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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Merci ! Heu… Il disait quoi Aramis ?
  2. Tu as tronqué ma phrase en la citant, du coup elle prend un tout autre sens ! 😆 (Phrase complète : dans un cadre plus attrayant que certains allergiques au Brabant (ils se reconnaîtront ) doivent l'imaginer) Pour le reste, je t'assure qu'il y a vraiment des endroits en Brabant où il est agréable de faire du vélo. Le gros bémol c'est l'état des routes, mais toi tu es parfaitement équipé pour affronter ça !
  3. Il n'y a que Gasparotto qui ait réagi comme il le fallait à la manœuvre de Sagan. Si seulement quelqu'un d'autre avait osé le suivre… ou alors ils étaient tous trop cuits ?
  4. Comme souvent, la galerie de photos de Sportograf sur cette Flèche brabançonne cyclo vaut le détour. En particulier, leur façon de rendre le brouillard photogénique ! Cliquer sur le lien «Best-of Galerie» sur la droite de la page suivante : https://www.sportograf.com/fr/shop/event/4868-Brabantse-Pijl-Cyclo-2018
  5. Sacrée sortie dans cette vallée de la Semois que je n'ai visitée qu'à pied et en voiture. 😳 Il faut vraiment que j'y aille faire du vélo un de ces jours.
  6. Quand j'étais encore chez mes parents j'ai souvent aidé mon père et ma mère à jardiner, une de leurs passions (moi par contre, je ne peux pas dire que ça m'ait passionné, encore maintenant 😳…). Un conseil élémentaire et que certains pourtant ne respectent pas, d'où des problèmes de dos : penser à bien fléchir les jambes pendant des activités comme le bêchage. Et généralement, à alterner le plus possible la position des mains gauche et droite dans la prise en mains des outils, ça évite les problèmes de développement musculaire asymétrique et c'est une bonne façon de faire reposer une partie du corps pendant que l'autre travaille.
  7. Pfiou, c'est fait, ces 150 km . En fait 176 km selon compteur en tout, en comptant les déplacements pour aller prendre le train avec mon vélo et en repartir. Départ à 6 h 45 de chez moi, direction la garde de Zaventem, à 6 km, pour prendre le train pour Louvain. J'arrive au Sporthal de Heverlee (à 4 km de la gare de Louvain), lieu du départ, vers 8 h 00. Le temps de faire scanner ma feuille d'inscription, de mettre ma plaque de cadre (numéro 499, facile à retenir) et de partir pour la cyclo, il est 8 h 15. Dommage, la première partie du parcours, celle que je préfère car la plus vallonnée et à mon sens la plus belle, est noyée dans le brouillard, donc on ne profite pas des paysages, qui en temps normal sont agréables à l'œil une fois sorti de la banlieue de Louvain. Mais les côtes sont bien là, elles, et elles s'enchaînent rapidement. Paardestraat, Langestraat, Veeweide… et puis à Huldenberg, le redoutable Smeysberg, une «côte à piétons» (j'en aurai dépassé deux…) de 600 m à 18 % maxi, en fait la seule difficulté de la journée qui me contraint à mettre «tout à gauche», malgré mes développements de VTT (mini 26/34). Ensuite, sous un soleil qui s'est enfin décidé à se dévoiler, c'est le circuit final de la Flèche brabançonne pro, à Huldenberg et Overijse, que nous n'aurons nous à emprunter qu'une seule fois. À Overijse, Ijskelderlaan (ravito au sommet), le Schavei, Hagaard (une autre côte à piétons, mais quand même moins raide que le Smeysberg), la Hertstraat, et puis retour à Huldenberg pour grimper l'autre versant du Smeysberg, appelé Holstheide, bien moins raide mais aussi bien plus verdoyant (le Smeysberg grimpe lui au milieu des maisons). Entretemps j'ai eu des soucis avec mon compteur, qui n'a plus fonctionné pendant plusieurs kilomètre. Doué comme je suis avec tout ce qui est matos, j'ai mis un long moment à comprendre que le capteur fixé sur la base s'était trop éloigné de l'aimant vissé sur un rayon. Une fois ceci réglé, plus de problème à ce niveau. Après la Holstheide, on en a fini avec le circuit final des pros, pour se diriger vers le Brabant wallon via une côte courte mais assez raide, la rue de Pécrot. Ensuite, long parcours monotone et peu vallonné en ligne quasi droite qui traverse successivement les villages de Nethen, Hamme-Mille, Beauvechain, Tourinnes-la-Grosse, l'Ecluse… Entre-temps on est arrivé en Hesbaye, un paysage d'immenses champs agricoles sans aucun arbre ou presque. J'imagine que c'est, toutes proportions gardées, ce que la Belgique a le plus proches en paysage de régions comme la Beauce en France. À partir de là commence la partie de la cyclo que j'appréhende le plus. Pas à cause des côtes supplémentaires qui s'annoncent (les plus dures sont déjà faites), mais à cause du vent (quasiment aucun abri dans cette région), heureusement très modéré aujourd'hui, et surtout à cause de l'état des routes. Dalles de béton disjointes qui fait que chaque passage d'un dalle à l'autre est un saut ou un choc, revêtement très granuleux par endroits, nids-de-poule… Même pas besoin de secteurs pavés en Hesbaye pour sauter sur sa selle ! Entre-temps, deuxième ravitaillement à Meldert (Hoegaarden) dès le retour en Brabant flamand. Puis deux côtes typiques de la région, peu pentues et assez longues, Hoxemsteenweg et Tassinstraat, avant de se diriger vers une autre région du Brabant flamand plus densément peuplée et plus vallonnée, mais aux routes tout aussi déplorables : le Hageland, littéralement «pays des haies». C'est le «pays» natal d'Eddy Merckx (lequel a grandi ensuite à Bruxelles) mais aussi de Sven Nys, le fameux cyclo-crossman, et deux circuit balisés à leurs noms respectifs parcourent la région. Le parcours de la cyclo en emprunte d'ailleurs quelques portions. Vu l'état des routes, ça ne m'étonne pas que Sven Nys y ait eu la vocation du cyclo-cross… Il n'y a bizarrement plus de côtes répertoriées dans cette partie du parcours, alors qu'on y trouve des montées pourtant assez sévères, plus difficiles que celles de la Hesbaye, notamment le Pellenberg (Lubbeek). Entretemps, mes jambes commencent à être lourdes… et mon derrière douloureux, avec tous ces kilomètres et tous ces chocs dus à l'état du revêtement. J'accueille donc avec soulagement le troisième et dernier ravitaillement à Lubbeek, après 120 km de route. Autour de moi, j'entends pas mal de cyclistes converser, en néerlandais, anglais ou français, sur le fait que ça devient vraiment dur. Haut les cœurs, il ne reste que 30 km ! Mais le redémarrage est pénible, avec des jambes de plomb qui mettront bien 10 km avant de tourner comme précédemment. On retourne dans la banlieue proche de Louvain : Kessel-Lo (belle descente à cet endroit, 66 km/h en ligne droite), Korbeek-Lo, Bierbeek, Blanden… Quelques nouvelles côtes toujours non répertoriées, et deux secteurs pavés courts mais assez rudes, corsent cette fin de parcours. Et puis c'est l'arrivée, le Sporthal d'Heverlee, après un passage un peu sinistre à côté d'un vaste cimetière. Le compteur indique alors 162 km (152 pour le parcours de la Flèche elle-même plus les 10 km de déplacements supplémentaires que j'ai faits avec mon vélo), à la vitesse moyenne peu folichonne de 22,1 km/h de moyenne et une cadence moyenne honorable de 87 tours/minutes. De quoi me récompenser moi-même avec une bonne barquette de frites-mayo, et puis direction la gare de Louvain pour rentrer «at home». À la gare j'apprends que mon train vient tout juste de partir, et qu'il faut que j'attende une heure avant le prochain. Qu'à cela ne tienne, je décide de prolonger un peu la sortie en rejoignant à vélo la première gare intermédiaire du trajet, Herent. Là, encore une demi-heure à tuer, que je passe en sirotant un café au bar du coin. Enfin, le train pour Zaventem arrive, et puis de là retour chez moi sur mon vélo. Bien cuit, bien mal un peu partout (y compris un début de crampes… aux mains !), mais aussi bien satisfait par une belle journée de vélo ! 😄
  8. Une fois la cyclo terminée, pour revenir chez moi j'ai pris le train à Herent, à côté de Louvain, et c'est en attendant ce train, vers 17 h, que j'ai vu le ciel se couvrir. Puis en arrivant à la gare de Zaventem (à 6 km de chez moi) j'ai constaté qu'il venait juste de pleuvoir. Mais moi-même je n'ai pas pris une goutte, heureusement !
  9. Godverdomme, Maillet, ta mémoire te joue des tours : je me rappelle t'avoir déjà expliqué qu'on prononce en fait "Yoop", en allongeant simplement le "o", comme dans "zoo" en français. 😛
  10. 176 km aujourd'hui selon compteur, sans doute plus proche des 180 en réalité puisque mon compteur avait cessé de fonctionner pendant quelques kilomètres. Au milieu de ces 180 km, il y avait comme prévu les 150 km de la Flèche brabançonne cyclo. À l'arrivée de la Flèche, 22,1 km/h de vitesse moyenne, 87 tours/minutes de cadence moyenne, une pointe de vitesse à 66 km/h dans une descente en ligne droite… et bien crevé pour finir, sans oublier un sacré mal au c.. ! 😬 Dû en partie au fait que c'était ma plus grande distance parcourure cette année pour le moment, et pour le reste à cause des routes empruntées, disons… cahoteuses !! Belle sortie quand même, par un temps très agréable mis à part du brouillard au début, dans un cadre plus attrayant que certains allergiques au Brabant (ils se reconnaîtront 😉) doivent l'imaginer, et côté cyclisme des sensations qui commencent à revenir. Plus de détails dans le sujet dédié du forum cyclosport, plus tard ce soir.
  11. D'après ce que j'ai lu, la course pro ne passe à nouveau pas à Stavelot cette année, donc j'imagine que la cyclo non plus.
  12. Je rentre d'une sortie de 176 km dans le Brabant, dont les 150 km de la Flèche brabançonne cyclo, faite bien sûr avec mes pneus de 25. Hé bien j'aurais donné je ne sais quoi pour avoir des 28, ou même plus, tellement j'ai été secoué comme un prunier sur des routes au revêtement trop souvent exécrable. Alors, que mon ensemble cadre-pneus soit pataud et lourd, c'est le cadet de mes soucis ! J'ai d'ailleurs remarqué que pas mal de randonneurs étaient carrément en 28, parfois plus, qu'est-ce que je les enviais ! Connaissant la qualité des revêtements routiers en Suisse, je suppose que ça doit être dur à imaginer pour vous, les routes à la belge… Quand je retourne à Grenoble, je pourrais sans problème remettre des 23, mais j'ai tout simplement la flemme de changer de pneus pour une courte période.
  13. C'est quelle marque et quel modèle, tes nouveaux pneus ? Les pneus de 25 que j'utilise depuis quelques années à la place de 23 sont plus robustes et offrent un meilleur confort sur les routes cabossées que je dois parcourir, et c'est tout ce qui m'importe. D'ailleurs j'aurais mis du 28 si mon vélo l'acceptait. La question du rendement me passe au-dessus de la tête. Je crois qu'on propose des pneus plus larges aujourd'hui parce que les cadres de vélos actuels, en composite, sont beaucoup plus rigides qu'avant. Ça compense, en quelque sorte. Le mien de vélo étant entièrement en acier, ça n'a pas joué sur mon choix. Uniquement ces ******* de routes belges.
  14. Je l'ai descendu il y a trois semaines lors de la Johan Museeuw Classic, ce Kaperij, en venant de La Houppe justement, et juste avant de grimper le Taaienberg. J'ai gardé le souvenir d'une descente pavée, au moins en bonne partie, et ça secouait dur ! Je dois alors mélanger dans ma tête la descente proprement dite et le secteur pavé à son pied dont tu parles.
  15. Oui. Laurent Fignon était un excellent cycliste dopé, comme tant d'autres.
  16. Y a pas de niveau nécessaire pour manger des pentes à plus de 20%, juste des braquets adaptés à son niveau et à la pente ! 😉 Moi dans le Koppenberg je mets un… 26/34. Ce genre de braquets prend tout son sens dans ce genre de murs… Je suis en train de regarder la vidéo, elle est très sympa ! Une erreur en passant, le raidard à la rigole sur le bas-côté droit, ce n'est pas le Kaperij (secteur pavé voisin mais beaucoup moins raide), mais le Taaienberg.
  17. Et avoir la grippe, c'est aussi grave que d'avoir la peste ? J'avais oublié l'espace d'un instant que la nuance et toi, ça fait deux… la preuve avec tes analogies boiteuses. Si pour toi «dopé» égale «chaudière», tu as raison c'était une chaudière. Seulement voilà, le milieu cycliste donne une autre définition au terme de chaudière que la tienne. Il fait la différence entre quelqu'un qui se dope pour des objectifs ciblés et un autre qui ne peut même pas supporter de faire une sortie sans prendre quelque chose. La différence entre Laurent Fignon, semble-t-il, et Philippe Gaumont qui reconnaissait faire partie de la deuxième catégorie dans son autobiographie. Willy Voet, dans son livre «Massacre à la chaîne» faisait la distinction aussi, entre Lars Michaelsen par exemple («un des moins gourmands que j'ai connus») et un Virenque à qui Madiot avait prédit, en connaisseur : « Toi, mon gars, tu finiras chaudière ! »…
  18. Fignon n'a jamais écrit être une chaudière dans son autobiographie. Il a reconnu s'être dopé, ça oui, mais pas être une «chaudière», ce qui veut dire carrément accro au dopage. Ou alors il l'a dit/écrit par ailleurs.
  19. Et moi idem pour la Van Petegem… Ce serait bien en fait qu'elles ne soient pas organisées le même week-end, ça nous éviterait d'avoir à choisir ! 🆒
  20. En effet. 🙁
  21. Et le stoemp-saucisses alors ? On oublie toujours Bruxelles ! 📢
  22. Un parfait exemple de coureur qui pleurait souvent, c'est Louison Bobet, particulièrement émotif. Sa biographie par Jean-Paul Ollivier montrait pas mal d'exemples où il «craquait». Il détonait tellement dans ce milieu que d'autres coureurs le surnommaient « Louisette Bonbon », paraît-il. http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2005/03/20/le-panache-de-louison-bobet_372556_3208.html Qui osera affirmer qu'il n'était pas un champion ? 😛
  23. La preuve, je l'ai l'ai sous les yeux dans sa biographie : J'ai erré pendant de longues minutes. Je ne me souviens plus des gestes qui furent les miens. Je ne savais plus rien, ni qui j'étais ni où j'étais. Puis le choc a commencé à prendre forme, à devenir réalité, à prendre sens dans mon cerveau. Quand je suis sorti de mon coma, je me dirigeais déjà vers le contrôle antidopage. Là, j'ai reconnu Thierry Marie. Sans réfléchir, il se jeta vers moi et s'effondra en pleurs. Dans ces bras accueillants, j'ai chialé comme un ganmin. De longs sanglots. Cela ne m'était jamais arrivé en public. «Nous étions jeunes et insouciants», Grasset, page 32.
  24. Je me souviens très bien avoir vu Fignon en pleurs à la télé juste après sa défaite de 1989… ce que je peux très bien comprendre, dans des circonstances pareilles ! Il l'avoue d'ailleurs sans détours dans son autobiographie, « Nous étions jeunes et insouciants », qu'il a éclaté en sanglots dans les bras de Thierry Marie, avant la cérémonie protocolaire. Une photo de ces moments qui m'avait impressionné à l'époque (j'avais 17 ans) : https://goo.gl/images/epP7hY
  25. Ce samedi 14 avril a lieu en Belgique la Flèche brabançonne cyclo, trois jours donc après la course pro dont elle s'inspire, remportée par Tim Wellens. Une randonnée proche de chez moi à Bruxelles, à laquelle j'ai déjà participé trois fois. http://www.sport.be/brabantsepijl/2018/fr/ Le départ et l'arrivée sont à Heverlee, au sud de la ville de Louvain. Trois distances sont proposées : 76, 103 et 150 km. Toutes parcourent le Brabant flamand au sud de l'axe Bruxelles-Louvain-Tirlemont, avec une incursion en Brabant wallon pour les deux plus longues distances. Pour ma part j'ai opté pour la 150. Trois ravitaillements sont prévus, on ne risque donc pas de mourir de faim ou de soif. Le tracé du grand parcours est relativement vallonné avec 1100 m de dénivelée, et plus vert qu'on peut l'imaginer dans cette zone densément peuplée. L'essentiel des côtes se trouve en fait dans le premiers tiers du parcours, dans le Dijleland et la vallée de l'Ijse, entre Heverlee et Pécrot en passant par Overijse. Avec notamment dans cette portion toutes les côtes du circuit final de la course professionnelle : Ijskelderlaan, Schavei, Hagaard, Hertstraat et Holstheide. La côte la plus difficile est bizarrement proposée en début de parcours : un court mais méchant raidard que j'emprunte souvent lors de mes sorties d'entrainement, le Smeysberg. Dont je me demande pourquoi il n'est pas inclus dans le circuit final de la Flèche brabançonne pro, ce qui rendrait la course encore plus attrayante à mon avis. https://bit.ly/2EIQvh4 Après la descente de la Holstheide, c'est plutôt plat à quelques «coups de cul» près (rue de Pécrot notamment). On longe à partir de Nethen les immenses champs agricoles de la Hesbaye brabançonne, jusqu'aux faubourgs de Tirlemont, aux 2/3 du parcours. Le vent a libre cours de de souffler dans cette portion entièrement déboisée du parcours, où on fait une incursion en Brabant wallon. Puis ça se vallonne à nouveau dans une région appelée Hageland à l'est de Louvain, jusqu'à l'arrivée à Heverlee. Mais cette portion est généralement pénible à gérer surtout à cause de la fatigue et du trafic qui peut être gênant, malgré la compétence des signaleurs. Prudence ! La météo, très changeante dans ses prévisions ces derniers jours, prévoit en ce moment pour demain un temps sec le matin et des d'averses l'après-midi, avec un vent relativement faible de secteur sud-est. Une bonne raison pour partir tôt ! Les départs sont de 7 h 30 à 9 h pour le 150 km, jusqu'à 10 h pour le 103 km et jusqu'à 11 h pour le 76 km. D'autres sont intéressés ? Bizarrement il n'y a généralement pas de Belges du forum qui viennent faire cette épreuve, y compris les Brabançons, ce qui m'étonne à chaque fois! (Exception faite de Clément Chapu 😉 qui a dit dans un autre sujet qu'il venait avec tout un groupe.)
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