Gérôme BORGER Posté le 29 février Share Posté le 29 février il y a 22 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : J'ai peut-être mal compris ou mal interprété tes paroles, Gérôme. Peux-tu m'expliquer en quoi tu les sens déformées ? Je ne prends pas des cas extrêmes pour étayer mes propos comme tu le fais. Je ne conteste pas les situations que tu décris mais elles sont relativement rare. Je dis simplement que pour le cycliste "tout venant" 😁 les patins ça va bien. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 29 février Share Posté le 29 février Il y a 2 heures, Gérôme BORGER a dit : Je ne prends pas des cas extrêmes pour étayer mes propos comme tu le fais. Je ne conteste pas les situations que tu décris mais elles sont relativement rare. Je dis simplement que pour le cycliste "tout venant" 😁 les patins ça va bien. On est d'accord là-dessus, je l'ai dit a de multiples reprises, les patins c'est aussi efficace partout, sauf quand tu as besoin de freiner 🙂 (en gros en descentes de cols). Le reste du temps c'est soit freinage d'urgence et là soit tu pars un tas soit tu as de la chance, soit des "ralentissements". Dans un post précédents tu disais que tu avais l'impression que je reportais des expériences d'il y a 20 ans en arrière. Ce n'est pas le cas j'ai eu des vélos à patins jusqu'à 2020. Par contre, je n'ai pas eu d'étriers direct mount... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 29 février Share Posté le 29 février (modifié) Il y a 2 heures, Gérôme BORGER a dit : Je ne prends pas des cas extrêmes pour étayer mes propos comme tu le fais. Je ne conteste pas les situations que tu décris mais elles sont relativement rare. Je dis simplement que pour le cycliste "tout venant" 😁 les patins ça va bien. Les "cas extrêmes qui étayent mes propos", je les ai vécus, j'ai frôlé des accidents a priori graves, et je suis donc agacé lorsqu'on affirme que les freins à patins modernes sont toujours suffisants, ce qui sous-entend que je suis un affabulateur ou un incompétent ou je ne sais quoi d'autre. Ceci dit, lorsque j'analyse un risque, je mets comme quiconque en balance sa fréquence et sa gravité. Je roule donc encore en patins, sans avoir le sentiment d'être inconscient... mais sans nier comme le font certains que le danger est réel. Si le freinage des voitures étaient aussi aléatoire sous la pluie que celui des vélos à patins, des actions en justice auraient été intentées depuis longtemps. Mon unique expérience de voiture qui freinait vraiment mal sous la pluie, c'était dans les années 80, une Renault 5 équipée de 4 freins à tambours... Selon la quantité d'eau qui rentrait dans l'un ou l'autre frein, la direction tirait fortement à gauche ou à droite, ça faisait peur ! Modifié le 29 février par Thierry GEUMEZ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 29 février Share Posté le 29 février il y a 3 minutes, Pierre PLANA a dit : Par contre, je n'ai pas eu d'étriers direct mount... Leur puissance est sans doute globalement plus élevée mais lorsque la chaussée est détrempée, c'est l'eau sur les jantes qui réduit fortement le coefficient de friction. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 29 février Share Posté le 29 février il y a 9 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Leur puissance est sans doute globalement plus élevée mais lorsque la chaussée est détrempée, c'est l'eau sur les jantes qui réduit fortement le coefficient de friction. N'ayant pas essayé, je ne peux pas donner d'avis... mais tu as raison pour le mouillé. Néanmoins, la puissance des étriers peut sacrément varier d'un modèle à l'autre. Sans avoir jamais monté de matériel "ultra light", j'ai eu des étriers SRAM Red qui étaient vraiment très limite... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre CÔTÉ Posté le 29 février Share Posté le 29 février il y a une heure, Pierre PLANA a dit : On est d'accord là-dessus, je l'ai dit a de multiples reprises, les patins c'est aussi efficace partout, sauf quand tu as besoin de freiner 🙂 (en gros en descentes de cols). Le reste du temps c'est soit freinage d'urgence et là soit tu pars un tas soit tu as de la chance, soit des "ralentissements". Dans un post précédents tu disais que tu avais l'impression que je reportais des expériences d'il y a 20 ans en arrière. Ce n'est pas le cas j'ai eu des vélos à patins jusqu'à 2020. Par contre, je n'ai pas eu d'étriers direct mount... Salut Pierre, j'ai des freins direct mount sur mon Battaglin et ce que j'ai constaté c'est qu'au freinage il y a moins de vibrations qui se propagent dans la douille et le poste de pilotage. Quant à la puissance de freinage, je n'ai pas noté une grosse différence avec l'étrier fixation standard. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 29 février Share Posté le 29 février il y a une heure, cannondale a dit : J'aimerais savoir en quoi les freins à patins moderne ne seraient plus suffisants ? Ce qui veut dire que les freins à patins d'avant étaient suffisants alors qu'ils étaient moins performant et les freins à patins moderne qui sont plus performants ne sont plus suffisamment performants. Quelles sont les raisons à cela ? On ne roule pas plus vite, les freins patins freine plus fort aujourd'hui mais ils ne sont plus suffisants. J'aimerais vraiment comprendre pourquoi ? Comme je l'ai expliqué plus haut, tous les freins à patins sont "limite" pour peu que tu sois lourd, que tu fasses beaucoup de montagne, que l'orage te tombe dessus, que tu descendes un col très raide et long. Les désagréments peuvent être un manque de puissance de freinage, les jantes (carbone) qui fondent ou qui s'usent assez rapidement, les chambres à air qui explosent, les patins qui s'use complètement en une seule journée. Le freinage sur jante n'a pas fait de progrès énorme depuis l'apparition des étriers à double pivots (années 2000 je crois) même s'il y a eu quelques améliorations sur les pistes de freinage. Il a toujours été limite quand tu coches un ou plusieurs cas dans ceux cités. Si ce n'est pas le cas, ils sont généralement suffisants. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gérôme BORGER Posté le 29 février Share Posté le 29 février Il y a 3 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Les "cas extrêmes qui étayent mes propos", je les ai vécus, j'ai frôlé des accidents a priori graves, et je suis donc agacé lorsqu'on affirme que les freins à patins modernes sont toujours suffisants, ce qui sous-entend que je suis un affabulateur ou un incompétent ou je ne sais quoi d'autre. Ceci dit, lorsque j'analyse un risque, je mets comme quiconque en balance sa fréquence et sa gravité. Je roule donc encore en patins, sans avoir le sentiment d'être inconscient... mais sans nier comme le font certains que le danger est réel. Si le freinage des voitures étaient aussi aléatoire sous la pluie que celui des vélos à patins, des actions en justice auraient été intentées depuis longtemps. Mon unique expérience de voiture qui freinait vraiment mal sous la pluie, c'était dans les années 80, une Renault 5 équipée de 4 freins à tambours... Selon la quantité d'eau qui rentrait dans l'un ou l'autre frein, la direction tirait fortement à gauche ou à droite, ça faisait peur ! Mais je n'ai jamais mis en doute ce que tu as vécu. Je vais quand même te raconter ce qu'un ancien collègue de travail m'a raconté. On parle vélo et arrive le thème freinage disque. Je lui donne mon avis et lui de me répondre: t'es pas fou, c'est de la grosse merde les disques. En partant de chez lui il a courte route en descente sèche avant de rejoindre la route principal. Il fait très froid ce jour là et il prétend que ses disques se sont couvert de glace, qu'il n'avait plus de freins et qu'il s'est retrouvé au milieu du carrefour. Me faut-il en déduire que le freinage disque c'est de la daube? Et bien non, je ne remets pas en doute ce qu'il a vécu. C'est juste une situation exceptionnel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 29 février Share Posté le 29 février il y a 3 minutes, Gérôme BORGER a dit : Mais je n'ai jamais mis en doute ce que tu as vécu. Je vais quand même te raconter ce qu'un ancien collègue de travail m'a raconté. On parle vélo et arrive le thème freinage disque. Je lui donne mon avis et lui de me répondre: t'es pas fou, c'est de la grosse merde les disques. En partant de chez lui il a courte route en descente sèche avant de rejoindre la route principal. Il fait très froid ce jour là et il prétend que ses disques se sont couvert de glace, qu'il n'avait plus de freins et qu'il s'est retrouvé au milieu du carrefour. Me faut-il en déduire que le freinage disque c'est de la daube? Et bien non, je ne remets pas en doute ce qu'il a vécu. C'est juste une situation exceptionnel. C'est peut être ce qui lui a sauvé la vie ! S'il avait freiné réellement, il aurait glissé sur le verglas et il serait arrivé au milieu du carrefour aussi mais à plat ventre 🙂 Mais si tu as un brouillard givrant au point de recouvrir les disques de glace, il est probable qu'il aurait eu le même problème avec des jantes en aluminium et des freins à patins. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gérôme BORGER Posté le 29 février Share Posté le 29 février Non Pierre la route n'était verglacé. Je ne peux que rapporter ses propos, il prétend que ses disques se sont couvert de glace en partant de chez lui à cause du choc thermique. Il est parti dans des délires en m'expliquant que pendant une sortie humide, si la température venait à chuter, je n'aurai plus de freinage à cause des disques métalliques qui glace 😧. Ou est la différence avec un freinage sur jante? Que pouvais je lui répondre, je l'ai laissé dans ses délires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 29 février Share Posté le 29 février il y a 49 minutes, Pierre PLANA a dit : Comme je l'ai expliqué plus haut, tous les freins à patins sont "limite" pour peu que tu sois lourd, que tu fasses beaucoup de montagne, que l'orage te tombe dessus, que tu descendes un col très raide et long. Les désagréments peuvent être un manque de puissance de freinage, les jantes (carbone) qui fondent ou qui s'usent assez rapidement, les chambres à air qui explosent, les patins qui s'use complètement en une seule journée. Le freinage sur jante n'a pas fait de progrès énorme depuis l'apparition des étriers à double pivots (années 2000 je crois) même s'il y a eu quelques améliorations sur les pistes de freinage. Il a toujours été limite quand tu coches un ou plusieurs cas dans ceux cités. Si ce n'est pas le cas, ils sont généralement suffisants. Oh bien avant pour les double pivot, en 97 mon campa chorus 9 vit qui se trouve encore dans la cave, en est déjà doté, je suppose que les pros ont expérimenté la chose avant nous? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 29 février Share Posté le 29 février il y a 52 minutes, Gérôme BORGER a dit : Non Pierre la route n'était verglacé. Je ne peux que rapporter ses propos, il prétend que ses disques se sont couvert de glace en partant de chez lui à cause du choc thermique. Il est parti dans des délires en m'expliquant que pendant une sortie humide, si la température venait à chuter, je n'aurai plus de freinage à cause des disques métalliques qui glace 😧. Ou est la différence avec un freinage sur jante? Que pouvais je lui répondre, je l'ai laissé dans ses délires. Il doit mettre les disques au congélateur avant de sortir 😄 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 29 février Share Posté le 29 février Il y a 1 heure, Gérôme BORGER a dit : Non Pierre la route n'était verglacé. Je ne peux que rapporter ses propos, il prétend que ses disques se sont couvert de glace en partant de chez lui à cause du choc thermique. Il est parti dans des délires en m'expliquant que pendant une sortie humide, si la température venait à chuter, je n'aurai plus de freinage à cause des disques métalliques qui glace 😧. Ou est la différence avec un freinage sur jante? Que pouvais je lui répondre, je l'ai laissé dans ses délires. sur mon Gravel Triban équipé de FAD Hydro mécanique quand il commence a bien gelé a partir de -3 -4° j'ai le frein arrière gelé complètement inutilisable , a l'avant pas des soucis , il y a surement + d'humidité qui ce met a l'arrière , vraiment bizarre ........faudra que je test avec mon Canyon qui est en FAD Hydraulique ...... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 1 mars Share Posté le 1 mars (modifié) Il y a 10 heures, Gérôme BORGER a dit : Non Pierre la route n'était verglacé. Je ne peux que rapporter ses propos, il prétend que ses disques se sont couvert de glace en partant de chez lui à cause du choc thermique. Il est parti dans des délires en m'expliquant que pendant une sortie humide, si la température venait à chuter, je n'aurai plus de freinage à cause des disques métalliques qui glace 😧. Ou est la différence avec un freinage sur jante? Que pouvais je lui répondre, je l'ai laissé dans ses délires. Ses explications insatisfaisantes n'enlèvent rien au fait que la défaillance de son système de freinage aurait pu lui coûter la vie et il n'est pas ridicule d'essayer de comprendre ce qui s'est vraiment passé pour éviter de se retrouver un jour dans la même situation. Modifié le 1 mars par Thierry GEUMEZ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 1 mars Share Posté le 1 mars Si ce sont des freins hydrauliques, la température pourrait-elle avoir une influence sur la viscosité de l'huile et donc l'efficacité du freinage? Ceci ajouté au glaçage du disque pourrait peut-être expliquer cela? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OnTheRoadToNowhere Posté le 1 mars Share Posté le 1 mars il y a une heure, Michel DURY a dit : Si ce sont des freins hydrauliques, la température pourrait-elle avoir une influence sur la viscosité de l'huile et donc l'efficacité du freinage? Peut être, si de l'humidité s'est infiltrée dans le circuit de freinage ? Dans le cas contraire il me semble que les liquides de freins, huile minérale ou dot, sont censés avoir des plages d'utilisation assez larges. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 1 mars Share Posté le 1 mars (modifié) Il y a 2 heures, Michel DURY a dit : Si ce sont des freins hydrauliques, la température pourrait-elle avoir une influence sur la viscosité de l'huile et donc l'efficacité du freinage? Ceci ajouté au glaçage du disque pourrait peut-être expliquer cela? Je ne crois pas, pas de cette façon-là. Ce n'est pas le froid qui est un problème pour le liquide de frein, mais la chaleur excessive, au contraire, celle subie par les disques lors du freinage et transmise au liquide via l'étrier. Par contre, ce fil me fait aussi penser à un problème d'eau infiltrée dans le circuit. Il y a deux types de liquides de frein : les huiles minérales, non standardisées, et les liquides conformes au standard DOT 5.1 (ces derniers aussi utilisés pour les automobiles) Les huiles minérales (Shimano, Campagnolo, TRP…) sont hydrophobes et ne se mélangent donc pas à l'eau. Elles conservent donc leurs température d'ébullition (généralement entre 200° et 250°). Mais si de l'eau rentre quand même dans le circuit hydraulique, elle reste donc bloquée quelque part, généralement près de l'étrier, et cette partie-là se change rapidement en gaz si la température à l'intérieur de la durite dépasse les 100°, ce qui est fréquent lors de freinages répétés et intenses. Résultat, invasion de bulles d'air dans le circuit et on freine «dans le vide». Les liquides de frein au standard DOT 5.1 (utilisés par Sram, surtout), de température d'ébullition très élevée, (250°) sont hydrophiles, ils se mélangent donc à l'eau. Elles ne présent pas a priori le problème précédent. En revanche, le mélange avec l'eau diminue leur température d'ébullition, et s'il en rentre suffisamment dans le circuit, on risque de se retrouver avec le même phénomène que précédemment. Ces phénomènes sont excessivement rares et à vrai dire je n'ai vu ni entendu parler de personne autour de moi qui l'aurait subi. Mais le danger existe potentiellement quand même. Si le dispositif de freinage est très ancien, en mauvais état ou mal monté, c'est peut-être une piste à suivre. Modifié le 1 mars par Franck PASTOR Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 1 mars Share Posté le 1 mars Je pèse 88kgs, ce n'est pas léger et je n'ai jamais eu de problème avec les freins à patins. Soit tu es moins "enthousiaste" que moi en descente et tu fais attention à ne pas trop prendre de vitesse, sois tu est bien meilleur techniquement. Les chambres à air qui explosent ça ne m'est jamais arrivé et je ne l'ai jamais constaté lors de rando chez les participants. Ça peut arriver mais c'est vraiment exceptionnel même avec des latex. Les ariègeoises qui descendent le mur de Péguère sont impressionnantes, c'est un feu d'artifice. Bon c'est super raide sur 3 km avec une route super étroite qui oblige à freiner beaucoup. Personnellement, je n'ai éclaté qu'une chambre en latex. Dès lors j'ai arrêté les chambres en latex. Les patins qui s'usent complètement en une journée alors ça je n'ai jamais vu même lors d'une grosse sortie en montagne sous la pluie avec plusieurs cols très longs et je n'ai jamais entendu quelqu'un dire ça. Tu es le 1er. Non, nous sommes au moins deux sur le forum. Geoffroy a connu ça aussi sur un Tour des Flandres pluvieux l'an passé. Le tour des Flandres c'est un peu moins de 3000m de D-. Je l'ai vu plusieurs fois, et ça m'est arrivé sur des cyclos montagnardes avec de la pluie du début à la fin. A noter que tu peux avoir aussi les jantes bien marquées... Les jantes carbone qui fondent c'est parce qu'elles ne sont pas de marque, certainement des chinoiseries. En tout cas aucun soucis pour moi avec les carbones zipp, enve, mavic. Je n'ai jamais osé amener la seule paire de jantes chinoises à patins que j'ai fait monter sur un col. J'ai fondu une roue avant Easton. J'ai vu fondre plusieurs roues Mavic, souvent dans le col de Péguère cité ci-dessus, une dans le col San Carlo (10km/10%). Je n'ai jamais vu fondre des jantes Campagnolo. Par contre quand il pleut j'y vais avec des alu. La perte de freinage sous la pluie m'est arrivée avec des Mavic Ksyrium carbone. Mais ce jour là nous étions 14, en 2019 tous avec des freins sur jantes avec des jantes carbone ou aluminium. Nous avons été obligés de nous arrêter. Personne n'avait de freins. Avec mes 88kgs je n'ai jamais trouvé limite mes freins patins même en cochant les cases que tu as cité. Je connais bien mon freinage donc je l'adapte aux conditions. Comme dit précédemment, je suis probablement trop "enthousiaste" en descente, mais depuis que j'ai des FAD, je descend aussi vite mais avec beaucoup plus de sécurité. Les parents, grands parents, les pros qui descendent forts les cols même quand il pleut n'ont jamais eu de soucis avec ce type de freinage. Il y a plein de choses que nos parents, grands-parents faisaient avec le matériel qu'ils avaient à l'époque, l'époque était à l'insouciance. Nos parents/grands parents par exemple, n'ont jamais roulé avec des casques... Je ne comprends donc pas pourquoi il serait devenu insuffisant en 2024 alors que durant des décennies il a été largement suffisant et n'a cessé de s'améliorer. Depuis les freins à double pivot, il n'y a pas eu tellement d'évolution... et avant les freins à double pivot...pffff... comment dire... ça ralentissait... Dans plein de situations le freinage à patins est toujours suffisant. Dans le cols, ça dépend de ton poids, de la météo, du niveau d'engagement que tu as en descente... Je pensais sincèrement que j'appréciais particulièrement les FAD principalement à cause de mon poids. Je vois qu'autour de moi, ceux qui basculent même s'ils sont plus légers ont le même sentiment que moi : c'est la nuit et le jour. Mais nous vivons en Ariège, donc nous avons des cols raides avec des revêtements moyen, dans les bois avec peu de visibilité, des routes très étroites, donc le freinage est très important. Si je fais le parallèle avec les skis... si je reprends des skis des années 80, je ne sais plus skier... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 1 mars Share Posté le 1 mars Il y a 12 heures, Sylvain KARLE a dit : sur mon Gravel Triban équipé de FAD Hydro mécanique quand il commence a bien gelé a partir de -3 -4° j'ai le frein arrière gelé complètement inutilisable , a l'avant pas des soucis , il y a surement + d'humidité qui ce met a l'arrière , vraiment bizarre ........faudra que je test avec mon Canyon qui est en FAD Hydraulique ...... Est ce que tu as essayé d'analyser plus ? des projections d'eau quand tu passes dans une flaque qui gèlent et bloquent le câble ou les mâchoires ? J'évite de rouler sur la route lorsque les températures sont négatives. Par contre j'ai roulé souvent dans la neige avec le VTT (freins à disques hydrauliques) sans problème. Dans le cas du copain de Jérome, à moins qu'il ait laissé son vélo dehors sans abris toute la nuit, je ne comprends pas comment les disques peuvent se couvrir "instantanément" d'une pellicule de glace... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gérôme BORGER Posté le 1 mars Share Posté le 1 mars (modifié) il y a 33 minutes, Pierre PLANA a dit : je ne comprends pas comment les disques peuvent se couvrir "instantanément" d'une pellicule de glace... Bonjour, exactement, d'où mon interrogation. @ Thierry: toutes ces situations décrites sont quand même exceptionnel. Si tu prends un peu de recul tu te poses la bonne question. Nous faut-il prendre tout ces risques et pour prouver quoi? Ne repoussons nous pas les limites d'utilisation du matériel? Pour un pro ç'est compréhensible, mais pour nous? Encore une fois, j'ai les deux et je me satisfait des deux. Modifié le 1 mars par Gérôme BORGER correction Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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