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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Chez moi c'est justement le contraire, ça se produit uniquement quand je ne pédale pas en force, et seulement en côte à forte pente. Agaçant, c'est le mot juste. Ça ne m'inquiète pas non plus outre mesure, je me dis que si c'était vraiment problématique ce grincement s'aggraverait sous forte contrainte, donc avec gros braquet ou en danseuse. Et ce n'est pas le cas, au contraire les grincements s'arrêtent alors. Mais voilà, je n'y peux rien, ça m'agace. Comme tout le monde je suppose, j'aime pédaler en silence, c'est une partie de mon plaisir à vélo. Les bruits parasites me grignotent la tête à la longue.
  2. Non, c'est une manivelle Spécialités TA sur un boîtier Shimano à axe carré compatible. Je n'ai pas encore regardé de ce côté. Le plus curieux de l'affaire est que le grincement se produit uniquement en côte à bonne pente (7% et plus), qu'il se produit seulement quand je suis assis, et sur des braquets petits ou moyens. Sur pente plus faible (quelle que soit la cadence), ou quand je suis sur gros braquet, assis ou en danseuse, ça ne grince pas. Quand je sprinte à fond, donc à haute cadence, il n'y a pas de grincement non plus. J'avais eu un grincement semblable il y a longtemps qui venait tout bêtement de la selle, mais il ne se produisait pas seulement en côte, et devenait plus fort quand je forçais… Autre curiosité : quand j'entends le grincement et que je désenclenche la pédale gauche en montée pour pédaler seulement du pied droit, le grincement s'arrête bien sûr, mais il se produit à nouveau dès que je réappuie sur la pédale gauche avant même d'enclencher la cale. J'ai aspergé la cale et la pédale de WD40 ce matin, démonté et nettoyé la cale de rehausse hier soir avant de la replacer… Il n'y a pas eu de grincement pendant le premier km de montée pentue, et puis il est revenu 😞 Je suis au bout de mon latin, là. Quand je reviendrai de mon séjour du côté de Tours, je jetterai un œil sur la manivelle, à tout hasard.
  3. Aux championnats du monde de 1989 (vainqueur Greg LeMond) il n'était pas nombreux non plus à boucler le circuit, je m'en souvenais bien. Un petite recherche me l'a confirmé : 42 classés au final. Pas trouvé le nombre de partants, mais ça devait être du même ordre que pour Glasgow. Et pourtant, Chambéry, c'est un des plus beaux championnats du monde de l'histoire. Tiens, sous la flotte aussi 😉 https://www.les-sports.info/cyclisme-sur-route-championnats-du-monde-resultats-1989-hommes-epm11962.html https://www.youtube.com/watch?v=z0SxsYIgotE&t=14s
  4. Un bon 68 km aujourd'hui par un temps ensoleillé et cette fois-ci sans vent notable, dans le massif de la Chartreuse. Au menu, le col de Porte (1316 m d'altitude) via Saint-Égrève (et non Saint Agrève comme pour Claude ;-)) et Quaix-en-Chartreuse. Solide ascension de 19 km assez irrégulière (notamment une redescente de 2 km) avec des passages assez raides, et un col intermédiaire, 2,5 km avant le col de Porte : le col de Palaquit (1154 m). L'ascension (sauf ces derniers 2,5 km, pas très pentus) est répertoriée ici par Climbfinder: https://climbfinder.com/fr/montees/col-de-palaquit-saint-egreve Sur cette page, il est indiqué à tort que la montée n'est actuellement pas accessible. La route était en effet en travaux récemment (du fait de dégâts importants causés par des pluies diluviennes) mais la circulation est complètement rétablie depuis fin mai. Sensations étonnamment médiocres : contrairement à mes deux sorties montagnardes précédentes j'ai eu l'impression de me traîner tout le long de la montée (et il y avait en plus ce grincement régulier de cette fichue pédale gauche, toujours pas résolu malgré mes efforts, pour me taper sur le système). Il va falloir que je reste sur le souvenir de ces mauvaises sensations pendant un bout de temps : je n'aurai pas le temps de sortir demain jeudi, et je pars vendredi du côté de Tours pour le mariage d'un cousin, pour une petite semaine, sans vélo.
  5. Pareil en Isère, mais l'été s'annonce enfin ces jours prochains après un automne pénible.
  6. 1965 😉
  7. C'est pour ce genre de désagréments que j'évite le carbone, en général… Au juste, tu ne m'aurais pas marabouté, par hasard ? Depuis quelques sorties, ma pédale gauche grince régulièrement dans les côtes, uniquement dans les fortes pentes que j'affectionne (et quand je suis assis, pas en danseuse bizarrement), et pas moyen d'y remédier. 😡 Je soupçonne quand même la cale de rehausse que j'ai placées sous la semelle en raison de ma jambe gauche plus courte que la droite, mais comme je ne peux plus m'en passer… Et pour le temps qu'il fait, pas de jalousie, ici à Grenoble j'ai eu depuis mon arrivée le même type de temps qu'en Belgique : frais, venteux (et pluvieux le jour de mon arrivée et le lendemain).
  8. Je ne m'arrête jamais en montant une côte (sauf pépin genre crevaison ou grosse crise de crampes), c'est un principe. Question de fierté 😎 Si je fais des pauses-photos, c'est toujours au sommet ou lors de la descente.
  9. J'ai vu des changements de roue à disques ne prendre même pas dix secondes. Le gars qui dépannait le coureur avait à chaque fois une visseuse électrique pour démonter et remonter la roue et son axe traversant. Mais certaines équipes, je ne sais pas pourquoi, effectuent encore leurs dépannages avec un simple clé allen, ce qui prend forcément plus de temps.
  10. Un petit 35 km aujourd'hui au total, pour aller grimper la côte la plus proche de chez mes parents : la montée à Freydières et au carrefour dit des Quatre Chemins (1306 m d'altitude), dans le massif de Belledonne. Première fois de l'année que je dépasse la cote des 1000 m. https://climbfinder.com/fr/montees/bois-de-freydiere-domene Après celle du col du Coq, de l'autre côté de la vallée, c'est probablement la côte alpine que j'ai le plus souvent grimpée. Elle est en cul-de-sac pour les voitures et les vélos de route au carrefour des Quatre Chemins, mais ce petit désagrément est largement compensé par la présence du petit lac de Freydières, 1,5 km avant le sommet, et de quelques bars-restaurants. Temps sec, ensoleillé mais à nouveau assez frisquet pour la saison et l'endroit (à peine 21° en plaine lors du départ) et surtout venteux, ce qui est rare dans la région, avec des rafales soudaines qui dissuadaient de lâcher le guidon en descente, même pour saisir le bidon. Quelques photos prises lors de quelques arrêts en cours de (re)descente : Le petit lac de Freydières (1130 m d'altitude), sur les bords duquel il fait bon se prélasser… Le bar-restaurant La Gélinotte, juste à côté du lac, halte obligatoire pour déguster une boisson ou une tartelette aux myrtilles… 🙂 Vue sur Grenoble prise du hameau du Rousset, lors de la descente. Au fond, le massif du Vercors. Les deux sommets de Belledonne qui dominent l'itinéraire : la Grande Lance de Domène (2790 m d'altitude) à gauche et le Grand Colon (2390 m) à droite.
  11. Première sortie grenobloise aujourd'hui, par temps sec, venteux 😞 et frisquet : 148 km. L'aller effectué en longeant l'Isère jusqu'à Saint-Romans (visite chez une cousine), et au passage la côte de Montaud, au nord du Vercors, un joli morceau de 6 km à presque 10% de moyenne: https://climbfinder.com/fr/montees/tunnel-du-mortier-veurey-voroise (les 6 premiers km de ce profil) Retour par le même itinéraire et donc à nouveau la côte de Montaud, par son autre versant bien sûr, un peu moins pentu, et plus panoramique: https://climbfinder.com/fr/montees/montaud-cote-de-maillet-saint-quentin-sur-isere Sensations globalement correctes sur ce parcours globalement plat à l'exception des deux versants de Montaud.
  12. « Descendu » de Bruxelles à Grenoble aujourd'hui (950 km). Pluie et vent violent presque continus jusqu'au plateau de Langres, à mi-distance à peu près, puis succession d'averses, et le beau temps pour les derniers 300 km. Pas de bol pour les Grenoblois, j'ai emmené dans mes bagages le mauvais temps pour demain…
  13. Franck, lui, n'est pas déprimé : il va aller à Grenoble demain (départ reporté d'un jour suite à des impondérables) et sera heureux de retrouver sa famille, et quand il reviendra il sera tout content de retrouver son pays d'accueil, qui sera bien sûr à ce moment-là inondé de soleil 🙂
  14. Si je me limite aux échanges de population entre Belgique et Provence : à superficie égale la Provence est nettement moins peuplée que la Belgique. Donc, à moins de détruire la si belle nature locale, ce qui n'est pas vraiment le but, les nouveaux habitants risqueront de devoir se serrer un peu 😉 Tandis qu’en Belgique, le type d'habitat ultra-dispersé a fait en sorte qu'à part dans les Ardennes (et encore), il ne reste pas grand’chose comme zone non habitée ou protégée…
  15. Pour ma part, quand j’étais vélo-taffeur, les seules choses qui m’arrêtaient étaient la neige et le verglas. Aujourd’hui je suis encore plus écolo en la matière: pour aller bosser, je marche 🙂
  16. 🙂 On peut toujours rêver… Blague à part, je vais loger en plaine à 200 mètres d'altitude, et ce n'est qu'à l'occasion de mes grimpettes que je pourrai passer au dessus de 1000 m, et exceptionnellement au-dessus de 1500 m. Comme stage d'altitude, ça ne va donc pas être folichon. Par contre, c'est sûr, j'aurai de quoi faire question dénivellation :-))
  17. Je ne te savais pas amateur de science-fiction ? 😛 (Tous les retraités que je croise trouvent le moyen de ne JAMAIS se reposer, et parfois d'ailleurs ils s'en plaignent : « c'est ça la retraite ? ». D'autres par contre assument et bossent comme des malades, mais dans un domaine qu'ils ont choisi… ça fait toute la différence.)
  18. Un petit 48 km ce matin, à l'est et au sud-est de Bruxelles, dans la vallée de l'IJse essentiellement, pour ma dernière sortie avant mon départ pour Grenoble (normalement demain). Le temps était sec, ce qui est actuellement un événement en soi, il fallait donc en profiter ! Même à Grenoble c'est du mauvais temps qu'ils prévoient jusqu'au week-end… Comme d'habitude, des bosses consistantes au programmes : entre autres le Horenberg, le sempiternel Smeysberg, la Moskesstraat, et pour m'achever le Kardaan. Une petite frayeur dans ce dernier talus, quand la roue arrière s'est mise à déraper sur les pavés parsemés de feuilles dans le passage à 25%, mais elle a vite repris de l'adhérence et j'ai pu rester sur le vélo. De façon générale, j'ai gravi les côtes à un train relativement soutenu, avec à chaque fois un sprint près du sommet. Une façon comme une autre de travailler le changement de rythme, et ça pourrait m'être bien utile pour «choper les roues» lors de la Vélomédiane, un exercice qui ne m'est toujours pas familier. Temps sec donc, mais à nouveau frisquet et venteux, ce qui m'a fait ressortir encore une fois la tenue d'automne : veste à manche longues, maillot de corps à manches longues également, cuissard thermique. Et l'imper en début de sortie, le temps de m'échauffer.
  19. Heu, du temps où j'étais étudiant, j'allais à l'université de Grenoble à vélo tous les jours. Idem pendant mon service militaire (je logeais chez mes parents, à dix kilomètres de la base, ça faisait des frais de logement en moins à l'armée). Et je devais m'habiller comme ça très fréquemment. S'habiller comme ça, en fait, c'est le lot du vélo-taf concret dans les régions non méditerranéennes… l'immense majorité des régions européennes, quoi. J'imagine le grand mouvement de population des décennies futures : les peuplades nordiques, à la recherche du soleil, vont s'établir en masse dans le pourtour méditerrannéen (va y avoir un problème de place…), tandis que les Méditerrannéens, en grand manque d'eau, vont s'établir en masse plus au nord et auront toute la place qu'ils voudront. 🙂
  20. Vers Cuesmes et le Hainaut en général, ça ne semble pas prévu pour les prochaines années… 🙁 (à part le long du canal Bruxelles-Charleroi, pour ce qu'il en est déjà). Par contre, c'est planifié pour 2025 le long de la N4/E411 jusqu'à Louvain-la-Neuve et le long de la N275 jusqu'à Ottignies. https://www.lavenir.net/regions/brabantwallon/2022/06/09/corridors-cyclables-sur-la-n275-et-le411-entre-le-brabant-wallon-et-bruxelles-ca-roule-3XVQJ4P6FJB4JCOPZXVAV7SY2E/ Et tout particulièrement le long de la N275 (La Hulpe, Genval, Rixensart, Céroux-Mousty, Court-Saint-Etienne) ce ne sera pas du luxe : actuellement, circuler à vélo le long de cet axe, c'est tout simplement infernal. Crois-moi, ce tronçon de 1,85 km qui va de La Hulpe jusqu'aux portes de Hoeilaart, il est déjà TRÈS bienvenu, vu ce qu'il remplace !
  21. Côté flamand c'est devenu un billard, ils ont rénové tout le chemin de halage dernièrement, dans le cadre des travaux de l'autoroute cycliste Hal-Bruxelles. https://fietssnelwegen.be/fr/cyclostrades/C20 C'est dans le Brabant wallon que l'état du chemin (là ça s'appelle un RAVeL) reste assez déplorable. Ceci dit, elle est apparemment en train d'être rénovée sur une longue section, fermée en ce moment. D'après ce qu'on en voit à partir des limites de la zone en travaux, ils sont occupés à remplacer les dalles de béton. Sur le territoire de Ronquières (section de Braine-le-Comte), donc en Hainaut, la piste a été recouverte d'une couche d'asphalte récente, mais les racines des arbres voisins déforment déjà le chemin. On sautille sur sa selle un peu trop souvent, mais c'est déjà bien mieux qu'en Brabant wallon. On peut espérer une amélioration à moyen terme, la Wallonie semble enfin accepter de suivre l'exemple flamand en ce qui concerne les autoroutes cyclistes. https://www.lalibre.be/belgique/mobilite/2023/05/05/la-wallonie-inaugure-son-premier-troncon-dautoroute-a-velos-vers-bruxelles-XVRZ6NDIYJDRPLXA3DQ55TCEKE/
  22. Avec ce vent, oui, j'ai parfois eu un peu la frousse, surtout sur le canal Bruxelles-Charleroi : à un moment donné on longe les anciennes Forges de Clabecq et le chemin bétonné passe vraiment tout au bord de l'eau, sans barrière d'aucune sorte. Je peux t'assurer que j'empoignais le guidon par le bas, et fermement ! J'ai quand même croisé pas mal de cyclistes, notamment le long de ce canal. Mais ce qui m'a le plus surpris, c'est quand je suis passé à Braine-le-Comte : on aurait dit une ville fantôme, il n'y avait pour ainsi dire personne dans les rues. À croire que tous les habitants sont partis en vacances au soleil !
  23. Oui, sur la grande distance. Tu fais la distance intermédiaire, comme l'année dernière ?
  24. 104 km aujourd'hui dans le temps frisquet, grisâtre, pluvieux et venteux actuel en Belgique. Départ sous la pluie, qui s'arrête au bout d'une demi-heure, puis reprend un peu plus loin pendant quelques minutes, pour s'arrêter définitivement, à un crachin inoffensif près dans le dernier km. En fait c'est surtout le vent, assez fort et soufflant en rafales, qui s'est amusé à jouer les trouble-fêtes. Direction le Hainaut aujourd'hui. Aller vent défavorable mais à peu près plat le long du canal Bruxelles-Charleroi, jusqu'à Ronquières et son plan incliné, puis chemins de traverse vallonnés via Ecaussines jusqu'à Braine-le-Comte et le hameau du « Point du jour » en bordure du bois de la Houssière où j'ai fait une pause casse-croûte. Retour avec un maximum de bosses en quittant le Hainaut, via Virginal-Samme, Ittre, Braine-le-Château, Dworp, Beersel, Linkebeek, Uccle, Forest, avec entre autres trois classiques de la région : la Sablière, le Bruine Put et la rue du Mystère. https://climbfinder.com/fr/montees/avenue-du-beau-sejour-wauthier-braine https://climbfinder.com/fr/montees/bruine-put-dworp https://climbfinder.com/fr/montees/rue-du-mystere-forest Excellentes sensations dans les bosses. Au point de ne pas être descendu en dessous de 11 km/h dans la rue du Mystère, ce qui est rare pour moi dans de tels pourcentages, même dans cette courte côte. Moins bonnes sensations contre le vent, mais me connaissant ce n'est pas une surprise 🙂 Mardi ou mercredi, départ pour Grenoble, pour une dizaine de jours, histoire de renouer un peu avec mes racines… et de faire quelques cols. 🙂
  25. Allons, allons, un peu de positivisme : un peu de pluie, c'est vivifiant et stimulant, et le vent est ton ami, je te l'ai toujours dit ! 😛 Sur ce, je vais borner un peu, moi.
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