Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 050
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    83

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Sortie du jour : 25 km dans le sud de Bruxelles (forêt de Soignes, Hoeilaart, Overijse) pour me défouler un peu, et profiter d'un temps carrément estival. À Jérémie : non, pas de pente raide notable 😉 cette fois non plus, à part une épingle à cheveux dans le Vlierbeekberg (à vos souhaits), une côte d'Overijse, qui m'a fait mettre 24/30 pour la passer à l'aise, mais comme d'habitude dans mes sorties ça montait et descendait sans arrêt. Les vrais raidards devraient faire leur retour dans mon programme ce week-end.
  2. Ceci dit, entre un vélo des années 20-30 et un vélo actuel avec ses bien plus petits développements, quel serait ton choix ? Tu sais bien que tu préférerais les développements du vélo actuel. Je n'interviendrai pas dans votre discussion, Thierry et moi étant plus ou moins sur la même longueur d'onde sur le sujet abordé. Mais je suis ravi de voir que tu as commencé un certain questionnement là-dessus. 😄
  3. Doublon !
  4. C'est très relatif, l'esthétisme. Alors, le choix entre esthétisme et efficacité (s'il faut choisir) est vite fait ! 🆒
  5. Ne t'inquiète pas pour lui : ce qui lui ferait mal, ce serait de pédaler autrement. 🆒
  6. Peter Sagan et Chris Froome aussi. Dans les années 90, Fernando Escartin pédalait aussi les genoux très écartés. De mon côté, j'ai toujours vu mon père pédaler comme cela. Tandis que moi-même, j'ai plutôt les genoux qui viennent toucher le cadre ! D'après ce que j'ai lu, c'est au niveau de la tête de fémur, selon la façon dont elle est reliée à la hanche, que se détermine ce type de pédalage.
  7. Oui, et ce réglage plus précis n'est pas forcément accessible au débutant, sauf s'il est conseillé de très près par quelqu'un qui s'y connait, ou s'il fait une étude posturale, au moins en ce qui concerne pieds et pédales… D'autre part, tu n'as jamais ressenti le besoin de changer en cours de route et temporairement (quelques minutes voire secondes), l'orientation de tes pieds sur les pédales, voire l'écartement des pieds par rapport à la manivelle ? À moi ça m'arrive, et ça me serait impossible à faire avec une cale fixe. J'ai aussi remarqué que mes pieds changent souvent spontanément d'orientation quand je me mets en danseuse. Pour l'anecdote j'ai des pédales automatiques Mavic VTT au standard Time : ±5° de liberté angulaire et ±5 mm de liberté latérale, ce qui me permet justement ces variations temporaires de position. Que je pense vraiment bienvenues en raison de mes genoux fragiles.
  8. À mon avis, pour les pédales et tout particulièrement pour la selle, il va falloir te lancer et tester toi-même, car il s'agit d'éléments très personnels. Juste des conseils de bon sens : si tu as des réticences à garder ton pied fixé à la pédale, ne prends pas encore de pédales automatiques. De toutes façons elles ne seront vraiment utiles que si tu envisages une pratique vraiment sportive. Si tu te décides, prends soin de prendre des pédales à liberté angulaire conséquente (le talon peut pivoter librement sur une certaine angulation sans déchausser), pour éviter le risque de blessures au genou. Dans ton cas, je conseillerais aussi des pédales destinées a priori au VTT, dont les chaussures permettent de marcher facilement car les cales sont noyées dans la semelle et non pas protubérantes comme sur les modèles de route habituels. Quant à la selle, là c'est seulement ton derrière qui devra décider…
  9. Et pour moi, comme je viens de le dire, 24/36, voire plus petit, qui sait ? Le montage de mon vélo me permet un braquet minimal théorique de… 24/40. J'ai donc encore de la marge par rapport à mon 24/34 actuel. Ça fait longtemps que j'ai franchi la barrière mentale vis-à-vis des petits braquets, barrière que beaucoup d'entre vous ont encore. 😛
  10. La prochaine fois, essaie un des tout petits braquets qui paraissent ridicules à beaucoup de gens, genre 24/36 ! C'est ce que je mettrais si j'y allais un jour. Actuellement, c'est un 24/34 qui me permet de passer de gros pourcentages sans vraiment souffrir. Ou alors c'est que je suis fatigué avant la montée elle-même, comme cela a été semble-t-il ton cas le jour où tu as grimpé la bête. Comme élément de comparaison, j'ai la montée de Chalais au-dessus de Voreppe, près de Grenoble, qui présente 4 km consécutif à plus de 12 % de moyenne, dont un long passage à 17-18%, alors que le Zoncolan c'est 12% aussi mais sur plus de10 km et des passages à plus de 20%… J'ai passé Chalais il y a 3 ans sans trop souffrir avec un 26/34, donc je me dis que le Zoncolan me serait accessible avec 24/36. Je vérifierai un jour ! 🆒 Auparavant je me testerai, par exemple en grimpant deux à trois fois de suite la montée de Chalais, ou quatre ou cinq fois celle de la Bastille…
  11. Pas vraiment. Disons qu'au moment d'écrire mon CR j'avais l'esprit accaparé par ma crevaison un peu surréaliste (qui peut se targuer d'avoir crevé à cause d'une agrafe ???). Pour ce qui est du plat, il n'y en a pas beaucoup dans le Pajottenland, qui ondule presque sans arrêt, mais il n'y a que peu de raidards notables. Je me suis quand même débrouillé pour inclure deux côtes «Cotacol» dans mon parcours: le Tuitenberg, une de ces rares côtes du Pajottenland avec des pourcentages notables (du moins au début) à Roosdaal: https://www.climbbybike.com/fr/ascension/tuitenberg/1133la rue du Mystère (Forest), réputée la côte la plus dure de la région bruxelloise, que j'emprunte souvent en fin de parcours quand je roule dans l'ouest et le sud-ouest de Bruxelles, comme hier: https://www.climbbybike.com/fr/ascension/Rue-du-Myst%E8re/1010Le Tuitenberg manquait à ma collection de côtes «Cotacol», ça m'a fourni un prétexte pour aller à nouveau dans le Pajottenland, qui est bien agréable à parcourir à vélo, surtout quand il fait beau comme hier. Pour une fois, j'avais plus envie de me dégourdir les jambes et de profiter des paysages que d'accumuler les côtes raides.
  12. 85 km aujourd'hui, la plupart dans le Pajottenland à l'ouest de Bruxelles, par un temps radieux : grand soleil, 25°, vent de nord-ouest pas trop méchant. Crevaison à l'arrière au bout de 20 km environ, du côté de Halle, avec déjantage partiel du pneu. Imparable : une sorte de grosse agrafe s'était plantée dans le pneu. Je devrais conserver les objets qui m'ont provoqué une crevaison, si je l'avais fait ça m'aurait constitué une jolie collection : des clous, des punaises, un fil de fer, des bouts de verre, des épines, les classiques silex, et maintenant une agrafe…
  13. Les défauts 1 et 2 sont hélas incontournables, mais le défaut 3 disparaitrait après rodage, paraît-il.
  14. Tout simplement mettre des gants… C'est d'abord utile en cas de chute (pour n'importe quel cycliste !) mais c'est aussi conçu pour cela : une préhension plus confortable des poignées ou du guidon.
  15. Vélo de course sur route, certainement pas, en effet. En vélo de route tout court, par contre, il a son intérêt. On n'est pas obligé de chercher à aller le plus vite possible même si on se contente de la route ! On peut trouver plus important de pouvoir passer partout (sur toutes les pentes) tant que c'est sur route tout en se permettant quelques excursions en dehors, de bénéficier d'une fiabilité maximale et de consacrer le moins de temps possible à l'entretien. Pour toutes ces raisons, un vélo de route avec moyeu Rohloff et courroie de transmission me semble particulièrement attrayant. Reste bien sûr le prix de l'ensemble… Au minimum dans les 3000 euros chez ToutTerrain, dans les 5000 euros chez Santos et Van Nicholas, les trois marques que j'ai vu proposer ce genre de vélo : pas donné ! 🙁
  16. Henri Desgranges et des coureurs de premier plan comme Petit-Breton pensaient même que la seule roue libre rendait le vélo trop facile…
  17. Si on en croit Claude Genzling et Bernard Hinault («Cyclisme sur route», 1986), qui citent Jacques Augendre sur un vieux numéro du Cycle, on trouvait même des pignons de 8 dents dans le temps… Avant Bobet, on note des braquets maxi de 25/8 pour Le Calvez en 1933 et pour Berton en 1948… (p. 99)
  18. mais tu oublies un détail de mon message , les routes " reconstituées " seront réservées aux Français !! En voilà une idée qu'elle est bonne ! J'approuve à 100% ! 😆
  19. choisis toi une route correcte Le problème c'est qu'il y en a, certes, des routes correctes par ici en Brabant, mais que ça court pas les rues (si j'ose dire) ! Et à la longue on finit par se lasser de parcourir toujours les mêmes endroits restreints !! Moi j'ai choisi un compromis : cadre gravel—cyclo-cross en titane récemment acquis mais pneus de 28 mm au lieu des 32-35 mm qui seraient la norme pour ce cadre. Ça me permet de passer raisonnablement partout sur route avec un minimum de confort et sans être sensiblement pénalisé dans les côtes, et je me permets de temps à autre une excursion sur une piste en gravier fin ou en terre, si elle est en bon état… Je ne m'interdirais cependant pas de passer au 32 mm ou plus large encore si je voulais faire plus d'excursions hors bitume… ou si le réseau routier et les pistes cyclables belges se dégradaient encore plus ! 📢
  20. Les cyclistes «sportifs» qui font usage de l'assistance électrique et que je croise à Bruxelles sont très souvent des vététistes, dans la forêt de Soignes notamment. Quant aux promeneurs sur VAE, il m'arrive d'en rattraper et dépasser certains dans des côtes relativement longues et roulantes : ils sont visiblement surpris pour la plupart de se faire rattraper par un type sur vélo normal. À deux occasions, la personne rattrapée (une jeune fille puis un jeune homme) n'a pas voulu se laisser dépasser et a accéléré devant moi. Pas plus mature qu'eux, je me suis amusé à tenir la roue dans les deux cas, et même à larguer le deuxième. 😃 Il y a donc quand même chez certains (peu nombreux selon mon expérience) une certaine fierté d'aller plus vite que les cyclistes «normaux». 😕
  21. Franchement, à la vitesse très réduite où on doit grimper des murs aussi pentus avec des pavés aussi mauvais, la fourche ne fera guère de différences à mon avis: à moins qu'elle soit carrément suspendue, on sera secoué de toutes façons. Je la crois seulement importante si on passe à haute vitesse sur secteur pavé plat ou descendant. Dans un mur, ce qui peut faire une différence bien plus sensible, à mon sens, ce sont les pneus : plus ils sont souples et moins fort ils sont gonflés, mieux ça passera. Donc si on recherche plus de confort pour ces escalades, on cherchera des pneus à carcasses plutôt souples et surtout des sections plus larges pour pouvoir gonfler à moindre pression. Tu avais le même modèle de pneus sur ton CKT ?
  22. Pour moi, le Beau-Site est la côte la plus dure de sa région, Ardennes flamandes + Pays des collines. Devant même le Koppenberg. Ceci dit, il me semble me rappeler que tu avais souhaité ne pas faire de côtes pavées lors de notre sortie Vélo101 par chez moi… La prochaine fois, je te promets que tu y auras droit, hypocrite ! 😃
  23. Beau Site et Grammont dans la même sortie ? Dis donc, je croyais que tu n'aimais pas les pavés ? 😇
  24. 35 km avec un maximum de bosses du côté d'Hoeilaart et d'Overijse, au sud de Bruxelles, pour finir en apothéose avec le Kardaan, à Overijse: pavé, super étroit et 24% maxi. Vive le 24/34 ! Je replace le lien descriptif ci-dessous, pour les furieux comme moi que ce type de côte attire comme l'aimant la limaille 😆: https://www.climbbybike.com/fr/ascension/Kardaan/702
  25. J'ai justement un 11 dents devant. Ton vidéaste a eu la chance de sa vie de me choper dans cette partie de la descente 😃, je dois l'avoir faite seulement trois ou quatre fois dans ma vie dans ce sens-là, et la dernière fois il y a peut-être sept-huit ans… J'ai toujours préféré monter à Chamrousse par ce côté et redescendre par l'autre, vers les Seiglières. Par contre je suis souvent descendu du col du Luitel vers Uriage, donc cette partie-là de la descente, je la connais bien. Dis-lui de se placer quelque part par là, la prochaine fois. 🆒 En plus c'est plus pentu que la partie haute, donc on va plus vite !
×
×
  • Créer...