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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Les trois étoiles ont certainement remplacé le mot « ori gine » en un seul morceau. Je ne sais pas pourquoi il est systématiquement remplacé par des étoiles, mais c'est pénible à la longue. En modifiant le message et en réintroduisant le mot, il réapparait normalement, du moins chez moi.
  2. Avec un braquet pareil dans la rue de Pécrot, soit je passe en danseuse, ce qui n'est pas ma façon préférée de me décontracter, soit je reste assis, mais à 10 km/h environ (grosso modo ma vitesse en mode «relax» dans cette bosse) j'aurais l'impression de faire de l'équilibre, ce qui n'est pas très décontractant non plus. 😃 Précision : 40/25 à 10 km/h, sur un pneu de 25 mm de section, c'est tourner les jambes à 50 tours/minutes environ… moi je laisse ça aux schtroumpfs !
  3. Si, sur le versant Saint-Laurent-du-Pont, il y avait eu un important éboulement au-delà de Saint-Hugues, mais aux dernières nouvelles, la route était refaite à cet endroit et il était à nouveau ouvert. Si je parviens à aller à Grenoble cet été avec mon vélo, j'irai faire un tour là-haut pour vérifier.
  4. Oui bon, j'imagine que pour ce genre de sorties tu ne passes pas par des trucs genre Smeysberg ou même la rue de Pécrot avec 40/25 comme plus petit braquet. 😇
  5. Le col du Coq voisin est bien plus chouette à grimper que le col de Porte. Enfin, c'est mon avis et je le partage. 🆒 On peut aussi y accéder par Saint-Laurent-du-Pont, ça vaut aussi son pesant de cacahuètes (idéal pour y tester ses plus petits braquets). https://www.cols-cyclisme.com/chartreuse/france/col-du-coq-depuis-saint-hugues-c914.htm Mais je préfère le versant Saint-Nazaire-les-Eymes, plus régulier avec aussi de solides pourcentages par endroits. https://www.cols-cyclisme.com/chartreuse/france/col-du-coq-depuis-saint-nazaire-les-eymes-c913.htm
  6. Ce n'est pas à toi que je vais apprendre que le temps peut changer sans prévenir en montagne. Des douches complètement imprévues par la météo, j'en ai reçu ma dose du côté de Grenoble. Ma pire expérience en la matière a été le Challenge du Dauphiné 97, dans le massif du Vercors. Départ par temps sec de la banlieue de Grenoble, grimpée de la première côte, celle de Saint-Nizier, et puis une fois au sommet… la pluie. Toute le reste de la journée s'est passée sous la flotte dans le Vercors, et la météo n'y avait vu que du feu. Dans toute la région il n'avait apparemment plu que dans ce massif-là…
  7. Que le freinage sur disque induise des contraintes supplémentaires au niveau des moyeux, ça me paraît évident. Mais au niveau des jantes, je ne vois pas comment ?
  8. Si on voit les choses comme ça. 🆒 D'un autre côté, les jantes de roues à disque n'ayant plus la contrainte d'avoir des flancs savamment usinés pour recevoir le freinage, auront peut-être encore plus de latitude pour être plus belles et performantes ! 😇
  9. Hé bien il se passait des choses comme au col de Menté en 1971, quand Merckx, puis Ocaña sont tombés dans un virage sous le déluge, et puis quand Zoetemelk, dont les freins ne répondaient plus, est venu percuter Ocaña et l'a contraint à abandonner. Zoetemelk ne descendait pourtant pas à tombeau ouvert, il a freiné, mais ça ne l'a pas ralenti... si les disques avaient existé à l'époque, qui sait, Ocaña n'aurait peut-être pas abandonné et aurait gagné le Tour ! 😃 Hé oui, même si on est prudent, on peut avoir à réaliser des freinages d'urgence, et on apprécie d'avoir des freins qui répondent présent à ce moment-là ! Si tu as envie de revenir au cale-pieds ou aux manettes au cadre, sous prétexte qu'on faisait avec dans le temps, libre à toi, mais moi je préfère les pédales automatiques, les leviers aux cocottes... et la qualité du freinage à disque par tous les temps.
  10. Non, on ne parle pas de la même chose. La différence que je mettais en exergue, c'est que la jante, ça coûte un bras à remplacer quand c'est usé, particulièrement par le freinage, et que ça sert d'abord comme constituant de la roue et à porter le pneu. Le disque, lui, ne sert qu'au freinage et est beaucoup moins onéreux à remplacer. Le portefeuille y trouve son compte... et une certaine logique aussi. Quant à la force, ce qui compte c'est le moment de cette force exercé sur la roue, et l'efficacité du freinage à disques hydraulique de bonne qualité n'a semble-t-il rien à envier à ce niveau aux meilleurs freins à patins, même uniquement par temps sec. Quant à la force exercée sur le levier de frein, ça dépend du modèle et de la marque. Je peux juste dire qu'avec les freins TRP Hylex que j'utilise, c'est un bonheur de douceur et de progressivité.
  11. La pluie fait son retour dans nos contrées, tu vas pouvoir tester cette huile par mauvais temps. 🆒 Tiens-nous au courant !
  12. Outre le freinage constant par tous les temps, c'est même selon moi ce qui donne le plus de sens au freinage à disques : que le freinage s'exerce sur du spécifique et du "consommable", bon marché et aisé à remplacer, en l'occurrence le disque, et non plus sur quelque chose de bien plus onéreux et dont la principale fonction est tout autre, ici la jante.
  13. Outre qu'il s'agit d'un sport d'endurance qui ménage mes genoux, une raison pour laquelle je fais du vélo est qu'il s'agit d'un moyen de transport autonome énergétiquement. La magie de cette machine qui augmente drastiquement la vitesse de déplacement en utilisant uniquement l'énergie fournie par son «pilote» m'a toujours fascinée. Saviez-vous d'ailleurs que c'est le moyen de transport au meilleur rendement énergétique, de ce point de vue-là? D'un autre côté j'ai développé très tôt un rejet des deux-roues «soft» motorisés (mobylette, scooter, solex…) parce que j'avais trop vu de jeunes de mon âge se taper la frime dessus, et j'ai horreur de la frime. C'est définitivement resté. Donc, non, je n'ai pas l'intention de me mettre au VAE, ce compromis entre vélo et mobylette, sous quelque forme que ce soit. Si je deviens cardiaque plus tard, peut-être. Et encore faudra-t-il que ce soit indispensable. Mon expérience des braquets m'a prouvé qu'on peut rouler à vélo, si on le souhaite, sans jamais se fatiguer plus qu'en marchant, y compris et surtout en côte, bien que cela contrevienne à l'usage que beaucoup en font instinctivement.
  14. À vous lire, j'ai l'impression que deux choses ont échappé à certains d'entre vous, et pourtant elles ont été signalées plus haut, plusieurs fois : la cycliste en question, ce n'est pas n'importe qui mais Annemiek Van Vleuten, la championne du monde professionnelle sur route en titre, qui avait d'ailleurs épaté tout le monde en menant à bien une longue échappée solitaire pour remporter ce titre ;elle ne roulait pas toute seule pendant ce périple de 400 km, mais en groupe de quatre, accompagnée qu'elle était de trois bonshommes cyclistes, de haut niveau également.Sachant cela, la moyenne réalisée ne m'étonne guère de leur part.
  15. Micro-sortie en soirée de 15 km, dans les environs de mon domicile bruxellois, pour décompresser un peu. Il paraît que c'était la dernière journée de chaleur avant longtemps, j'ai voulu en profiter une dernière fois, même pour très peu de temps.
  16. Remarquable, mais pas toute seule, quand même ! 😉 Ils étaient quatre à avoir relevé ce petit défi pour Pentecôte: https://sporza.be/nl/2020/06/01/pinkstermaandag-met-annemiek-van-vleuten-een-tocht-van-liefst-4~1591043841084/ (néerlandais)
  17. Je suis assez lourd 86-87kl pour 176cm sur le plat aucun soucis j'envoie et il est facile de récupérer mais des que ça grimpe il m'est difficile de rester bas en cardio meme si je mouline bien sur un petit braquet Essaie de vrais petits braquets, comme qui tu sais. 😉
  18. Tu pourras lui dire quand même qu'à son âge elle tire déjà plus gros que mon 24/34 dans les raidards : 36/46, c'est plus ou moins équivalent à 24/30.
  19. Et si on revenait aux manettes de changement de vitesses au cadre ? Après tout, c'est bien moins compliqué à bricoler, beaucoup moins onéreux… et bien plus léger ! 😃
  20. Parfois même la laideur vaut le déplacement, par effet de contraste. Passer à vélo, presque sans transition, de la superbe verdure de la Roche-aux-Faucons aux semi-ruines industrielles d'Ougrée et environs, comme on le fait sur LBL Challenge, c'est quelque chose de mémorable. Bien belle sortie, qui me donne envie d'autant plus de parcourir à nouveau les Ardennes dès que ce sera possible. Rondehaye, c'est toi-même qui me l'avais fait découvrir, en effet, pour contourner le trop dangereux Mont-Theux. Par curiosité, de quel braquet minimal dispose ta fille pour grimper des talus comme Amermont ? 😲
  21. Observations d'autant plus intéressantes qu'elles ont été vécues. Si je résume, c'est plus facile et instinctif de ménager son rythme cardiaque sur un VAE qu'un vélo non assisté mais ce n'est pas impossible non plus de le faire sur ce dernier. Là encore, il y a la problématique des braquets adaptés (en série sur un vélo de route, ce n'est quasiment jamais le cas, hélas, à moins de vivre en pays vraiment plat) et cette réticence bien ancrée chez tant de cyclistes à ralentir le rythme dès que la route s'élève : comme tu le dis, instinctivement ils préfèrent continuer à rouler à une vitesse «sympa». Or, comme le disaient Claude Genzling et Jacques Roux (Altigraph), un promeneur à vélo — non assisté — doit consentir à devenir «mentalement piéton» et ne pas plus forcer en côte que sur le plat, s'il veut gérer au mieux les côtes. Mais l'utilisation d'un VAE par une personne cardiaque se justifie fort bien malgré tout, si elle n'a pas ce que j'appelle, faute de mieux, une culture des petits braquets suffisamment ancrée, ou la possibilité d'en avoir.
  22. Nan. 😛
  23. Non, ce n'est pas la même question. Tu penses aux pentes qui feraient qu'en les montant à vélo on n'irait pas plus vite qu'à pied (on ne se pose plus la question par contre si on prend en compte la redescente 😃). La question qui m'intéresse ici, liée ou non, est de savoir si on peut faire du vélo sans assistance sans plus de risque cardiaque qu'en vélo assisté électriquement. Quitte à aller aussi lentement ou même plus lentement qu'un piéton. Pour être descendu à 3 km/h en suivant à vélo ma fille qui trottinait à pied dans une côte bien pentue, je sais déjà que c'est parfaitement possible, «techniquement parlant», de rester sur son vélo à une aussi basse vitesse sans problème d'équilibre. Est-ce que ça ne vaudrait pas le coup de descendre de son vélo à cette vitesse ? Pas sûr, puisqu'il faudrait le pousser, et ça les études que j'ai lues (dans Sport et Vie, entre autres) ne semblaient pas en tenir compte. Mais encore une fois, ce n'est pas cette question-là qui m'intéresse directement. Pour l'anecdote : gamin, j'adorais descendre les côtes (ça n'a pas changé depuis), et pas tant que ça les grimper (ça, par contre, si). Mon père me disait alors qu'avant de descendre une côte il fallait avoir mérité ce plaisir et donc l'avoir montée sur le vélo. Ça m'est resté dans un coin de la tête. 🆒
  24. Là, c'est autre chose et ça rejoint une de mes questions : y a-t-il moyen de ne pas plus monter en fréquence cardiaque avec le bon braquet (celui qui ne vous fatigue pas plus que si vous marchiez) qu'avec une assistance électrique. Je pense que oui mais je n'ai pas de certitude personnelle, n'ayant jamais eu de capteur de fréquence cardiaque.
  25. Pas encore de tubeless à ce niveau ?
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