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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Ils n'en mettent pas dans leurs bidons à ma connaissance, mais ils s'arrêtent volontiers en cours de route sur les terrasses des bars locaux pour relâcher la pression… en en descendant quelques-unes. 😎
  2. J'étais avant-hier dans les Ardennes belges où le mercure montait à 30° à l'ombre par endroits. Il y avait peu de cyclistes alors que d'habitude il y en a beaucoup le week-end dès qu'il fait beau. Dans la Redoute j'étais rigoureusement le seul cycliste, ça n'est pas arrivé souvent ! Par contre, je me suis fait dépasser par un jeune dans Stockeu, mais ça a été pour le retrouver couché de tout son long à l'ombre au sommet 🥵. De façon générale, les cyclistes belges et néerlandais n'apprécient pas trop ces conditions climatiques, semble-t-il. Je fais partie de ceux qui supportent bien la chaleur, mais j'ai constaté qu'une règle d'or est souvent oubliée dans ces conditions : l'hydratation ! Dans pas mal de cas (pas tous certes), des personnes qui disent souffrir de la chaleur ne boivent tout simplement pas assez, ou mal (de la bière bien alcoolisée par exemple, alors que l'alcool a tendance à déshydrater !). Or il faut boire très souvent, par petites quantités à chaque fois, et des boissons énergétiques de préférence, sous-dosées pour qu'elles passent mieux. Avant-hier j'en ai bu trois litres (quatre grands bidons de 75 cl) pour 7h30 de vélo, et un litre supplémentaire n'aurait sans doute pas fait de mal non plus.
  3. J'entends régulièrement les deux en Belgique, l'Ardenne et les Ardennes, et ce ne sont pas seulement des Français de Belgique qui en parlent au pluriel. À force, je ne fais plus vraiment attention à dire l'un ou l'autre. D'ailleurs, en néerlandais, c'est le pluriel systématiquement : de Ardennen. 😎
  4. 135 km dans les Ardennes liégeoises aujourd'hui, dont les quelques 120 km (118 officiellement) du circuit « Les murs des Ardennes » concocté par Climbfinder : https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/106936 Le principe est simple (et me convient très bien :-)) : accumuler le plus de murs possibles sur le parcours, qui dessine une boucle à partir de Spa, la ville thermale bien connue. Et donc des raidards à foison : la Ferme Libert, le Stockeu (intégral), Wanneranval, les Hézalles, la Redoute, pour les plus connues, https://climbfinder.com/fr/montees/ferme-libert https://climbfinder.com/fr/montees/stockeu https://climbfinder.com/fr/montees/wanneranval https://climbfinder.com/fr/montees/hezalles https://climbfinder.com/fr/montees/redoute et d'autres moins connues comme la route de Saint-Vith, la côte de Chevron, Hes Grevis, la côte de Brume, Sur le Thier (la plus dure de toutes à mon avis)… https://climbfinder.com/fr/montees/route-de-saint-vith https://climbfinder.com/fr/montees/cote-de-brume-sud https://climbfinder.com/fr/montees/cote-de-chevron https://climbfinder.com/fr/montees/hes-grevis https://climbfinder.com/fr/montees/sur-le-thier Il n'y a que la dernière côte du parcours (le chemin des Moutons, à Spa même) que je n'ai pas faite, because la batterie de mon smartphone, qui me servait de GPS, s'est vidée avant d'aborder cette montée. Comme je ne voulais pas tourner en rond dans Spa (que je connais mal) pour chercher cette côte que je n'avais grimpée qu'une fois auparavant et dont je ne me rappelais plus du tout où elle se trouvait, j'ai choisi de la remplacer par une autre au moins aussi difficile, et qui avait l'avantage d'être toute proche de l'endroit où était garée ma bagnole : la rue du Jeu de Paume. https://climbfinder.com/fr/montees/rue-du-jeu-de-paume Au final, très belle journée avec les jambes bien douloureuses au retour bien sûr. Les Ardennes belges, c'est des pentes raides à foison, mais aussi de beaux paysages verdoyants, comme celui-ci (ma photo ne rend hélas pas justice à l'étendue du panorama, c'était au sommet de « Sur le Thier », les maisons qu'on voit sont celles du village de Hautregard, au-dessus de Sougné-Remouchamps, près de la Redoute)) : De belles maisons de ci-de là, comme celle-ci: Mais aussi, hélas, trop souvent ce type de route : Ça n'étonnera donc personne que j'ai assez mal au derche ce soir… Pour le reste, temps beau et chaud (28° à l'ombre d'après la météo à Spa cet après-midi, bien plus au soleil — ma voiture indiquait 35° à mon retour). le type de temps qui me convient, à condition de bien boire (au total 3 l de boisson énergétique consommée dans la journée, quand même). et à nouveau venteux. Au rayon anecdote, vers le pied de la Ferme Libert j'ai dépanné une dame en VAE dont la chaîne avait déraillé du plus grand pignon (au moins 50 dents) et s'était complètement coincée entre ce pignon et la roue. Ce faisant, j'ai réussi à me pincer le bas de l'ongle du pouce entre la chaîne et ce pignon, et bon sang que ça fait mal ! Je m'en sors plutôt bien, il n'y a qu'un petit hématome noirâtre à la base de l'ongle qui se fait à peine sentir. Et la dame a pu repartir, c'est l'essentiel 🙂
  5. 51 km pour moi cet après-midi, dans l'est et le sud-est de Bruxelles (Huldenberg, Overijse), par un temps sec, moins chaud que les jours précédents (22°) et toujours venteux. Travail de la puissance en grimpant quelques murs locaux « à fond » (effort et cadence maximum sur deux à trois minutes à chaque fois), dont le Smeysberg, la Moskesstraat et le Kardaan. Sensations correctes, sans plus. Dimanche, sortie ardennaise au programme, je n'ai pas encore décidé où, entre La Roche-en-Ardenne ou Spa/Stavelot
  6. Ton avis de Belge sur la cuisine alsacienne fait peur, déjà que la cuisine belge n'est vraiment pas un modèle de légèreté ! 😱
  7. Tous des ringards ces cyclistes ! 😛
  8. 41 km cet après-midi pour une sortie 100% bruxelloise, en mode tourisme et détente après des corrections d'examen. Cette fois direction le nord de la ville, pour grimper quelques mini-côtes du côté d'Evere et Laeken, et surtout faire une halte devant l'Atomium, monument emblématique : Ceux qui n'en savent pas suffisamment sur cette originalité architecturale qui date de l'exposition universelle de 1958 peuvent lire ceci : https://atomium.be/discover Comme la photo le montre, il faisait beau. Il fait également toujours aussi chaud selon les normes belges : 28° à l'ombre, et ça n'est pas pour me déplaire. Un thermomètre de devanture de pharmacie affichait 33° à mon passage peu avant mon retour. Pour moi, ça peut bien encore prendre quelques degrés 😛
  9. Disons que ça aurait pu tourner à la mise en bière avec encore plus de malchance. On en plaisante aujourd'hui, mais sur le moment ça ne prêtait pas à rigoler. Je laisse Pierre faire le rappel des événements, s'il le souhaite.
  10. Attention à lui en descente, mieux vaut ne pas essayer de le suivre. Mais bon, je suppose que tu te méfies maintenant des Belges en descente !
  11. D'expérience, le col de la Croix-Perrin est déjà bien ensoleillé vers 11 h en été. La descente vers Lans notamment devrait se faire en plein soleil, et de même jusqu'à l'arrivée. Exception faite de la partie entre Autrans et le pied occidental de ce col, partie que je ne connais pas bien et donc sur laquelle je ne peux pas me prononcer, je ne vois pas vraiment d'endroit ombragé… Même les gorges du Méaudret ne le sont pas vraiment. Par contre le Méaudret y rafraîchit l'atmosphère. Ce devrait être à cet endroit-là en effet que la chaleur se fera le moins sentir, mais vous le ferez dans le sens de la montée… De façon générale, je crois qu'il vaut mieux ne pas compter du tout sur l'ombre lors de ce parcours. Le mot d'ordre sera donc de s'hydrater et de se rafraîchir le plus souvent possible. Ceci dit, c'est entre 800 et 1200 m d'altitude, à la louche, donc la chaleur sera moins sensible qu'en plein cœur du Grésivaudan 😉 Bon marathon ! Tiens-nous au courant, si tu veux bien.
  12. Pas dans l'ascension elle-même, prise isolément. Dans toute l'approche qui a précédé sur LBL, oui, forcément. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que sur la course pro les leaders étaient restés bien au chaud du peloton, même réduit, jusqu'au pied de la Redoute justement. Le premier tiers de LBL Challenge était d'ailleurs particulièrement roulant. Mais même sur le parcours pro, plus ou moins jusqu'à Vielsalm et même au-delà, LBL présente pas mal de portions roulantes et venteuses, donc l'abri d'un groupe est important pour s'économiser un maximum en vue des difficultés finales.
  13. Le versant du Ventoux dont on parlait était celui de Malaucène. Mais le versant Bédoin n'est guère plus pentu globalement (7,7% de moyenne). Quant au vent, effectivement je n'en tiens pas compte dans mon raisonnement.
  14. Dans la Redoute, Pierre m'écrase tout bonnement, je crois qu'il avait mis 1 min de moins que moi, dans ces eaux-là. Ce ne serait peut-être plus le cas si elle était dix fois plus longue en restant aussi pentue (elle fait environ 1,5 km dans sa version — légèrement — raccourcie empruntée durant LBL 2025). Quant au Mont du Chat, c'est 9,2 % de moyenne sur 13,5 km d'après Climbfinder. Globalement nettement plus raide donc que le Ventoux versant Malaucène et ses quelques 21 km à 7,5 % de moyenne, et suffisamment long quand même pour que la raideur supérieure fasse une différence, me semble-t-il. Mais je ne connais ni Pierre ni Nicolas suffisamment pour avoir des certitudes absolues à ce sujet. j'extrapole et j'en ai conscience. Pas la peine d'être agressif à ce sujet… (d'ailleurs quel sens ça a d'être agressif sur des questions pareilles ?)
  15. Oui il est costaud, c'est une certitude, bien plus que toi ou moi. Ce que je disais, c'est qu'actuellement le poids nettement inférieur de Nicolas arrive presque à compenser la puissance nettement supérieure de Pierre sur le Ventoux, donc j'en déduis que Nicolas aurait l'avantage s'ils se mesuraient sur une ascension plus pentue que le Ventoux. Et il faudrait qu'elle soit suffisamment longue — nettement plus longue qu'une montée ardennaise, par exemple. Quand on y pense, il n'y a d'ailleurs pas énormément de longues montées en France plus pentues que le Ventoux ! Mais le Mont du Chat en est un bel exemple.
  16. C'est normal, c'est le rapport puissance/poids qui importe, pas tant le poids ou la puissance pris isolément. Pierre est bien plus lourd que Nicolas, mais sa puissance nettement supérieure compense visiblement suffisamment pour cette ascension-là. On peut en déduire d'ailleurs que ça ne serait probablement plus le cas si l'ascension faisait 9% de moyenne ou plus. Genre Mont du Chat. Si leurs performances dans le Ventoux sont représentatives de leurs niveaux respectifs, alors je pense que Pierre arriverait après Nicolas dans le Mont du Chat. 🙂 https://climbfinder.com/fr/montees/mont-du-chat
  17. Il faut t'appeler «schtroumpf paresseux» pour ne pas avoir le courage de mettre la cassette 12-30, ou «schtroumpf masochiste» pour aller quand même grimper ce morceau-là ? J'hésite… Bon, faut pas que je cherche à comprendre, le rationnel n'a visiblement pas sa place là-dedans. Veel succes voor morgen!
  18. Là aussi, ça permet de chiffrer nos différence de braquets et donc de cadences : à 12,5 km/h en montagne, c'est généralement le 24/21 que j'enroule, moi. À peu près équivalent à 34/30. 😇
  19. Pour une fois que le temps qu'il fait me convient, j'en profite. Vive la chaleur ! 🙂 D'autant que cette semaine le boulot me laissait plus de temps que d'habitude. Mais rassure-toi, ça ne sera pas pareil pour les deux semaines qui viennent… 😪
  20. Pendant que les Belges du forum laissent lâchement tomber leur pays, je tiens la barre comme je peux à leur place : 100 km aujourd'hui sur un trajet varié, le long du canal Bruxelles-Charleroi jusqu'à Clabecq puis Ronquières dans le Hainaut, et retour par Nivelles, Braine-le-Château, Beersel, Forest, et un max de bosses dont les Gaudys à Ronquières, le Mont Saint-Roch à Nivelles et mes traditionnels Bruine Put à Dworp et bien sûr la rue du Mystère à Forest pour m'achever (réussi à ne pas descendre en-dessous de 11 km/h dans cette dernière, un bon signe de forme !). https://climbfinder.com/fr/montees/bois-de-la-houssiere-henripont https://climbfinder.com/fr/montees/mont-saint-roch-nivelles https://climbfinder.com/fr/montees/bruine-put-dworp https://climbfinder.com/fr/montees/rue-du-mystere-forest Temps chaud (max 28°), venteux évidemment, généralement couvert avec même quelques gouttes de pluie inoffensives. Halte-photo à Nivelles pour sa collégiale Sainte-Gertrude, à la façade ouest particulière : Et aussi pour son palais de justice (désolé, photos de traviole) : L'histoire de la collégiale est elle aussi particulière. Pour les curieux : https://fr.wikipedia.org/wiki/Collégiale_Sainte-Gertrude_de_Nivelles
  21. Tu peux ajouter le Lautaret à ta liste, que tu as franchi en descendant du Galibier… Franchement impressionnant !
  22. Oh si j'imagine bien, d'autant mieux que je me suis déjà baigné dans un lac de montagne, un vrai, en altitude (dans les 1700 m), malgré ma détestation de l'eau froide, pour faire le malin devant un groupe de copains (c'est quand même impressionnant ce que vous fait faire l'effet de groupe…). Je l'ai fait avec toutes les précautions d'usage : j'ai bien mis 15 min à y entrer complètement. Mais je ne risque pas d'oublier la barre de fer ressentie dans la poitrine au moment de l'immersion complète, qui m'a fait ressortir illico. Alors, les plongeons abrupts dans l'eau froide, même moins froide que celle d'un lac de 1700 m d'altitude, nee bedankt ! Alleen voor gekke smurfen!
  23. Plus jeune, j'allais régulièrement à la piscine municipale la plus proche, en famille, en cours de gym ou plus tard avec des copains. Et j'avais déjà du mal à entrer dans l'eau, dont la température était maintenue à 27°… Ça ne s'est pas amélioré avec l'âge. Alors les plongeons dans un lac de montagne après une sortie vélo, je laisse ça volontiers aux schtroumpfs !
  24. Un col bien roulant, apparemment, où l'abri peut jouer un rôle et où des forces de la nature comme tes deux Néerlandais peuvent s'en donner à cœur joie. Faut que tu recherches plus pentu dans le coin si tu veux avoir plus de chances d'en rattraper. 😉
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