodigieusement moches, avec les constructions que tu mentionnes, et des coins plus corrects, mais ces derniers sont souvent chers et snobinards. En hiver, quand c'est presque désert, on peut quand même faire de belles balades, mais il faut se rapprocher d'un centre urbain pour trouver une boisson chaude. Nous préférons nous diriger vers la côte française, quand il nous prend l'envie de respirer le vent du large, c'est généralement plus "nature", avec beaucoup moins de cages à lapins. (Cela me remet en tête la chanson "Hors saison", de Francis Cabrel, une perle qui, mêlant musique et poésie, dresse à petites touches un tableau de maître ou une séquence de cinéma. Du grand art !)
  13. Pas mal, comme lieu dit (je suppose) ! 😄
  14. Excellent ! 😂 J'ai vécu une situation intermédiaire. J'ai un Garmin parce que ma famille a réuni la monnaie pour me l'offrir.
  15. Pour en revenir aux questions initiales, dont nous avons dérivé en parlant de logiciels et d'applications, la réponse à tes trois questions est OUI, en ce qui concerne le Garmin Explore 2. Édit. : Pour la troisième question, relative à la définition d'une destination "sur le terrain", la suggestion d'ajouter un autre fond de carte, plus détaillé que la cartographie présente par défaut sur le Garmin, me semble excellente. Je n'ai pas d'expérience personnelle avec les cartes proposées par plusieurs intervenants. Ces derniers pourront certainement en dire davantage.
  16. Je comprends ça. Alors, tu dois emmener en rando pédestre la carte topo IGN et t'en servir pour t'orienter. Le smartphone, tu le mets en marche si tu es perdu. Le GPS intégré te montrera où tu te trouves sur la carte IGN (si tu l'as téléchargée avant de partir), tu compareras avec la carte papier pour te repérer et tu repartiras GPS éteint. J'aime bien randonner comme ça. Je faisais ça quand je n'avais pas de GPS. Juste la carte papier et le smartphone en poche ou dans le sac à dos. On a besoin de la carte parce qu'on n'a pas l'habitude de regarder longuement une carte topo et de mémoriser tout l'itinéraire qu'on veut suivre. Si on connaît le chemin par cœur, on n'a plus besoin de carte : on sait où il faut bifurquer, etc. Quand tu prépares ton itinéraire et que tu crées un GPX, c'est le GPS qui a mémorisé pour toi les endroits où tu dois bifurquer. Il n'y a plus besoin de carte, parce que le GPS t'indique où tu es et où tu dois aller. Imagine que tu superposes un papier-calque à la carte topo IGN. Au fluo, tu traces le chemin à suivre et uniquement ça. Si tu pars rien qu'avec le calque, tu seras perdu. Si sur le calque tu as marqué en plus toutes les fourches, tous les croisements et que tu suis attentivement en marchant (par exemple en marquant ton avance au fur et à mesure), tu t'en tireras peut-être. Si tu pars avec toute la carte, pour autant que tu saches bien la lire et te repérer sur le terrain, tu seras à l'aise. En quelque sorte, sur la carte il y a le chemin qu'il faut prendre et tout un tas d'autres qu'il faut ignorer. Je présume que ça doit être rassurant de voir tout ça plutôt que seulement le chemin à suivre.
  17. Oui, c'est peut-être différent. J'ignore totalement quelle carte se trouve sur l'Explore2. Mais pour moi, ça n'a pas d'importance. Avec un GPS, si tu as une trace (un GPX enregistré), tu la suis, avec ou sans fond de carte. Je n'ai aucun problème pour tracer mon trajet avec Open Runner et l'envoyer sur le Garmin Edge en passant par Connect ou pas (câble USB). Je ne comprends pas très bien pourquoi tu voudrais voir un sentier sur le petit écran du Garmin Edge. Le sentier, c'est au sol qu'il faut le voir. Le GPS devrait juste t'indiquer la direction où le trouver.
  18. Oui, la version payante (Explorer) donne accès aux cartes topo IGN, entre autres. Je me sers de tout ça pour préparer les parcours, au besoin. Sur le terrain, c'est différent. Les problèmes sont ceux que tu soulèves : capter les satellites avec un smartphone et conserver de l'autonomie. Pas évident ! Récemment, j'ai eu le souci de voir un sentier qui existe théoriquement, mais qui est peu marqué par endroits à la mauvaise saison. Le GPS m'indiquait que j'étais à peu près dessus, mais je le perdais et retrouvais fréquemment. Mais les Garmin fonctionnent très bien. Ils captent très vite les signaux et les perdent rarement. Donc, quand le GPX a été bien fait, c'est à mon avis un problème de terrain. Pas de GPS.
  19. Pour tracer mes parcours, aussi bien vélo que rando pédestre, je puise mes idées sur les cartes papier de Michelin. Puis je trace sur OpenRunner, avec lequel tu peux choisir ton moyen de déplacement (vélo route, gravel, marche...). J'ai essayé d'autres applications (Komoot, Base Camp, Maps.Me...), probablement aussi valables, mais c'est avec OpenRunner que je m'entends le mieux. J'ai aussi essayé de tracer directement sur Connect, mais je ne m'y fais pas. Question de tempérament ! J'ai pris l'abonnement Explorer, ce n'est pas cher et on accède à toute une série de fonds de cartes supplémentaires. Je m'en sers pour tracer avec mon smartphone ou mon PC. Je n'ai pas chargé de cartes supplémentaires sur le Garmin. Je ne pense pas que ce soit bien utile quand on dispose d'un PC ou smartphone. Quand je pars plusieurs jours (vélocamping), je préfère scanner des bouts de cartes Michelin. J'imprime et gribouille dessus, en me référant à OpenCycleMap (une version OSM dédiée au vélo, reprenant les Véloroutes et itinéraires régionaux balisés), entre autres. Je ne me sers du GPS que quand je ne sais plus où je suis et personne à qui demander mon chemin.
  20. J'ai un Explore 2 que j'utilise essentiellement pour le guidage. Je trace mes parcours sur OpenRunner et les charge via Connect. Comme l'indique jiib73, on peut relier au PC par USB pour charger les parcours sans l'intermédiaire smartphone. L'Explore 2 s'en sort bien pour le recalcul en cours de route. Je n'ai pas encore eu de souci de perte de trace. L'Explore 2 fonctionne bien aussi en randonnée pédestre (j'ai créé un profil d'activité spécifique). Cela dit, j'ai peu d'expérience de ces engins (c'est mon premier GPS "vélo"), donc pas de point de comparaison avec d'autres modèles ou d'autres marques.
  21. Aucune envie de sortir. Le vélo, c'était à la télé.
  22. Pas rigoler avec les incidents cardiaques. Quand la machine dit "game over", c'est clair : fini de jouer.
  23. Eh ben ! Le prévisionniste météo n'aura pas menti ! ☹️
  24. Outre son talent, Valverde possède la très rare qualité d'avoir un énorme sens de la course. Garder son calme, faire l'effort utile au bon moment, puis sa science du finish dans les classiques, ça a très souvent payé.
  25. Vos chiffres m'impressionnent ! Je suis infoutu de rouler aussi bien, même si j'ai (très) brièvement dépassé 40km/h sur le plat avec un bon vent de dos lors de ma dernière sortie.
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