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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Je n'ai pas «choisi», je procède ainsi parce que c'est plus facile pour moi. Quand la pédale est en bas j'arrive à déchausser vers l'extérieur, mais ce n'est pas évident. Et c'est carrément impossible pour moi de déchausser vers l'extérieur quand la pédale est en haut. Et ce même si la force de déclenchement de la pédale est au minimum. C'est un problème de manque d'amplitude de mes articulations au niveau du col du fémur, je pense. Ceci dit content d'apprendre qu'on peut déchausser vers l'intérieur avec les Speedplay!
  2. Souvent je déchausse vers l'intérieur avec mes Time, c'est pour moi plus facile. La manivelle ne risque pas de gêner puisque je le fais lorsque la pédale est en position haute. Par contre quand j'ai un bidon sur le tube de selle, il peut prendre un coup de talon si j'y vais trop fort. Je n'ai jamais essayé les Speedplay, donc je n'ai jamais pu vérifier si elles ne permettaient effectivement pas de déchausser vers l'intérieur. Mais c'est ce que j'ai lu plusieurs fois sur elles. Et pour moi ce serait très gênant, surtout si je dois déchausser d'urgence.
  3. Un autre problème des Speedplay, on ne peut déchausser paraît-il qu'en déportant le talon vers l'extérieur. Pour moi c'est rédhibitoire.
  4. S'il y en a un que je vois gros comme une maison sur ce type de circuit, et qui jouera à domicile en plus, c'est Alberto Contador…
  5. Tu sais, je pourrais te tracer une étape de montagne ne passant par aucun col, au sens strict du terme. Et vice versa. 😛 D'autre part, un contre-la-montre individuel est « une épreuve cycliste où les coureurs sont départagés en fonction du temps qu'ils ont mis pour effectuer le même parcours, avec des départs différés ». Je me trompe peut-être, mais il ne me semble pas avoir lu dans cette définition une restriction quelconque sur le type de parcours?
  6. Et pourquoi ce serait n'importe quoi? Depuis quand les contre-la-montre devraient-ils se dérouler sur un seul type de circuit?
  7. La selle semble avoir bien moisi, les boyaux sont à plat et la rouille doit menacer un peu partout, surtout s'il est en acier… J'espère qu'Émile Arbes se portera acquéreur de cette bécane, pour qu'elle soit retapée comme elle le mérite!
  8. M...., j'apprends en lisant ce lien qu'il s'est sérieusement blessé aux vertèbres pendant une démo de trial en septembre et qu'il est paralysé des jambes actuellement : http://www.e-adrenaline.fr/urbain/actualites/road-bike-party-ii-avec-martyn-ashton-la-legende-du-vtt-trial/3280 C'était ce que j'avais cru comprendre sur le lien initial en italien, mais comme je connais très peu cette langue j'ai voulu vérifier. Ça fait mal au cœur. J'espère qu'il se rétablira!
  9. Ça n'enlève rien à ses prouesses, mais je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que sa selle est surbaissée lors des cascades et qu'il porte des baskets. Ça me laisse un peu sur ma faim, parce que j'aimerais savoir les cascades qu'on peut faire sur un vélo de route avec des pédales automatiques et une position normale.
  10. Si j'ai bonne mémoire, oui, mais pas en permanence, seulement entre le sommet du Grand Cucheron et le pied du Glandon. Mais je ne peux pas le garantir, ça commence à être loin dans le temps et les conditions climatiques des deux éditions que j'ai faites (1999 et 2000) se mélangent peut-être dans ma tête.
  11. La Vaujany 98, première du nom, que je n'ai pas faite, passait par le col du Luitel versant Séchilienne, puis le balcon de Belledonne intégral (col des Mouilles, du Lautaret — pas le grand, un autre — col des Ayes, col du Barioz…), le col du Grand Cucheron, le col du Glandon face nord et la grimpette de Vaujany pour finir… Je ne crois pas qu'on ait fait plus difficile, du moins en France. Plus de 6000 m de dénivelée il me semble. C'est probablement cette cyclo, «l'erreur» de Sports Organisations. Dès l'année suivante le passage du balcon de Belledonne a été supprimé, pour alléger le parcours. On longeait la vallée du Grésivaudan à la place. J'y étais cette fois-ci et j'ai quand même fini sur les rotules: 10h45 de route, j'ai fini avant-avant-dernier! L'année d'après (2000), rebelote, et j'ai mieux géré: 10 h 00 de route, et au niveau des trois-quarts du classement. C'est ma dernière cyclosportive de montagne jusqu'à maintenant: deux mois plus tard je m'exilai en Belgique…
  12. Les deux mon capitaine. Bonnet (fin) + casque.
  13. «Tu ne pinces pas à 7 bars à moins de peser 120 kg et tenir le guidon comme une enclume» Aahh, les certitudes, que c'est beau, tellement c'est tenace. On lui place les contradictions de ses certitudes sous son nez, à Joachim, mais il refuse de les voir. Mais c'est pas grave pour nous Joachim, c'est ton problème et pas le nôtre si tu n'acceptes pas la contradiction, même et surtout si elle est fondée. Nous te souhaitons tous un très bon Liège-Bastogne-Liège cyclo. Signé: les enclumes.
  14. L'entretien du très dense réseau routier belge est dévolu aux trois régions ici (Bruxelles, Flandre, Wallonie), et aux communes pour les routes les plus locales. Ainsi, une route traversant plusieurs communes ou plusieurs régions peut être nickel à un endroit et munie d'une piste cyclable décente, puis sans piste et complètement pourrie dès qu'on atteint la commune ou la région voisine. C'est en Flandre, la région la plus riche, que la tradition cycliste est la plus forte et de fait le cycliste lambda y bénéficie de beaucoup plus d'attention. Les pistes cyclables flamandes sont donc bien plus nombreuses. Elles sont également mieux entretenues globalement. Mais c'est quand même loin d'être parfait, surtout près de Bruxelles. À Bruxelles même et en Wallonie les cyclistes, utilitaires comme sportifs, sont traditionnellement beaucoup moins bien considérés qu'en Flandre et bénéficient de moins d'attention de la part des pouvoirs locaux, particulièrement en Wallonie.
  15. Tu as eu la lecture sélective, mais bon, comme je suis gentil je récapépète depuis le début : j'ai changé de section de pneu récemment, passant du 23 au 25, et suis donc parti à nouveau la recherche de la pression idéale. Une recherche que j'avais déjà effectuée des années avant avec du 23, et entre les deux périodes je n'avais plus jamais déploré de pincement. La pression idéale, c'est une pression pas trop élevée pour absorber un minimum les chocs de routes défoncées (au juste, les pavés, on trouve ça en Vendée?), et pas trop basses pour éviter les pincettes et autres perçures. Ça change donc suivant le poids du cycliste, le terrain, le modèle de pneu et sa section. Ce que j'ai dit aussi c'est que depuis que je l'ai trouvée, cette pression optimale pour mes GP 4 Seasons en 25, vers le début de cette année, je n'ai plus déploré de pincements. (Mais ça aussi, ça t'a échappé, puisque tu dis que je crève autant, au présent. Déformer les propos, c'est dans ta façon?) Bref, j'ai eu de l'expérience et j'en ai bénéficié. Tu n'aimes pas avoir tort, on dirait. Tu prétendais qu'on ne pouvait pas crever par pincements à 7 bars, et tu as pris dans la tronche trois témoignages différents de cyclistes locaux (moi, Eric, Grégory) qui ont eu l'expérience du contraire. Ça serait délicat pour toi de traiter trois cyclistes locaux de menteurs, n'est-ce pas, alors que ton expérience des routes belges se résume au chiffre 0? On dit qu'à Rome il faut faire comme les Romains. En Belgique fais comme les cyclistes belges: prends garde à tes pneumatiques. On est déjà plusieurs ici à t'avoir averti, mais si tu préfères continuer à faire l'omniscient, grand bien t'en fasse. Mais prends quand même moins deux chambres à air de rechange pour LBL cyclo. Surtout si tu pars dans ton état d'esprit actuel. 😆
  16. Tu devrais prendre conseil auprès de lui. 😛 Andy Schleck est pour ainsi dire «un gars du coin» et connait toutes ces routes par cœur, il sait donc parfaitement comment les gérer. Bien mieux que toi. Mais c'est vrai que c'est pas dur, tu n'y as jamais roulé — et pourtant tu te poses en donneur de leçons. Tu ne vois pas comme un problème?
  17. Oui, j'en ai posté au moins une, celle-ci je crois: Ceci dit, quand l'auteur de la vidéo affirme que la majorité du réseau est dans cet état-là, il exagère. La majorité du réseau routier est quand même plus "roulable" que ça. Mais devoir rouler sur ce type de champ de mines arrive quand même trop fréquemment. Notamment autour de Bruxelles. Et c'est encore pire pour les bandes et pistes cyclables (quand il y en a), qui sont obligatoires ici.
  18. Non, c'était Claude Genzling l'autre auteur de ce livre cosigné par Hinault (je l'ai sous les yeux — le livre, pas Hinault 😃). Mais le nom de Koechli y est effectivement souvent cité, notamment pour son échelle des intensités de l'effort.
  19. Peut-être qu'en te lisant, Joachim va finir par l'admettre : on peut crever par pincement à 7 bars… Mais tu es peut-être comme moi, trop lourd du guidon comme il dit.
  20. Tu sauras «un peu» après LBL, pas avant. Rendez-vous en avril. Et tu sauras "beaucoup" quand tu me suivras sur mes routes d'entrainement autour de Bruxelles. Un peu sadiquement, j'en salive d'avance. Ah, au juste, je change de pneus, chambres à air et fonds de jante tous les ans au minimum.
  21. Dit celui qui se permet de juger sans savoir.
  22. Ma pompe fonctionne nickel. Ce sont les routes et pistes cyclables (obligatoires ici) sur lesquelles je dois rouler qui sont le problème. J'arriverai peut-être un jour à vous faire comprendre que les routes ici en Belgique en général et celle de Bruxelles particulièrement (où j'habite), n'ont rien à voir avec les billards de France. Oui, vos routes (donc les miennes avant que je n'émigre) et vos pistes cyclables sont du billard, quoi que vous en pensiez, vous qui n'avez pas (pas encore) pu comparer. Garde tes Corima boyaux, au moins tu ne risqueras pas le pincement. Mais pense à les gonfler suffisamment pour éviter les autres risques de crevaison, et attends-toi à être secoué sur les pavés du centre de Stavelot si tu n'y roules pas au ralenti.
  23. Jérémie, j'aurais essayé… mais je crois bien que notre ami Joachim ne pourra réaliser qu'une fois sur place! 😆
  24. « pourquoi roules-tu sous gonflé » Pourquoi je roulais sous-gonflé… Je vais finir par croire que tu ne me lis pas vraiment… Je répète : parce que je recherche quand même un minimum de confort, et que pesant à peine plus de 60 kg, je me disais qu'une pression de 6 bars n'était pas déraisonnable comme base de départ. Comme dit plus haut, j'ai vite déchanté pour des pneus de 23 et plus tard, même pour des 25.
  25. Tout à fait, je roulais sous-gonflé. Sous-gonflé à 7 bars au moins quand j'ai pincé des deux pneus à la fois, et si ma mémoire ne me trahit pas c'était même à 7,5 bars. Les pneus étaient des GP4000 de section 23. Je n'ai plus eu ces soucis quand je les ai gonflés systématiquement à 8 bars. Bien sûr, pour tes pneus à toi, 7 bars suffisent peut-être. Mais encore une fois ton passage par chez nous sera un très bon test de cette pression.
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