Bernard MOREAU

Pendant le confinement Covid il a mis son talent de maigre grimpeur à profit (et non pas son maigre talent de grimpeur 😁) pour battre le record des 8848 m de D+ https://www.npr.org/2020/06/24/882093904/lachlan-morton-sets-a-bicycling-everesting-record?t=1647894630717 où il m'a donc succédé bien des décennies après. On a vu son TdF 2021 en solo : https://todaycycling.com/le-tour-de-france-de-lachlan-morton-le-film/ Maintenant il vient de rallier la frontière de l'Ukraine depuis Munich pour lever des fonds pour l'Ukraine : https://www.cyclingnews.com/news/morton-reaches-ukraine-border-after-1063km-and-42-hours/ Un sacré cycliste qui sort des sentiers battus (tout en roulant sur le goudron).

Mes chaînes durent de plus en plus longtemps. Normal, je ne les maltraite plus : je ne participe plus à des épreuves où il faut bondir pour répondre à des attaques et d'autre part ma puissance moyenne sur mes sorties a fortement baissé. Je ne me retrouve plus qu'exceptionnellement à rouler sur route humide ou détrempée (le pire pour la chaîne qui ramasse tous les minuscules graviers abrasifs) Moins de force, moins de tension sur la chaîne, donc réduction des frictions entre la chaîne et les plateaux/pignons. Il est possible que les chaînes soient de meilleure qualité.

J'ai regardé les 30 derniers km. Belle course, niveau impressionnant ! Je ne regarde pas tous les ans parce que c'est trop la loterie, mais hier ça valait le coup.

https://www.meteosuisse.admin.ch/home/actualite/meteosuisse-blog.subpage.html/fr/data/blogs/2022/3/ambiance-sepia.html

https://www.meteosuisse.admin.ch/home/actualite/meteosuisse-blog.subpage.html/fr/data/blogs/2022/3/ambiance-sepia.html

Heureusement il te reste le Congo et sa république démocratique 🇨🇩😆

Ce qui ne l'a pas empêché de risquer encore plus en prenant la moto, sec peut-être mais secoué. C'est la contradiction qui me stupéfie, on ne peut pas se soucier que de la pluie.

Il n'y aurait pas comme une légère contradiction entre tes 2 paragraphes 😉 ?

Mais si on regarde ailleurs on trouve un (hors-)sujet qui devrait t'intéresser si tu trouves ce lien avant que le modo me sanctionne 😉: https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/henri-poincare-a-la-ligne

Pas besoin d'être un champion, il suffit de ne pas avoir une bonne vitesse de jambes 😏 : emmener du braquet reste alors la seule solution.

En 1984 j'ai vu que Moers avait gagné la Marmotte avec un 52/36 (J'avais 52/42). Je me suis procuré un 52/36 l'année suivante, marque Stronglight. C'était un triple utilisé en double plateau. Pas vraiment un modèle de rigidité mais j'ai utilisé ça pendant de nombreuses années avec 6 vitesses, 13 à soit 20 soit 21 pour les Alpes, 13 à 19 dans le Jura.

Tu es un drôle de loustic 😆

Non Michel, le diagnostic 😆

Suite à un incident récent (2021), je suis aussi passé par ces différents tests. Les tests d'effort que je fais tous les 3 ans environ n'ont jamais rien décelé. L'échographie que j'avais demandée suite à l'apparition dans un ECG d'un Bloc de branche gauche (anodin en principe) n'a décelé qu'un truc sans lien : une valve un peu faiblarde mais sans plus. Le holter (rythme cardiaque) a décelé 2 anomalies sérieuses en 7 jours, au repos. Si je ne l'avais porté que 24 h, je n'avais que 2 chances sur 7 qu'on les détecte.

Waouh Clémentine ! Je viens de passer 5 jours ds le coin avec l'une de mes filles qui adore skier et n'en avait eu qu'une seule fois l'occasion ces 10 dernières années (ou plus), avec aussi ma petite-fille de 5 ans qui a fait ses premiers "pas" sur neige. Il y a fort longtemps j'avais fait une semaine de ski de fond à Pontresina et une autre année -- faute de neige suffisante pour le fond -- de ski alpin à Lenzerheide. Au début des années 2000, en été, j'avais fait tous les cols de la RATA à vélo sur un week-end (c'est du lourd) en roulant seulement de jour. J'avais passé une nuit à l'hôtel au Stelvio. En descendant le Julier dimanche dernier, nous avions dépassé, vers 2200 m d'altitude, un cycliste (route) alors que le thermomètre marquait - 8°C 🥶, mais la route était bien dégagée, pas de congères de ce côté du col.

AH! Quand même !

Je ne sais pas depuis quand je suis revenu à 0. Ne voulant pas faire un copier-coller, je l'ai gogolisé sans correction, exceptionnellement, je promets à Jean Guy de ne pas recommencer : Poels a lancé une attaque d'un groupe de tête de 14 coureurs dans les 15 derniers kilomètres et a emmené avec lui Lutsenko avant de battre son compagnon d'échappée à l'arrivée au sprint. Dans une étape 4 exténuante, la course a explosé lors de la première montée de première catégorie de l'Alto del El Higueral après seulement 29 des 153 kilomètres de montée. Le champion en titre de la Ruta del Sol, Miguel Ángel López (Astana Qazaqstan), faisait partie d'un groupe de tête de 14 hommes, dont une foule de favoris de la course. Cependant, le leader de la course Alessandro Covi (UAE Team Emirates) ou Simon Clarke (Israel-Premier Tech) n'ont pas fait le premier pas. Le groupe de tête a senti que la course était là pour être gagnée et a accru son avantage sur l'étape difficile pour finalement terminer à plus de sept minutes d'avance sur le peloton. En tête de la course à 15 kilomètres de la fin, Poels a fait sa candidature à la gloire du groupe de tête et a emmené avec lui Lutsenko. Lutsenko a permis à Poels de mener les deux derniers kilomètres jusqu'à l'arrivée avec López dans le groupe derrière. Venant côte à côte dans une course d'accélération jusqu'à la ligne, la puissance de Poels a battu Lutsenko jusqu'à la ligne avec 18 secondes d'avance sur les poursuivants menés à domicile par Mauri Vansevenant (Quick-Step Alpha Vinyl Team). "Ce fut une journée très difficile dès le départ, mais nous avions tout sous contrôle", a déclaré Poels. «Nous avions quatre personnes à l'avant, puis à la fin moi-même et Lutsenko se sont échappés pour terminer dans un sprint, donc je suis vraiment content. "Lutsenko allait et je savais qu'il était en très bonne condition alors je l'ai suivi, nous avons très bien travaillé ensemble et j'étais confiant pour commencer le sprint dans un vent de face. "Maintenant qu'on a le maillot de leader on va se battre pour ça, les jambes sont bonnes." À l'approche de la dernière étape, Poels mène le classement général à 10 secondes de López avec quatre autres coureurs positionnés à 12 secondes. Comment ça s'est déroulé La quatrième étape, également considérée comme l'étape reine, a vu les coureurs s'attaquer à 2 987 mètres d'ascension, dont deux ascensions de première catégorie dans les 57 premiers kilomètres de l'étape sur une course attritionnelle de 167,4 kilomètres. Cependant, la montée catégorisée finale est survenue 44 kilomètres avant l'arrivée et une descente finale d'une colline non catégorisée vers l'arrivée à Baza. L'Italien Alessandro Covi (UAE Team Emirates) a mené la course au général avec huit secondes d'avance dans la quatrième étape devant le vainqueur de l'an dernier Miguel Ángel López (Astana Qazaqstan) tandis qu'une foule de coureurs étaient assis à 10 secondes. Avec 18 coureurs séparés par moins de 30 secondes au classement général et Covi laissé exposé la veille à Otura, tout était à courir pour entrer dans l'avant-dernière étape. En partant de Cúllar Vega par une température plus fraîche de 15 degrés, les coureurs ont atteint la première catégorie Alto del Purche après seulement 15,2 kilomètres de course. Avant la montée, un groupe de cinq coureurs s'est échappé dont Mikkel Frølich Honoré (QuickStep AlphaVinyl), Greg Van Avermaet (AG2R Citroën), Taco van der Hoorn (Intermarché-Wanty-Gobert Matériaux) et le duo Sport Vlaanderen-Baloise de Rune Herregodts et Jenno Berckmoes. Une semaine avant le coup d'envoi d'Omloop Het Nieuwsblad, Van Avermaet était l'un des trois coureurs belges de l'échappée, les deux autres venant du Danemark et des Pays-Bas. L'Alto del Purche a vu des rampes abruptes de 10,7% vers le bas, la montée était longue de 6,8 kilomètres avec une pente moyenne de 9,1%. Bora-Hansgrohe a poussé la pression et a ramené l'échappée mettant le leader de la course Covi sous pression, ce qui a fait perdre 50 secondes à l'Italien sur le groupe de tête à 134 kilomètres de la fin. Un groupe de tête de 15 coureurs s'est dégagé alors que Miguel Ángel López et l'équipe Astana Qazaqstan cherchaient à distancer Covi dans le peloton à 50 secondes. Parmi les autres coureurs notables du groupe de tête figuraient Simon Yates (BikeExchange-Jayco), Iván Ramiro Sosa (Movistar Team) et Mauri Vansevenant (QuickStep-AlphaVinyl) Quatre coureurs de Bahreïn Victorious ont fait partie du groupe de tête et ont également été rejoints par les coureurs d'Ineos Grenadiers Jhonatan Narváez et Carlos Rodriguez. Cependant, Covi, troisième au classement général, Simon Clarke (Israel-Premier Tech) et Steff Cras (Lotto Soudal) n'ont pas fait la différence. López a pris les premiers points du roi des montagnes au sommet de l'Alto del Purche devant son coéquipier Alexey Lutsenko et Damiano Caruso (Bahrain-Victorious) en troisième. Alors que le groupe de tête continuait à travailler dur sur la deuxième ascension de Puerto de Blancares, c'est Lutsenko qui a franchi le sommet en premier en prenant les points du roi de la montagne devant Ben O'Connor (AG2R Citroën Team) en deuxième et Jefferson Alveiro Cepeda ( Caja Rural-Seguros RGA). Avec 92 kilomètres restants, les 15 coureurs de tête avaient augmenté leur avantage à 1-50 alors qu'ils cherchaient à gagner la course au général. Malgré les meilleurs efforts de Bora-Hansgrohe et UAE Team Emirates, le peloton perdait encore du terrain et était à 2h37 avec 58 kilomètres à faire et la longue montée de Puerto de Gorafe. Alors que l'écart avec l'échappée continuait de croître à plus de trois minutes, Covi lui-même a été contraint de rouler en tête sur la deuxième catégorie Puerto de Gorafe, la dernière montée catégorisée de l'étape. Lutsenko a de nouveau pris les points des montagnes devant O'Connor et López en troisième. Cependant, les 14 coureurs de tête travaillaient ensemble sans faute, et la marge n'a cessé d'augmenter jusqu'à 3:25 avec 30 kilomètres de roulement restants. Dans les 20 derniers kilomètres, les attaques ont commencé à partir du groupe de tête avec Lutsenko sans faute avec O'Connor et Damiano Caruso (Bahrain-Victorious) avant que Yates et Cristián Rodríguez (TotalEnergies) ne chargent. Cependant, ce mouvement a été rapidement rattrapé alors que l'échappée se battait pour l'étape et les honneurs généraux. Wout Poels (Bahrain Victorious) a contré cette attaque initiale et a été rejoint par Lutsenko tandis que les restes de l'échappée se disputaient pour travailler ensemble. Le duo avait une avance de 29 secondes sur les poursuivants à 12 kilomètres de l'arrivée à Baza et lorsque les poursuivants se sont attaqués, le groupe s'est fracturé puis s'est reformé. Poels a mené à l'arrivée et en a eu assez pour repousser le sprint de Lutsenko pour remporter la victoire d'étape et le maillot de leader dans la cinquième et dernière étape demain.

Parfois le taureau prend les cyclistes par les cornes 😬 Ce n'est pas très récent mais comme personne n'en a parlé et qu'il n'y a eu personne de gravement blessé j'ai pensé que la vidéo incluse ds l'article pourrait vous amuser ou vous stupéfier selon votre état d'esprit : https://www.cyclingnews.com/news/racers-charged-by-bull-in-california-gravel-race-video/

Guillaume : https://www.cyclingnews.com/races/vuelta-a-andalucia-ruta-ciclista-del-sol-2022/stage-4/results/

Profitant de ma non participation, je réagis le 1er. 😆 J'attends le défi D+ 🤡

😂 Effectivement, mais je sais que Bruno a participé au clm du Mont du Chat (moi aussi, une autre année). Tu n'avais pas réagi à mon erreur en 2015 😉.

Je ne l'impose pas, mais j'aimerais bien. Quant à digitaliser, j'ai retardé autant que j'ai pu certaines choses que demandait ma banque qui ne connaît pas le sens des mots et qui ne sait pas non plus que "trend" se dit tendance en français. PS : Par curiosité j'ai ressorti mon petit Robert de 2009 où je lis qu'implémenter est entré ds la langue en 1975 dans le sens d'installer (un programme informatique ou un système d'exploitation) et aujourd'hui je m'amuse de constater qu'il a déjà perdu ce sens.

Mais je n'en démords pas : je trouve "implémenter" horrible et ne me suis jamais autorisé à l'utiliser, même dans le cadre de l'informatique. C'est un peu comme digitaliser au lieu de numériser. Je reconnais que digitaliser est encore pire car il y a quand même longtemps que je ne digitalise plus : je ne compte plus sur mes doigts, j'ai dû passer au numérique à 5 ans 😂.

Salut Bruno. C'est moins raide que le Col du Chat que tu connais bien. Je suis allé rechercher ce que j'ai pu écrire dans le passé à ce sujet : Posté le 15 octobre 2021 Je connais le Granon pour l'avoir fait à l'entraînement en 93 (entre la Marmotte et les Portes du Soleil) en venant des 2 Alpes, puis en course, en 2002 je pense, c'était l'arrivée de la Luc Alphand. Ce col est certes difficile, mais pas pire que l'ascension de l'Alpe d'Huez à la fin d'une Marmotte, on n'y subit pas la chaleur de murs en pierre qui ont accumulé des heures d'exposition au soleil. Evidemment, l'altitude du sommet : 2300 m environ (2413 m en fait), peut gêner certains plus que d'autres en fonction surtout de leur Hct. J'y suis repassé une autre fois à ce Granon en rentrant d'une sortie de 2 jours, mais je n'étais pas monté jusqu'au sommet car je n'avais plus assez de temps d'après mes calculs. J'ai dû raconter ça sur V101. Dire qu'il n'y a rien là-haut c'est quand même aller un peu vite en besogne car le point de vue y est remarquable.

Comme tu as l'esprit agile, en bon schtroumpf qui se respecte, je te signale qu'en français on dirait : ta suggestion est facile à mettre en oeuvre Je sais tu n'es que le 10 000 000 ème à utiliser "implémenter", mais avec toi il y a de l'espoir 😀, donc j'en profite. Bonne route Michel.