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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Ça expliquerait pourquoi il ne prend aucun relais ? Il a l'air de souffrir pas mal… ou alors il bluffe.
  2. Pour l'anecdote, c'est l'anniversaire de Jasper Stuyven aujourd'hui, un de mes coureurs favoris (quand on ouvre une chocolaterie à son nom, on est forcément quelqu'un de bien 😇) et aussi un des favoris de la course. Peut-être un signe encourageant pour lui. 😎 https://www.rtbf.be/article/jasper-stuyven-du-panache-a-la-ganache-9766306
  3. Dans le même registre, on peut aussi citer Marta Cavalli. Chute d'abord, pépin mécanique ensuite, et elle finit quand même avec Kopecky, Brand et consorts. Bidon collé aussi, peut-être, mais ces ennuis n'ont pas pu jouer en sa faveur de toutes façons. Je m'étais demandé pourquoi elle ne passait pratiquement pas de relais à la poursuite de Longo Borghini, mais c'était peut-être justement parce que ses ennuis l'avaient trop entamée.
  4. Pour le temps de guérison, c'est très variable. Selon les personnes et le degré de gravité de la tendinite, cela peut disparaître en quelques sorties sans forcer, ou bien cela peut nécessiter un repos complet d'une semaine ou plus. Ma tendinite au genou la moins sévère m'avait demandé une semaine de repos complet, la plus sévère avait nécessité trois semaines de repos complet également avec un traitement anti-inflammatoire en plus. Mais idéalement, consulte un spécialiste, il saura déjà faire un diagnostic et conseiller traitement et/ou repos.
  5. Belle balade, et sacré courage pour finir malgré cette douleur au genou ! Il est possible aussi que la douleur soit due aux prolongateurs eux-mêmes, et non à leur position. Les empoigner fait souvent glisser vers l'avant de la selle, ce qui fait travailler les articulations de façon différente, particulièrement les genoux, et peut donc causer des problèmes, si on n'y est pas allé progressivement. C'était peut-être une erreur de partir tout de suite faire une distance aussi longue pour une première sortie avec des prolongateurs.
  6. Décidément, c'est dur de sortir des normes… C'est tout juste si aux yeux des autres on n'est pas condamné à la non-existence ! 🙄
  7. C'est vrai que ce n'est pas toujours évident de prendre une mesure correcte, mais si, c'est parfaitement possible d'avoir les jambes aussi courtes que cela pour cette taille. J'ai parmi mes amis quelqu'un qui a des jambes plus courtes que les miennes et qui mesure 186 cm. Or je mesure 178 cm et j'ai un entrejambes de 84,5 cm — ce qui n'est déjà pas énorme pour ma taille — d'après une étude posturale chez Gir's.
  8. Un petit 32 km aujourd'hui à me balader, dans les limites de la région de Bruxelles-Capitale, essentiellement dans la commune d'Uccle. Découverte au passage d'une côte (très correctement) pavée que je ne connaissais pas, le Kauwberg. Grande et belle prairie au sommet, ce qui n'est pas une vision habituelle à Bruxelles même… https://climbfinder.com/fr/montees/kauwberg-dieweg Il valait mieux m'économiser car dans deux jours, je ne ferai pas une balade, avec les 159 km des «Géants des Flandres» au programme…
  9. Huit jours d'accord, mais cinq, est-ce que ce sera suffisant pour surcompenser? Je pense que oui, mais ce n'est pas une certitude. Ce qui est sûr par contre, c'est que je ne vais pas rentrer chez moi frais comme une rose, lundi soir !
  10. Le peu de délai entre les deux randos (cinq jours) ne m'avait pas échappé non plus. Mais apparemment, si j'en juge par mon temps de récupération de mes récentes sorties les plus dures, ce sera suffisant pour moi. J'espère même bénéficier d'un effet de surcompensation pour Liège-Bastogne-Liège. J'espère voir juste… on verra.
  11. Bonjour à tous, Lundi prochain, j'ai l'intention de participer à cette randonnée organisée au départ de Brakel, en Flandre orientale (ville de Peter Van Petegem, de Zwarte van Brakel, et du regretté Serge Baguet, entre autres), au cœur des « Ardennes flamandes » : https://www.reuzenvanvlaanderen.be/fr/ Sur la longue distance (159 km), c'est un sacré défi, un des plus solides que je connaisse : pas moins de 2700 m de dénivellation et 31 difficultés répertoriées (je n'ose même pas penser au nombre de celles qui ne le sont pas), dont le Vieux Kwaremont, le Paterberg, le Koppenberg, le Taaienberg, le Molenberg, le Berendries… et des incursions en Wallonie pour faire la côte de la Houppe et le Mont de l'Enclus, par exemple… En fait, toutes les pires «joyeusetés» des environs doivent s'y trouver, les seules exceptions qui me viennent à l'esprit étant le Mur de Grammont et le Bosberg. Une bonne préparation pour Liège-Bastogne-Liège Challenge, donc avec une longueur et une dénivellation semblables au parcours intermédiaire de celle-ci… mais avec bien sûr, des côtes forcément plus courtes que dans les vraies Ardennes. C'était Jérémie Laplac qui m'avait proposé cette randonnée, mais il a dû se désister pour raisons familiales. Y en a-t-il d'autres ici qui seraient intéressés ? (Mes autres camarades de sortie habituels en Belgique ne le sont pas, je sais : trop de pavés.)
  12. Je ne peux pas te contredire pour les axes traversants, n'en ayant jamais utilisés, mais ça me surprend quand même. La rigidité supplémentaire induite par les axes traversants est latérale et n'est donc pas censée influer sur le confort. Je me demande donc si sa rigidité supplémentaire que tu as éprouvée ne vient pas d'ailleurs que des axes. À étudier. Mais pour les pneus, tu te limites à ton cas particulier. Les tiens d'étriers laissent passer le 28, bien. Sur mon vieux vélo aussi d'ailleurs (c'était la fourche qui posait problème). Mais d'une part, beaucoup d'étriers de freins sur jantes ne laissent pas passer le 28, ou avec trop peu de dégagement, et d'autre part si le 28 passe largement avec ton modèle d'étriers, même eux imposent une limite. Est-ce qu'un 30 passe ? Un 32 ? etc. Ce n'est plus un problème avec les étriers pour freins à disques, ils ne sont pas disposés autour de la jante. La limite vient alors seulement du cadre et de la fourche. Pour autant que ceux-ci le permettent, on peut monter des pneus de bien plus grosse section si on a envie de faire une excursion hors des routes. C'est un avantage indéniable. Encore faut-il en ressentir l'envie, bien sûr.
  13. (Ter) Rien n'oblige qui que ce soit à rouler en 28 ou en 30 s'il a un vélo à disques. Les pros en sont le meilleur exemple. Par contre, ceux qui souhaitent rouler en 28 ou en 30, pour des raisons de confort sur des routes bien dégradées par exemple, peuvent le faire bien plus facilement si leur vélo est en freins à disques : les étriers des freins sur jantes ne sont plus là pour gêner le passage des pneus à plus grosse section. Mais s'ils ne le souhaitent pas, qu'ils restent en 25 et ils ne s'en plaindront pas. Peut-être qu'à force de le répéter ça va finir par rentrer ? 😊 Bon c'est sûr que si ça rentre, ça fera moins de pages de discussion dans ce débat…
  14. Disposer de braquets plus petits que l'ordinaire que ceux que tu cites, permet justement à ces cyclistes moins aguerris de grimper ces pentes raides, sans plus de préjudice pour leur santé, et leur permet de se passer de cheval ou de VAE ou pire, de voitures. Pour éviter de me répéter, et pour ceux qui lisent l'anglais, tout est expliqué scientifiquement dans l'article suivant, mieux que je pourrais le faire. Et on y donne des pistes pour s'équiper de braquets plus petits que l'ordinaire, pour ceux qui n'ont pas peur de paraître ridicule aux yeux de ceux qui jugent un cycliste par les braquets qu'il emploie. https://www.cyclingabout.com/hills-are-not-harder-says-science/
  15. Puissance modeste en ce qui me concerne (250 watts développés sur 14 minutes lors de la montée de 1,8 km de la Bastille par son chemin le plus direct), mais il n'y en a pas tellement ici qui soient plus légers que moi : 61 kg. Oui, les raidards me passionnent, ce n'est un secret pour personne ici. Et j'en ai fait de tout type, des courts (Koppenberg, Redoute, Stockeu, Mur de Huy…) comme des bien plus longs (côte de Chalais, Mont du Chat…) Pourquoi ce mépris pour les développements de VTT sur un vélo de route ? Si on emprunte régulièrement des routes aussi raides que les chemins pris en VTT, il me semble au contraire logique d'utiliser le même type de développements. Bon, « l'inconvénient », c'est que ça vous fait des souvenirs moins « hard » par la suite… 😉
  16. 85 km aujourd'hui dans l'est de Bruxelles, direction Louvain puis Huldenberg et Overijse, là où avait lieu la Flèche brabançonne la veille. Sortie en mode récupération et détente tout d'abord après la dure sortie de mardi, puis les jambes se sont réveillées et j'ai pu faire quelques bosses à fond, dont mon habituel Smeysberg et la très raide sente pavée au cœur même d'Overijse appelé Kardaan. https://climbfinder.com/fr/montees/smeysberg https://climbfinder.com/fr/montees/kardaan-overijse Temps sec et ciel voilé, températures très douces (19° max à l'ombre), vent sensible de secteur nord-ouest qui ne m'a finalement pas fait regretter, frileux comme je suis, d'avoir opté pour le maillot cycliste à manches longues aujourd'hui.
  17. Qu'on m'arrête si je me trompe (je n'ai pas d'axes traversants sur mon vélo à disques mais des blocages rapides classiques), mais il me semble que les axes traversants augmentent la rigidité latérale du vélo et donc n'ont pas d'incidence sur le confort ressenti.
  18. Il passait suffisamment bien toutes les bosses, même la plus difficile (la Moskesstraat), sauf une : la Hertstraat. Pas particulièrement raide, mais pavée et longée par une rigole très étroite bordée par un trottoir assez haut. Seuls les cyclistes d'un haut niveau technique sont capables de rester dans cette rigole tout en roulant à fond sans heurter le trottoir avec le bout de leur pied ou leur pédale. Les autres sont contraints de rouler sur les pavés et doivent ainsi dépenser plus d'énergie par rapport aux autres. C'était le cas de Barguil et d'Evenepoel. Pour ce qui est du melon qu'il prendrait, je dirais plutôt qu'il a tout intérêt à maîtriser ses nerfs, s'il ne veut pas se mettre à dos une bonne partie du peloton…
  19. Oui, fondamentales, malgré le ton apparemment ironique de ta réponse. Mais pour que tu en prennes conscience, il va falloir que tu te mettes en situation. Oseras-tu un jour grimper ce genre de murs? Si oui, tu pourras juger en connaissance de cause. Sinon, abstiens-toi de jugements hâtifs.
  20. Pour préciser encore de mon côté : tu compares un 34/30 à 60 tours/min avec mon 24/34 à 85 tours/min. Mais en fait, 24/34 à 85 tours/min, ça fait 7,7 km/h (sur mes pneus de 2,13 m de circonférence), tandis que 34/30 à 60 tours/min, ça fait 8,7 km/h. Il faut descendre à 53 tours/minute pour arriver à 7,7 km/h pour des pneus de même circonférence. D'autre part, à la Bastille, comme je l'ai dit, je descends jusqu'à 70 tours/minutes sur mon 24/34 dans les passages les plus raides, ce qui me fait une vitesse de 6,3 km/h. Pour descendre à cette vitesse avec un 34/30, il faut pédaler à 44 tours/min. Et tout ça lorsque le mur en question est l'unique difficulté du parcours ! De quoi donner matière à réflexion si on s'engage sur une longue randonnée montagnarde où ce genre de pentes intervient en toute fin de parcours, comme le Mur de Sormano ici.
  21. Pour dire que ces braquets ne sont pas impératifs pour monter des portions de pentes sévères, à 85 rpm sur 24x34 on monte quasi à la même vitesse qu'avec 34x30 à 60rpm, cadence qui n'est pas débile sur quelques minutes. Je trouve donc qu'il n'est pas très pertinent d'équiper son vélo avec avec ce type de braquet juste pour le cas où on rencontre un passage court à 20/25%. Ce que tu dis se défend, à deux détails près : le mur de Sormano fait déjà 2 km, ce qui veut dire déjà dans les 10-15 minutes d'ascension voire plus pour un cyclo, selon son niveau ou son état de fatigue, et surtout dans ce cas précis il intervient à la fin d'une cyclo de montagne, justement quand les réserves du cycliste sont déjà bien entamées.
  22. Ça, c'est indéniable. À chaque fois c'est le desserrage puis le serrage de l'axe par une clé qui fait perdre du temps. J'en suis toujours d'autant plus surpris que des solutions existent. Des serrages genre Mavic Speed Release ou au pire des visseuses électriques portatives, comme utilisées par l'équipe Quick Step. J'ai vu il y a deux ans leur usage lors d'un dépannage de Florian Sénéchal sur crevaison, ça s'était passé à la vitesse de l'éclair, aussi vite qu'avec des blocages rapides classiques. Pourquoi ces solutions ne sont-elles pas appliquées en course, mystère…
  23. Et alors ? Ce serait honteux, selon toi ? D'autre part, 5,5 km/h, c'est la vitesse d'un piéton sur le plat, s'il marche déjà à un bon rythme. C'est donc bien plus rapide qu'un piéton sur 20-25% de pente. Surtout s'il pousse son vélo. 😁 En ce qui me concerne, je ne suis jamais descendu à cette vitesse (ni donc à cette cadence de 60 tours/min) dans la Bastille. La seule montée que je connaisse qui m'oblige à descendre en-dessous de 6 km/h est celle d'une variante du col de Vence près de Grenoble, que j'ai refaite la semaine dernière, du reste: https://climbfinder.com/fr/montees/col-de-vence-grenoble-chantemerle Il y a à la toute fin (juste avant de rejoindre la route principale du col de Porte, pour ceux qui connaissent) un passage d'une centaine de mètres vraiment vertigineux, probablement proche des 30%. C'est ce passage-là qui fait toujours descendre mon compteur à 5 km/h et quelques.
  24. La montée de la Bastille à Grenoble, que je connais par cœur, est très semblable en longueur, pente moyenne et pourcentage maximal, et je la grimpe avec un… 24/34. Et je peux vous assurer que je ne sifflote pas pendant ce temps-là, même si je tourne raisonnablement les jambes, comme je le préfère (entre 70 et 85 tours/minutes dans ce cas-là). Les profils des deux murs, pour comparer: https://climbfinder.com/fr/montees/mu-de-sormano https://climbfinder.com/fr/montees/bastille-de-grenoble Je précise que quand je pars grimper la Bastille, c'est ma seule ascension du parcours… Si ç'avait été pendant une longue cyclo avec plein d'autres ascensions, j'aurais considéré un plus petit braquet encore que ce 24/34 (mon plus petit braquet possible, en théorie, sur mon groupe est 24/40). Il n'y a rien de plus personnel que les braquets, donc affirmer qu'avec un 34/30 «on» grimpe aux arbres… ça dépend fortement de ce que ce « on » sous-entend. Pas moi, c'est sûr. Certainement pour des types comme Roglic ou Pogacar, mais pour d'autres… Il n'y a qu'un moyen de le savoir, en fait, c'est de vérifier sur place ! Et nous raconter ensuite. Selon le cas, on félicitera… ou on sera plein de commisération. 😇
  25. Ce n'est sans doute pas un problème pour celui qui anticipe prudemment ses freinages, ça concerne plutôt les cyclistes au pilotage engagé qui freinent le plus tard possible. Et également ceux qui freinent en situation d'urgence, sans avoir le temps d'anticiper de quelque façon que ce soit.
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