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Bernard MOREAU

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Tout ce qui a été posté par Bernard MOREAU

  1. Ce qui était reproché à Vayer dans le précédent fil, c'était d'une part de se justifier en "vendant" Portoleau comme ingénieur, alors que Portoleau n'a pas le diplôme, et d'autre part de faire une interprétation trop rigide des calculs, sans prendre en compte les incertitudes, ce qui faussait les conclusions. Portoleau est bien ingénieur. Par ailleurs il est inutile d'avoir un quelconque diplôme, il suffit de connaître le sujet et de savoir calculer. La seule incertitude réelle concerne le vent ressenti, les autres incertitudes sont négligeables quand il ne s'agit que d'une précision comparable à celle des wattmètres, soit 1 à 2% dans le meilleur des cas. Plus la pente est forte et moindre est l'incertitude dans les calculs. Pour ma part, ds mon cas personnel j'ai confiance ds mes calculs à partir de 6% de pente. Pour les pros à partir de 7-8% de pente. Càd que je pense, dans les cas favorables, arriver à une précision d'environ 2%.
  2. mais cela est un problème personnel Je ne voudrais surtout pas m'ingérer ds ta vie personnelle 😆 Ben oui, encore du Vayer. Portoleau fait les calculs, Vayer les interprète. Le problème de fred Grappe c'est qu'il n'a personne pour lui faire ses calculs et que lui-même ne sait pas 🙁
  3. Je ne répondrai pas à Michel Roth car j'ai déjà dit tout ce que j'ai à dire sur le sujet. Je choisis donc de te répondre à toi qui pense que Portoleau se fait démonter dans le fil que tu cites et je me contente de citer ma 1ère contribution à ce fil que j'avais ouvert : Tous ceux qui comme moi regrettent la disparition en mode actif du site cyclismag peuvent à l'occasion retrouver Frédéric Portoleau et ses calculs de puissance sur Rue89 ou sur la flammerouge. C'est ainsi que je viens de trouver ce matin: http://www.rue89.com/rue89-sport/2012/07/17/puissances-sur-le-tour-froome-meilleur-grimpeur-pinot-super-regulier-233861 Ce n'est qu'un rapport intermédiaire concernant le tour 2012, puisque daté du 17 juillet. Donc Frédéric, sache que nous(?) - en tout cas moi - continuons à suivre tes calculs. J'en fais aussi à l'occasion, mais cette année les circonstances m'en ont empêché. Pour moi ces calculs apportent avant tout un indice de crédibilité (ou non) de l'épreuve. PS : Giro 2012 http://laflammerouge.com/les-chiffres-du-giro-avec-frederic-portoleau/ PS" , plateau ovoïde http://www.lemonde.fr/sport/article/2012/07/11/le-plateau-ovoide-botte-secrete-de-bradley-wiggins_1731653_3242.html
  4. Plutôt que de te répondre moi-même, je laisse la parole à volodalen.com L'entraînement en altitude permet-il d'améliorer les performances au niveau de la mer ? Non En 1975, Adams et coll ont formé deux groupes de six coureurs de demi-fond bien entraînés. Le groupe A s'entraîna 3 semaines au niveau de la mer puis 3 semaines en haute altitude (2300m). Le groupe B fit l'inverse. La performance à un test de 3,2 kilomètres et la VO2max des sujets furent évaluées régulièrement pendant les deux phases d'entraînement. Au cours du séjour en altitude, la VO2max des athlètes baissa de plus de 17% et la performance de plus de 7%. Ces résultats s'expliquent logiquement par la rareté de l'oxygène. En revanche, ce qui était moins attendu c'est l'absence d'amélioration des performances après le retour en plaine. Loin d'avoir des effets bénéfiques sur l'aptitude aérobie, le séjour en altitude avait même engendré une légère baisse (près de 3%) de la VO2max des athlètes. Depuis 1975, de nombreuses études ont confirmé l'absence d'effets bénéfiques sur la performance en plaine de séjours effectués en altitude. D'autres recherches ont établi le contraire… Oui En 1996, une équipe de chercheurs autrichiens a comparé les résultats obtenus par deux groupes de coureurs amateurs. Un groupe vivait et s'entraînait au niveau de la mer (187m) l'autre groupe vivait et s'entraînait en altitude (2315m). Les deux groupes ont réalisé un programme d'entraînement identique s'étalant sur 12 jours et comprenant de l'interval training et des courses à allure régulière. Pour les 2 groupes, la performance était mesurée au niveau de la mer à trois reprises : 1 semaine avant, 3 jours et 2 semaines après la période d'entraînement. Après entraînement, le groupe "altitude" a montré une augmentation de VO2max et de performance bien supérieure à celle du groupe "mer". Pour les chercheurs, l'entraînement en altitude est un moyen très intéressant pour élever le potentiel aérobie des coureurs amateurs. La méthode préconisée consiste à combiner les courses par intervalles et les courses continues en régulant l'intensité de l'effort par des niveaux cardiaques maintenus constants. Les nombreuses différences de protocole permettent de comprendre une partie des différences observées. Parmi celles-ci, le moment de l'évaluation a son importance. Parfois oui, parfois non Lors du retour en plaine, suite à un entraînement en altitude, l'organisme passerait par trois phases successives : Dans un premier temps (0 à 5 jours), l'organisme serait en mesure de réaliser de très bonnes performances Dans un deuxième temps (6 à 12 jours) sa capacité de performance est amoindrie. Cette phase dépressive correspondrait au temps nécessaire pour assimiler les stress provenant de la montée en altitude, de l'entraînement en condition hypoxique (faible quantité d'oxygène) et du retour en plaine. A partir du 12ème jour et jusqu'à 30-50 jours, une phase de surcompensation serait propice à la réalisation de performances aérobies. Ces trois phases seraient corrélées aux modifications biologiques (taux de 2,3 DPG, activité enzymatique…) mesurées au niveau de l'organisme du sportif. Elles permettraient d'expliquer les différences de performances obtenues par les sportifs à leur retour en plaine.
  5. Malheureusement, si je m'en réfère à meteox.com, nous n'aurons pas de belles images des montagnes autrichiennes 🙁
  6. drôle de ligne d'arrivée , très sinueuse et paraissant en légère descente , heureusement que c'était sec !!! C'est pratiquement une habitude au Tour de Suisse
  7. Merci d'être intervenu. Pour ma part j'en ai marre d'essayer d'expliquer. Je trouve profondément désespérant de voir qu'après des années d'explications répétées en tous lieux tant de forumeurs ne comprennent toujours pas le concept de cycliste-étalon, ou encore le fait que la puissance moyenne ne soit pas la même sur un effort de 20 mn (Verbier) ou sur le Ventoux (1 h), etc. Bon courage.
  8. Tu as absolument raison pour les 2 t. J'étais trop pressé ce matin pour prendre le temps de vérifier. Pire : ma carte Michelin No 217 n'indique que Pso del S. Gottardo et St Gotthardpass. Toutefois ma carte officielle de l'Automobile Club Suisse indique Pso del S. Gottardo et St. Gotthard. Elle doit dater d'avant 1980, mais j'y ai noté au crayon mes temps de passage à Gletsch, Furka, Hospental, Gotthard, Airolo, Nufenen, Airolo + Dép et Arrivée à Naters à l'époque cette trilogie était facile à faire. Je la garde donc comme une relique 😃
  9. En fait je dis le Gothard et le Pordoï. Et, peu cohérent, le Monte Bondone, etc. Comme j'adore l'espagnol, forcément c'est Puerto de Nevacerrada 😉 Par ailleurs je dis aussi Londres, Coni (pas Cuneo), Coire (pas Chur) et jamais, ô grand jamais Beijing mais Pékin. Pour Mumbaï/Bombay, j'arrive pas à me décider, j'oscille. Et puis horreur, je dis Le col du Roc Trévézel et ne sais même pas le dire en breton 😳 (A ma décharge, on ne l'appelait pas "col" quand dans ma jeunesse je le passais régulièrement)
  10. Je remarque que velo101 se met au suisse alémanique puisque ce col y est renommé Gothardpass. En anglais ce serait Gothard pass.
  11. Oui, mais tu ne considères pas le pb que soulève Cédric. Cédric a bien sûr raison. Quand tu moulines tu fais faire à tes cuisses davantage d'allers-retours par minute. Donc tu accélères la masse de tes jambes plus fréquemment vers le haut puis vers le bas pour au final une puissance nulle transmise à la roue arrière. (Il suffit de se mettre sur un vélo d'apt avec une charge nulle et de lire la fréquence cardiaque en fonction du nb de tours/mn pour voir qu'il ne s'agit pas d'une quantité négligeable) Les études en labo sont extrêmement difficiles si je considère le fait qu'il y a tellement de résultats contradictoires sur le rendement mécanique du cycliste en fonction de divers paramètres. En conditions réelles, quand on réduit trop la vitesse de jambe on doit pour une certaine puissance appliquer une force trop importante qui devient difficile à supporter en particulier pour l'articulation du genou et les muscles qui travaillent. Au final il semble que le rendement mécanique varie très très peu sur une assez grande plage de tours/mn. On n'aura jamais sur un vélo un aussi bon rendement mécanique que dans une course pédestre en escalier, où le rendement peut monter jusqu'à 27% pour un escalier en ligne droite. PS : pour une fréquence élevée, les aspects NEUROmusculaires deviennent très importants.
  12. A la même époque se disputait le championnat de France de course à pied sur 24h à Albi. Les concurrents y ont bcp souffert de la température caniculaire et au moins autant de l'humidité. On peut consulter les classement ici pour les diverses catégories, dont la V3 de Louis. http://www.albi24h.fr/wp-content/uploads/2015/06/Albi-24H-Classement-Final-FRANCE-Categorie.pdf On voit que ses 216 km en 28 h (soit 185 km par 24 h) à Roubaix l'auraient bien situé dans cette catégorie ou au scratch.
  13. Bernard MOREAU

    Spartacus

    Par ailleurs ils n'avaient qu'un prénom avant l'invasion française. C'est Napo qui les a obligés à prendre un nom de famille. Pour se foutre de cette obligation, bcp m'a-t-on dit ont pris des noms de famille ridicules. Ce que bien sûr les générations suivantes ont regretté :(
  14. Pas comme en 1997 où l'édition s'était déroulée presque entièrement sous la pluie et dans le froid (5° dans le Vercors). Pas de bol, j'avais choisi le grand parcours: départ de Sassenage ou Fontaine — j'sais plus— puis Saint-Nizier où la pluie a commencé, Herbouilly, Presles, le Faz, le col du Mont Noir, les Gorges de la Bourne, arrivée au stade de neige de Lans-en-Vercors, bref 160 km d'enfer. De te lire m'a rappelé qq chose. En effet, 1997 j'y étais, le 1er juin. J'avais bien écouté la météo qui prévoyait une amélioration en cours de journée. Dans ma voiture j'écoutais les annonces d'un quelconque "speaker" qui parlait de tout sauf de ce qui était important pour nous autres : l'évolution de la météo ds le Vercors. J'avais tous le vêtements nécessaires en cas de pluie ou de froid dans la voiture. Je suis donc parti comme si les choses allaient s'améliorer. J'ai bien monté St-Nizier sans forcer, à un rythme soutenu : 50'42" pour les 950 m de D+ d'après mon agenda. Mais là-haut c'était env 4°, pas les 10° que j'attendais. Je me suis vite congelé ds la descente au point que je n'ai jamais pu me réchauffer en remontant Herbouilly (plus de force). Au col j'ai trouvé refuge ds une voiture de l'organisation où dans une couverture j'ai tremblé pendant 45 minutes. PS : je n'y suis jamais retourné à cette épreuve.
  15. Susceptible de t'intéresser une autre année: http://www.atacamachallenger.com/
  16. Si tu venais de la CdF, tu avais monté le Mollard en sens inverse de la prochaine Marmotte, non? Le Mollard c'est pour moi un bon souvenir, ainsi que je l'ai raconté une fois sur ce forum, car j'y avais repris plus de cyclistes qu'en aucune autre occasion. J'avais adoré cette ascension à l'abri du soleil avec des %ages raisonnables. Je me cite : A la 60aine ... je m'étais donné l'objectif du Trophée de l'Oisans. 6 jours c'est court entre la Vaujany et la Marmotte. Cette année-là la Vaujany (départ au pied de la montée de Vaujany) faisait le Glandon pour ensuite descendre ds la Maurienne, retour par le Mollard puis la CdF. J'avais monté le Glandon tout tranquille, comme à l'entraînement, puis commencé à accélérer un peu dans le Mollard pour ne tout donner que sur la fin de la CdF et l'ascension vers Vaujany. Je m'étais bien amusé, j'ai dû passer une centaine de gars sur la Mollard, bien moins ensuite bien sûr car les écarts étaient plus importants. Finalement je n'ai sans doute mis que 10' de plus que si j'avais tout fait à fond dès le départ.
  17. Bernard MOREAU

    Nibali

    comme disais certain de forum , hier il voulait pas etre devant pour pas se faire avoir au controle antidopage. j'ai hate de voir leur explication aujourd'hui... Oui, c'est moi 😆 Ben, j'avais tout faux pour Nibali. Il doit avoir confiance dans son équipe médicale 🤐
  18. Bernard MOREAU

    Nibali

    Comme tu dis 😃 Je me suis fait prendre à contre-pied 🙁
  19. Tu veux dire qu'il serait tombé après l'étape? en regagnant l'hôtel?
  20. Pas pire que le Galibier (2642/3/4/5 ou 6😉
  21. Eh non, ils ne montent pas jusqu'au sommet de la route à 2829 m, 27 m plus haut que le contour de la Bonnette. http://fr.tyrol.com/carte#zoom=13&latitude=46.9654469&longitude=11.007798&type=tirol_tour&id=addressbase_twbiketheme_9_34303 Mais je tâcherai de voir cela à la télé, si les conditions météo sont favorables les images seront à n'en pas douter spectaculaires. J'ai participé 3 fois à l'Otztaler Radmarathon, 2 fois au départ de Solden, mais pas eu le temps ni l'occasion d'aller jusqu'au glacier.
  22. Bernard MOREAU

    Nibali

    Concernant Nibali, j'aurais tendance à penser que même s'il n'est pas un Ricco, il n'est pas 100% pur sucre et qu'il joue avec les règlements en espérant ne pas franchir la ligne au moment d'un contrôle. Si j'ai raison à cet égard, il est dans une situation scabreuse qui va l'inciter à la plus grande prudence, en effet, son équipe ASTANA n'a été sauvée de l'exclusion que vraiment de justesse et s'il se faisait pincer ce serait une énorme cata. Donc je m'attends à voir en 2015 un Nibali assez nettement en dessous du Nibali 2014, le temps pour lui et son équipe de se refaire une virginité pour 2016.
  23. Méforme permanente. comment savoir ? si c'est permanant c'est que l'on a jamais connu autre chose. Eh ouais, vous voyez les mecs 🆒. Parfois, disons une fois par olympiade, ça lui arrive à Benoît Martin de réfléchir et de le faire savoir. Bravo Yves Sapin, continue ...
  24. n'avoir qu'à en faire le minium Tu plombes l'ambiance là 😃🤐😇
  25. S'il s'entraîne sur piste en 2015 et 2016 et dispose d'un matériel approprié, je pense que quand il atteindra 75 ans sinus pourra dépasser les 37 km ds l'heure. Mais il devra attendre novembre 2016 ou alors 2017. Je doute que ça le motive. Dans notre génération on (enfin, je parle pour moi) vise plutôt la distance de Robert Marchand 😃 car l'essentiel c'est de pouvoir se faire plaisir sur un vélo jusqu'à 120 ans 😆
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