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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Et pour moi, comme je viens de le dire, 24/36, voire plus petit, qui sait ? Le montage de mon vélo me permet un braquet minimal théorique de… 24/40. J'ai donc encore de la marge par rapport à mon 24/34 actuel. Ça fait longtemps que j'ai franchi la barrière mentale vis-à-vis des petits braquets, barrière que beaucoup d'entre vous ont encore. 😛
  2. La prochaine fois, essaie un des tout petits braquets qui paraissent ridicules à beaucoup de gens, genre 24/36 ! C'est ce que je mettrais si j'y allais un jour. Actuellement, c'est un 24/34 qui me permet de passer de gros pourcentages sans vraiment souffrir. Ou alors c'est que je suis fatigué avant la montée elle-même, comme cela a été semble-t-il ton cas le jour où tu as grimpé la bête. Comme élément de comparaison, j'ai la montée de Chalais au-dessus de Voreppe, près de Grenoble, qui présente 4 km consécutif à plus de 12 % de moyenne, dont un long passage à 17-18%, alors que le Zoncolan c'est 12% aussi mais sur plus de10 km et des passages à plus de 20%… J'ai passé Chalais il y a 3 ans sans trop souffrir avec un 26/34, donc je me dis que le Zoncolan me serait accessible avec 24/36. Je vérifierai un jour ! 🆒 Auparavant je me testerai, par exemple en grimpant deux à trois fois de suite la montée de Chalais, ou quatre ou cinq fois celle de la Bastille…
  3. Pas vraiment. Disons qu'au moment d'écrire mon CR j'avais l'esprit accaparé par ma crevaison un peu surréaliste (qui peut se targuer d'avoir crevé à cause d'une agrafe ???). Pour ce qui est du plat, il n'y en a pas beaucoup dans le Pajottenland, qui ondule presque sans arrêt, mais il n'y a que peu de raidards notables. Je me suis quand même débrouillé pour inclure deux côtes «Cotacol» dans mon parcours: le Tuitenberg, une de ces rares côtes du Pajottenland avec des pourcentages notables (du moins au début) à Roosdaal: https://www.climbbybike.com/fr/ascension/tuitenberg/1133la rue du Mystère (Forest), réputée la côte la plus dure de la région bruxelloise, que j'emprunte souvent en fin de parcours quand je roule dans l'ouest et le sud-ouest de Bruxelles, comme hier: https://www.climbbybike.com/fr/ascension/Rue-du-Myst%E8re/1010Le Tuitenberg manquait à ma collection de côtes «Cotacol», ça m'a fourni un prétexte pour aller à nouveau dans le Pajottenland, qui est bien agréable à parcourir à vélo, surtout quand il fait beau comme hier. Pour une fois, j'avais plus envie de me dégourdir les jambes et de profiter des paysages que d'accumuler les côtes raides.
  4. 85 km aujourd'hui, la plupart dans le Pajottenland à l'ouest de Bruxelles, par un temps radieux : grand soleil, 25°, vent de nord-ouest pas trop méchant. Crevaison à l'arrière au bout de 20 km environ, du côté de Halle, avec déjantage partiel du pneu. Imparable : une sorte de grosse agrafe s'était plantée dans le pneu. Je devrais conserver les objets qui m'ont provoqué une crevaison, si je l'avais fait ça m'aurait constitué une jolie collection : des clous, des punaises, un fil de fer, des bouts de verre, des épines, les classiques silex, et maintenant une agrafe…
  5. Les défauts 1 et 2 sont hélas incontournables, mais le défaut 3 disparaitrait après rodage, paraît-il.
  6. Tout simplement mettre des gants… C'est d'abord utile en cas de chute (pour n'importe quel cycliste !) mais c'est aussi conçu pour cela : une préhension plus confortable des poignées ou du guidon.
  7. Vélo de course sur route, certainement pas, en effet. En vélo de route tout court, par contre, il a son intérêt. On n'est pas obligé de chercher à aller le plus vite possible même si on se contente de la route ! On peut trouver plus important de pouvoir passer partout (sur toutes les pentes) tant que c'est sur route tout en se permettant quelques excursions en dehors, de bénéficier d'une fiabilité maximale et de consacrer le moins de temps possible à l'entretien. Pour toutes ces raisons, un vélo de route avec moyeu Rohloff et courroie de transmission me semble particulièrement attrayant. Reste bien sûr le prix de l'ensemble… Au minimum dans les 3000 euros chez ToutTerrain, dans les 5000 euros chez Santos et Van Nicholas, les trois marques que j'ai vu proposer ce genre de vélo : pas donné ! 🙁
  8. Henri Desgranges et des coureurs de premier plan comme Petit-Breton pensaient même que la seule roue libre rendait le vélo trop facile…
  9. Si on en croit Claude Genzling et Bernard Hinault («Cyclisme sur route», 1986), qui citent Jacques Augendre sur un vieux numéro du Cycle, on trouvait même des pignons de 8 dents dans le temps… Avant Bobet, on note des braquets maxi de 25/8 pour Le Calvez en 1933 et pour Berton en 1948… (p. 99)
  10. mais tu oublies un détail de mon message , les routes " reconstituées " seront réservées aux Français !! En voilà une idée qu'elle est bonne ! J'approuve à 100% ! 😆
  11. choisis toi une route correcte Le problème c'est qu'il y en a, certes, des routes correctes par ici en Brabant, mais que ça court pas les rues (si j'ose dire) ! Et à la longue on finit par se lasser de parcourir toujours les mêmes endroits restreints !! Moi j'ai choisi un compromis : cadre gravel—cyclo-cross en titane récemment acquis mais pneus de 28 mm au lieu des 32-35 mm qui seraient la norme pour ce cadre. Ça me permet de passer raisonnablement partout sur route avec un minimum de confort et sans être sensiblement pénalisé dans les côtes, et je me permets de temps à autre une excursion sur une piste en gravier fin ou en terre, si elle est en bon état… Je ne m'interdirais cependant pas de passer au 32 mm ou plus large encore si je voulais faire plus d'excursions hors bitume… ou si le réseau routier et les pistes cyclables belges se dégradaient encore plus ! 📢
  12. Les cyclistes «sportifs» qui font usage de l'assistance électrique et que je croise à Bruxelles sont très souvent des vététistes, dans la forêt de Soignes notamment. Quant aux promeneurs sur VAE, il m'arrive d'en rattraper et dépasser certains dans des côtes relativement longues et roulantes : ils sont visiblement surpris pour la plupart de se faire rattraper par un type sur vélo normal. À deux occasions, la personne rattrapée (une jeune fille puis un jeune homme) n'a pas voulu se laisser dépasser et a accéléré devant moi. Pas plus mature qu'eux, je me suis amusé à tenir la roue dans les deux cas, et même à larguer le deuxième. 😃 Il y a donc quand même chez certains (peu nombreux selon mon expérience) une certaine fierté d'aller plus vite que les cyclistes «normaux». 😕
  13. Franchement, à la vitesse très réduite où on doit grimper des murs aussi pentus avec des pavés aussi mauvais, la fourche ne fera guère de différences à mon avis: à moins qu'elle soit carrément suspendue, on sera secoué de toutes façons. Je la crois seulement importante si on passe à haute vitesse sur secteur pavé plat ou descendant. Dans un mur, ce qui peut faire une différence bien plus sensible, à mon sens, ce sont les pneus : plus ils sont souples et moins fort ils sont gonflés, mieux ça passera. Donc si on recherche plus de confort pour ces escalades, on cherchera des pneus à carcasses plutôt souples et surtout des sections plus larges pour pouvoir gonfler à moindre pression. Tu avais le même modèle de pneus sur ton CKT ?
  14. Pour moi, le Beau-Site est la côte la plus dure de sa région, Ardennes flamandes + Pays des collines. Devant même le Koppenberg. Ceci dit, il me semble me rappeler que tu avais souhaité ne pas faire de côtes pavées lors de notre sortie Vélo101 par chez moi… La prochaine fois, je te promets que tu y auras droit, hypocrite ! 😃
  15. Beau Site et Grammont dans la même sortie ? Dis donc, je croyais que tu n'aimais pas les pavés ? 😇
  16. 35 km avec un maximum de bosses du côté d'Hoeilaart et d'Overijse, au sud de Bruxelles, pour finir en apothéose avec le Kardaan, à Overijse: pavé, super étroit et 24% maxi. Vive le 24/34 ! Je replace le lien descriptif ci-dessous, pour les furieux comme moi que ce type de côte attire comme l'aimant la limaille 😆: https://www.climbbybike.com/fr/ascension/Kardaan/702
  17. J'ai justement un 11 dents devant. Ton vidéaste a eu la chance de sa vie de me choper dans cette partie de la descente 😃, je dois l'avoir faite seulement trois ou quatre fois dans ma vie dans ce sens-là, et la dernière fois il y a peut-être sept-huit ans… J'ai toujours préféré monter à Chamrousse par ce côté et redescendre par l'autre, vers les Seiglières. Par contre je suis souvent descendu du col du Luitel vers Uriage, donc cette partie-là de la descente, je la connais bien. Dis-lui de se placer quelque part par là, la prochaine fois. 🆒 En plus c'est plus pentu que la partie haute, donc on va plus vite !
  18. Non, c'est un modèle à patins. Ce modèle-là: https://www.santosbikes.com/nl/fietsen/lite-serie/race-lite Apparemment, aux Pays-Bas et en Flandre, il y a une clientèle pour ce type de vélos : des gens qui roulent essentiellement sur route mais ne sont pas trop préoccupés par la performance, qui sont quand même demandeurs d'un minimum de polyvalence (« Tiens, et si j'allais parcourir cette piste qui paraît bien attrayante ? Et si j'allais faire le tour de la province en deux ou trois jours en dormant dans les hotels ?»), et qui veulent mettre le moins possible les mains dans le cambouis.
  19. Ça passe bien en effet avec des 28 mm, c'est le genre de pistes que je me permets avec des pneus de cette taille. Et concernant le RC520, ça me semble comme pour Denis un bon choix pour tes desiderata et ton budget. En Belgique, il y a des pistes cyclables qui ressemblent tout à fait à ton exemple… 😢
  20. Non, mais on peut se procurer des vélos en Rohloff avec des marques distribuées en Belgique, comme Santos, qui a des antennes à Hofstade (Zemst, entre Bruxelles et Malines) et Louvain. https://www.santosbikes.com/nl/ Ceci dit, je plaisantais, comme tu l'as compris : je sais parfaitement que ça ne te conviendrait pas. D'abord parce que tu es allergique à tout supplément de poids, et que ça pèse quand même au minimum 500 g de plus qu'une transmission classique. Sans compter que cela nécessite une roue arrière et un cadre renforcés, ce qui ajoute encore au poids. Le vélo de route le plus léger que j'ai vu en catalogue équipé avec un Rohloff (Santos Race Lite) pèse 10,5 kg tout équipé. Et en plus, ça te contraindrait à disposer de tout petits braquets… Par exemple, si tu veux avoir avec ce moyeu un plus grand rapport équivalent à, disons, 50/13, ça revient à utiliser le Rohloff avec un plateau de 42 dents et un pignon de 16 dents, et alors tu disposeras d'un plus petit rapport équivalent à… 24/32. Tu peux aussi choisir de voir plus grand et d'utiliser le Rohloff avec un plateau de 54 et un pignon de 16 (toujours pour donner une idée), et alors ton plus petit rapport équivaudra à un 22/23, mais alors ton plus grand rapport sera équivalent à… 54/11.
  21. Ah oui, le plateau d'Emparis, c'est un bon exemple de piste où peut passer un vélo gravel. Et quel cadre ! Au juste, c'est Le Bourg-d'Oisans, pas Borg d'Oisan… 😉
  22. Bien sûr que ça en vaut la peine si on oublie la performance et si on souhaite juste faire une balade agréable dans un coin qu'on veut découvrir, ou qu'on connait déjà, mais pas encore à vélo. Depuis le temps que je rêve de faire à vélo la boucle Prapoutel - Pré de l'Arc - Prabert dont j'ai parlée, qui doit faire une vingtaine de kilomètres dont une demi-douzaine sur piste non goudronnée, ce n'est pas la perte de temps dans l'accès due aux gros pneus qui va me gêner. Je me fiche du temps que je mets, je veux juste faire cette boucle.
  23. Ces itinéraires-là me tentent depuis longtemps, donc le prix à payer me semble mince pour combler cette frustration. 🆒 D'autre part, je n'avais jamais cherché activement jusqu'à présent, sachant que je pourrai pas y passer de toutes façons. Maintenant que j'en ai la possibilité, ça va probablement changer. C'est souvent l'outil qui fait l'ouvrier 😉 Un site apparemment intéressant : https://alpesgravel.com/
  24. Dans le Grésivaudan même, je ne connais pas grand'chose : la rive gauche de l'Isère à hauteur du Bois Français, entre le pont sur l'Isère vers la zone industrielle de Lancey et celui de Domène (au niveau du circuit de voitures télécommandées). La rive gauche de l'Isère, toujours, entre Veurey-Voroize et Saint-Quentin. En Belledonne, au-dessus de Freydières, la route qui va du carrefour des Quatre-Chemins au parking du même nom. J'ai fait cette portion de route plusieurs fois sur mon ancien vélo avec ses pneus de 25 mm, c'était très limite mais c'est passé. Toujours dans Belledonne, la route qui va du Pré du Fourneau (au-dessus du Mas Julien) au col de Pré-Long au-dessus de Saint-Mury: je n'ai pas osé m'y lancer avec mes 25 mm d'alors, mais elle semble praticable avec de gros pneus gravel genre 35-40 mm de large. Il y a 25 ans (oui, ça date) je l'avais faite dans l'autre sens, en descente, sur mon vélo de route : à l'époque c'était une route en terre très praticable, maintenant c'est surtout de la caillasse semble-t-il. Une boucle que j'aimerais faire avec mon vélo actuel et que je n'ai encore jamais faite, mais que j'aimerais tenter dès cet été si je peux aller à Grenoble en cette période de confinement : joindre Prapoutel au Pré de l'Arc (piste de ski de fond l'hiver) puis retour par Prabert.
  25. Dans ma région natale autour de Grenoble, un vélo «gravel» permet d'accéder à de nombreuses routes et pistes montagneuses non bitumées mais suffisamment larges et régulières pour être empruntées par un vélo de type route, du moment qu'il est équipé de pneus larges et solides et de braquets plus confortables que sur un vélo route de compétition. Ce qui est (en gros) ce qui caractérise un vélo dit «gravel». Je n'aime pas beaucoup ce nom, mais puisqu'il est devenu courant… je préfèrerais l'appellation de «vélo polyvalent». Dans le Brabant belge où je vis actuellement, les pistes en gravier, terre battue, ou simplement mal pavées pullulent carrément (on en trouve à Bruxelles même) et les vélos gravel ont de quoi s'en donner à cœur joie là aussi.
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