
Jérémie LAPLAC
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À vous lire, je fais finir par me demander comment il se fait que, venant des Alpes, j'habite en Belgique et m'y trouve bien Le seul avantage de la Belgique, c'est que tu peux faire du D+ toute l'année.
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Tu devrais essayer les Pays-Bas, le vrai Plat Pays! Tout n'est pas plat aux Pays Bas : https://www.limburgsmooiste.nl/programma/ 227 bornes pour 3718 mètres de D+. Je l'avais faite il y a quelques années; très bonne ambiance et parcours terriblement difficile et cassant.
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Un vrai cycliste c'est :
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Emmanuel PREFOL dans Discussions Route
Globalement, la question a été abordée par les Inconnus, sur un autre sujet que le vélo, certes. Certains reconnaîtront des intervenants, les plus concernés ne se reconnaîtront pas 😕 https://www.youtube.com/watch?v=4kJ4ojtHJ4M -
Trajet de 279 km sur une journée : vos conseils ?
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Mah LUDO dans L'entrainement et la santé
Un fichier GPX, c'est en fait une trace préalablement établie que tu charges dans ton Garmin. En gros, il lit alors la carte à ta place et t'indiques le chemin à suivre. Suivre les coordonnées comme t as fait peut fonctionner, mais tu dois alors bien paramétrer ton GPS pour qu'il comprenne que tu es un cycliste sur route et as un VTTiste ou un piéton. -
Le bis est celui qui prend une petite route dans Targon et qui monte en direct au sommet. Passages à plus de 20%, faisable avec ton vélo également. Le ter démarre dans l'épingle entre Targon et Stoumont, avec des pentes bien plus acceptables, et qui rejoint la route traditionnelle approximativement 800 mètres sous le sommet. Très beau !
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Quand je t'ai quitté, j'ai escaladé la Vecquée par l'itinéraire ter ;=) et ce serait passé avec ton vélo, même si tes pneus auraient quelque peu vieilli. Retour par des petites routes et final Redoute / Forges. Une très belle matinée sur le vélo 🆒
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Je crains que tu t'épuises en pure perte, Jérémie. Ces loustics s'emploient à contredire par plaisir Abandonne-les à leur triste sort... Tu as raison. Je m'étais promis de ne plus répondre sur le sujet, c'est ce que je vais faire. Le plus drôle, dans tout ça, c'est qu'un des intervenants qui n'avait jamais essayé le tubeless a, jusqu'il y a peu, systématiquement pollué de la sorte les posts sur le sujet ; et aujourd'hui, devine qui trouve que toute compte fait, ce n'est pas trop mal .....
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Michel Serres le philosophe te dirait que les stoiciens Grecs affirmaient déjà il y a 2500 ans que rien n'arrive sans rien ou sans cause. Quand on prend en exemple un courant philosophique, on le fait correctement. Et on commence par l'orthographier comme il se doit 😃
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Donc à partir de là lorsque tu roules à vélo tu te dédouanes de toutes responsabilités ? Quand je tourne à gauche à un carrefour, que les trois voitures derrière moi s'arrêtent et qu'un type dépasse tout le monde sur la ligne blanche et me tue. Quand je descends un col et que dans un virage pris à allure modérée, un mouton saute sur la route et qu'il me manque juste la seconde de réaction pour l'éviter. Quand je suis à l'arrête à un feu rouge, bien à droite, et qu'un type avec une remorque plus large que sa voiture me met à terre quand il redémarre. Ce ne sont que trois exemples où la faute du cycliste est d'avoir été là au mauvais moment. Le dernier exemple m'est arrivé. Les deux autres sont arrivés à des connaissance proche. L'histoire du mouton, j'étais là. L'autre type a été tué sur le coup. Fauché à la roue avant, projeté 80 mètres plus loin ; donc ne vient SURTOUT PAS DIRE, ne fût-ce que par respect, qu'il aurait pu voir la camionnette. Ta théorie revient à dire que dans les tranchées, les soldats auraient pu éviter les obus.
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Trajet de 279 km sur une journée : vos conseils ?
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Mah LUDO dans L'entrainement et la santé
Félicitations ! Et chapeau bas 😬 Ton Garmin ne suivais pas le fichier GPX préalablement téléchargé ? -
Je pars du principe que si un jour j'ai un accident j'en serais responsable. Cela induit directement sur sa façon d'être Va expliquer ça à Michel Serres, ou à une de mes connaissances, dont le père a été tué à vélo par une camionnette qui doublait une file de voiture alors qu'il tournait à gauche.
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Un bon freinage, vélo, moto, voiture est un freinage réfléchi et adapté au pilote et à sa machine. En 1981, la Golf GTI de mon père mettait 48 mètres pour passer de 100 km/h à l'arrêt. Aujourd'hui, une voiture à puissance égale met 33 ou 34 mètres. Intelligent comme tu es, tu comprendras qu'en cas de freinage d'urgence, soit pour éviter un enfant qui traverse de façon soudaine et imprévue, il y a 14 ou 15 mètres de différence ou, pour mieux le dire, 14 ou 15 mètres qui peuvent sauver une vie. C'est de ça qu'on parle quand on dit qu'il est difficile de freiner sous la pluie. On parle des contingences extérieures, des imprévus ou encore, pour reprendre la sémantique d'un domaine que tu affectionnes, de la théorie du pire 😉. On parle de la ligne de vie du type qui bosse sur un toit à 35 mètres de haut et qui n'est (encore) jamais tombé.
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Quand à Sky, et bien ils en sont toujours au BSA Moi aussi. Mon vélo principal n'est pas en carbone et est en triple (3x11 et disques, tu as bien lu). Je ne suis pas ridicule avec, demande à ceux qui m'ont accompagné à vélo ; il y en a sur ce forum. Donc tu vois, on peut optimiser son vélo selon les contingences géographiques ou autres, sans "tomber" dans l'achat obligatoire, poussé par la pub.
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Je continue malgré tout de même à me demander comment font les autres pour se sentir en sécurité dans ce genre de situation. Nous ne sommes décidément pas tous identiques ! Je pensais que c'était une fatalité. La première fois que j'ai testé un vélo course à disque, ça devait être en 2013. Un système à câble. C’était simplement désastreux, effet on/off même sur le sec, avec blocage intempestif de la roue arrière. Quand le sujet était venu ici même sur le tapis, j'avais raconté mon expérience et je ne sais plus quel intervenant m'avait conseillé d'essayé un système hydraulique dont la progressivité n'avait rien à voir. J'ai simplement suivi l'avis basé sur l'expérience de cette personne et il avait raison.
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Le meilleur moyen d'éviter d'éclater une chambre est de rouler en TL C'est aussi pour ça que je roule en TL. Et s'il y a bien une course que laquelle on ne monte pas de matériel en cours de développement,c'est le TDF L'an passé, j'ai eu la chance d'être invité sur le TDF par une équipe 100% française, dans la voiture d'un DS. Ce n'est pas le discours tenu par le manager de l'équipe. Accessoirement, les mécaniciens m'ont même fait l'éloge des freins à disque voyant le sprinter de la Quick Step partir avec ce système, le type même qui a gagné l'étape.Leurs dires étaient bien à l'opposé de ce que j'ai lu ici-même. Je te précise : ils ont lancé la discussion, je n'ai pas dit un mot. Tu retrouveras mes propos sur un fil plus ancien.
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Cette délicatesse augmente sa vigilance, adapte sa conduite, et comme par miracle tout se passe très bien. Comment faisait des coureurs comme Fignon qui dévalaient les cols à 100 km/h avec un vélo des années 80. Quand il pleuvait ils se débrouillaient très bien Tu n'as sans doute jamais été confronté au problème. Je t'assure, tu fais dans ta culotte quand ça t'arrive. Ce que tu dis, ça revient à dire que les pilote de Grand Prix des années 30 s'en sortaient aussi bien que les pilotes automobiles actuels, avec aussi peu de risques grâce à leur casque en cuir, sans ceinture et avec des freins minables . Quand il pleut, j'adapte ma vigilance, ma conduite et ma vitesse. La seule différence, c'est que je peux éviter un imprévu, une voiture qui démarre ou qui me coupe la route .... Avant, je ne savais pas. Comment faisait des coureurs comme Fignon qui dévalaient les cols à 100 km/h avec un vélo des années 80 Trouves-tu que dévaler un col à 100 à l'heure sous la flotte est faire preuve de prudence ? Le fabricant voudrait imposer son business sur la route pour des raisons purement commerciales. Personne ici ne dit le contraire. Mais ça n'empêche pas que dans certaines circonstances, le disque est meilleur, entre autres sous la pluie.
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Il faut quand même rester fort attentif aux mouvements des acteurs. Certes, Cannondale et Spe risquent de perdre des clients en France. Il ne faut pas les prendre pour des idiots, ils le savent. Mais ils savent aussi ce que leur coûte deux gammes parallèles. A ce jour, sans être dans leurs petits papiers, on peut supposer que le coût de la gamme disque et de la gamme étrier correspondante est plus important que la perte des ventes en France et dans les régions "latines". Les pays anglo-saxons, les pays nordiques ou germaniques, par exemple, sont déjà passé de l'autre côté. L'écueil pour BH ou Pinarello est le même que celui qu'a rencontré Campagnolo : s'isoler en pensant que le disque n'a pas d'avenir et n'est pas la voie de l'avenir. Et un jour, s'apercevoir que le train est passé.
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Dans deux ans, les étriers seront toujours disponibles. Donc pas de raison de passer aux disques si tu n'as pas l'envie ou le besoin. En VTT, tu peux encore faire des montages light avec des V-brakes alors que ça fait 10 ans que le disque est la norme même si, je te l'accorde, ça nécessite une démarche spécifique.
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Terribles, les photos ! Du vélo comme je l'aime 😆
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Tiens moi au courant, possible que je fasse une partie du Géant ....
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Comment ta connaissance et ton expérience des freins à disques pourraient-elles expliquer sa mésaventure dans la descente du Mt Ventoux Je ne sais dire ce que Yann utilise comme matériel à part des plaquettes orgasmique 🤑 mais penser qu'avec des étriers, ça aurait été plus sûr n'est peut-être pas vrai. J'ai bien dit peut-être. Il y a quelques années, alors que je montais le Ventoux, j'ai vu arriver en face des cyclistes qui suivaient une voiture. Ils ne roulaient pas vite et à l'entrée de l'épingle, le pneu avant d'un des types a éclaté, l'envoyant dans une voiture qui montait. Je me suis arrêté et il s'est avéré que l'éclatement de la chambre avait été provoqué par l'échauffement de la jante, elle-même provoquée par le fait que les types venaient de faire la descente sur les freins, derrière cette voiture. Au toucher, la jante était brûlante. Normal, le principe même du freinage est de transformer l'énergie cinétique en énergie calorifique càd en chaleur.
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Ton intervention, techniquement argumentée, totalement dénuée de sentiments et dont je n'ai pas de raison de mettre en route l'honnêteté s'oppose en quelque sorte aux témoignages a priori tout aussi fiables de mécaniciens affirmant avoir dû remplacer des disques bleuis et voilés par la surchauffe à l'issue de certaines étapes du Tour de France. Je n'avais pas vu ton message, d'où ma réponse tardive. Je suis toujours très précautionneux quand il s'agit des dires d'une équipe pro. On ne sait jamais quel matériel est utilisé ou si un fournisseur n'utilise simplement pas la course comme banc d'essai. Donc, peut-être le matériau utilisé est-il expérimental ? Je n'en sais rien, mais je doute systématiquement des dires d'une équipe, fusse-t-elle à vélo ou en moto... Si le commun des mortels devait remplacer ses disques après 200 ou 300 bornes en montagne, tout le monde crierait au loup, moi en premier. Je lis ici et là des pros dire qu'ils n'ont pas besoin de disques dans la mesure où ils ne freinent que peu en descente. Logique, la route leur appartient et avec de bons points de repère, tu prends bien des courbes sans toucher aux freins là où un cyclo lambda mettrait les mains aux poignées. A côté de cela, je lis que des mécanos remplacent régulièrement les patins après une étape de montagne ou une étape de plaine nerveuse, là où les coups de frein fusent, la nervosité (j'imagine) et les changements de rythme aidant. Où est la vérité ? Franchement, je n'en sais rien. Mon choix de passer aux disques a été motivé comme suit : je me suis retrouvé pris dans un orage en entamant la descente du col de l'Iseran. A 40km/h, j'ai cru que je ne ralentirais jamais assez pour aborder l'épingle suivante, à plusieurs centaines de mètres. C'est passé tout juste (roues carbone Campa Hyperon, freins Chorus double pivot et patin rouge Campa). Une autre fois, en descendant le Mont Revard, une petite pluie fine se met à tomber. Je suis arrivé au pied du col, avec les doigts tétanisés par l'effort à fournir pour ralentir. La même *** m'est arrivée plusieurs fois en allant au travail, dans la descente de deux kilomètres à 9% de moyenne que je dois prendre pour quitter la maison. J'ai essayé différents types de patins, des jantes "étudiées pour"... Rien n'y a fait. En 2015, ayant eu l'envie de remplacer ma randonneuse qui était aussi mon vélotaf, j'ai opté par curiosité pour un cadre à disque. Ce fût la révélation : jamais plus d'ennui sous la flotte, un dosage et un toucher sans comparaison. Fini les jantes qui s'usent, fini la garde des freins qui évolue avec l'usure des patins, fini la paire de roue pour l'hiver et celle pour l'été. Et tout ça pour un vélo qui fait 300 ou 500 grammes de plus que son faux jumeau à étriers. Ai-je eu des emmerdes avec les disques ? Oui. J'ai voulu, une année durant, "jouer" avec du matériel exotique et ai monté un convertisseur câble - hydraulique de chez Trickstuff afin de garder mon triple plateau. Sur la durée, ce truc manquait totalement de fiabilité, tant au niveau du convertisseur que des étriers hyper lights associés. Ça se grippait, il fallait régulièrement démonter les pièces externes du convertisseurs et les graisser tant la sensibilité à la crasse était importante. Mais dès que je suis passé à des systèmes hydrauliques de "grands" constructeurs, ça a été zéro défaut. Pas de fuites, rien d'autre qu'une purge par an (15 minutes chez Shim ou TRP, 30 chez Sram) et le remplacement de plaquettes càd une vis, repousser les pistons et centrer. Les disques sont toujours dans les tolérances d'usure, je ne les ai jamais dévoilés, je n'ai jamais eu de vibrations même après des descentes brutales et rapides. Être perplexe est tout à fait normal ; être critique aussi. Choisir en fonction de sa pratique, mettre le curseur là où sont tes envies sont deux choses fondamentalement normales. Qu'on m'entende bien : je ne suis pas un détracteur des étriers, mais mon expérience de cyclo au gros kilométrage sur route, en Gravel et dans toutes les conditions me dit que les 500 grammes de plus et les 15 secondes supplémentaires pour réparer en cas de crevaison ne sont rien par rapport aux avantages que me procurent ce système, garant de ma sécurité. Enfin, si j'habitais dans le 06, je ne suis pas certain du tout que les disques seraient une nécessité pour moi.
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Il compare la pratique gravel avec la route. Les vitesses n'ont rien à voir. Non. Je parle de mon expérience avec des freins à disques pour la route, dans des cols route ouverte ainsi que sur des descentes en Gravel, en montagne où tu es constament sur les freins - soit deux cas de figure où le système route que tu décries est sollicité à son maximum. Et en réponse il utilise la vulgarité en contre argument De la moquerie, nuance 😉 Au début de l'ABS auto il y a eu l'idée reçue que le freinage était plus court que sans ABS. Ce qui était en fait le contraire 100% d'accord, et c'est toujours le cas à ce jour. Quant à ton dernier argument, j'y oppose simplement le bon sens : 1/ la puissance n'est globalement pas supérieure, elle est constante en toutes circonstances (qu'il fasse sec ou qu'il pleuve) et plus facilement dosable, même en cas de freinage d'urgence. 2/ la qualité des plaquettes n'est pas un argument pour démonter le système. Comme la qualité des patins ne permet pas de remettre en cause l'efficacité des freins à étrier. Avant d'arrêter de répondre, je te répète ce que je t'ai déjà dit : je me fiche de savoir qui roule avec des disques ou des étriers. Les deux systèmes ont leur place, Shimano a bien dit qu'il n'est pas question d'arrêter la production des étriers traditionnels. Bref, chacun fait son choix en fonction de ses besoins et de ses envies. Mais venir avec des arguments comme la trancheuse à jambon, les durits qui nuisent à la maniabilité, le gars qui se brûle avec les disques en pissant (et il faudra m'expliquer comment il a fait pour tenir son vélo en équilibre, disque contre sa jambe, même plus d'une seconde) et autres problèmes de surchauffe - soit autant d'argument qui ne résistent ni à la technique, ni à l'expérience sur la route - ça ne me va pas car c'est faux, malhonnête, comme ce fût le cas pour l'histoire de Ventoso, mise en scène par Campa. Si tu avais essayé un vélo de route à disques dans les conditions extrêmes dont tu te sers pour décrier le principe même et avec des composants simplement normaux, tu verrais qu'il n'y a pas de problème. Enfin, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit : le système est perfectible, sera amélioré au même titre que la transmission, les roues et autres composants d'un vélo.
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Alors les résines des jantes carbones sont censées tenir à des températures très élevées aussi. Pourtant il y a en a régulièrement qui ont des problèmes de jantes dont le carbone se délite. Mavic récupère chaque année plusieurs dizaines de participants victimes de ce problème lors de l'EDT C'est ce que je dis. le problème touchera surtout les disques avec un voilage, voir un écrouissage du métal. Tu as aussi le risque de la garniture qui se détache de la plaquette. Freins TRP, Shim ou Sram. Disques Avid en 160/140, plaquettes Shim ou TRP à 15€. Descentes de cols plein gaz, chargé, 106 km/h dans le Grossglockner (asphalte), 88 dans l'Izoard ; descentes de cols italiens avec des pourcentages pas possible - autres que ce qu'on voit généralement en France - à haute vitesse, dans la circulation avec les changements de vitesses que ça implique. En Gravel, des centaines de kilomètres en montagne, également chargé et dans ces conditions, tu freines presque tout le temps. Jamais d'emmerde. Suis-je un extra-terrestre ou ai-je eu de la chance ? Ce problème arrive aussi sur des plaquettes auto 1er prix ça t'est déjà arrivé ? Sur l'A4 de ton cousin, sans doute 😃 ? Disques voilés sur une auto, oui, souvent même, quand ça a chauffé ou quand c'est usé au delà de l'entendement. Plaquettes dont la garniture s'en va, je n'ai jamais vu, alors que j'ai travaillé des années chez un constructeur auto devenu aujourd'hui français. Mais bon, si tu achètes tes plaquettes auto à 5€ sur des sites chinois, tu sais que tu achètes de la daube qui va s'user très vite. Le problème ne vient pas de la conception du système mais de ce qu'on en fait ou des emmerdes qu'on cherche à avoir. Et quand tu vois la taille et la conception des disques auto et moto, on ne joue pas dans la même catégorie. Ce n'est pas comparable, ou alors au détriment des disques vélo. Un maître cylindre, des pistons récepteurs, du liquide entre les deux .... Le principe est le même, les dimensions & matériaux sont logiquement adaptés. J'ai simplement dit que les contraintes sont plus élevées à moto ou en voiture là où il n'y a pas de problèmes. Pourquoi y en aurait-il en vélo quand le même principe est adapté et dimensionné en conséquence ? Quel fabricant prendrait le risque de se voir traîner devant un tribunal car son produit a entraîné une chute ? As-tu déjà vu, sur un vélo de route, une plaquette dont la garniture s'en est allée ? Un peu d'honnêteté intellectuelle de la part d'un type qui n'a jamais essayé sur le long terme (mais qui a lu et qui a un vélociste qui ceci et un cousin qui cela...), c'est trop demander? En conclusion, tes arguments sont pipeau On ne dira pas la même chose des tiens qui n'existent simplement pas. Tu imagines des problèmes avec les disques qui en fait, se situent entre ton clavier et ta chaise 😆 🤐
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Les plaintes encore trop nombreuses concernant des pertes d'efficacité lors des longues descentes de cols Je ne voulais pas rentrer dans le débat et ne ferai qu'une seule intervention. S'il y a bien une situation où les disques sur route sont un plus, c'est en descente de col. Le point d’ébullition d'un liquide DOT est de 260 C°, et 200C° pour l'huile minérale. A moins de le faire exprès, c'est impossible d'arriver à avoir du vapor lock et une perte d'efficacité. Il faut réellement rouler comme un manche et descendre en permanence sur les freins pour risquer des ennuis, mais dans cas, la chaleur dégagée par la jante d'un système traditionnel risque tout aussi bien de faire exploser la chambre ou de délaminer le carbone de certaines roues. Le liquide DOT est le même que celui utilisé en voiture, en moto.... et ces dernières ont emmagasiné bien plus d'énergie au moment où elle doivent freiner qu'un vélo, donc elle auront bien plus d'énergie à transformer en chaleur dans leurs phases de freinage que n'importe quel vélo. Cette affirmation est aussi farfelue que la trancheuse à jambon. La lame de la trancheuse du boucher ne fait pas 1,8 mm, mais 0,2 mm et est affûtée comme un rasoir. J'ai toujours arrêté les roues arrières de mes VTT et vélos de route par la tranche du disque quand ils sont sur le pied d'atelier, c'est le moyen le plus simple. Edit : ai descendu des cols comme Agnel versant Italien, Izoard ou encore l'Assietta en Gravel et chargé. Le Gravel, c'est OBLIGATOIRE de freiner très régulièrement, tu ne peux te laisser descendre. Je n'ai JAMAIS pris le système en défaut, avec du liquide minéral, soit le plus sensible à la chaleur.