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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Y a quoi à la place des étoiles ? Un conseil de base : ne jamais prendre les pros comme référence pour les braquets à monter sur son propre vélo ! Ils n'ont pas les mêmes capacités physiques que nous. 😃
  2. Quelqu'un qui est sensible aux cadences de pédalage va vouloir maintenir une cadence à peu près constante et régulière pendant sa sortie, et n'appréciera pas de grosses variations de cadence, que ça le fasse mouliner ou forcer. C'est pour cela qu'une cassette 10-42 ne lui conviendra pas du tout : quand il passera d'un pignon à l'autre sa cadence va trop varier. Pour ma part l'étagement des petites dentures, je m'en fiche un peu, je roule assez peu dessus. Ce qui m'intéresse, ce sont les moyens et grands pignons, et l'étagement d'une 10-42 SRAM, par exemple, est une vraie catastrophe : 10-12-14-16-18-21-24-28-32-36-42 L'horreur absolue, en supposant que le plateau unique est de 42 dents, c'est de passer du 42/18 au 42/21. Ce sont des braquets que j'utiliserais sur le plat, faux-plat. Trois dents d'écart dans ce cas-là, avec toutes les subtiles variations de terrain, c'est mortel pour la cadence. Et je ne parle même pas des 6 dents d'écarts entre le 36 et le 42, pour ceux qui comme moi passent beaucoup de temps dans les raidards. Alors qu'il n'y a que 4 dents d'écarts entre le 32 et le 36. Evidemment, pour ceux qui sont du style rentre-dedans et bourrin, comme beaucoup de pros et compétiteurs d'ailleurs, ce n'est pas un problème.
  3. La sortie des frustrations aujourd'hui. J'avais la matinée de libre, et j'avais décidé de monter à Pipay (une des trois stations des Sept-Laux, avec Prapoutel et Le Pleynet), dans Belledonne, en partant de Froges, soit une belle ascension de 19 km à 7 % de moyenne pour arriver à 1500 m d'altitude environ. Mais je n'en aurai fait que 12 km, jusqu'à la bifurcation entre les routes de Prapoutel et de Pipay. Pourquoi ? Because route entièrement gravillonnée ! 🙁 Tout récemment, à en juger par leur état. Aucun panneau pour m'en avertir plus bas, ou alors j'ai mal vu. Quand j'ai constaté ça, je me suis rabattu sur la direction de Prapoutel, plus courte, mais là aussi : gravillons tout frais sur toute la route ! 😲 Donc je suis redescendu, vers Theys, à mi-hauteur, sur le balcon de Belledonne, pour faire un col que je n'avais pas franchi depuis très longtemps, la Croix des Adrets, en passant par l'agréable village d'Hurtières. Mais qu'est-ce qui m'a à nouveau bloqué à la sortie d'Hurtières, à 1 km environ du col ? Mais bien sûr, vous avez deviné, à nouveau des gravillons ! 😢 Avec cette fois-ci carrément un jeune ouvrier qui m'a signifié que le passage était totalement interdit pour cette raison, sauf pour les riverains. Même pour le bête kilomètre qui restait jusqu'au col… Quand je lui ai fait remarqué qu'il n'y avait aucun panneau signifiant cette interdiction, il m'a répondu que c'était justement à cause de ces riverains, qui devaient passer eux… autrement, il compatissait, je n'étais pas le premier cycliste à devoir rebrousser chemin. Bref, j'en ai eu ma dose des gravillons à ce moment-là, je suis redescendu dans le Grésivaudan pour rentrer chez mes parents, en me demandant si ma prochaine sortie (que je suis d'ailleurs incapable de planifier tellement je vis au jour le jour en ce moment) sera elle aussi gâchée par cette plaie… Les seules stats que j'aurai relevées aujourd'hui concernent la partie de la montée de Pipay qui va de Froges jusqu'au col des Ayes (944 m), soit les 9,9 premiers kilomètres de la montée, à 7,1 % de moyenne (données Altigraph), que j'aurais effectué à une vitesse moyenne de 11,7 km/h et une cadence de 89 tours/minutes, selon mon compteur. Pas eu la présence d'esprit de voir mes stats un peu plus haut, à la bifurcation entre Prapoutel et Pipay, tout à ma déception de n'avoir pas pu aller plus loin.
  4. J'ai des disques combinés avec des roues à blocages rapides classiques. Démonter une roue est tout aussi facile qu'avec des patins. La remonter nécessite en revanche plus de précision qu'avec des patins, pour bien faire passer le disque dans l'étrier, mais ça reste relativement aisé. Par contre il n'est pas rare que je doive recentrer l'étrier juste après, parce que le disque s'est mis à frotter contre les plaquettes. Les axes traversants sont censés supprimer ce dernier inconvénient, mais je n'en ai pas encore essayés, puisqu'il faut un cadre et une fourche compatibles et que les miens ne le sont pas.
  5. Petite rectification : Altigraph (Jacques Roux) prend pour référence le temps que mettrait un cycliste de 80 kg (poids total cycliste-vélo-accessoires) roulant à 175 watts (et non 200 watts) pour escalader les cols cités dans ses Guides. Source : Atlas des cols des Alpes, 2e édition, volume 3, page 8. Il y avait un site web dédié à la collection des guides Altigraph, il a disparu récemment. Pas bon signe ! Peut-être que Jacques Roux est décédé récemment ?
  6. Mais ils y ont réfléchi, à remplacer le système à pignons, mais aucune des alternatives que je t'ai déjà citées ne trouve grâce à tes yeux: Rohloff (moyeux arrière à 14 vitesses intégrées) ;Pinion (boîtier de pédalier à 18 vitesses intégrées ;Enviolo (changement de vitesse continu et automatique)…Liste non exhaustive… Il semblerait que ta transmission à chaîne, pignons et plateaux ne te convienne pas si mal, finalement (surtout si le plateau est un 40 et le pignon un 25). 🆒 En fait je te soupçonne de râler pour le plaisir de râler, là. 😇
  7. Elle peut être plus belle encore si on fait le choix que j'ai opéré : disques à l'avant et patins à l'arrière. Chaque sortie me permet d'apprécier la pertinence de cette formule plutôt oécuménique ... Nota important : j'ai lancé la procédure de brevétisation de ce type de montage, vous savez ce que cela signifie : gardez vos portefeuilles et CB à portée de mains ! Trop tard Maillet, j'ai déjà vu dans la rue où j'habite un VTT monté exactement comme ça, et ce n'est pas une blague ! 😲 Pour tout ce qui sort de l'ordinaire, les Belges ont toujours une longueur d'avance sur les Français, c'est bien connu. 😃
  8. Je fais 62 kg, je mesure 178 cm, et je suis fan des freins à disques. Je dois perdre un os moi aussi? 😛
  9. En fin de sortie dernièrement, je me suis pris une énorme averse de quelques minutes alors que j'entamais une descente. J'ai été surpris 2 ou 3 fois que les freins à patins ne répondent pas ou très peu. Je me suis fait peur et ensuite j'ai continué la descente très prudemment. Je serai curieux de voir ce que donne les disques dans une situation analogue. Je ne peux pas répondre puisque je n'ai jamais roulé avec un vélo en freins à disque. Moi, ça m'est arrivé dès ma première sortie avec mon nouveau vélo à freins à disques ! 😃 Et ça m'est arrivé encore plusieurs fois ensuite, puisque je dois sortir assez régulièrement sous la pluie. Donc j'ai la réponse en ce qui concerne mes freins, des TRP Hylex: quasiment la même efficacité de freinage que sur le sec. La seule différence que j'ai notée est un chouia de temps de retard au premier freinage, à peine perceptible. Par rapport aux grosses frayeurs qu'il m'est arrivé de me faire dans les mêmes circonstances avec des freins à patins, frayeurs que tu as pu expérimenter maintenant, c'est tout simplement le jour et la nuit.
  10. Et de ton côté, bientôt finie la convalescence de ton récent accident ? Tu as peut-être déjà repris le vélo ?
  11. Il suffit d'une coque protectrice suffisamment solide ou, si pas solide, suffisamment épaisse. Pas question certes de le glisser dans la sacoche tout nu ! 😬
  12. Les sacoches Ortlieb dont j'ai placé les liens et que j'utilise ne se balancent pas d'un poil, grâce à une bande velcro qui vient s'enrouler autour de la tige de selle.
  13. Je ne vois pas d'autre endroit pour mettre mon smartphone que ma poche arrière. Dans une sacoche de selle, ou tout autre type de sacoche, du moment que cette sacoche est suffisamment grande et que la coque/housse du smartphone est suffisamment protectrice. Et il y a également des supports dédiés qui se fixent sur le guidon ou sur la potence, façon compteur classique. Et dire qu'il y a encore des skieurs de randonnée qui portent leurs skis sur le sac à dos... des inconscients qui risquent de se retrouver en fauteuil roulant... Il aurait fallu sortir ce sarcasme en face du gars en fauteuil roulant dont je t'ai parlé, ça l'aurait sûrement fait rire autant que toi. 🙄 Je n'ai d'ailleurs pas dit que toutes les chutes sur le dos auront des conséquences, mais certaines risquent d'en avoir et alors on risque de regretter sérieusement d'avoir pris quelque chose de rigide dans le dos.
  14. Tu as prévu un programme ou tu roules au jour le jour? Grand beau temps en tout cas: de quoi se régaler! C'est vraiment ça : je roule au jour le jour. La maison de mes parents est en plein chambardement, et je suis venu aider dans leurs travaux. Je ne crois pas pouvoir placer des sorties de plus de 2 ou 3 h pendant ce séjour, sauf si le «chantier » se termine plus vite que prévu, et je ne peux même pas planifier à l'avance ces sorties. Alors je vais picorer de ci-de là dans les quelques périodes de temps libre qui vont se révéler. En espérant que le beau temps va se maintenir !
  15. L'emplacement idéal pour une mini-pompe, c'est au niveau d'un des porte-bidons. La plupart sont vendues avec l'attirail nécessaire pour se fixer entre porte-bidon et cadre.
  16. Pour mes sacoches, j'aime bien la marque Ortlieb, elle ne m'a causé aucun souci jusqu'à présent. Celle-là me semble à la taille qui te convient : https://www.ortlieb.com/fr/saddle-bag-two+F9411 Pour ma part, j'en ai deux: un modèle très petit (trop petit pour contenir tout ton attirail), et un plus grand que celui montré par le lien précédent ; c'est une version ancienne de celui-là: https://www.ortlieb.com/fr/saddle-bag-two-high-visibility À toi de voir.
  17. Jamais rien de rigide dans une poche arrière du maillot, par principe : si on tombe sur le dos avec un machin rigide entre le sol et la colonne vertébrale, on peut se blesser gravement. J'ai connu un type en fauteuil roulant parce que son sac à dos contenait une ferraille quelconque et qu'il était tombé dessus lors d'une randonnée en montagne. Sur la poitrine, peut-être. Et encore…
  18. J'ai fait cette même randonnée il y a longtemps, en famille, quand j'étais ado : j'ai le souvenir de splendides parterres de rhododendrons le long de la montée vers le lac de Crozet. Ils y sont toujours ? 😄 Ensuite, on avait passé la nuit au refuge de la Pra avant de monter aux lacs du Doménon le lendemain. Monter à vélo à Freydières est une de mes montées «traditionelles» : j'adore m'arrêter à une des terrasses près du lac de Freydières pour déguster un café ou une tartelette aux myrtilles. Pas eu le temps cette fois à cause de mes contraintes familiales, mais généralement je ne manque jamais à cette tradition.
  19. Encore une courte sortie ce matin, 30 km environ (pas retenu le chiffre du compteur), mais une belle dénivellation de 1100 m : montée à l'agréable petit lac de Freydières dans le massif de Belledonne, et même un kilomètre et demi de rab jusqu'à la toute fin de la route goudronnée, au carrefour dit des «Quatre Chemins» à 1280 m d'altitude. Les 14,1 km de l'irrégulière montée (quelques replats et redescentes et quelques passages très raides où le 24/34 a été bien sollicité !) en 79 minutes, soit une moyenne de 11,1 km/h. Cadence moyenne de pédalage de 87 tours/minute. Beau temps, température agréable, pas mal de vent vers la fin, suffisamment fort pour me faire changer de braquet dans les passages découverts.
  20. Arrivé à Grenoble hier, première sortie en (moyenne) montagne aujourd'hui, très courte (30 km) par manque de temps, mais intense : direction la Croix de Pinet à 850 m d'altitude sur le balcon de Belledonne, en passant par La Pérerée, Les Ferrats, Corps d'Uriage et la très raide route du Rocharey pour finir. Cette itinéraire est mon accès préféré au balcon de Belledonne : pentes raides entrecoupées de replats voire quelques courtes descentes, points de vue et panoramas à vous couper le souffle, routes étroites et ombragées… et très peu fréquentées. Bref, le bonheur du cycliste. Pour ne rien gâcher, beau temps et température idéale (25° en plaine).
  21. Cette année, le vent qui tourne, j'y ai eu droit plusieurs fois… tu imagines ma joie débordante dans ce genre de circonstances.
  22. Une trentaine de kilomètres tôt ce matin, presque à la lanterne, dans le sud de Bruxelles, avant la dernière journée de boulot. Rien de particulier à signaler lors de cette sortie. Demain, vacances ! 😄
  23. 😲😲 En groupe, peut-être. Seul, c'est hors de ma portée, même sur route en bon état et un parcours plat, sans circulation et sans vent. Ce qui n'existe pas chez moi, mais même.
  24. alors que la dernière victoire française remonte à 1989? À huit secondes près tu aurais eu raison, mais c'est quand même LeMond qui avait gagné cette année-là et non pas Fignon. 😉 Le dernier vainqueur français du Tour reste Bernard Hinault en 1985…
  25. C'est un très bon principe de rouler aux sensations… sauf que parfois, elles sont trompeuses. Par exemple, on se sent euphorique un moment, et paf, quelques instants plus tard, coup de pompe. Ou bien on a l'impression de se traîner lamentablement et en fait, on s'aperçoit après coup qu'on n'a jamais roulé aussi vite sur la portion qu'on vient de parcourir. Question braquet, j'ai parfois l'impression de pousser trop gros, alors qu'en fait je suis plus véloce que d'habitude. Ou bien j'ai la sensation de tourner dans le vide, et en regardant mon braquet je m'aperçois n'avoir jamais mis aussi gros à cet endroit. Les compteurs, cardios et autres sont bien utiles pour confirmer… et le cas échéant, infirmer nos sensations.
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