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Jérémie LAPLAC

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Tout ce qui a été posté par Jérémie LAPLAC

  1. Tu dois vérifier si tes disques sont fixés avec 6 vis ou avec une "étoile" centerlock. Il existe des adaptateurs centerlock => 6 vis, mais le contraire, je n'en sais rien. A vérifier également sur ton vélo, le type d'attaches de roue que tu as : des quick releases normaux comme sur les modèles à patins ou un axe traversant comme la majorité des cadres à disques actuels.
  2. Eric, un autre gros avantage de l'axe traversant, c'est de corriger les défauts d'alignement des pattes des cadres et des fourches qui empêchent un bon centrage des disques. Cette précision en plus, naturellement, de ce que tu expliques.
  3. N'ayant pas voulu sacrifier une journée en famille pour faire LBL samedi, je me suis rattrapé aujourd'hui. Direction le massif ardennais, demi-tour près de Gouvy et retour en jouant à saute-mouton entre les vallées de la Salm, de la Lienne, de l'Amblève et de l'Ourthe. Petite trouvaille : la Vecquée, escaladée depuis la vallée de la Lienne puis par une petite route asphaltée au début et empierrée après 400 mètres, à travers le bois, en ligne droite. Le pentomètre de mon GPS a bien (trop) longtemps indiqué 23%, mais c'est passé, à l'arrache, avec les pneus route de 28 mm. Après ça, la Redoute m'a semblé être une promenade de santé 😃
  4. En tout cas, moi je me suis régalé sur cette fin de course Effectivement, Guillaume, inattendu. Et surtout, une équipe a compris que la meilleure défense, c'est l'attaque.
  5. Alors qu'un mono-plateau avec onze-douze pignons..... Tu sais que je n'apprécie pas le mono, mais il y a deux vélos "filles" à la maison en Sram 1x11 et la ligne est loin d'être dégoûtante, quand on respecte les préconisations de Sram. Le réel problème, c'est l'étagement ; simplement impensable pour moi 🙁
  6. Jacques, 35 en Gravel, c'est très vite juste, surtout si l'auteur du post souhaite suivre son collègue à VTT. Perso, c'est 38 sur mauvais revêtement ou 40 dès que ça "tabasse" comme par exemple, sur les routes non asphaltées des Fagnes ou sur des anciennes routes militaires des alpes françaises et italiennes. De plus, il faut de la marge, car même si tu sais passer un 36 ou un 38 au chausse-pied, ça risque de coincer avec les crasses et la boue en cas de conditions difficiles.
  7. Attention à la taille maximale autorisée ou possible pour les pneus. Le Kona, par exemple, ne semble pas accepter plus grand que 32 mm. En gravel, c'est vite l'enfer tellement ça manque de confort - surtout si tu veux accompagner un ami en VTT.
  8. Heu… Il disait quoi Aramis ? Il disait : "il faut user mais pas abuser" 😄
  9. C'est fait exprès 🤐 Et tu finiras par me convaincre 😉
  10. Belle sortie, Frank ! De quoi me récompenser moi-même avec une bonne barquette de frites-mayo C'est en effet obligatoire et de circonstance. Mais, comme disait Aramis dans "Les Trois Mousquetaires"
  11. dans un cadre plus attrayant que certains allergiques au Brabant (ils se reconnaîtront ) En es-tu sûr ?
  12. Je l'ai toujours dit : Maillet Président ! S'il te faut des fonds, j'ai gardé des contacts avec ceux qui ont pistonné Sarko...
  13. Tu m'avais prévenu, tes conseils ont orienté mon approche. Merci ! Après analyse du parcours, j'avais bien conscience de la difficulté des 120 premiers kilomètres. C'était la clé...
  14. Marie-Noëlle, tes amies ne portaient-elles pas par hasard un maillot aux couleurs d'un club de Dijon ? Si oui, je les ai "accompagnées" peu après le ravito 2 alors que je faisais des photos ....
  15. La patte d'origine Sram y est. En fait, il déraille par le bas et la chaine se coince derrière la patte. Un souk sans nom. Le réglage est fait en suivant minutieusement les préconisations de Sram..... Rien n'y fait, une fois sur 20, ça déraille et la chaine se coince, détruisant au passage la peinture du cadre :=(
  16. Je suis parvenu à faire aller le dérailleur arrière en raccourcissant la chaîne et en utilisant des câbles & gaines avec un liner. L'avant, le mouvement naturel provoque parfois des sauts de chaîne en passant du petit au grand ; la chaîne tombe du petit plateau sur la boite de pédalier..... Je vais essayer un dérailleur Shimano
  17. Merci, Marie-Noëlle. Effectivement, c'était d'une part plus humide que l'an passé et d'autre part, plus typé VTT dans la partie flamande. Et effectivement, la moitié des concurrents ne sont pas classés ......
  18. Merci, Eric. Je fais du Gavel, généralement seul, pour éviter les organisations VTT qui pensent que le bonheur de leurs participants réside dans des descentes à 25% entre deux clôtures. En gros, c'est exactement ce que j'ai retrouvé ici entre les deux premiers ravitos. C'est juste décevant. J'aurais préféré de loin faire 50 kilomètres de plus à travers les petites routes forestières des Flandres pour avoir le même D+ mais plus de monts. Il me semble que les voies d'accès vers les sommets ne manquent pas.
  19. Merci, Frank. Le plus épuisant n'a pas été le pédalage, mais les passage nécessitant un portage ou de la poussette. Ce n'est pas ce que j'aime à vélo, je trouve ça vraiment ch***. Quant à la condition physique, disons que j'ai vécu sur mon acquis. J'ai fait fort attention à bien m'alimenter, et ça a payé. Si je referais bien volontiers une sortie flamande, tu ne me verras sans doute jamais plus sur les pavés de Roubaix Demain, direction tes Alpes natales ; je prévois une traversée de la chartreuse en commençant par le Mont du Chat - si le ciel le permet - et là, on verra si j'ai les jambes pour un LBL ....
  20. Hier, participation à la Malteni Gravel Bike. Plus d'info dans le post dédié : http://www.velo101.com/forum/voirsujet/gravel-entre-bergs-et-chtis--40569/#findepage
  21. Gros remontage de post pour un petit CR de cette seconde édition quia eu lieu hier. Me voici donc hier matin, aux alentours de six heures prêt (ou presque) à en découdre avec les routes du Ronde et les pavés de Roubaix. La faute au boulot et à la météo, la préparation n’est pas ce qu’elle aurait dû être. Je sais qu’en roulant en dedans, ça devrait passer mais viser une performance est simplement utopique. Trois amis se sont joints à moi. Ce sera chacun son rythme, on se retrouvera au gré des évènements et des ravitos. 6h15, c’est parti, dans le noir. Un serpentin de lampes traverse la banlieue endormie de Tournai et se dirige vers la première difficulté du jour, le Mont Saint Aubert que Frank Pastor m’avait fait découvrir il y a quelques années. On y accède non pas par la route, mais par un chemin dont les derniers mètres sont tellement pentus que je ne tente même pas de rester sur le vélo ; pas question de se mettre dans le rouge si tôt dans la journée. Puis, plein nord vers les monts des Flandres (Patterberg, Vieux Kwarmont…), avalés sans forcer et sans trop de difficulté. Je ne regrette pas mon braquet d’asthmatique (32x32) qui me permet de rester et de mouliner. KM 65 : premier ravito au sommet du Koppenberg. Rien à signaler si ce n’est que l’organisateur me confie que ce qui nous attend va être une galère : boue, pierre et dénivelé, bref 40 bornes de galère. Et il s’avère très vite qu’il n’a pas menti. C’est simplement infernal, décourageant, le parcours s’apparente plus à une sortie VTT qu’à un parcours Gravel. Je mets 2h30 pour parcourir 30 kilomètres et j’ai le moral dans les chaussettes (ou ce qu’il en reste). La boue empêche le dérailleur de fonctionner comme il faut, je dois nettoyer la chaine à plusieurs reprises et je me demande si je vais arriver au bout. 13h50 : kilomètre 120, 1800 mètres de D+, ravito 2. Je m’accorde une longue pause. La suite devrait être plus roulante et comme les jambes ont bien fonctionné jusque-là, je me dis que ça devrait passer. Le ravito suivant, annoncé au kilomètre 180, doit être passé pour 18 heures sous peine de mise hors course. 60 bornes en 4 heures, je me dis que c’est largement faisable. 15h30 : Aremberg, premier secteur pavé. Avec mon poids plume, pas besoin de faire un dessin : je me demande où je suis. Avec des pneus de 38 mm gonflés à 1,8 devant et 2 derrière, c’est simplement l’enfer tellement ça secoue. J’effleure le guidon pour minimiser les chocs et quitte ce tronçon de ****** en me demandant comment Boonen pouvait mettre tout le monde en file indienne avec des boyaux de 27. S’en suivent d’autres secteurs pavés, d’autres chemin de traverse puis c’est drame : l’ami avec qui je roule depuis le ravito 2 chute lourdement. Nous mettons une heure à panser les bobos et remettre le vélo en état. Un petit coup d’œil à la montre, 17h20. Il reste 10 kilomètres avant le ravito 3 et sa barrière horaire. Ça doit le faire. Sauf que le ravito annoncé au kilomètre 180 ne se trouve pas au kilomètre 180. On se demande où est donc passé ce contrôle, qu’on trouve finalement à 17h55 au kilomètres 195 ! Remplissage de bidons vite fait et c’est parti pour la partie finale, avec une boucle au carrefour de l’arbre. Les jambes tournent toutes seules, les bras font mal, je roule partout où il n’y a pas de pavé et ça passe. Une fois passé ces maudits pavés, il reste 30 kilomètres pour rentrer, avalés gentiment, vent de dos mais ponctués de quelques secteurs pavés en bien meilleur état que ceux de Paris Roubaix. Et à 20h50, c’est l’arrivée, après 248 kilomètres et seulement 2200 mètres de D+. La fatigue me tombe dessus en un seul coup ainsi qu’une certaine dose d’émotion. Le GPS indique 12H45 sur le vélo, les divers soucis rencontrés auront fait perdre pas loin de deux heures. Content d’être arrivé au bout, mais une chose est sûre : je ne reviendrai plus. Je n’aime pas le Gravel typé VTT et si je suis content d’avoir parcouru les secteurs mythiques de Roubaix, je dois avouer que ce n’est pas pour moi.
  22. Le frein à disque sur route pour un vélo cela relève du fantasme. Tu disais la même chose du 11 vitesses quand tu n'avais jamais essayé et que tu était toujours en 10.....
  23. du pipi de chat Il a oublié le Mont du Chat 🤐 en Savoie. Un truc de fou qui n'a rien à envier aux pentes des italiens....
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