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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Irais-tu moins vite à VTT que toi-même à pied sur la même pente ? Pas sûr du tout. Il faut comparer ce qui est comparable. Je grimperais l'Angliru à vélo peut-être moins vite que le champion olympique de marathon ne le ferait en courant à pied, mais si je le faisais en courant à pied moi-même, j'irais deux fois moins vite que sur mon vélo. Et puis de toutes façons, après, il y a la descente. Bon courage au coureur à pied pour suivre alors ! 😃
  2. Le montage que tu envisages ne serait possible que si ton pédalier 6703 utilise lui-même au départ la technique du plateau porteur. Or il me semble que ce n'est pas le cas…
  3. D'après ces chiffres, non en effet ! Bien que ce soit bien plus accidenté qu'une certaine Fietselfstedenstocht… 😉 Je suppose que l'ami à moi qui avait fait le tour du lac Léman avait dû prendre un autre itinéraire que celui de cette cyclo.
  4. Sont-ils si roulants que ça, les bords du Léman ? Un ami compétiteur Ufolep en avait fait un jour le tour à vélo pour s'entraîner, il avait trouvé ça très difficile !
  5. C'est en accord avec l'évolution des cadences de pédalage en montagne : aujourd'hui les coureurs utilisent les mêmes cadences en montée que sur le plat, ce qui est parfaitement logique. Par contre (et même si j'en utilise une moi-même, avec mon triple), que des coureurs utilisent des cassettes 11-34, je trouve ça curieux : en compétition, les «trous» entre les développements doivent être bien plus fortement ressentis qu'en sortie rando. Pour éviter cela, les coureurs comme Froome pourraient utiliser de plus petits plateaux. Indurain avait utilisé un triple plateau pour la montée de la Bastille lors du Dauphiné 96 justement pour ça : pour éviter d'utiliser une cassette monstrueuse et donc mal étagée. Mais allez faire comprendre ça aux concepteurs des groupes actuels…
  6. «Qui veut aller loin ménage sa monture». Si tu te sens mieux avec de plus petits braquets que 33/29, essaie de monter ces braquets sur ton vélo de route. Ce sera certainement tout bénéfice pour ton palpitant ! Si ce n'est pas possible (et de fait c'est malheureusement difficile avec les groupes actuels) il faudra peut-être envisager de passer au VTT. Quitte à le «transformer» en vélo de route, comme Nicholas l'a fait, mais en conservant les braquets du VTT.
  7. Question de braquets adaptés, tout simplement. Les braquets des VTT sont prévus pour affronter ce genre de pente. Tant mieux si on ne tient pas à y cracher ses poumons. Si ton vélo de route avait ces braquets de VTT, tu aurais eu les mêmes sensations dessus qu'avec le VTT, et peut-être même meilleures (le vélo de route est a priori bien plus léger). Je me suis toujours demandé pourquoi les vélos de route n'ont pas les mêmes braquets que ceux des VTT dans les régions vallonnées. Au moins sur les vélos prévus pour les cyclistes non compétiteurs. En tout cas, moi je me suis fait un montage particulier dans ce sens : triple avec 26 dents à l'avant, et 34 à l'arrière, avec ça aucun mur routier ne m'a résisté jusqu'à présent.
  8. Oui, c'était sec ! Ça tombe dru ce soir à Bruxelles, je viens même d'entendre un coup de tonnerre ! 😲 Et d'après les prévisions, vaudra mieux ne pas oublier l'imper pour les prochaines sorties.
  9. Soixante bornes au nord de Bruxelles aujourd'hui, en suivant la Woluwelaan puis le canal de Willebroek jusqu'à… Willebroek, province d'Anvers. Une petite première pour moi, je n'étais jamais allé aussi loin vers le nord à vélo depuis Bruxelles: d'habitude je vais vers l'est ou le sud de la ville, bien plus vallonnés. Même itinéraire au retour. Temps sec, gris mais encore relativement doux (7° à l'ombre). Parcours plat donc, mais avec un méchant et piquant vent de face au retour, ce qui a fourni une bonne occasion de travailler la position mains en bas du guidon ! 🆒
  10. 64 kg tout rond ce matin à jeun (pour 178 cm), alors qu'en été c'est entre 61 et 62. Pas trop alarmant, mais il était temps de ressortir la bécane, ce que j'ai fait aujourd'hui.
  11. C'était apparemment la denture petit plateau standard de l'époque. Mon oncle (né en 51) me racontait avoir grimpé, ado, le col de Romeyère dans le Vercors avec un… 46/23. 😲 «Quasiment toujours en danseuse» précisait-il. Je m'en serais douté !
  12. Et pourquoi pas une rubrique «Votre sortie VTT du jour 2016», après tout ?
  13. Ici tu te crêpes bien le chignon avec de parfaits inconnus. Alors pourquoi ne pas souhaiter de vœux à de parfaits inconnus ? Ça relève de la même logique. 😛
  14. En bon bruxellois, des vœux bilingues : Bonne année - Gelukkig nieuwjaar ! 🆒
  15. En ressortir cinq, ce serait difficile voire impossible pour moi. Mais aucun doute sur ma plus belle journée à vélo: le BRA de 1997. Ça reste jusqu'à aujourd'hui mon record absolu de distance (260 km), et en passant par les cols du Galibier, du Mollard et de la Croix-de-Fer en plus. Départ à 4 h du matin du Palais des Sports de Grenoble pour une arrivée à 18 h 30 au même endroit, complètement cuit et par la distance et par le soleil qui avait resplendi toute la journée. Mais dans quel cadre…
  16. Et pourquoi pas la location ?
  17. Je n'ai jamais entendu parler d'un cadre qui n'accepterait pas de triple plateau. Aucun problème à redouter de ce côté, certainement.
  18. D'accord, le vent de face améliore la condition. Le problème, c'est le vent latéral qui peut t'envoyer dans le décor ou pire au milieu de la chaussée, particulièrement s'il t'arrive dessus en rafales. J'ai pris la résolution de ne plus sortir la bécane lorsque le vent est de force 6, ayant eu de grosses frayeurs par le passé. Pour ma part, lorsque la sortie est courte je préfère prendre le vent de face au retour, lorsque je suis bien échauffé.
  19. Heureusement, il n'y a pas qu'entre Paris et Roubaix qu'on trouve des pavés. 🆒 Vive les murs pavés belges !
  20. C'est un coin où je vais rarement, parce que ce que j'en ai vu ne me convient guère : plutôt plat, ouvert à tous les vents et revêtements généralement dégradés. Tu confirmes ce dernier point ! 😃
  21. Tu imagines bien… 😬 Sauf dans les fortes pentes, les coton-tiges comme nous dégustent bien plus que les armoires à glace s'ils n'ont pas un gros «moteur». Note quand même que lorsqu'ils en ont un, comme Frank Vandenbroucke dans le temps ou Sebastian Langeveld aujourd'hui, ils ne s'en sortent pas mal. Vincenzo Nibali l'a prouvé aussi dans le Tour de l'année dernière.
  22. À propos, c'était où ton fameux secteur pavé ? Que je puisse l'éviter… ou m'y lancer si je suis d'humeur à me faire mal ! 😃
  23. Pour ceux qui aiment bien les montées raides comme moi, les murs pavés comme les Paterberg, Taaienberg, Koppenberg et autres Mur de Grammont ont un avantage : ils sont équivalents à des côtes non pavées mais avec 2% ou 3% de plus. Du pain bénit pour moi. J'aime bien y rattraper et larguer des cyclistes qui m'avaient laissé sur place sans un mot sur le passage plat d'avant. 🆒 Mais les pavés sur le plat ou en descente, c'est autre chose. Le seul moyen de parvenir à les passer sans trop souffrir est d'aller suffisamment vite (comme rappelé par d'autres ici)… ou alors carrément au pas. C'est le fameux principe de la tôle ondulée. Et le fil de fer que je suis n'a pas toujours la caisse pour aller à la bonne vitesse ! Le pire, c'est quand le secteur pavé est une succession de courtes montées et descentes. On n'a même pas le temps de trouver le bon rythme que la pente change déjà d'inclinaison. Terrible ! Il a un passage comme ça dans les Ardennes flamandes, le Haaghoek. Jamais pu l'encaisser correctement, un véritable enfer. Tiens d'ailleurs, c'est là que Cancellara s'est brisé quelques vertèbres lors du Grand Prix E3 de cette année. 😬
  24. Moi qui en tant que poids plume ne suis absolument pas taillé pour les pavés, c'est le plaisir de relever un défi. Du genre «p… j'l'ai fait, j'ai dompté le légendaire Koppenberg !».
  25. J'ai écrit quelque chose d'erroné, que j'ai effacé ensuite. Aucune importance !
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