Jérémie LAPLAC

Un nouveau FKC est en construction. TR7 version montagne en ultégra DI2 Voilà une bonne nouvelle !

Non Thierry, ce sont des hydrauliques. J'avais testé il y a quatre ans des Avid à cable. Aucune progressivité, vraiment un jouet du Père Noël. Quand je me suis monté mon premier Gravel qui est devenu mon vélo de bikepacking, je voulais conserver le triple. J'avais trouvé un convertisseur chez Trickstuff : les cables tirent sur un maitre-cylindre. Très léger, trop sans doute. ce système très efficace est peu fiable. Puis l'an passé, je suis tombé sur le système Gevenalle (ex-retroshift) & TRP. C'est simplement parfait, facile à purger et bien moins spongieux que la *** de Sram que j'ai eu la mauvaise idée de mettre sur mon Open...

même si je me sens complètement collé dans les bosses sur route avec ce vélo. Sur la route, un Gravel prend alors tout son sens dans les conditions que tu décris. Tu es sensiblement moins collé qu'en VTT, tu as accès à une gamme de pneus cohérente et variées... Je suis sorti ce matin et ai emprunté des routes enneigées, ça tient très bien. Et sur l'asphalte, on est certes un peu moins vite qu'avec des boyaux de 23 ou 25, mais c'est beaucoup plus efficace qu'un VTT avec une fourche qui pèse un âne mort et des pneus de 55 mm à crampons.

Oui tu as du 160 à l'avant, mais pas à l'arrière. L'UCI parle d'harmoniser 160 à l'avant et à l'arrière. Non, je suis en 160 devant et derrière, sur un Open U.P. Pas moyen de faire autrement. Le vélo en TRP est en 160/140. Le meilleur compromis, selon moi, le 160 derrière est inutile. Quant au blocage de roue arrière, soyons honnête : ça arrive tout aussi facilement avec du patin.

Or, pour un cycliste léger, le 160 freine trop fort, avec un risque de blocage de roue et toujours un effet on/off. Faux. je pèse 61 kg, j'ai du 160 à l'avant et je ne suis jamais parvenu à bloquer la roue avec des pneus de 25, même en cas de freinage d'urgence. Et quand tu parles de l'effet on/off, il est inexistant sur le Sram Force et le TRP que je possède (peu importe les plaquettes) et la progressivité du DA 9100 que tu as sans doute testé toi aussi est simplement sidérante.

Le problème, c'est surtout la dissipation de la chaleur sur un disque de 140mm dans une descente de col par exemple. Pas pour des pros qui vont freiner comme en moto GP càd à 50 mètres de chaque épingle. La vitesse entre les freinages permet un refroidissement très rapide du liquide.

D'abord la standardisation de la taille du disque. Est-il normal d'imposer à un coureur de 55 kg le même disque qu'à celui de 80 kg. Non, l'efficacité du freinage en dépend. Qiand ils roulent en patins, ils ont tous la même puissance. Un disque de 140 devant est suffisant ... Et en patins, slon que tu roules en Campa ou en Swissstop, les différences de performances sont aussi très importantes.

Et moi je mets même un condom pour pisser, après avoir enlevé le vert tutu bien entendu. Et moi, je mets des bottes en caoutchouc pour rouler à vélo car on m'a dit que le sida s'attrape aussi par les pédales.

Je trouve tes interventions fort amusantes 🤐

Question entretien: entre les plaquettes, la purge des freins, le graissage des pistons d'étriers et les changements de joints (il parait que l'huile utilisée est corrosive et engendre des fuites), notre cyclo technophile s'en tire au bas mot pour 300 E par an. En ce qui me concerne, je trouve cela un peu cher pour un truc qui ne ma parait pas indispensable. Didier, ton copain se fait arnaquer. Les freins Shimano utilisent la même huile que les voitures (DOT) Une purge tous les ans est largement suffisante. Elle a pour but principal de renouveler le liquide qui se "charge" en humidité, ce qui a pour résultat d'abaisser le point d’ébullition. Une purge sur ce système prend 15 minutes et est facturée 20 euros, matériel compris, chez un vélociste compétent et honnête. Ce même liquide n'engendre aucune fuite, c'est totalement faux. Enfin, les pistons ne se graissent pas. Tout au plus, on applique un peu de vaseline sur la partie exposée du cyclindre, mais ce n'est pas une obligation. Les joints d'étanchéité sont naturellement au contact de l'huile et sont prévus pour fonctionner au contact de celle-ci, comme sur une voiture, une moto ou un VTT.

Sur les 300 modèles 2017 invendus il y en a 200 qui sont à disques ! Quant aux vélos de route à freins sur jante soldés, ils partent souvent rapidement en quelques jours. Tu n'as pas les chiffres de vente et de production pour déterminer si oui ou non c'est un flop. Si Canyon a produit 10 vélos à patin et en a 5 sur les bras alors qu'ils ont produit 500 vélos identiques à disques et qu'il leur en reste 50 en liquidation, je serais ten té de dire que c'est la fin du patin car 50% de leur production leur reste sur le dos. Autre chose, regarde les tailles. Beaucoup d'extrèmes, peu de tailles standards. Bref, l'exemple de Canyon ne peut pas être révélateur dans la mesure où il manque énormément de données pour interpréter ce qu'on voit en solde.

pour la première fois on parle de quelque chose qui fait régresser le vélo. Du moins pour ceux dont l'idée est de rouler vite ou loin avec leur vélo Tu y vas un peu fort. Ceux qui vont vite iront vite avec des disques ; voir Kittel, même si tu vas me sauter à la gorge. Et ceux qui vont loin iront tout aussi loin. Au lieu de critiquer un système qui a des avantages économique (si si, fin de l'usure de jante par exemple) et technique, il faut objectiver les choses. Le disque ne sert pas à grand chose à notre schtroumpf qui roule sur le plat et évite les nuages. C'est une avancée majeure pour un type comme moi qui roule même quand il fait dégueulasse et uniquement là où ça monte et ça descend. Je rejoins en partie ce qui a été dit plus haut. Je me rappelle sur ce même forum les guerres de religions lors de l'arrivée des 11 vitesses ou mieux encore, des premiers DI2. On est ici dans le même registre, on se croirait dans le bâtiment : "on a toujours fait comme ça, alors ça ne sert à rien". Enfin, même si ça va faire hurler, des locomotives de guerre comme Spe, Canyon ou Cannondale ne vont pas proposer indéfiniment deux gammes parallèles et s'aligneront sur le gros de leurs marchés - à savoir les pays anglo-saxons très ouverts à ce type de nouveauté. Elles obligeront leurs équipes pros à y passer. Comme le peloton est une immense pancarte publicitaire, les autres "coursiers" finiront par suivre. Je n'aime pas cette stratégie qui consiste à imposer des choix, mais c'est comme ça que ça fonctionne. Quant à l'argument "en course, ça ne sert à rien", les décideurs du sport s'en foutent. Regarde en Formule 1, la technologie hybride qui ne sert à rien et que personne ne comprend a été imposée. Idem au Mans. Mais comme ce sont des vitrines marketing et qu'Hamilton et Vettel ne sont que des hommes sandwiches, c'est à travers eux que ces technologies vont être véhiculées. A vélo, c'est le job de Kittel, Froome ou Sagan.

Moi aussi, d'où mon propos.

Quand je vois certains à l'œuvre lors d'une crevaison, il y a de quoi se poser des questions pour remplacer des plaquettes et purger un circuit hydraulique Argument tout aussi recevable pour des patins, des cables et des gaines. J'ajouterais quand même qu'il est aussi simple de purger un frein à disques Dura-Ace ou Ultegra que de remplacer gaines et cables de frein sur le modèle traditionnel équivalent. Sram, par contre, c'est une *** sans nom à purger.

Avec pleizir. Petite question, pourquoi veux-tu prendre une Sram plutôt qu'une Shimano ?

aucun problème ;=)

Avec un jour de retard, happy birthday, Franck ! Hier, je me suis aventuré dans les Hautes Fagnes, sur les routes que nous avions parcourues ensemble il y a quelques mois. D'un naturel optimiste, je n'avais guère prêté attention aux cartes météo, ce qui m'a valu des kilomètres de routes recouvertes d'un magnifique tapis blanc dans le triangle Eupen - Montjoie - Kalterherberg. Drôle d'effet que de croiser des skieurs de fond sur mes routes de prédilection 🤐 Pas de statistiques précises, le froid a eu raison de la batterie du GPS. Je ne retiens donc que l'essentiel : parti à 8h et rentré vers 16 heures avec une pause soupe sandwiche à Montjoie et des paysages à couper le souffle éclairer par un soleil en lutte avec brumes et nuages.

Première sortie de l'année ce matin après avoir débuté 2018 sur des skis. Reprise tranquille, 70 kilomètres et 810 mètres de D+ sur des petites routes sales mais sèches avec entre-autres le Bois de Beyne, toujours aussi calme et pentu. Le mois de janvier s'annonce calme d'un point de vue professionnel, je compte bien en profiter pour accumuler les kilomètres. Une sortie dans les monts des Flandres n'est d'ailleurs pas exclue 😉

J'étais parti pour faire le parcours de 100 km de la Lumberjack, première édition d'une rando gravel organisée dans le Limbourg belge. Madame s'était inscrite sur le 60. Une fois arrivés à la bifurcation, je n'ai pas voulu la laisser seule dans la flotte à 2C° et le vent ; la météo a transformé les chemins de terre battue en semi-bourbier et les petites routes en chemin en terre battue. Très beau parcours, mais je me demande toujours où sont les quelques 350 mètres de D+ annoncés tant c'est plat. C'est en sillonnant ces routes qu'on comprend mieux comment la Flandre peut produire de si nombreux cyclocrossmen. Bonne ambiance générale, très belle organisation avec de la soupe chaude aux ravitos, un hamburger et une bière compris dans le prix d'inscription.... Bref, une chouette journée sur le vélo à gentiment tourner les jambes. Je termine de laver les vélos, pas besoin de vous faire un dessin quant aux kilos de crasse accumulés sur trois heures dans de telles conditions C'était la dernière de l'année. Rdv en 2018.

Une fois n'est pas coutume, j'ai déserté les bosses des Ardennes pour aller dans le Condroz et ses petites routes boueuses, défoncées mais sans voiture. 77 kilomètres hier, un gros 50 aujourd'hui. Impossible de rouler très vite dans de telles conditions : ça monte, ça descend, il y a du vent, de la pluie et les routes sont couvertes de la boue ramenée par les tracteurs.... Pour le peu que j'ai roulé en décembre, je ne me plains pas de l'état de forme.

Booking et Airbnb sont tes amis. Dépêche-toi, ça se remplit très vite à cette période.

en 1979 ... je me pointe à Katowice ... on est invité ... on cherche un fleuriste ...1 œillet disponible ... arrivage de paniers en osier ... bagarre des femmes qui faisaient la queue pour avoir le dernier ... nos hôtes ont besoin de nourriture ... 3 heures de queue pour avoir un poulet. Comme le disait Coluche, un sandwiche polonais, c'est deux tickets de pain avec un ticket de jambon entre les deux 😃😆

Moi j'ai vu des groupes entiers s'arrêter n'importe ou n'importe comment, là aussi je m'interroge. L'impression de voir des cyclistes vivre dans un monde complètement parallèle comme s'ils laissaient leur cerveau à la maison (s'il en ont un). Je suis d'accord avec toi, certains cyclistes sont de khons. Deux de mes amis roulent systématiquement au milieu de la route et hurlent au loup quand ils se font klaxonner, ce qui ne manque jamais. Et ils refusent de comprendre alors que ce sont deux personnes intelligentes et prudentes en voiture. Mais une attitude aussi prudente soit-elle sur le vélo ne garantit en rien une sécurité absolue. Il suffit d'un conducteur distrait ou irresponsable et c'est fait.

Michel, je plussoie. Tu oublies juste les analyses textuelles qui comparent le récit original aux philosophes français 😃

tu reves là. Cherche simplement à savoir ce que l'intelligence artificielle est capable de faire aujourd'hui et n'était pas capable de faire il y a trois ans. ça fout la frousse.