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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 56 km hier, du côté de Huldenberg, Overijse et Hoeilaart. Mêmes conditions climatiques que pour Johan : gris, assez doux, vent sensible. Et les habituelles routes dégueulasses.
  2. Tu l'as dit toi-même : parce que ce compteur tient compte, lui (à raison, je pense), des temps de pédalage à faible cadence, que tu appelles « parasites », et d'autres non. Une question de configuration par défaut, sans doute. Tu as déjà pu éliminer les temps de cadence nulle sur ce Garmin 1030 plus, mais apparemment pas les temps de pédalage à faible cadence, et ça suffit pour plomber la cadence moyenne. J'ai souvent pu l'observer : entre deux sorties de longueur et dénivellation semblable, mais l'une avec une grosse part d'agglomération à traverser (et donc plein de temps d'arrêt qui entrainent des période de démarrage et freinage où je tourne les jambes nettement moins vite) et l'autre en permanence en pleine campagne, la différence de cadence moyenne indiquée par mon propre compteur est énorme. Parfois plus de 10 tours/minutes, justement.
  3. Ce qui nous surprend ici, c'est que pour toi c'est un problème, tandis que pour nous c'est comme cela que la cadence moyenne doit être calculée : en tenant compte également des temps de cadence très faibles (et même nulles). De plus, la cadence moyenne est comme la vitesse moyenne : quelque chose de très relatif, qui peut dépendre de pleins d'autres facteurs que la capacité athlétique du moment. Ce qui est plus instructif, c'est de voir comment elle évolue dans le temps, sur le même type de sortie et dans des conditions semblables, plutôt que sa valeur en elle-même.
  4. Tous mes compteurs de cadence ont fonctionné comme cela : tout enregistrer y compris les temps de cadence nulle ou très faible. Je ne suis pas encore passé aux compteurs GPS genre Garmin, mais s'ils ont le comportement de ton Garmin actuel, je ne serai donc pas dépaysé. En général mes cadences moyennes figurent dans une plage allant de 85 à 90 tours/minutes, d'une sortie à l'autre. Si mes compteurs ne tenaient plus compte des passages à très faible cadence, j'imagine que mes cadences moyennes seraient nettement plus fortes, étant donné que je vis en agglomération ! ?
  5. C'est pas du vélo qu'il vont faire à Val di Sole, c'est du ski !!! ?
  6. J'imagine très bien, puisqu'on est au même régime ici en Belgique. ? Pour moi, aujourd'hui, à nouveau une sortie très courte, 29 km, dans le nord-est de Bruxelles pour varier un peu, du côté de Zaventem, Diegem, Haren et Evere. Sortie essentiellement plate avec seulement quelques courtes bosses à Diegem et Haren. À propos de Diegem, chaque fois que je passe devant son église, je m'étonne à chaque fois du look particulier de son clocher, façon pièce montée. Style baroque, paraît-il: https://nl.wikipedia.org/wiki/Diegem#/media/Bestand:DiegemChurchSpire.jpg
  7. Une perte de liquide laisse des traces à l'extérieur : l'huile hydraulique est corrosive et attaque les peintures et plastiques. C'est vrai s'il s'agit de liquide de type DOT 5.1 (Sram, Hope…). Mais Shimano, Tektro, Magura, etc., utilisent des huiles minérales non corrosives qui leur sont a priori spécifiques (et pas du tout compatibles avec le DOT 5.1). https://dimensionsvelo.com/2020/06/11/quelle-huile-pour-les-freins-a-disque/
  8. J'ai des surchaussures « imperméables » de marque Endura, un modèle très semblable à celui-ci: https://www.amazon.fr/Endura-Luminite-Couvre-chaussures-cyclisme-imperm%C3%A9able/dp/B08GH6NCW4 Elles protègent bien du froid, et ne sont ni plus ni moins efficaces que les autres contre la pluie (elles finissent par prendre l'eau après deux ou trois heures). Mais leur fermeture à velcro me convient bien mieux que des modèles à fermeture-éclair, généralement trop larges pour moi et mes mollets style coton-tiges.
  9. Un petit 30 km cet après-midi, du côté de Tervuren et Overijse. 6° maxi, donc toujours assez froid, mais temps sec et, miracle! des périodes de ciel bleu, enfin !! ? Bon, bien sûr, les routes restent méga-crades, mais ce n'est pas comme si je ne m'y attendais pas. Une petite nouveauté au passage, l'ascension du Groeneweg (littéralement «chemin vert»), un petit mur pavé à Overijse, que j'avais déjà emprunté il y a quelques temps… dans le sens de la descente. ? On ne rigole pas là-bas au fond de la classe! je ne l'avais pas fait exprès cette fois, je n'avais fait que suivre un itinéraire balisé pour cyclistes. En Flandre, ils se croient obligés de corser ces itinéraires en les «agrémentant» de passages pavés (même en descente) ou gravel… Étonnamment, les pavés étaient propres… Alors que tant d'autres routes par lesquelles je suis passé aujourd'hui n'étaient plus que des tapis de boue. https://climbfinder.com/fr/montees/groeneweg-overijse
  10. Au cas où, je place cet article intéressant (en néerlandais malheureusement) mais en plein sur notre sujet de discussion à tous les deux : https://sporza.be/nl/2019/12/25/onderkoelde-veldrijders-sporters-tips-sportsarts-tom-teulingkx/ Titre : « Conseil aux cyclocrossmen et sportifs gelés : entraînez-vous par mauvais temps ». Pour résumer, un médecin du sport appelle les sportifs (les pros, mais pas seulement) à oser s'entrainer également sous de mauvaises conditions climatiques, pour apprendre leur organisme à mieux y résister. Il déplore le fait que les coureurs pros actuels négligent les protections contre la pluie et le froid, alors qu'ils déploient tout un arsenal pour se protéger de la chaleur et qu'ils préfèrent se préparer au soleil des Canaries. Ce qui contribuait à expliquer selon lui les cascades d'abandons bien dramatiques qu'il y avait eu lors du cyclo-cross de Namur d'il y a deux, couru sous le froid, la pluie et la boue tout cumulé.
  11. On parlait de pluie, pas de froid. Une sortie peut être pluvieuse sans être froide, même si les deux peuvent aller ensemble. Oui, le froid peut causer des troubles sévères, dont ceux dont tu parles. Mais non, je n'ai pas connu de bronchites, ni de refroidissement (si tu parles du dérangement gastrique) sur le vélo malgré toutes mes sorties sous la flotte, mais j'ai eu froid, en effet, sans tomber malade pour cela. Peut-être parce que, en plus d'éviter les endroits fermés et mal aérés au retour, j'ai toujours tendance à sortir trop couvert que l'inverse. Parce que paradoxalement, je suis très frileux… je me suis souvent fait charrier à ce sujet, d'ailleurs : je sors parfois en tenue longue quand tous les autres cyclistes sont en court. J'ai aussi toujours un imper en poche au cas où, dès que le moindre risque de pluie est annoncé, ce qui pour certains est du poids superflu inutile… Je maintiens également qu'il y a une question d'entrainement derrière tout cela. Si vous voulez que votre organisme résiste mieux à la pluie et/ou au froid, il faut oser de temps en temps sortir sous la pluie et/ou le froid (dans la limite du raisonnable). L'organisme développera à la longue des réflexes de défense qui vous seront profitables si un jour, malgré toutes vos précautions, vous vous faites surprendre par le mauvais temps. Ce qui n'empêche pas (au contraire) de sortir protégé autant que possible. Imper, veste adaptée, maillot de corps de saison (point important souvent négligé)… et surchaussures. Ça n'est pas efficace éternellement, mais ça permet quand même de tenir bien mieux que si on n'avait rien prévu.
  12. Le deuxième degré passe toujours très mal sur le web. ? Au sujet de tomber malade, comme je l'ai dit plus haut, ce n'est pas à cause de la pluie elle-même, mais à cause des endroits où on se réfugie pour lui échapper… des endroits généralement bien chauffés, mais aussi souvent fréquentés et mal aérés, et qui sont pour ces raisons de véritables nids à virus, bactéries et autre micro-organismes pas très bienveillants. Rouler sous la pluie peut présenter des risques : diminution de l'adhérence des roues, de la visibilité, risque accru de crevaison, d'usure du matos… mais pas celui de tomber malade. Du moins pas directement…
  13. Sans parler de l'autre filiforme, là, qui nous avait accompagné en fumant la pipe sur son vélo gravel à gros pneus pendant notre sortie brabançonne commune, alors qu'il avait fait déjà 100 bornes à vélo depuis Chaudfontaine pour nous rejoindre. Ce monde est décidément trop injuste. (Le bonjour à Jérémie aussi, en passant !)
  14. C'est sûr que si je vivais au Canada, en ce moment je ne ferais pas de vélo non plus, avec la neige et le verglas qu'il doit y avoir là-bas. Pour faire du vélo à l'extérieur il faut quand même pouvoir tenir sur deux roues ! Mais s'il ne s'agit que de pluie, ça ne m'arrête pas, ou plutôt ça ne m'arrête plus. Je me suis vite aperçu, avec les contraintes horaires que j'ai (mes sorties sont généralement à horaires fixes et non flexibles, à cause du boulot et de ma famille) et les caractéristiques de la météo belge, que ça signifiait supprimer beaucoup trop de sorties, alors que je ne peux généralement sortir que deux fois par semaine... D'autre part, une fois sorti sous la pluie, c'est très rare que je le regrette : la pluie, mine de rien, on peut s'y faire. Vêtements adaptés, pneus solides, vélo bien équipé, paysages parfois mis en valeur par la flotte (si, si). Et je ne suis jamais tombé malade après une sortie sous la pluie, et pourtant Dieu sait que j'en ai fait qui duraient longtemps (mon record : 8 h environ sous une pluie continue, et en montagne en plus, lors du Challenge du Dauphiné en 97). Ca ne veut surtout pas dire que je trouve la pluie agréable (surtout quand je regarde l'état du vélo ensuite...) mais c'est pour moi un moindre mal. Moi, mon pire ennemi, c'est le vent. Quand il souffle très fort, là j'ai du mal à garder la motivation, mais il faut quand même que ce soit une tempête pour que je ne sorte pas. A propos des surchaussures : j'en ai essayé un paquet, aucune n'a été une protection absolument durable. Au-delà de 2-3 h, l'eau finit par y pénétrer d'une façon ou d'une autre, de même que malgré l'imper le haut du corps finit par être humide également. Il faut s'y faire...
  15. Ton rhume n'est pas directement dû à ta sortie. Le rhume s'attrape dans les espaces fermés bien chauffés dans lesquels on se réfugie par mauvais temps (froid, pluie), et où les micro-organismes genre virus prolifèrent... Pas ou très peu à l'extérieur, ce qui explique pourquoi les gens qui travaillent en extérieur sont rarement enrhumés.
  16. Et si on n'a pas de home-trainer, on fait comment ? ? Dans certaines régions, il pleut souvent et longtemps. Ne pas sortir par temps de pluie signifierait annuler une sortie sur deux, voire beaucoup plus. Et on peut trouver plus intéressant de faire une sortie même sous la pluie, ce qui maintient le niveau d'entrainement et habitue l'organisme à ces conditions, que de "faire du surplace en respirant un air pourri" (la définition d'Antoine de Caunes pour le home-trainer). Chacun son point de vue sur la question. ?
  17. Nan, trop de moustiques là-bas, d'après ce qu'on m'a dit ! ? Je ne demande pas grand'chose pour le temps qu'il fait en Belgique : juste que cette p… de chape de plomb au-dessus de nous nous laisse voir un coin de ciel bleu de temps en temps ! Allez quoi, un jour par semaine ? «Après la pluie, le beau temps», dit la maxime, mais non, après la pluie, le ciel reste constamment, désespérément, gris. C'est la première fois depuis 21 ans que je vis ici que je ressens vraiment l'effet psychologique du manque d'ensoleillement. Peut-être parce que c'est la première fois que le soleil se terre aussi longtemps? je ne sais pas, je n'ai pas fait de statistiques, mais c'est vraiment long, long, tous ces jours de ciel plombé à la file…
  18. 46 km du côté de la forêt de Soignes, puis Rhode-Saint-Genèse et Hoeilaart, par ce temps incroyablement cafardeux qui règne sur tout le Benelux et le nord de la France, apparemment. Le froid est de saison (5°, normal) mais le problème est qu'on n'a pas pu entrapercevoir un seul coin de ciel bleu depuis des jours, des jours et des jours, et pour ne rien arranger il pleut quotidiennement. Heureusement, la flotte n'est pas tombée pendant ma sortie, mais juste avant, et les routes sont aussi sales que vous pouvez l'imaginer. Comme le vélo et le cycliste au retour, évidemment. Bon, le côté positif, c'est que j'ai pu enfin me dégourdir les jambes sur le vélo. ? Une semaine que le boulot puis les contraintes familiales m'empêchaient de le faire.
  19. N'exagérons rien : 1 h 30 au total, pas 1 h 45. Si ça dure plus d'une heure et demie, c'est que je me suis arrêté lors du retour pour prendre un en-cas ou un café, ou que je fais un court détour dans la verdure (mon itinéraire domicile-boulot traverse un grand parc). ? En tout cas, c'est beaucoup moins stressant et contraignant que de passer, comme la plupart de mes collègues, la même quantité de temps en transport en commun, ou pire, en voiture. Certains passent même plus de deux heures de leur journée dans ces conditions… ?
  20. Ben si, il voudrait bien mettre le vélo dehors, le Franck, puisque le verglas et la neige ne tiennent pas. Mais le boulot l’en a empêché cette semaine :-(… Demain ça devrait le faire quand même. Pour ce qui est du moyen de transport pour le taf, pour rappel, je vais tous les jours à pied au boulot. 45 min le trajet, donc 1h30 aller-retour, c’est mieux que rien comme entretien de la forme après tout. Et il n’y a pas plus écolo que la marche. ;-)
  21. Le fond de jante est-il assez large ? J'ai eu le pb il y a 2 ans, lors de la sortie vélo101 organisée par Michel. J'ai crevé trois fois pendant la sortie, côté fond de jante… Il manquait un mm de largeur, pas plus, au fond de jante, mais ça a suffi pour provoquer les crevaisons. En prendre des plus larges a résolu le problème.
  22. Hé, après tout chaque année à la même période, c'est pareil : grisaille de fin d'année-->déprime, cafard. Mais le temps ne reste jamais éternellement gris, et on apprécie d'autant plus le soleil quand il revient, quitte à attendre des jours, voire des semaines. ? Quant à nettoyer le vélo, c'est ch… mais je trouverais encore plus ch… de ne pas sortir. Ça fait toujours un bien fou à la tête, une parenthèse d'évasion dans un quotidien bien morne. Donc tant qu'il ne gèle ni ne neige, je sors.
  23. 28 km cet après-midi, modérément vallonnés, vers Tervuren, Duisburg et retour par Jezus-Eik. La seule fenêtre de sortie possible qui soit à la fois compatible avec mon temps libre de ce week-end et avec un temps sec. Mais ça caillait sévère quand même : 5° maxi, et on n'est pas encore en décembre. Et les routes étaient évidemment dégueulasses à cause de la pluie constante de la veille, qui par ces températures n'a évidemment pas le temps de s'évaporer. Et puis toujours cette grisaille à vous donner le cafard. Si le soleil se montre pendant cinq minutes, c'est Byzance ! Neige possible dès demain, et des précipitations annoncées pour tous les jours de la semaine prochaine, hivernales pour certaines. Il va être de plus en plus difficile de sortir : sous la pluie ce sera encore possible, mais pas en cas de neige ni de verglas. Oui je sais, c'est pas si exceptionnel pour la saison dans une région nordique (et même moins nordique), mais ça me fait ch… quand même. De façon générale, je n'aurai jamais pu rouler autant que je le voulais cette année.
  24. Et pourtant c'est bizarre parce que je t'assure que Franck est bon en montées, je l'ai vu faire dans le liégeois, il se défend tout à fait honorablement sur des longues côtes bien dures. Je me demande toujours pourquoi il va chercher ces petites merdouilles brabançonnes... je ne sais pas, tout va bien du coté de la cafetière Franck? Mon séjour en Belgique a peut-être été un peu long pour ma santé mentale ? 21 ans passés dans ce pays (et ce n'est pas fini), ça doit laisser des traces quand même dans le psychisme. ? Mais avant ces 21 ans, j'ai passé 26 ans dans la région grenobloise (et deux ans en Savoie). Les « longues côtes bien dures » n'ont aucun secret pour moi depuis longtemps, j'ai pour ainsi dire appris à faire du vélo dedans. Du reste, autour de Grenoble, on rencontre deux profils de côtes : les longues pentues et les longues moins pentues. ? Le reste, comme la ville de Grenoble elle-même, c'est plat comme la Flandre côtière. Pas d'intermédiaire entre les deux. J'exagère un peu, mais à peine. Si tu veux faire de courtes côtes, c'est généralement que tu ne fais volontairement qu'une petite partie d'une longue côte… Pour moi, l'exotisme, c'est donc les courtes côtes, particulièrement quand il y en a un peu partout… les paysages de collines ondoyantes traversées par des rivières ou des canaux, bordés de maisons ou de champs… C'est le cas des paysages dans le sud et l'est de Bruxelles, par exemple, que j'aime arpenter à vélo — si je fais abstraction de l'état des routes, selon moi trop souvent indigne d'un pays civilisé, et je ne parle pas des secteurs pavés… Mais si je veux retrouver un semblant de sensation de longue côte alpine dans ce type de paysage, je n'ai pas le choix : il faut que j'en enchaîne un maximum dans une sortie, et plus raides elles sont, mieux c'est. Je me suis aperçu que ça me plaisait bien, ce type d'enchaînement. J'ai aussi appris à dompter les pavés, un passage de trois ans à Tournai, près des fameuses Ardennes flamandes, m'y a bien aidé.
  25. Si tu regardes bien le profil de la partie la plus pentue, tu t'aperçois qu'il y a une nette rupture de pente à l'intérieur même de la partie de 50 m marquée à 12% et une autre presque aussi nette dans celle marquée à 13%. Du reste l'encyclopédie Cotacol (parue en 1990), qui recense les mille montées les plus remarquables de Belgique, détaille en particulier cette côte-là (seulement sa partie pavée). Selon elle, ses 125 m (les plus pentus du profil de Climbfinder) sont constitués de 100 m à 18% de moyenne (avec un pic à 22% sur 5 m) et 25 m à 12%. Le commentaire de Cotacol sur cette côte vaut le détour, je prends sur moi de le copier ici : à l'origine, ignoble boyau bordé de serres de culture que le mémorable Félix Sohie, promoteur de la culture des vignes sous serres chauffées en 1865, avaite engendrées, la minuscule venelle pavée d'aujourd'hui est accessible aux cyclistes et demandera pas mal d'habileté et d'équilibre au grimpeur téméraire qui l'arpentera. ?
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