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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 1 h 45 de sortie sous un temps de saison (à part le froid) en passant par un de mes parcours-détentes fétiches : la Vliegeniersroute de Zaventem (la route des aviateurs). Parcours assez agréable entre maisons coquettes et champs de banlieue. À part ça, la pluie, la boue, les routes défoncées à la belge… La routine quoi.
  2. Moi ça m'intéresse au contraire, j'habite en ville et je mets (au mieux) 20 minutes pour en sortir à vélo. J'espère que les communes se donneront les moyens de faire respecter cette règlementation. Ça m'étonnerait beaucoup que les automobilistes soient de bonne volonté…
  3. Les douleurs au mollet et aux chevilles viennent souvent d'une selle trop haute. Tu avais bien baissé ta hauteur de selle après ton changement de pédales ? Les i-clic rehaussent moins le pied que les keo…
  4. C'était pas plutôt De Vlaeminck ? Il avait fait ce coup-là à Théo Mathy. Jamais entendu parler de ce genre de trucs avec Van Looy.
  5. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    Justement, c'est ça mon style ! 😄
  6. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    Je n'ai jamais fait le Ventoux (ma grosse lacune avec le versant nord du Galibier), mais si j'en crois les pourcentages, la longueur et mon expérience sur des pentes semblables, je devrais faire le versant Bédoin avec 26/28 comme braquet mini, en 1h50 environ. Chacun son style !
  7. J'ai repris le vélo aujourd'hui après un peu plus d'un mois d'arrêt. 1h30 en tournant les jambes tranquille dans la banlieue ouest de Bruxelles. Comme pour toi, les routes étaient détrempées et jonchées de sal… après le déluge des derniers jours, mais ici à Bruxelles le vent n'était pas trop sensible. Grand point positif, la température vraiment agréable.
  8. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    Et au-delà de ta «boutade», ça ne t'intéresserait pas ces vitesses intégrées? Plus de problèmes de changement de plateaux (ni de pignon), ligne de chaîne toujours parfaite, rendement toujours impeccable, plus besoin de se casser la tête pour le choix des développements…
  9. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    Ça va venir assez vite, je pense. J'ai déjà entendu parler d'un prototype à 18 vitesses intégrées, je ne sais plus quelle marque, ça ne doit plus être bien loin de ton idéal…
  10. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    T'es sérieux? Quand je vois certains grimper à 6 km/h (parfois en double d'ailleurs), je me dis que j'ai de la marge puisque je grimpe la Bastille (17,5% de moyenne, certes sur 1,5 km "seulement") aux alentours de 10 km/h…
  11. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    Toujours en rebondissant sérieusement sur tes interventions ironiques : je vois plutôt l'avenir dans les moyeux à vitesses intégrées, genre Rohloff et ses 14 vitesses. Toi aussi si j'ai bonne mémoire?
  12. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    Tiens, finalement tu joues le jeu ? Sérieusement, quatre plateaux ça s'est vu (Jean D'Olne disait en utiliser un à une époque). Et pourquoi pas si ça rend service ?
  13. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    « au fait, ..un p'tit dernier pour la route : " lors du Giro 2008, Alberto Contador utilisa un braquet de 34x32 pour affronter les pentes de 24% du Plan de Corones" . Dans le passé "ils" faisaient monter un triple pour passer tranquille. ;-) » Je te retourne l'argument : si Contador a besoin de ce genre de braquet (pour le Plan de Corones et aussi pour le Zoncolan d'ailleurs), tu mettras quoi toi pour ces ascensions-là ? Pour le 1) : ça dépend surtout du croisement de la chaîne… 2) Ce n'est pas forcément une autre forme de cyclisme, ça peut être simplement autre façon de pédaler. Moi j'aime bien les hautes fréquences de pédalage dans les cols (entre 80 et 90 tours par minutes en général), donc pour avancer à 11 km/h dans une pente du genre 9%, il me faut déjà un braquet genre 26/26. Alors imagine pour les pourcentages supérieurs, que du reste j'adore pratiquer… 3) Perso je n'ai jamais connu ce genre d'imprécision, sauf quand je mettais du matériel non standard. Et là effectivement on a des problèmes qui peuvent arriver, et j'ai connu ça aussi bien en double qu'en triple. 4) Je n'ai jamais compris cet argument-là. Si on a besoin d'un changement conséquent de braquets sur une cassette resserrée, on n'a qu'à passer deux pignons au lieu d'un. Avec les groupes actuels, c'est un jeu d'enfant. On se retrouve avec ton argument 5). 😆 6) Comme je ne suis pas un cycliste de compétition, je veux bien admettre ce point-là.
  14. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    Je ne crois pas. C'est l'offre qui s'élargit, et il n'y pas d'exclusive. D'abord le super compact existait déjà dans les années 70 avec des doubles genre 46-36, ce qui n'a pas empêché le triple de commencer à se populariser à cette époque-là. Et puis il y a eu la mode des gros braquets (année 80-90) avec les doubles genre 53-39 qui étaient la norme absolue. Les équipementiers n'ont fait que « réinventer la roue » (libre) récemment en ressortant le « compact » et en essayant de nous faire croire que c'était nouveau. 😃 Ensuite, s'il y a les super-compacts, il y a les « super-triples », comme le mien (46-36-26), pour ceux qui comme moi adorent affronter les murs les plus raides, à 20% et plus. Sur ma bécane de route j'ai la possibilité de monter un 24/34 comme braquet minimal si je le souhaite. Pour qu'un compact en fasse autant, il faut que ce soit un du genre qu'on rencontre en VTT (42-28), mais alors on sacrifie quelque peu les grands braquets… et les petits braquets ne sont pas aussi petits. Enfin, à développement minimal égal un triple permet des dentures plus resserrées. Si on peut se permettre un braquet minimal genre 34/32 = 30/28, on peut préférer le 30/28 d'un triple au 34/32 d'un compact parce qu'une cassette 11-28 est nettement mieux étagée qu'une 11-32. Enfin, avec la diversité de pratiques qu'on voit aujourd'hui, il n'y a vraiment pas besoin que l'un ou l'autre type de pédalier disparaisse pour faire de la place à l'autre. Bref : chacun son trip (bis).
  15. Franck PASTOR

    Fin du triple !

    La fin du triple, c'est une chanson que j'entends depuis plusieurs décennies, notamment à chaque fois que la roue libre gagne un pignon… Et pourtant Campagnolo vient de sortir le triple 3*11 vitesses. Enfin bon. Chacun son trip, moi je continue à rouler sur mon triple avec mon développement mini 26/32 pour grimper les murs, les vrais. 😛
  16. Raison de plus pour avoir les braquets adaptés qui permettent de rester assis! D'ailleurs, pas besoin de mauvais revêtement pour rendre la danseuse impossible sur ce genre de pentes: il suffit que la route soit humide ou parsemée de feuilles mortes…
  17. J'ai combiné judo et cyclisme pendant sept ans environ. C'était vraiment contraignant, mais pas au niveau cardio : d'une part les deux activités exigeaient de moi d'y passer pas mal de temps pour espérer progresser, et d'autre part les blessures encourues en judo, même peu sérieuses (notamment aux pieds) pouvait réduire à rien tout une période d'entrainement intensif en vélo… Dans l'autre sens, une tendinite au genou due au vélo et très longue à partir m'avait écarté des tatamis pendant un an. J'ai fini par devoir faire un choix (tu devines lequel).
  18. C'est jouable en vélo de route je pense, si on y a mis des braquets de VTT. Sur mon vélo à moi, je peux descendre jusqu'à 24/34. C'est pas si loin des vélos VTT de série où on peut descendre jusqu'au 24/36 actuellement, et mon vélo est plus léger qu'un VTT! La descente, c'est un autre problème par contre… Si on se dit que ce col est une Bastille de Grenoble (1,5 km à 17,5 % de moyenne) mais de longueur quintuplée, je dois quand même pouvoir le descendre puisque j'ai fait la Bastille avec mon vélo de route, en descente comme en montée. Mais je risque d'avoir des crampes aux mains et aux bras à d'être sur les freins… 😃
  19. Par rapport au triple, tu perds au niveau de l'étagement de la cassette. Mais je suppose que tu en es conscient.
  20. Je voulais dire, façon taquinerie, que tu es certainement celui qu'un thème de discussion autour du casque attire le plus !
  21. Ça branche ceux qui comme toi ont l'œil fixé dans le rétro. Fais gaffe, à trop fixer la charcutaille tu vas prendre une gamelle. 😛
  22. Dis plutôt qu'on en parlait beaucoup moins. Les moyens d'informations et de communications actuels (Web, Facebook, Twitter, forums) n'existaient pas. Aujourd'hui, qu'un pékin d'un hameau perdu de Lozère tombe sur la tête, la nouvelle peut se répercuter aussitôt jusque aux portables et iPhones de Wallis-et-Futuna.
  23. Dans mon cas mes chutes à l'arrêt avec les pédales autos n'étaient pas une histoire de tension de dérailleur mais d'angle de déchaussage. Comme tu le sais il faut «tordre» la cheville au-delà d'un certain angle pour déchausser. Or, quand on est quasiment à l'arrêt et en équilibre, on est nettement plus contracté sur le vélo, les jambes aussi. Parfois trop pour tourner le talon suffisamment. Dans mon cas du moins. Ça explique mes chutes de débutant, et celle de la Decathlon Classic… Quoique la plus « c… » de mes chutes reste celle avec les cale-pieds dont j'avais oublié qu'ils étaient serrés. Au moins, avec les pédales automatiques, je ne risque pas d'oublier qu'elles sont enclenchées!!! 😃
  24. Cette année, première fois de ma vie que je pédale en province de Liège (pour le Gran Fondo Eddy Merckx), alors que ça fait douze ans que je vis en Belgique. J'ai pu découvrir que les bosses de cette région méritaient largement leur flatteuse réputation ! La rue Tesny à Wandre, fleuron du Gran Fondo, pourrait servir de substitut au mur de Huy (aussi dans la province de Liège d'ailleurs). En plus dur encore.
  25. Mes chutes les plus ridicules sont des variantes de la tienne : 1) (la plus belle) J'étais ado, du temps des pédales à courroies. Au sommet d'une côte, feu rouge, je veux mettre pied à terre mais j'avais oublié que j'avais serré les courroies de cale-pieds pour grimper cette côte et donc je m'affale brutalement sur la gauche. Pas de témoins mais les joues en feu quand même. 2) Il y a vingt ans, premier essai de mes premières pédales automatiques, devant le vélociste je me ramasse lamentablement en n'arrivant pas à déchausser. Rebelote au deuxième essai, toujours devant le vélociste. Qu'est-ce qu'on se sent fier de soi dans ces circonstances. 3) Après le «rodage» précédent j'ai toujours pu déchausser à temps. Sauf cet été, à la Décathlon Classic de Louvain, où en voulant éviter une voiture je me retrouve les deux roues dans une rigole, vélo presque à l'arrêt, je n'arrive encore une fois pas à déchausser, et…
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