Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 046
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    83

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Ben non justement, lorsque tu m'avais récupéré au pied du Rosier, tu m'avais dit que j'étais encore un poil en dessous des 200, si j'ai bonne mémoire. Et puis de toutes façons ça ne compte pas, puisque c'était une rando que je n'avais pas terminée! La seule de ma vie de cyclo d'ailleurs, et j'espère la dernière. 😠
  2. Bonjour Isabelle, Je ne sais pas vraiment pour la sortie complète, mon vélo n'est pas équipé pour faire ce genre de mesures. 😳 Apparemment, c'est 1190 m de dénivelée sur les 114 bornes du circuit rouge du Tour des Flandres, selon ce site (néerlandais): http://www.klimtijd.nl/fietsroute/ronde-van-vlaanderen Avec les 100 km restant, vallonnés aussi mais aux côtes moins longues et moins raides (Pajottenland et Bruxelles), je suppose qu'on peut ajouter dans les 500-700 m pour avoir une idée de la dénivelée totale.
  3. Surtout avant l'étape d'aujourd'hui, piégeuse par nature!
  4. Franck PASTOR

    MPCC

    Doublon !
  5. Franck PASTOR

    MPCC

    Assez d'accord, bien que pour le fait qu'il «criaille» comme tu dis, ça ne m'a jamais frappé. Il est juste beaucoup trop exubérant à mon goût. Mais bon ce sont les retransmissions flamandes que je suis enn général (sauf quand je suis en France bien sûr), alors Adam me gêne moins qu'il en gêne d'autres! 😃
  6. Quand j'étais encore en France, je vivais en Isère, mais y a-t-il des Isérois dans le peloton cette année? Maintenant que je vis en Belgique, à Bruxelles qui est une région belge à part entière, je devrais citer des Bruxellois mais à ma connaissance il n'y en a pas non plus.
  7. Mon premier 200 km aujourd'hui depuis que j'ai à nouveau un compteur (juillet de l'année dernière) et probablement mon premier depuis plusieurs années. Trajet résumé : Bruxelles - Grammont - Audenarde - Grammont - Bruxelles. Le but était de faire l'intégralité de la boucle rouge de la route cyclotouriste du Tour des Flandres, qui fait 115 bornes, mais dont le point le plus proche de chez moi, à Grammont, est à 50 km. http://www.crvv.be/fr/317-routes/9 Je m'attendais donc à faire dans les 215 km, et c'est exactement le verdict final de mon compteur! 😃 Départ «à la fraîche» (c'est relatif hein!) de mon domicile à l'est de Bruxelles, ce matin vers 8 h 00. Il doit faire 15° environ, ce qui est remarquablement frais après ces jours de canicule. Mais ils annoncent aujourd'hui un maximum de 26° à l'ombre seulement: parfait pour un long périple. Je contourne Bruxelles par le sud, en passant par la forêt de Soignes, pour obliquer vers l'ouest et me diriger vers Halle, puis Grammont. Ce faisant, je traverse le Pajottenland, doucement vallonné, qui sépare Bruxelles de Grammont et les «Ardennes flamandes». Les sensations sont bonnes et la température idéale. Après deux heures et demie de route environ, j'arrive à Grammont et commence le parcours la fameuse «boucle rouge». Celle-ci laisse pour le moment le fameux «Muur» de côté et se dirige d'abord vers Lierde, où je me ravitaille en eau dans un bar et j'affronte la première côte répertoriée, l'Eikenmolen, laquelle n'est pas vraiment une terreur. Ensuite c'est une succession de toboggans, répertoriés ou non, dans un décor splendide, probablement le plus beau paysage qu'ait à offrir la Flandre. Zottegem et le Rekelberg, la très pittoresque vallée de la Zwalm que je quitte par un méconnu mais fameux casse-pattes appelé «Pottelberg», pour enchaîner avec le principal secteur pavé du jour: le Haaghoek. Les pavés du Haaghoek sont en relativement bon état, mais en fait de secteur pavé il s'agit d'une succession de montées et de descente, si bien qu'il est impossible de garder son rythme et cela le rend très pénible à passer. 😬 Puis j'arrive à Horebeke, pour descendre dans la vallée de la Maarke (Maarkedal, qui est aussi le nom de la commune locale) et emprunter quelques casse-pattes non répertoriés dont la région a le secret. Puis je grimpe le raide Kappelleberg suivi du long et irrégulier Eikenberg. Après cette classique du Ronde, la relative longue descente de l'Edelareberg m'amène à Audenarde et son centre du Tour des Flandres… malheureusement fermé comme tous les lundis. http://www.crvv.be/fr/295-home Pas grave, je prends mon second ravitaillement en eau (et un café) dans un bar voisin sur la très belle Grand-Place d'Audenarde. https://fr.wikipedia.org/wiki/Audenarde L'aller est effectué, avec déjà plus de 100 km bouclés. Presque aussitôt après être reparti, un mur à 14% appelé Achterberg, me cueille à froid, et annonce la couleur des prochaines 20 bornes: une succession rapide de montagnes russes, certaines très raides, sans presque aucune portion plate, dans un cadre toujours aussi magnifique : l'Onderbossenare, le Foreest, le Steenberg à Maarkedal, le Valkenberg, le Berendries, l'Elverenberg à Brakel sont les côtes répertoriées… au milieu de plein d'autres qui ne le sont pas, bien sûr. Puis le profil se radoucit quelque peu au passage d'Everbeek-Boven et Everbeek-Beneden, au sud de Brakel, où le parcours tangente la frontière linguistique avec la Wallonie (et le parcours du Grinta Challenge de cette année). Mais ce n'est qu'un sursis… car le fameux Muur van Geraardsbergen, le Mur de Grammont, m'attend en embuscade! https://fr.wikipedia.org/wiki/Mur_de_Grammont Cette ascension pavée mérite amplement sa réputation, surtout quand on vient déjà d'effectuer plus de 150 bornes: je passe l'obstacle sans trop d'encombre grâce à ma connaissance préalable de la bête et de la petitesse de mes braquets (26/34 mini, pratique dans le passage à 20% du Muur!), mais mes jambes sont quand même bien lourdes… et mes bidons sont vides.Après avoir passé la chapelle, je redescends donc de quelques mètres pour entrer dans un bar et faire le plein, en même temps que je sirote un 2e café… et que j'apprends grâce à la télé locale que l'étape du jour du Tour de France vient juste de se terminer, vainqueur Joaquin Rodriguez au sommet d'un autre mur belge, celui de Huy. Le direct est en train de montrer l'arrivée des attardés, entre autres Cancellara, une des victimes de la méga-chute du jour: les commentateurs ne parlent presque que de ça… Allez, je ne vais quand même rester pour attendre des images de cette chute, j'ai encore une autre ascension pavée, le Bosberg, à franchir pour boucler cette boucle rouge», et il me restera encore 50 bornes à abattre pour rentrer chez moi. Je réenfourche donc mon fidèle destrier, descend à toute allure vers Atembeke pour m'attaquer à ce Bosberg… Les jambes sont encore plus lourdes que dans le Muur, et les bagnoles qui passent me contraignent à rester sur les parties les plus irrégulières du pavage de la côte mais encore une fois j'arrive au sommet sans trop d'histoire. Et puis c'est le faux-plat descendant vers Denderwindeke (bétonné, mais tape-cul comme c'est pas permis! 📢) et l'entame du chemin du retour. Maintenant j'ai mal un peu partout… et notamment au derrière, mais c'est pas le moment de flancher, il est 18 h passés et je n'ai aucune envie de rentrer à la nuit tombante. Je retrouve donc le Pajottenland et passe cette fois par les bonnes villes de Gooik, Lennik et Leeuw-Saint-Pierre (Vlezenbeek) pour finir par arriver à l'est de Bruxelles, plus précisément à Anderlecht. De là, je traverse la région bruxelloise d'ouest en est: Forest, Saint-Gilles, Ixelles, Etterbeek… et puis je retrouve enfin mon chez-moi, à 20 h 30! Le bilan du jour: 215 km donc, 10 h 40 de vélo effectif (pauses décomptées donc). Moyenne de 20,2 km/h, ce qui à mon modeste niveau n'est pas mal du tout sur un parcours aussi terriblement casse-pattes. Vitesse maxi de 57,9 km/h, atteinte en descendant je crois la Ladeuzestraat qui suit l'Achterberg à Audenarde. Cadence moyenne de 85 tours/minute, ma norme habituelle. Mais surtout, la satisfaction d'avoir enfin bouclé un plus de 200 bornes, depuis le temps que ça ne m'était pas arrivé! 🆒
  8. Aujourd'hui, mon premier 200 km depuis des lustres! 😄 215 km exactement, Bruxelles-Audenarde-Bruxelles. La sortie incluait le «circuit rouge de la route cycliste du Tour des Flandres» (Ronde van Vlaanderen fietsroute — rode lus), un des trois circuits balisés ayant pour thématique le fameux Ronde. Ce circuit «rouge» fait 114 km et passe entre autre par le secteur pavé du Haaghoek, le Mur de Grammont et le Bosberg. http://www.crvv.be/fr/317-routes/9 Vent sensible du sud-ouest, température idéale le matin, élevée l'après-midi (26° à l'ombre) mais rien à voir avec la canicule de ces quatre derniers jours. Donc de bonnes conditions climatiques pour effectuer une longue distance. Plus de détails tout-à-l'heure dans la rubrique «Votre 200»!
  9. Pardon de devoir rectifier, Georges, mais son prénom se prononce «Yoop», avec un o allongé, et non pas «Youp». 😉 Soit dit en passant, son vrai prénom, apparemment très peu usité, est Gerardus. Identité officielle complète : Gerardus Joseph Zoetemelk. «Joop» est peut-être dérivé de «Joseph», pour le distinguer de son père qui avait les mêmes prénoms et que l'on surnommait «Gé». Le principal problème posé par sa première femme aurait été apparemment son alcoolisme. Ce qu'il en dit dans la biographie que j'ai citée est assez effarant.
  10. J'ai acheté récemment au musée du Tour des Flandres à Audenarde une biographie complète de Joop Zoetemelk. «Joop Zoetemelk, een open boek», «Joop Zoetemelk à livre ouvert». Malheureusement, uniquement en néerlandais pour le moment. Un livre grand format très richement illustré de photos d'époque, et qui, en plus de détailler sa carrière complète, ses rapports avec ses directeurs sportifs, adversaires (Merckx, Hinault, etc.), dévoile des détails de sa vie privée qui n'avait pas jugé utile de divulguer jusque-là. On y apprend notamment que sa femme, une Française décédée en 2008 (il s'est remarié depuis avec une autre Française), est tombée dans l'alcoolisme, que ses rapports avec son envahissante belle-famille étaient en outre loins d'être idéaux et que cela a eu selon lui un effet négatif très important sur sa vie en général et sa carrière en particulier. http://www.bol.com/nl/p/joop-zoetemelk-een-open-boek/1001004011542729/
  11. Quelque chose auquel je n'ai jamais eu droit quand j'y allais. Tu avais une jolie fille avec toi ou quoi? Aurélien n'aurait fait semble-t-il que les ascensions autour de Bourg-d'Oisans qu'il nous a rapportées ici. Ce qui est déjà un sacré programme, certes (et représente de jolis endroits aussi). Mais Grenoble, c'est un autre coin et autre chose que ça, notamment pour le cycliste. Ne pas donc condamner trop tôt!
  12. Ça fait mal de voir rejeter ma ville natale et de cœur comme ça. Tu es quand même passé par la Bastille, quand même (destination aussi bien touristique que cycliste)? En tant que touriste, tu t'es baladé dans le centre? Place Saint-André, palais de Justice, quartier Notre-Dame? Qu'as-tu vu dans le coin, comme cycliste? Balcon de Belledonne, plateau des petites Roches, col du Coq, de Porte? Le Vercors?
  13. 3 h 00 de sortie ce matin, par un temps de plus en plus caniculaire évidemment. Au programme quelques difficultés parmi les plus notables du sud-est de Bruxelles, décor de la Flèche brabançonne: le mur bitumé du Smeysberg, le mur pavé de la Moskesstraat, Holstheide, Ijskelderlaan, Schavei, Moerenhoutstraat (Speelberg), Hertstraat, et pour finir retour par la N4 et la belle épingle à cheveux du centre d'Overijse. Au début j'avais l'impression de ne pas avancer, notamment dans le Smeysberg, mais les sensations se sont progressivement améliorées, pour finir par être conformes à la normale. L'organisme se fait petit à petit à la chaleur!
  14. La région est superbe, rien à voir avec Grenoble ou le Bourg-d'Oisans dont je ne garderai vraiment pas un grand souvenir... On ne t'a pas fait passer par les bons coins grenoblois, je vois. 😢 Attends la prochaine fois que je sois dans la région… ou demande à un autre connaisseur, comme Eric Mazaré par exemple, de te guider!
  15. Ou pas entretenue du tout.
  16. Vous me faites me sentir coupable, mais pourtant j'aime la chaleur aussi! Ainsi aujourd'hui j'ai fait une sortie avec plus de 6 h de vélo effectif, dont la moitié par plus de 30° à l'ombre, et avec un rythme légèrement en-deçà de l'habituel, je n'étais pas particulièrement cassé… Et comble de la folie, je sors sous la pluie, sauf si c'est vraiment un déluge. Déjà que si je ne sortais pas sous la pluie, une bonne partie de mes sorties seraient annulées, alors si je ne devais pas sortir parce qu'en ce moment il fait plus de 30°! Je ne vais pas dire que je ne ressens pas du tout les effets des fortes températures, ce serait faux… mais rouler à plus de 30° à l'ombre me gêne apparemment nettement moins que la plupart des gens. Du reste, je ne me souviens pas avoir annulé une sortie pour cause de chaleur. L'aléa climatique que je supporte très mal, moi, c'est le vent. Après, il y a le froid, que je supporte assez mal, même bien couvert. Il y a dix jours, je sortais avec Jérémie Laplac dans les environs de Liège, il faisait 15°-20°. Hé bien j'avais la tenue longue (légère certes), Jérémie lui était en court. Par ailleurs j'ai souvent mal aux doigts des mains et des pieds dès que les températures approchent des 0°, quelles que soient les protections. Nous sommes tous différents, y compris vis-à-vis des conditions climatiques…
  17. Je connais assez bien ce coin pour avoir vécu six mois à Aix-les-Bais (il y a seize ans), et j'ai grimpé une fois à vélo le Mont noir par côté Le Bourget-du-Lac, mais je n'ai jamais fait le versant Yenne, ni même en descente. Mon terrain de jeu, à l'époque, c'était plutôt le Mont Revard, du côté opposé par rapport au lac. Je n'étais pas accro aux pentes raides comme je le suis maintenant. Les stats que j'ai citées sont celles de mon vieux guide Altigraph «Atlas des cols des Alpes, volume 1: Alpes du nord», que j'ai sous la main. D'après ce guide, les 8,5 derniers kilomètres du versant Yenne sont très réguliers dans leur raideur, mais il ne montre que les pourcentages moyens pour chaque kilomètre: c'est donc possible qu'il y ait des variations significatives dans chaque kilomètre. Ce que j'en retiens pour ma part, c'est l'impression d'à-pic que me laissait le versant Yenne vu du sommet du Mont: la route semblait carrément plonger!
  18. Merci pour avoir remonté cette recette, elle m'avait échappé!
  19. Merci. Dommage alors qu'ils ne passent plus par l'ascension la plus exigeante du coin!
  20. Aujourd'hui c'était ma première occasion de sortir après une semaine d'inactivité sportive complète, et tant pis pour la chaleur j'ai voulu en profiter! D'autant que je ne pourrai pas sortir à nouveau avant ce week-end malgré les vacances, contraintes familiales obligent. Donc 8 h de sortie au total, de Bruxelles à Ecaussines (Hainaut), à allure très cool mais avec un maximum de bosses dans cette zone bien vallonnée. Départ à 7h00 du matin et retour vers 15h00, dont 6 h 20 de vélo effectifs et le reste pris par trois arrêts (deux dans des bars à faire le plein des bidons et un à cause d'un souci de dérailleur). 34° maxi annoncés, et ils y étaient, mais heureusement je supporte bien la chaleur. Sauf pendant la dernière heure où j'avais à retraverser Bruxelles d'ouest en est après avoir grimpé quelques bosses à Uccle et Forest. À chaque arrêt aux feux et croisements j'avais l'impression de me trouver dans un four, coincé que j'étais entre les bagnoles aux moteurs surchauffés! 😬
  21. Tsss, petite nature! 😛 Ici à Bruxelles et dans les deux Brabants, ciel bleu azur, vent de sud-est et officiellement 34° à l'ombre pendant la deuxième moitié de ma sortie. Je ne sais pas combien ça faisait au soleil, mais ça devait dépasser les 40°. Le seul moment où j'ai vraiment souffert de la chaleur (j'aime bien en général) c'était pendant la dernière heure, quand je retraversais la ville et quand je poireautais entre les voitures aux feux rouges: de vrais radiateurs ambulants, ces fichus bagnoles! 📢
  22. Sinon, je suis surpris que le Granon n'ait pas été au programme de la Serre-Che. La route est fermée?
  23. Quand Poulidor avait largué Merckx c'était sur l'autre versant du Mont du Chat (côté Yenne), et il est encore plus pentu que le versant Bourget: 17 km d'ascension, 10,9% de moyenne sur les 8,5 derniers kilomètres d'après Altigraph, après les 8,5 premiers kilomètres très irréguliers.
  24. C'était après 200 bornes? Et tu as tenu comme ça toute la durée de l'ascension? J'aime bien aussi monter les côtes sans tenir le guidon (quoique, dans du 18%…), mais c'est pas pour ça que je vais vite 😃
  25. 1. Oui, c'est la règle de base. Mais comme pour le reste, c'est un repère théorique, une base de départ, qu'il faut affiner avec l'expérience. Une étude posturale sérieuse pourra fort bien donner un résultat nettement différent… comme dans mon cas. 2. J'ai eu le même problème lors d'un changement de chaussures, en voulant absolument suivre la méthode «métatarse». Apparemment j'ai des orteils très courts pour ma pointure. Et qui plus est, je ne me sentais pas bien du tout avec un réglage de cales avancé au maximum. Aucune puissance (moi qui n'en ai déjà pas beaucoup!), douleurs au genoux… Depuis j'ai nettement reculé les cales vers le talon, en voulant retrouver les sensations que j'éprouvais avec les chaussures précédentes, qui avaient été réglées lors d'une étude posturale chez Gir's. Au final, la différence avec le réglage «métatarse» est d'à peu près 5-7mm… 3. Les sensations sont personnelles et s'apprécient sur un assez long terme. Attends encore un peu avant de te prononcer. Et l'étude posturale sera déterminante à ce niveau!
×
×
  • Créer...