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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Il lance une provocation comme il en a l'habitude. Et ça marche.
  2. <blague vaseuse que j'ai préféré supprimer>
  3. Mêmes conditions climatiques à Bruxelles, mais moi j'ai eu froid pendant ma sortie de quatre heures (de 11 h 30 à 15 h 30), particulièrement aux pieds, alors que j'avais sorti la tenue d'hiver… sauf les surchaussures justement. Ce n'est qu'à partir de 14 h que je n'ai plus ressenti le froid. Mon organisme ne s'est encore réhabitué à ces températures, faut croire. J'ai déjà la nostalgie des températures estivales… 😢
  4. Oui, c'est ce que j'expliquais plus haut : pédaler en descente sans tourner les jambes trop vite, en gardant une légère résistance au pédalage, c'est un luxe très appréciable en montagne. Il m'arrive de pédaler à fond sur le 11 dents mais c'est très rare. Les pentes suffisamment fortes, dégagées et sûres pour permettre cela ne sont pas légion ! Par exemple, la descente à 11 % du «Fuchsröhre» sur le circuit du Nürburgring, dans l'Eifel, lors du Rad am Ring, un week-end de juillet pendant lequel ce circuit automobile est fermé aux voitures et réservé aux cyclistes. Je ne crois pas d'ailleurs que ça fasse avancer plus vite de pédaler ainsi dans ce genre de descentes abruptes. C'est alors uniquement la pente, l'aérodynamisme et le poids qui permettent de prendre de la vitesse. En pédalant on ne fait qu'accompagner le mouvement, et même on doit perdre en vitesse puisque le buste se redresse et pénalise l'aérodynamisme. Le seul intérêt est de tester la vitesse de pédalage.
  5. C'est vrai qu'en Belgique le 48/11 ne me sert pas beaucoup, au contraire du 26/34. En Brabant, je ne mets guère le 11 dents que dans la descente large et en ligne droite du Bruine Put, mais elle ne dure qu'une trentaine de secondes. En Ardenne c'est plus fréquent. Par exemple dans la zone entre Houffalize et La Roche où je vais fréquemment, je le mets dans les longues descentes de Bérismesnil vers Maboge et d'Hives vers La Roche. Du côté d'Aywaille et Trois-Ponts, il y a d'autres descentes roulantes où ça m'est arrivé aussi de l'utiliser. Pas de quoi justifier complètement une cassette avec un départ 11 dents ceci dit. Donc je me contenterais bien d'une cassette 13/34 en Belgique, mais ça n'existe pas, même en dentures personnalisées. Donc je garde la 11-34, dont le 11 dents prend tout son sens dès que je retourne à Grenoble. 🆒
  6. En bonne partie, je pense, parce que ce genre de cassettes n'est que très rarement proposée en première monte. Imagine qu'elle le soit plus systématiquement, je pense alors que bien des cyclistes s'y tiendraient. Entre autres parce qu'ils ne se préoccupent souvent guère de leurs braquets, laissant le vélociste décider pour eux.
  7. C'est amusant que toi comme Michel disiez que vous n'avez pas de montagnes en Belgique. L'Ardenne est quand même une chaîne de montagnes, même érodée. Et surtout, les pentes que ses vallées proposent sont suffisamment spectaculaires pour susciter le respect. Ce n'est pas un hasard si c'est en Belgique que je suis passé à des braquets inférieurs au «tour de roue» (26/26, 28/28, etc) : mes Alpes natales sont certes beaucoup plus hautes et proposent des pentes généralement nettement plus longues, mais elles sont aussi généralement moins raides. La semaine dernière, j'ai emmené ma fille de 7 ans dans les environs de Stavelot. Quand on a vu de notre voiture l'Ardenne se profiler au loin, elle a dit : « Chouette, la montagne ! » Venant d'elle, qui connait bien aussi les environs de Grenoble, ça veut bien dire ce que ça veut dire ! 😄
  8. Dans ta région se cachent pourtant des murs pas piqués des vers, courts mais avec des pourcentages à faire frémir. La rue du Drabe et la Sablière à Braine-le-Château, le Smeysberg à Huldenberg, le Kardaan et la Moskesstraat à Overijse, la drève de Stadt à Wavre, etc. me font bénir mon 26/34 à chaque fois que j'y passe. Et comme j'adore les forts pourcentages, j'essaie d'en emprunter autant que possible à chaque sortie ou presque. Tous ces murs peuvent se passer avec des braquets nettement plus gros que ça, j'en suis conscient. Mais j'ai horreur de forcer, même en côte. Je ne suis d'ailleurs pas sûr que mes genoux, qui sont fragiles, y résisteraient. Alors je passe ces murs en tournant les jambes à 80 tours/minutes, voire plus, et m'en porte d'autant mieux.
  9. D'une part on n'a pas trop le choix, les cassettes genre 13-32 ou 14-32 n'existant pas à ma connaissance, et d'autre part, comme je l'ai dit, un 11 dents est bien agréable en descente.
  10. Un dérailleur arrière venant du VTT. Dans mon cas un Shimano Deore XT de 2001 ou 2002, prévu pour 9 pignons mais parfaitement compatible avec une transmission 10 vitesses route comme la mienne (105 triple) puisque c'est le même ratio de tirage. Voir mon profil pour les détails du matos.
  11. Ce n'est pas avec le 11 dents que tu vas prendre de la vitesse, ça c'est la pente qui en décide. Et encore, seulement si tu te laisses aller, et en prenant la position la plus aéro possible. C'est vrai, ça m'arrive de me lâcher ainsi en montagne, c'est peut-être contradictoire avec mon modus vivendi de cycliste quand je suis en milieu urbain ou semi-urbain, mais c'est une contradiction que j'assume tant j'aime aussi bien descendre que monter. Mais ce n'est pas pour ça que j'aime le 11 dents dans les descentes. Pour un cycliste un tant soi peu expérimenté, rouler en roue libre entre 50 et 60 km/h dans les longues descentes de montagne est très courant, si la route est large, peu sinueuse et en bon état (ainsi que le vélo…). Et c'est là que le 11 dents fait merveille : il permet si on le souhaite de pédaler encore relativement aisément à cette vitesse (et non de prendre de la vitesse) et donc de ne pas laisser les jambes se refroidir. Particulièrement intéressant lorsqu'une autre ascension attend le cycliste juste après.
  12. Et en gros, oublie le 11 dents, il n'y a que 200 mecs en France qui sont capables de l'emmener correctement. Sauf en montagne, justement.
  13. Avec ma cassette 11-34 couplée à un pédalier triple 48-38-26 je monte Chamrousse (18,6 km à 7,1 % de moyenne) à 11,8 km/h. Donc presque 50% plus vite qu'à 8 km/h. L'étagement de la cassette dépend aussi de la vitesse à laquelle on tourne les jambes… 🆒
  14. Une chaîne cassée au début de la montée d'Hurtières, à Tencin (Isère). C'était avec un vélo où les leviers de vitesses étaient au cadre. En me mettant en danseuse mon genou a heurté le levier de changement de pignons. La chaîne s'est retrouvée d'un coup sur le petit plateau (d'un triple) et le petit pignon : CLAC ! Heureusement que j'avais un dérive-chaîne avec moi… La pire avarie, c'est quand même la fourche qui s'est soudainement fendue en haut des deux fourreaux, vers la fin de la descente du col de Romeyère sur Saint-Gervais (toujours en Isère)… Je ne maîtrisais plus du tout la direction, j'ai donc fini la descente à pied et j'ai continué la marche jusqu'à une maison d'où j'ai appelé mes parents à la rescousse. En chargeant le vélo, la fourche s'est alors complètement brisée.
  15. Sans doute, mais j'en ai pas : le VTT n'a jamais été ma tasse de thé. Quand il fait froid comme ça, je me contente de faire de longues marches. J'ai vu en magasin des VTT équipés de pneus absolument énormes, façon moto-cross, appelés «Fat boys». Il paraît qu'ils son faits pour rouler dans la neige et/ou le sable. Mais j'en aurai même vu un dans… Liège-Bastogne-Liège Challenge! 😲
  16. Simple : 0°. Plus question de risquer ma peau sur du verglas. J'ai été assez fou pour le faire et me suis méchamment viandé. Maintenant je laisse ça aux casses-cou !
  17. Il y a Tilff-Bastogne-Tilff plus tard dans la saison, à la fin du mois du mai ou au début de juin. C'est semblable à Liège-Bastogne-Liège dans le principe : partir des environs de Liège — Tilff est dans sa banlieue proche — pour aller à Bastogne et en revenir, soit un distance qui tourne autour de 250 km. Mais le parcours est un peu différent, les bosses ne sont pas toutes les mêmes même si on y retrouve des classiques comme la Redoute ou le Rosier, et l'esprit est nettement plus «randonneur» (pas de montées chronométrées). De plus, c'est nettement moins cher : 15 euros contre 40 euros. Autre avantage : contrairement au Liège-Bastogne-Liège Challenge, on n'a pas à se farcir le trafic intense du centre de Liège au début et à la fin de la randonnée.
  18. 2 h 30 de vélo dans l'est de Bruxelles, en mode balade, avec quand même quelques bosses sur le trajet, dont le Smeysberg (mur de 400 m à 18 % maxi). Temps sec et relativement doux, mais gris et venteux à flanquer le cafard. L'été est décidément bien loin derrière nous.
  19. Pourquoi LOL ? Le mot Granon aurait un sens spécial qui m'aurait échappé? Parce que sinon il donne pas spécialement envie de rire aux éclats quand on le grimpe, ce col-là…
  20. Un seul vrai nouveau col ajouté à mon palmarès cet année, le seul véritable col géographique du plat pays parait-il : le col du Rideux (370 m d'altitude pour 200 m de dénivellation, certes, mais c'est un point bas sur une ligne de crête quand même). Pour les nouvelles montées : la côte de Chalais, en Chartreuse, qui contiendrait les cinq kilomètres les plus raides des Alpes françaises avec plus de 12 % de moyenne sur ces cinq bornes (10,8 % de moyenne sur les 6,7 km de la montée complète) ;la côte de Mont-Saint-Martin, voisine de la précédente : 6,2 km à 9,6 % de moyenne ;Tous les autres cols et ascensions montagnardes notables de l'année, je les avais déjà faits auparavant ou presque.
  21. 1 PSI = 0,0689476 bar. Donc tu gonfles entre 6,2 et 6,9 bars. Autour de 6,5 bars quoi. Ça paraît assez peu pour ton poids, mais c'est encore raisonnable. Pour tester, tu peux quand même ajouter un bar (à peu près 15 PSI) à la pression de tes pneus pendant quelques mois et voir si ça n'améliore pas leur longévité…
  22. Pour mon utilisation, le seul intérêt du Spécialité TA, c'est le choix des dentures. Et le choix dans les longueurs d'axe ! 😉
  23. Pour ma part, j'aurai oublié tour à tour la nourriture (pour un long trajet), les gants, la pompe, mon compteur, mon imper (alors qu'il allait pleuvoir bien sûr), la sacoche de selle (je me disais bien que mon vélo me semblait plus léger), mon casque (Benoît Sapin sera content), et j'en oublie sans doute (un comble !). Et oublier d'éteindre les phares de sa bagnole avant de partir en randonnée, ça compte ? Au retour de la rando, batterie à plat bien sûr… Ça m'est arrivé deux fois, et ces deux fois j'ai été dépanné par la même personne (merci Jérémie). Prochaine étape, peut-être mes chaussures ou mon vélo, ou les deux…
  24. À moi non (j'en ai oublié des choses lors de mes déplacements, mais pas encore mes chaussures), mais ce n'est pas la première fois que j'en entends parler ! Pour l'anecdote, il était arrivé la même chose à l'ancienne championne cycliste Marion Clignet quand elle a voulu participer à une des premières «Étapes du Tour» (94? 95? je sais plus). Résultat, elle a fait toute l'Étape en baskets… et elle a quand même gagné dans sa catégorie.
  25. Il me semble qu'il n'a gagné que Liège-Bastogne-Liège parmi les cinq monuments. Trois fois, certes. 🆒
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