Franck PASTOR

Ne pas hésiter pas à consommer belge, suisse, canadien ou monégasque aussi 😃 pour ne lister que les pays où le français est langue officielle et maternelle d'une partie de la population. Si j'ajoutais les pays où le français est « seulement » langue officielle, ce serait un peu long! 😉 Condoléances à la famille et aux proches de Victor Cabedo.

Pourquoi? Si le maintien du pied est correct (et avec des lacets il n'y a pas de raisons pour qu'il ne le soit pas) et si la semelle suffisamment rigide, où est le problème côté rendement? Le plus important est de se sentir «bien dans ses pompes», y compris à vélo, et apparemment il faut ce genre de chaussures à Taylor Phinney pour qu'il se sente bien dedans. Après, l'esthétique, c'est une autre histoire! Moi aussi je les trouve vraiment moches. Pour les lacets, outre le fait qu'ils peuvent se prendre dans le pédalier s'ils sont trop longs, je ne leur vois qu'un inconvénient: on ne peut pas modifier le serrage en cours de route sans devoir s'arrêter. Mais comme ils ont quasiment tous des surchaussures dans les contre-la-montre maintenant…

Pour ma part, j'ai changé mes chaussures il y a deux mois parce que leurs semelles (extérieures) s'étaient déformées au contact de la pédale, ce qui provoquait un jeu vertical dans la fixation. Les chaussures en question étaient des Time Axion, un modèle pour cyclotouristes permettant la marche. Elles avaient deux ans et demi d'âge et je ne sais quel kilométrage (je n'ai pas de compteur), peut-être 15 000 km environ. La solidité de la semelle est apparemment un point à surveiller pour ce type de chaussures, moins rigides que les chaussures route classiques. Là j'ai pris des Specialized Sport MTB. Une chaussure de type VTT, donc permettant la marche également, mais dont la semelle est bien plus épaisse. RAS pour l'instant.

Le fait que le câble ne montait plus facilement au départ, signifiait peut-être qu'il était usé et donc qu'il était à changer. Si le réglage était correct, je ne vois pas d'autres explications possibles.

Hier matin, sortie de quatre heures dans l'est de Bruxelles à un rythme cool 99% du temps, avec une température carrément hivernale (8°, tenue chaude de rigueur!), un ciel changeant, quelques bruines et surtout beaucoup de vent pour changer 🙁. Trajet global : Bruxelles-Louvain-Overijse-Bruxelles. Vers la fin, j'ai mis les gaz dans la traversée d'Overijse le long de la Nationale 4, qui se fait par une côte longue pour la région, peu pentue mais avec deux épingles à cheveux, une grande rareté en Flandre. C'est le seul moment où je me suis rentré dedans. Il m'a fallu d'ailleurs quelques minutes pour récupérer ensuite. La bonne saison, celle de la grande forme, est vraiment finie! À part ça, une sortie sans histoire particulière.

Tant pis. Mais ça sera peut-être bénéfique pour finir, si tu souhaites un jour aller voir du côté des montagnes avec ta bécane. Ceci dit, ça m'étonne. Ils ne peuvent pas te démonter le triple et monter un double à la place? Ils doivent bien avoir ça en réserve. Demande-leur combien ça te coûterait.

Il porte des chaussures cyclistes très particulières, le médaillé d'argent des Mondiaux du contre-la-montre. Jugez vous-mêmes : http://sport.be.msn.com/cycling/fr/nieuws/article.html?Article_ID=607896

On voyait immédiatement qu'il n'était pas au mieux, il changeait sans arrêt de position sur sa selle. Sur le bec de selle, puis sur l'arrière de la selle, et en danseuse de ci-de là. Pas idéal. Les commentateurs de la VRT pensaient qu'il se ressentait encore de la Vuelta. Et ce n'était quand même pas un parcours fait pour lui. Sur le CLM d'Annecy il y avait une côte bien plus longue que le Cauberg, ça avait fait la différence avec Cancellara.

Oui, il faut avoir exactement les mêmes points d'appui, idéalement. Mais attention à la hauteur de selle : même si les deux selles sont identiques, si l'une est usée et l'autre non, la hauteur de selle concrète (une fois qu'on est assis dessus !) risque d'être différente car la selle usée peut être plus souple. Il faudra alors diminuer légèrement la hauteur de la selle neuve par rapport à la plus ancienne. Le mieux est alors de se fier à ses sensations.

J'en sais rien, je ne suis pas Belge moi-même après tout. Mais on dit ici que les Français adorent les blagues belges parce qu'elles sont faciles à comprendre. On dirait d'ailleurs qu'ils adorent les blagues faciles, en général. Ça se voit encore avec ce sujet! 😛

Les familles de ceux qui sont morts d'un cancer de la prostate vont-elles rigoler? Désolé mais j'ai du mal à rire là-dessus. OK je sors…

C'est spontanément ma fréquence sur le plat, donc j'y tiens… pour moi! Mais c'est aussi la fréquence qu'on recommande le plus souvent pour les longues distances sur terrain peu vallonné, et c'est pour ça que je l'ai prise comme exemple. Ça semble aussi la fréquence moyenne la plus souvent utilisée (sur le plat, s'entend) par les cyclistes sportifs. Après chacun fait comme il le sent, personne n'est fait pareil. Et on n'est pas fait tous fait pareil que toi non plus!

En admettant qu'on tourne les jambes idéalement sur le plat à 90 tours/minutes, avec un 51/19 on va à 30 km/h… Et crois-moi, la plupart des cyclistes non-compétiteurs auront bien du mal à tenir longtemps un 30 km/h avec un fort vent de face!!! Alors, un débutant… Donc dans ces conditions, soit on diminue fortement la fréquence de pédalage et on force inutilement (à moins de faire une séance de muscu sur vélo, mais alors ça ne doit pas durer longtemps), soit on diminue le braquet, et dans ce cas mieux vaut passer au petit plateau pour préserver la ligne de chaîne.

Tu m'as bien lu ou pas? Je conseillais ça : Si tu pars vraiment de zéro en roulant sur un terrain très vallonné, a priori le triple plateau est la meilleure solution, celle de la prudence. Elle te permettra à coup sûr de disposer d'un braquet suffisamment petit. Mais après on a appris que Nicolas roulait en Charentes-Maritimes. Plus plat que ça, faut aller au Pays-Bas pour trouver. Mais tu cherches peut-être à rallumer la bonne vieille guerre ? 😃 Tu vas être déçu : pour une fois je suis du même avis que Joachim. Vu la région et la jeunesse de Nicolas, un double plateau classique suffit largement. Par contre, je maintiens qu'il devra éviter de rouler en permanence sur le grand plateau : le vent est un vilain méchant dans ces régions, particulièrement quand on roule seul. 😬 Ou alors, c'est qu'il a les capacités physiques intrinsèques d'un compétiteur.

Hé fais gaffe, tout le monde n'a pas les capacités physiques d'un Yves Martin ! 😃 Même sur le plat, pour qu'un débutant tienne le 50 dents pendant 50 km avec un vent de face de 50 km/h, c'est qu'il doit avoir un sacré niveau dans les gènes! Ou alors il tourne les jambes à 30 tours/minutes, idéal pour se péter les genoux.

Pour le premier vélo de Nicolas je ne pense pas que ce soit une priorité, il apprendra à faire du vélo, à rouler, à s'entraîner, je ne pense pas que le "Gran Fond Eddy Merckx" soit son soucis majeur. Pour son premier vélo je lui conseille au contraire d'acheter le vélo qui lui plait le mieux, ou il aura plus de facilité d'achat et d'entretient. S'il ne passe pas le mur à 20% derrière la rue machin ce n'est pas grave il passera à côté et il reviendra quand il aura des bornes. Après il sera toujours temps de jauger. Jusque-là, je suis d'accord. Mais je doute qu'à 18-20 ans il n'y arrive pas. Ca fera un défi le cyclisme se construit dans la difficulté. Dans le cas de Nicolas, ce n'est même pas la peine d'en discuter, c'est tout plat chez lui! Après s'il met effectivement un triple il trouvera ça facile. S'il commence directement avec son triple il trouvera ça toujours trop dur, moins on en met moins on à envie d'en mettre le moins appelle le moins. Là c'est pas que je suis pas d'accord, c'est que j'ai rien compris! 🤐

Toi avec ton niveau, tu passes c'est sûr. J'en ai vu bien d'autres, en double, compact, ou triple, qui passaient en travers… ou à pied. J'ai encore en mémoire un cycliste qui pendant le Gran Fondo Eddy Merckx de cette année, grimpait la rue Tesny, à Wandre près de Liège (un talus de difficulté équivalente à celle du mur de Huy), complètement en travers sur un… 30/28. Un triple, donc! On en revient au vrai problème : que les développements soient adaptés au niveau du cycliste et à son terrain de pratique. Le reste est littérature.

Pas besoin d'être en montagne pour en baver avec un double (et même certains triples). Pense aux parcours de Liège-Bastogne-Liège (Stockeu, Redoute) ou même du Tour des Flandres (Grammont, Koppenberg), par exemple… 🆒 Dans les Landes, la Vendée (ouest 😉) ou en Camargue, c'est une autre histoire, c'est sûr.

Ce qui compte vraiment, ce sont tes capacités athlétiques et ton terrain de pratique (montagne? plat pays? quelque part entre les deux?). Si tu pars vraiment de zéro en roulant sur un terrain très vallonné, a priori le triple plateau est la meilleure solution, celle de la prudence. Elle te permettra à coup sûr de disposer d'un braquet suffisamment petit.

+1. J'ai toujours fait pareil, bien que je n'aie pas un compact. On se retrouve moins à pédaler dans le vide ou dans le dur quand on change de plateau.

Est-ce que Froome est sélectionné pour le contre-la-montre? Si oui, je le vois bien gagner.

À Bruxelles, il faisait 8° ce matin quand je suis parti faire ma balade, rythmée par des périodes de crachin et un vent constant de force 4. Collant long et maillot à manches longues de rigueur, et coupe-vent par dessus en plus. Voilà ce qui a caractérisé ma sortie d'aujourd'hui, en tout 3h30 avec entre au milieu une fietsroute (route pour cyclistes) appelée kanaalroute (route du canal), au nord de Bruxelles (Vilvorde, Grimbergen, Malines, Zemst). http://www.toerismevlaamsbrabant.be/binaries/20101005_KANAALROUTE_tcm141-64246.pdf Circuit bien agréable, très varié, mais il m'a fallu un sacré bout de temps pour me réchauffer… Quand je pense que c'est encore l'été pour certains, je suis vert de jalousie! 🙁

Veinard. À Bruxelles et alentours (je vais surtout vers le sud de la ville, en slalomant sur la frontière linguistique), ils se sont en général même pas donnés cette peine. 🙁

Comme je n'ai pas de compteur, c'est difficile de le dire. Moi je change mon pneu arrière avant qu'il soit vraiment usé, en fait dès que la bande de roulement commence à s'aplatir. Alors j'achète un pneu neuf, je le place systématiquement à l'avant et je place l'ancien pneu avant (qui lui est toujours nettement moins usé) à l'arrière. Dans le cas du Conti 4 Seasons, je viens juste de changer mon pneu arrière. Il a roulé comme tel de mars à septembre. Ça doit correspondre à 5000 km (estimation à la louche) comme pneu arrière, et il avait dû en faire à peu près autant comme pneu avant. Et comme je l'ai dit, il pouvait encore durer plus longtemps, mais vu que je dois rouler en permanence sur des routes dégradées (c'est ça la Belgique), je préfère ne prendre aucun risque. Au final, ça lui fait une très bonne longévité potentielle. Meilleure en tout cas que les GP 4000 que j'avais avant, dont la bande de roulement s'aplatissait nettement plus vite. Ce pneu que je viens de changer aura subi au total deux crevaisons, dont une par pincement parce que je n'avais pas assez gonflé. L'autre crevaison venait d'un mini-verre orangé, venant probablement d'un feu arrière de voiture cassé. Un petit bout de verre bien pointu, en forme de mini-pyramide dont la pointe s'était carrément plantée dans le pneu. Comme quoi aucun pneu n'est vraiment invulnérable! Mais vu le traitement qu'il a subi avec ces fichues routes belges, c'est un très bon bilan.

Merci! 😄