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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Comme tu dis, c'est plus que regrettable à ce prix. À signaler à TA !
  2. Rosa aussi était trés fort. Un inconnu pour moi, sorti de nulle part, avant sa victoire dans Milan-Turin. Je l'avais remarqué pendant les étapes de montagne du Giro de cette année. Avec Tanel Kangert, il faisait régulièrement un gros boulot pour Aru et Landa.
  3. Qu'est-ce qui s'est passé exactement? Les miens tiennent sans broncher depuis l'achat de l'ensemble en 2010 malgré des conditions d'emploi pas précisément idéales. Il s'agit bien de ceux installés avec ce modèle ? http://specialites-ta.com/pedalier/boitier/boitier/boitier-pedalier-axix-light-axe-acier.html D'un autre côté, je ne m'y connais guère en roulement. Du moment que mon pédalier tourne librement quand la chaîne n'est pas dessus, et sans avoir de jeu…
  4. S'il avait eu le niveau de Nibali en descente, tu veux dire. C'est pas gagné! J'en vois pas beaucoup à ce niveau-là : Sagan, Samuel Sanchez, Kwiatkowski… qui d'autre ?
  5. En week-end chez des amis en Hesbaye brabançonne (Thorembais-les-Béguines, Perwez). Comme j'avais amené mon vélo, j'en ai profité pour faire une cinquantaine de kilomètres dans cette zone ce matin. Trajet : Thorembais-les-Béguines - Jauchelette - Jodoigne - Piétrebais - Biez, puis retour en passant par Piétrebais à nouveau et puis la N91: Roux-Miroir, Incourt, Thorembais. Deux côtes de l'encyclopédie Cotacol au passage, plutôt modestes en valeur absolue mais qui détonent déjà dans cette zone aux vallonnements peu prononcés : la rue Saint-Pierre (mal pavée) à Jauchelette et la rue «Sur les Tiennes» à Piétrebais, intéressante dans ses deux premiers hectomètres (17% et 14% de moyenne respectivement). J'avais en projet d'en ajouter une troisième nettement plus corsée, la côte du Champ du curé à Biez, mais malgré le temps sec depuis plusieurs jours les pavés de cette sente abrupte étaient détrempés (pourquoi? aucune idée… les mystères des routes belges…). Ça l'avait transformée en patinoire et j'ai préféré faire demi-tour après avoir fait quelques mètres en équilibre précaire. Beau temps, un peu frisquet au début de la balade, doux par la suite. Vent assez fort de secteur sud, particulièrement pénible sur la très dégagée N91 au retour, ce qui m'a fait passer vingt minutes les mains constamment en bas du guidon, en montée comme en descente. Ça m'aura fait terminer cette balade à un bon rythme !
  6. Le modèle que j'ai, un Norauto pour 2 vélos, est non seulement repliable, mais permet l'accès au coffre même quand il est monté, grâce à un système de bascule. Ceci dit, cette bascule n'est pas toujours suffisante. Elle va très bien avec ma Citroën C3, mais j'ai pu vérifier qu'elle est insuffisante avec un Scénic : la porte du coffre venait quand même buter contre le porte-vélo, même si ça ne se jouait qu'à un ou deux centimètres. Ceci dit, j'ai acheté ce modèle il y a quatre ans et je ne le retrouve pas au catalogue actuel. Il n'est pas trop éloigné de ce modèle-là : http://www.norauto.fr/produit/porte-2-velos-d-attelage-plate-forme-norauto-rapidbike-2_651993.html Il y a un modèle analogue pour 3 vélos. Attention, les attaches ont une limite de poids, il faut vérifier que les porte-vélos une fois chargés au maximum ne dépassent pas cette limite…
  7. Ma souplesse se limite à ma vélocité sur le vélo… Dans la vie de tous les jours je suis raide comme un passe-lacet, et être plié de rire en tapant sur mon clavier est déjà largement au-dessus de mes capacités ! 😛 Je continue à prendre la tentative de Chavanel très au sérieux. J'ai toujours trouvé ce type impressionnant dans ses bons jours. Wiggins me semble hors de sa portée, mais pas forcément les marques de Dennis ou Dowsett. J'ai par ailleurs constaté depuis longtemps que Chavanel est bien mieux considéré en Belgique qu'en France. Savoir pourquoi…
  8. Assez logique : même en supposant que le parcours est plat, les frottements (qui dépendent du poids) sont moindres sur un vélo de route qui est plus léger, et la position du cycliste est en général plus aérodynamique.
  9. Selon tous les vélocistes que j'ai pu consulter à ce sujet, il n'y a aucun danger à mettre une chambre étiquetée 18-23 dans un pneu de 25. De fait je l'ai souvent fait et je n'ai jamais eu le moindre problème. Si tu gonflais tes 23 à 6,5 bars (ce qui me semble peu pour un poids de 74 kg), alors 6 bars est certainement le maximum sur tes 25 pour retrouver les mêmes sensations, en supposant qu'il s'agit du même modèle de pneu bien sûr. Probablement moins que ça encore, mais c'est à toi d'en faire l'expérience sur le terrain… Pour info je pèse 62 kg et gonfle mes pneus de 25 à 6,5 bars à l'avant et 7 bars à l'arrière (Continental GP 4 Seasons). Je roule sur des routes souvent en très mauvais état, et après pas mal d'expériences malheureuses j'ai pu voir que ce sont les pressions qui m'offrent le meilleur compromis confort-résistance aux crevaisons (notamment les pincements).
  10. Un porte-vélo d'attelage doit être muni de tous les feux arrière nécessaires, les stops également. Donc pas plus de danger d'être embouti de l'arrière que sans porte-vélo. Et puis, si ça arrive, ça diminuera peut-être la force du choc pour le conducteur, c'est-à-dire moi… 🆒
  11. Chez Spécialités TA, si tu n'aimes pas l'idée de l'étoile interchangeable, il reste le pédalier Carmina Compact, dont l'étoile n'est pas démontable. Certes, comme son nom l'indique, c'est un pédalier compact (entraxe 110) mais vu le large choix de plateaux chez TA même pour cet entraxe, ce n'est pas très gênant. Il peut même être transformé en triple si tu le souhaites, avec la technique du plateau médian porteur. http://specialites-ta.com/manivelle-carmina-compact.html
  12. Aucune idée… faudrait que je me renseigne, de fait !
  13. J'ai une Citroën C3, donc une voiture plutôt petite. Quand je suis seul ou avec un passager non cycliste à l'avant, et si je ne dois transporter que peu de bagages, je rabats les deux sièges arrières et le vélo va dans le coffre, roue avant démontée. S'il y a un passager à l'arrière ou si j'ai beaucoup de bagages à transporter, j'utilise un porte-vélos (marque Norauto) qui vient se fixer sur une boule d'attelage. À noter que j'ai fait installer le support de la boule, qui n'était pas d'origine sur la voiture. Un porte-vélo à boule d'attelage me paraît la solution la plus fiable et la plus sécurisante pour le transport de vélos en voiture, quand ces vélos ne peuvent pas aller à l'intérieur. Les galeries de toit ne sont pas adaptées aux distraits comme moi quand ils doivent passer sous des ponts ou entrer dans des garages 😬 et les portes-vélos qui viennent directement sur le hayon arrière gênent la visibilité, quand ils ne viennent pas masquer la plaque d'immatriculation et l'éclairage.
  14. « La Machine » (les Flamands le surnomment ainsi), qui vient d'être champion de France de poursuite, reste quand même relativement modeste au sujet de ses chances sur un record de l'heure : http://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-piste/Actualites/Sylvain-chavanel-je-reste-ouvert-a-toutes-propositions/595783 Citation : «Je ne sais pas encore ce que je suis capable de faire pendant une heure sur piste mais je vais essayer de me rapprocher le plus possible du record de Bradley Wiggins.»
  15. C'est il me semble normal que ceux qui ne sont pas habitués à tourner les jambes aussi vite en côte que sur le plat aient des fréquences cardiaques plus élevées : ils sont habitués en côte à des fréquences de pédalage plus basses, et augmenter brutalement ces fréquences fait travailler l'organisme de façon inhabituelle : le geste de pédalage est beaucoup plus saccadé, la respiration moins synchronisée, etc. Je ne suis pas sûr de l'intérêt du premier exercice que tu as évoqué. Pour changer ses habitudes il faut à mon avis y aller progressivement et être patient. Par exemple passer de 70 à 75, puis 80, etc, jusqu'à ce qu'on atteigne une fréquence de pédalage de croisière semblable à celle sur le plat. Pour cela, on utiliserait une dent de plus à l'arrière à chaque fois, ou si le pédalier le permet, on baisse les dentures du petit plateau de 2 en 2. Je me rappelle que quand je me suis mis à faire sérieusement du vélo en montagne, je suis passé progressivement (sans faire d'exercice de vélocité particulier) du 40/28 comme braquet minimal au 28/28. Concrètement j'ai d'abord installé un triple en 28/24 (30/26), puis suis passé au 28/26 (30/28) avant de me fixer longtemps au 28/28. Ça m'avait quand même pris quatre ans environ, cette évolution. C'est-à-dire d'une fréquence tournant autour de 60 tours/minutes environ à une fréquence de 85 tours/minutes environ, sans perte de vitesse au contraire. C'est toujours cette fréquence de 85 tours/minutes environ que j'utilise encore aujourd'hui en montagne, spontanément. Si je suis descendu jusqu'au 26/34 comme braquet minimal, c'est que je me suis pris de passsion pour les pentes bien raides, bien plus que les 10% maxi qu'on rencontre en général sur les routes de montagne.
  16. Pour répondre à ta première question, voilà mon avis de cycliste de niveau très modeste et non-spécialiste de l'entraînement, mais de quelqu'un qui se fait traiter de «Froome» parce que je tourne les jambes depuis longtemps (presque 20 ans) à une vitesse plus élevée que la moyenne des cyclosportifs, 80-90 tours/minutes en général (ce qui est nettement moins que Froome, Armstrong et compagnie soit dit en passant)… Tourner ou ne pas tourner les jambes est un faux problème ou devrait l'être, l'essentiel étant de grimper à la plus grande vitesse de déplacement possible. On doit choisir le braquet et les cadences qui nous conviennent, en gardant à l'esprit deux choses qui me semblent avérées : Il n'y a priori aucune raison valable de tourner les jambes nettement moins vite en côte que sur le plat. Si en développant une puissance (watts) semblable tu tournes à disons 90 tours/minutes sur le plat et 70 tours/minutes en côte, tu devras probablement revoir tes braquets, ou ta technique de pédalage en côte. Les deux fréquences devraient être semblables. De même quelqu'un qui tourne à 70 tours/minutes sur le plat devrait tourner plus ou moins à la même vitesse de jambes en côte, pour la même intensité d'effort s'entend.Plus l'effort est intense, et plus la fréquence de pédalage optimale augmente. C'est un fait prouvé depuis longtemps. Froome ne tourne les jambes à très grande vitesse (plus de 100 tours/minutes) que lorsqu'il démarre ou quand il va à fond dans les derniers kilomètres d'une côte. Le reste du temps, on le voit tourner à 90-100 tours/minutes. Et ce ce sur des braquets (allant jusqu'à 34/28) nettement plus petits que ceux utilisés d'habitude par les pros. C'est donc assez cohérent. Et sur le plat, ce seraient des fréquences de pédalage élevées mais qui ne choqueraient personne.
  17. Si ça existait déjà, ça ne m'aurait pas étonné. À mon avis, ça aurait du succès ! 🆒
  18. Salut Jérémie ! Oui, tu m'avais averti lors d'une précédente balade dans le coin il y a deux ans je crois, mais je voulais quand même avoir ce classique qu'est Mont Theux à mon palmarès. Bon, maintenant c'est fait, et je ne crois pas que je vais le refaire tant j'ai eu la frousse. Au point que j'ai dû faire la moitié de la rampe finale dans la rigole qui longe la chaussée : c'était plein de saletés, mais je me faisais moins frôler par les fous furieux en bagnole. Et pourtant c'était dimanche ! Qu'est-ce que ça aurait été s'il y avait eu des camions ! Jevoumont, je ne connais pas, mais ça figure bien dans l'encyclopédie Cotacol. Il y a deux ans tu m'avais montré une autre alternative par Rondehaye (Rue du Nouveau Monde). Désormais si je repasse dans le coin, je ferai l'une ou l'autre, n'importe quoi qui permettra d'éviter ce traquenard pour cyclistes qu'est Mont Theux. Pour l'anecdote, je retiendrais la dame qui m'a dépassé à toute berzingue dans Amermont avec son vélo électrique, et que j'ai rattrapée un peu avant le sommet de la Haute Levée. Comme je m'en étonnais auprès d'elle, elle m'a dit que pour cette portion moins pentue elle mettait son assistance électrique en mode «économe». Dans la portion raide par contre elle était en mode «pleine puissance». Comme ça j'aurai appris qu'il y a plusieurs modes d'assistance sur un vélo électrique, et qu'il valait mieux ne pas trop user de la pleine puissance sous peine de finir la sortie sans aucune assistance.
  19. Franck PASTOR

    Pneus

    Je dois préciser que j'ai trouvé encore plus robuste que le Conti GP 4 Seasons en matière de résistance à la crevaison, avec le Schwalbe Durano plus (section 25 dans les deux cas). Non seulement la chape est épaisse comme sur le Conti, mais les flancs sont renforcés, ce qui est bien sécurisant sur des routes caillouteuses ou gravillonnées. Par contre, ils sont nettement plus lourds (mais faut savoir ce qu'on veut, c'est le prix à payer pour se mettre relativement à l'abri des crevaisons) et en matière de longévité, je n'ai pas encore assez de recul pour comparer. Il sont également, d'expérience, moins adhérents que les Continental (prudence sur les pavés humides et des peintures sur routes détrempées), mais par contre un peu moins chers. Pour info, je roule en Belgique, à Bruxelles et dans les environs. Difficile de faire pire en Europe occidentale en matière d'état du réseau routier, d'où ma recherche permanente de pneus les plus solides possibles. Et a priori, un pneu solide est aussi un pneu durable, mais je dois encore le confirmer avec le Schwalbe Durano plus.
  20. 117 km dans les Ardennes liégeoises aujourd'hui, par un temps magnifique mais avec un vent bien réfrigérant, surtout dans les hauteurs. De Bruxelles je suis allé en voiture jusqu'à Aywaille avec le vélo dans le coffre, me suis garé à… la gare d'Aywaille, et suis parti en vélo vers 11 h pour un périple fameusement casse-pattes. Le hors-d'œuvre : longue montée peu pentue vers Harzé puis Lorcé, descente sur Targnon, remontée irrégulière vers Stoumont, puis descente vers Coo, puis Trois-Ponts et enfin Grand-Halleux (Luxembourg belge). À partir de là, une orgie de côtes classiques de la région : Wanne, Stockeu (jusqu'au «col», et redescente du même côté), Amermont, Rosier, Maquisard, Mont Theux (très belle côte mais un coupe-gorge pour les cyclistes, beaucoup trop de circulation!) et la Redoute pour m'achever, avec de belles crampes aux deux jambes dans le passage le plus raide qui ont bien failli me faire mettre pied à terre. À croire que l'Ardenne est un terrain cycliste idéal pour avoir des crampes, c'est rare que je n'en attrape pas dans cette région… 😬 Puis redescente sur Aywaille par Florzé. J'ai globalement suivi l'itinéraire n°11 proposé par ce livre, acheté il y a deux ans : http://www.racine.be/fr/le-guide-des-circuits-classiques-velo Ne connaissant pas encore bien la région, j'ai du souvent m'arrêter pour regarder la feuille de route fournie par l'éditeur. À certains endroits c'est franchement facile de se perdre, notamment vers Wanne, tellement il y a des routes qui se croisent et se recroisent. C'est là qu'un GPS serait bien pratique… Finalement un peu plus de 6 h 00 de vélo effectif (en décomptant les pauses, notamment 20 minutes dans un bar à Spa pour boire un café), et une moyenne bien basse de 19 km/h. Bien mal aux cannes ce soir. Faut dire que je traîne un joli rhume depuis trois jours…
  21. Franck PASTOR

    Pneus

    Qu'appelles-tu pneu en piteux état ? Les exigences envers les pneus sont pour le moins diverses chez les cyclistes. Certains jettent leurs pneus aux premiers signes d'usure (c'est plutôt mon cas), d'autres les usent jusqu'à la carcasse… Mais si le Continental Grand Prix 4 Seasons est vraiment usé après 2500 bornes sur tes routes, je doute que beaucoup d'autres pneus fasse mieux.
  22. On gagne du temps avec une position aérodynamique combinée à une assise stable. Martin semble penser que si en échange le fondement est en sang, ce n'est pas trop cher payer. Très curieux, mais c'est son choix. Après tout c'est lui qui pédale sur ce vélo-torture, pas nous. Ce que je me demande, c'est comment il fait pour supporter la douleur. Serait-elle moins forte que ses muscles en feu ? En plus, en se blessant il hypothèque ses chances pour les éventuelles courses suivantes, ici le championnat en ligne (il n'y a peut-être aucune ambition, remarquez). Ça me fait me demander aussi s'il avait déjà ce papier de verre sur sa selle lors du championnat de CLM par équipes. Si oui, ça confine au masochisme.
  23. Tant qu'il ne pleut pas, faut-il préciser… 😬
  24. En fait ça s'est produit au moins deux fois : dans l'article que j'ai cité dans mon premier post, on voit des photos de Martin avec le derrière en sang à deux occasions différentes (cette année et 2014 — la dernière photo de l'article). On y voit aussi une vidéo parle de son utilisation du papier de verre pendant le Tour 2013…
  25. Je ne vois pas ou est le gain de performance en se charcutant le cul jusqu'au sang. S'il bouge trop sur sa selle le problème se règle par la cause, pas en s'asseyant que du papier de verre... Sidérant quand même. Régler le problème par la cause, ce serait reculer drastiquement sa position, et il semble qu'il perdrait alors grandement en aérodynamisme. Trop sans doute pour ses temps de parcours. J'imagine que ceux qui l'ont posé sur le vélo ont réfléchi à cette question, quand même ! Alors il essaie de combiner aérodynamisme et stabilité de position avec cette selle recouverte de papier de verre. Mais vu les résultats sur son fondement, c'est sûr qu'il faudrait qu'il recherche une solution moins… agressive. C'est pas anodin pour qui que ce soit, des blessures à cet endroit, mais pour un cycliste ça l'est encore moins ! La selle « Prologo Nago Evo » citée par David me paraît quand même plus soft… même si peut-être moins stabilisante.
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