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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Hé oui, le meilleur moyen d'éviter la pluie, c'est encore de se mettre à l'abri ! 🆒 Question braquets, j'avais mon 26/34 habituel. Ce qui ne m'a pas empêché de descendre brièvement sous les 6 km/h dans le passage le plus raide de la côte d'Amermont. Donc moins de 60 tours/minutes à ce moment… Comme quoi un braquet encore plus petit que ça ne me serait pas inutile ! 😇 Pour ce qui est de suivre les autres, chez moi c'est une règle établie depuis longtemps : je laisse presque toujours filer quiconque est plus rapide que moi, de peur que l'effort nécessaire pour suivre me soit fatal plus tard. Même sur le plat. Hier j'ai fait une exception, j'ai fait une bonne dizaine de kilomètres (de la sortie d'Esneux jusqu'au pied de Chambralles) bien au chaud au cœur d'un groupe d'une trentaine de cyclistes qui n'allaient pas beaucoup plus vite que moi quand ils m'ont rejoint. Avec comme inconvénient de devoir zigzaguer entre les cyclistes scotchés sur place sitôt arrivés au pied du mur… Pour toute la suite du parcours, j'ai roulé seul sans me préoccuper des autres, sauf sur l'autre portion plate du parcours, entre Targnon et Remouchamps, où un autre cycliste et moi nous sommes relayés un moment… jusqu'à ce que je doive le laisser filer à cause d'un début de crampe.
  2. On a déjà eu cette discussion il y a quelques mois je crois au sujet de cette règle empirique, ce n'est en effet probablement pas le lieu pour la reprendre. Je tiens juste à préciser que je n'ai pas attendu Lance Armstrong pour mouliner en côte. J'ai toujours été à l'écoute de mes sensations, et bien avant 1999 j'avais compris que c'est comme ça, en tournant les jambes, que je me sens le mieux pour grimper.
  3. Cap des 2000 km dépassé seulement aujourd'hui, sur Tilff-Bastogne-Tillf (parcours 168 km). Le retard sur mon programme prévu est devenu quasiment insurmontable. 🙁 Mais bon, boulot oblige…
  4. 168 km aujourd'hui dans les Ardennes belges, sur un parcours intermédiaire de la randonnée Tilff-Bastogne-Tilff. http://www.sport.be/tilffbastognetilff/2018/fr/ Il y avait 4 distances proposées, 92, 125, 168 et 250. L'année dernière j'avais fait cette dernière distance, mais avec beaucoup plus de bornes à mon compteur que les 1840 km que ce dernier affichait au départ de la rando d'aujourd'hui… Je n'ai donc pas voulu tenter le diable et me suis contenté du 168 km. Ce qui représentait quand même 2200 m de dénivellation selon l'organisateur (2700 m pour le grand parcours), tous les gros «morceaux» du grand parcours étant aussi présents sur le 168 km : l'infernal Chambralles, les très longs (à l'échelle belge) Ancienne Barrière et Mont-le-Soie, la succession de murs appelée Chevofosse, le très bien nommé Amermont, et les incontournables côtes du Rosier et de la Redoute, qu'on ne présente plus. Départ glaglagla à 7°, arrivée dégoulinant de sueur à 24° (à l'ombre)… j'ai toujours trouvé pénible de devoir encaisser à vélo de telles variations de température en une seule journée. Probablement l'explication des quelques crampes que j'ai eu à gérer pendant la fin du parcours. Heureusement rien de très gênant. Beau temps sur toute la sortie sauf à la toute fin où une grosse drache s'annonçait… mais le ciel a eu le bon goût d'ouvrir ses vannes juste après mon arrivée. 21,2 km/h de moyenne sur le vélo (pas de miracle vu le manque d'entrainement), 87 tours/minutes de fréquence de pédalage moyenne… et bien mal aux jambes ce soir alors que je rédige ce post.
  5. La cadence n'est rien en soi, ce n'est une question d'habitude et de bonne coordination musculaire. Je peux tourner pareil sans aucun problème, même dans une pente comme cela, il suffit d'avoir le braquet suffisamment petit. Pour des types comme Froome, Yates ou Poels, c'est 34/32 ou 34/34 dans l'Angliru, pour moi ce serait du genre 24/34 ou 24/36 dans la même ascension… Froome tourne les jambes depuis qu'il fait du cyclisme, il a appris à pédaler comme cela, d'après sa biographie. À côté, tu as des types comme Richie Porte ou Geraint Thomas qui sortent de la même écurie Sky et qui emmènent beaucoup plus gros en montagne. Parce que c'est leur habitude, leur style. C'est la puissance développée (force*cadence) qui est éventuellement suspecte, autrement dit les watts. Pas la cadence seule.
  6. Il y aurait trois accès au Zoncolan : l'accès par Ovaro emprunté habituellement (comme aujourd'hui) ;celui par Sutrio que le Giro a emprunté en 2003 pour la première arrivée à ce sommet (vainqueur Simoni) ;et celui par Priola (apparemment le plus raide) qui n'aurait jamais encore été emprunté en course.https://fr.wikipedia.org/wiki/Monte_Zoncolan
  7. Pour Pinot tu savais quoi ? Yates ne mouline pas beaucoup moins que Froome, avec un style plus académique. Même genre de cassette apparemment : énorme.
  8. Dis, Christian, tu en dis quoi des genoux très écartés de Pozzovivo ? Il a pas l'air si bedonnant, pourtant… 😛 Je me demande quel braquet utilise Froome… Pour mouliner dans des pentes pareilles, je penche pour un 34/34, ou encore plus petit.
  9. De fait ça doit pas être plus dur de monter le Zoncolan en 34/32 que l'Alpe d'Huez en 39/23… … pour des pros, s'entend. Le cyclo moyen de ce forum partirait peut-être en marche arrière dans le Zoncolan avec un 34/32 !
  10. Blague à part, même s'ils se ressemblent énormément Simon et Adam Yates sont de faux jumeaux (fraternal twins) d'après l'article ci-dessous, donc ça risquerait d'être compliqué ! 😃 http://www.cyclingnews.com/features/twin-engines-up-close-with-the-yates-brothers/
  11. par le passé, un grand gabarit n'a jamais passé correctement le Zoncolan Tout dépend de ce qu'on appelle grand gabarit… Ivan Basso a gagné au Zoncolan en 2010, il faisait 182 cm pour 70 kg d'après Wikipédia. Tom Dumoulin n'est pas beaucoup plus grand et fait presque le même poids, 186 cm pour 71 kg, toujours d'après Wikipédia.
  12. Moi non plus je ne ferai pas les 240 km de TBT cette année : avec 1820 km seulement au compteur depuis janvier ce serait suicidaire de ma part. Mais je compte quand même y aller, sur le parcours 160 km comme il y a 2 ans. En espérant qu'il y fasse un meilleur temps qu'aujourd'hui ! C'est quand même étrange que les organisateurs de cette Flèche de Wallonie vous ait fait sciemment passer par une côte non asphaltée… Je ne pense pas que la plupart des participants aient apprécié, et ils l'auront sans doute fait savoir.
  13. Ciel de plomb, vent d'ouest soutenu, températures en chute libre (maxi 15°, soit 10° de moins qu'hier), crachin permanent… un temps à la belge aujourd'hui pour 6 h 30 de sortie, dont 5 h 30 de vélo effectif et à peine 105 km de parcourus. Sur des routes bien sûr dégueulasses du début à la fin. Le programme du jour était de relier les trois centres universitaires du Brabant, à savoir Bruxelles, Louvain-la-Neuve et Louvain/Leuven, via un parcours sans véritable raidard (à part la chaussée d'Ottenburg à Wavre), mais jamais plat non plus. Nombreux arrêts à cause de la circulation intense dans cette zone très densément peuplée, ce qui explique en partie la très faible moyenne (19,2 km/h). Longue pause-café à Louvain-la-Neuve, après avoir tourné en rond pendant une bonne demi-heure dans cette ville nouvelle où les autorités communales ont visiblement décidé de faire des économies sur les panneaux indicateurs ! 😕 Avec les conditions météo, le moral n'était vraiment pas au beau fixe au départ, mais petit à petit il s'est amélioré et les jambes ont fini par suivre. Reste maintenant à nettoyer le tas de boue sablonneuse qu'est devenu mon vélo… 😢
  14. Encore une fois un décrochage en plein virage, alors que rien ne pouvait le laisser prévoir : il n'allait pas plus vite que les autres, ne se penchait pas plus qu'eux. À sa place je me poserais des questions sur ses pneumatiques.
  15. Quand je descends ce genre de côtes pavées : manivelles à l'horizontale, mains au fond du guidon (jusque là comme pour une descente normale) et je considére les jambes comme des pistons qui amortissent les chocs. Je reste assis en général, pour un meilleur contrôle : les pavés secouent souvent bien moins fort si on les prend à la bonne vitesse, et cette bonne vitesse est souvent élevée, donc plus facilement atteignable en descente. Ce phénomène bien connu des coureurs est typique aussi des revêtements en tôle ondulée. Si les secousses sont cependant trop fortes, je me lève légèrement de la selle et je me déporte vers l'arrière, tout en gardant les manivelles à l'horizontale.
  16. Après avoir lu ça, je me dis que ça paraît en effet peu probable que Seabase réussisse, du moins s'il garde son vélo tel quel (braquet, pneumatiques…). Mais ce qu'il a à son «palmarès» est déjà tellement énorme que cela ne m'étonnerait pas tant que ça s'il y arrivait quand même.
  17. Quelles raisons de physique, au juste ? Si c'est possible à moi de les comprendre (mes cours de physique se sont arrêtés au premier cycle universitaire).
  18. De fait, il doit en changer très régulièrement, et même en plein milieu de la descente. Voir la première vidéo, lors de la descente du Galibier ! 😇
  19. Il est sponsorisé par Assos. On le voit d'ailleurs apparaître sur divers catalogues de la marque. Pour préciser ma pensée : c'est quelqu'un qui ne la ramène pas en se confrontant agressivement aux autres usagers du bitume urbain, mais en se lançant des défis athlétiques personnels dans des endroits de rêve. Ça fait toute la différence selon moi.
  20. Les risque-tout en pignon fixe en plein cœur de la ville me laissent perplexes. Je balance entre l'admiration pour l'adresse et la technique de certains, et l'effarement devant l'inconscience des autres et leur côté m'as-tu-vu. Ce sont parfois les mêmes, ce qui ne simplifie pas mon jugement sur eux. J'ai bien plus d'admiration pour les fixies qui se lancent des défis du genre des vidéos suivantes. Peut-être tout aussi risqué (en descente du moins) mais tellement moins frimeur.
  21. À une moindre échelle, c'est la même explication pour certaines côtes bien pentues qu'on trouve en Ardenne. Ces côtes y suivraient d'anciens chemins tracés pour les bêtes de somme, et ces tracés ne s'embarrassaient pas de lacets… elles devaient bien en baver, les pauvres bêtes !
  22. J'y crois pas, maintenant certains lui reprocheraient presque d'avoir gagné ! 😲
  23. Ça arrive parfois pendant cette période, certaines personnes déclarent une allergie au pollen alors qu'elles n'en souffraient pas avant. Bon rétablissement !
  24. 37 km du côté de la forêt de Soignes et d'Overijse, par le temps radieux et chaud (25°) que nous avons en Belgique depuis quelques jours. Par contre, pas mal de vent aujourd'hui. Sans doute en rapport avec la chute des températures prévue pour demain (15° maxi…). Le raidard du jour, à Overijse : le Hengstenberg (littéralement « mont à piocher » !), une montée en paliers dont une section pavée de 200 m très raide (18% maxi). Les pavés sont disjoints et recouverts d'herbe par endroits. À éviter à tout prix par temps humide, ou c'est la gamelle assurée. Comme dit l'encyclopédie Cotacol qui recense cette côte : « Tâchons de ne pas prendre de pelle dans ce mont à piocher ! » 😃 https://bit.ly/2KOcZ4z
  25. Vu sur Sporza, la chaîne flamande du sport : ce n'est pas a priori la rupture du contrat qui l'attend s'il ne gagne rien aux 4 jours de Dunkerque, mais sa non-sélection au Tour de France. http://sporza.be/cm/sporza/wielrennen/1.3194177 (en néerlandais)
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