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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 126 km aujourd'hui, dont les quelques 98 km de la «route cycliste de la Flèche brabançonne» (Brabantse Pijl Cycling Route), et au retour, 14 km en balade décontraction avec ma fille à Bruxelles même. https://www.visitvlaamsbrabant.be/fietsen/vind-een-fietsroute/de-brabantse-pijl-cycling-route (néerlandais) Sur un panneau de présentation du circuit, à Overijse, on peut lire ça: Les obstacles traditionnels de la course étaient bien sûr au rendez-vous : Moskestraat, Hertstraat, Holstheide… et d'autres en rab comme le Smeysberg ou la rue de Pécrot. https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/122666 Cette « route cycliste de la Flèche brabançonne » est devenu un peu mon circuit-repère : c'est tout près de chez moi, il reprend pas mal de mes côtes d'entrainement habituelles, et je le fais donc plusieurs fois par an, pour étalonner ma forme. C'était la 2e fois cette année aujourd'hui, et ma foi les sensations étaient clairement meilleures que la première fois. J'ai pu noter que les panneaux de fléchage avaient changé (pourquoi ? aucune idée). Avant, c'était des panneaux hexagonaux comme celui ci-dessous (au centre) : Maintenant, ce sont des panneaux rectangulaires, en néerlandais dans le Brabant flamand : ou en français dans le Brabant wallon : (Notez le doublage discret en néerlandais… il faut dire que c'est l'office du tourisme du Brabant flamand qui est à l'origine de ce circuit et de son fléchage.) Côté météo : temps doux (maxi 20°), sec, mais gris et malheureusement suffisamment venteux pour me faire garder les manchettes toute la sortie. Mais je n'étais pas le seul, beaucoup d'autres cyclistes croisés avaient également des manchettes voire carrément un maillot à manches longues.
  2. Fais gaffe, la maladie du canapé Schtroumpf, c'est contagieux. Symptômes indubitables : n'avoir envie de sortir le vélo que lorsqu'il fait plus de 25° à l'ombre et sans le moindre nuage dans le ciel. empâtement des articulations des jambes, empêchant de tourner les jambes correctement ; engourdissement des doigts empêchant de changer de vitesse quand il y en a besoin ; baisse de l'oxygénation (peau bleuie) ; déformation des plateaux (tendance à l'ovalisation) ; augmentation exponentielle de l'envie de se goinfrer de chocolat… Il n'est pas trop tard pour réagir. Courage !
  3. Il faut quand même se rappeler qu'au début du Giro il sortait juste de maladie. https://www.rtbf.be/article/je-ne-sais-pas-si-je-suis-en-bonne-condition-wout-van-aert-amoindri-au-depart-du-giro-11543690
  4. 42 km pour moi ce matin de jeudi d'Ascension. Parcours vallonné mais sans raidard dans le sud-est de Bruxelles, sous un temps gris et venteux. Quelques gouttes en début de sortie puis temps sec.
  5. Cette partie du nord du pays, c'est la mienne 😞 Il pleuvine en ce moment, et c'est jour de sortie vélo. Mais pas question d'annuler, je ronge suffisamment mon frein à cause du boulot.
  6. Je rejoins Thierry sur le nombre de chutes : j'aimerais avoir des statistiques pour être sûr qu'il y en a plus aujourd'hui qu'avant. Je n'en suis pas convaincu a priori. La seule certitude que j'ai c'est que les courses sont bien plus souvent et plus longtemps retransmises qu'avant, et donc forcément on voit des chutes plus fréquemment. S'il faut incriminer du matos pour ces chutes, j'irai plutôt chercher du côté de la nervosité des cadres, ou des guidons devenus très étroits et posés très bas, pour un meilleur aérodynamisme, mais qui sont donc moins maniables et qui du fait de la position basse induisent une réduction du champ de vision… et ce ne sont que des suppositions, parce que je ne pédale pas à la place des pros. Je n'irai pas chercher en tout cas du côté des freins qui sont devenus, quoiqu'on en dise, plus efficaces.
  7. Parce que c'est quelqu'un d'ultra-polyvalent comme Pauline Ferrand-Prévôt, que le VTT est apparemment sa discipline préférée, celle où il s'amuse le plus, et qu'il a envie de se faire plaisir de temps en temps, ce qu'on peut comprendre. Un accident, ça peut arriver à peu près n'importe où et n'importe quand. Ça peut même arriver même en traversant la rue à pied ou en descendant une marche.
  8. On a souvent tendance à peindre en noir les gens un peu différents. 😝 («Inclination pour les inclinaisons », voilà qui est bien dit !).
  9. C'est un de ses intérêts, en plus de tester vraiment ceux qui pensent qu'ils «passent partout avec machin/truc», et du fait qu'il n'y a que vraiment très peu de portions roulantes. Les groupes hétérogènes ne peuvent qu'exploser dans ce type de parcours et attendre le plus lent s'ils ont vraiment une éthique de groupe correcte.
  10. Moi je kiffe des parcours comme celui pointé ci-dessous : les Murs des Ardennes, autant de dénivellation que LBL moyenne distance, mais sur 115 km au lieu de 170, et comme son nom l'indique, où on ne grimpe quasiment que des murs. Mais personne dans mes connaissances belges pour vouloir me suivre dans ce genre de trip. C'est dur d'être une crevette qui n'aime pas rouler, mais juste grimper et descendre, on se sent un peu seul dans la vie… https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/106936
  11. L'imper c'est en début de parcours quand il faisait dans les 6°-8°, et je l'ai remis bien sûr sous la pluie à la fin. J'avais également (j'en ai toujours) un maillot de corps sous la veste, mais cette veste n'est pas l'Habu (qui est plus épaisse et qui n'aurait pas été superflue les dernières heures !), c'est celle-ci, de mi-saison : https://www.assosoutlet.com/fr/mille-gt-spring-fall-jacket-3507.html Ben oui, je suis frileux, c'est souvent le cas des maigrelets comme moi, la couche de graisse isolante leur fait défaut. Mais ne t'inquiète pas, je survis. 😇
  12. C'est réellement paisible, panoramique et, sauf dans certains centres de communes, peu fréquenté par les voitures. Il manque juste quelques photos montrant la pluie des dernières heures, il n'y en avait pas dans le package qui m'était destiné. On a un petit aperçu de ces conditions humides dans le Best-of de l'événement par Sportograf, à trouver ici (cliquer sur « See Best-Of » en haut à droite) qui propose d'ailleurs certaines des photos que j'ai postées ci-dessus : https://www.sportograf.com/en/event/14036 On y voit entre autres le petit chien dans un sac à dos dont parlait Thierry 🙂
  13. Du tout, je prends ça comme un compliment 😛 En fait, c'est la tronche que je fais sur cette photo qui me l'a fait poster ici : on dirait que je vais mordre quelqu'un, je ne savais pas que je pouvais avoir l'air si agressif :-))
  14. Quelques photos Sportograf de la Chouffe Classic de samedi, en vrac : toutes prises visiblement avant l'arrivée de la pluie !
  15. Surtout vue du fond de son canapé Bubble ? 😇
  16. On risque alors de devoir attendre longtemps avant de rouler. Surtout si on n'est pas à la retraite et que donc les créneaux de sorties sont assez restreints. 😉 J'ai cru comprendre que le temps n'était pas idéal non plus en Suisse en ce moment ? 😇
  17. J'ai vu aussi ce cycliste avec le petit chiot dans le sac à dos. Original ! 🙂 Et la bestiole avait effectivement l'air tout aussi ravi qu'un enfant sur les épaules de son papa. Je reprends à mon compte le reste de ton compte-rendu également. On croise vraiment de tous les types de cyclistes dans ce genre de randonnée très « courue ». J'ai l'impression quand même d'être quelqu'un d'assez atypique dans le lot : fluet, allergique au vent, roulant seul la plupart du temps, des développements de vététiste… ça ne fait pas partie des caractéristiques de l'immense majorité des cyclistes qui y participent. J'ai par contre essayé hier, bien plus systématiquement que lors des randonnées précédentes, de « choper les roues » de groupes qui me dépassaient lors des portions roulantes, toujours trop nombreuses à mon goût. Avec pas mal de succès, ce qui a permis je pense à ma moyenne de dépasser les 21 km/h malgré le temps épouvantable des quatre dernières heures qui m'a fortement ralenti (comme pratiquement tout le monde j'imagine). Dans les côtes, j'avais de très bonnes sensations, et plus elles étaient longues et/ou difficiles, mieux c'était. Signe que la forme recherchée arrive enfin. Ci-dessous le parcours et le catalogue des côtes du grand parcours, par le Climbfinder : https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/128650 Un pattern qui s'est souvent reproduit : beaucoup de cyclistes commençaient les côtes en trombe et finissaient par ralentir sensiblement dès que la côte dépassait largement le kilomètre, alors que je fais exactement l'inverse. Ça m'a permis de « revoir » pas mal d'entre eux. C'était particulièrement vrai dans Haussire et Roche-à-Frêne, et encore plus dans l'enchaînement Trou du Loup - côte d'Odeigne, plus de 300 m de dénivellation en quelques 10 km (et qui commençaient en fait plus bas dans la vallée de l'Aisne qu'on remontait). Pas de quoi fouetter un chat a priori comme pourcentage moyen, mais c'était déjà après 110 km de rando et j'y ai rattrapé un nombre conséquent de cyclistes qui m'avaient pourtant « enrhumé » dans la vallée de l'Aisne juste avant. Il faut dire que la pluie tombait déjà depuis quelques temps, que le vent soufflait fort en plus, et que beaucoup n'étaient pas protégés (pas d'imper, même pas de gants pour certains…). Moi si, mais après deux heures à ce régime, mes protections n'ont plus suffi : l'eau est passée à travers l'imper, le cuissard thermique associé aux jambières et les surchaussures, me trempant jusqu'à l'os. Les deux dernières heures ont été un calvaire dans les descentes, pas à cause des freins qui fonctionnaient impeccablement (merci les disques) mais parce que j'avais tellement froid que j'en tremblais sur mon vélo. Ce n'était pas des tremblements à la Skjelmose dans la Flèche wallonne de l'année dernière quand même, mais c'était difficilement contrôlable tout en pédalant, et à l'arrêt aux deux derniers ravitaillements (le 3e et l'arrêt « Chouffe », très rapprochés) j'étais incapable de les réprimer. Donc, sitôt la ligne d'arrivée franchie, j'ai foncé vers ma voiture (tout relativement, puisqu'elle était garée 3 km plus loin, à Taverneux, et qu'il fallait grimper une côte pour que j'y retourne). Ça n'a pas été tout seul de me changer, j'avais tellement de tremblements incontrôlables dans la voiture que j'ai mis un temps interminable à mettre des vêtements secs… Ça n'a fait que confirmer que l'efficacité des meilleures protections anti-pluie ne dure guère plus qu'une couple d'heures et que le meilleur moyen de se protéger de la pluie continuelle, ainsi que du froid qui va avec, sur de longues distances, est de changer de vêtements. Le pire est que j'avais envisagé de prendre des gants et un maillot de corps de rechange dans ma sacoche de selle étanche, et que j'y avais finalement renoncé, me fiant aux prévisions météo qui affirmaient que les précipitations seraient présentes mais éparses. 😞 Enfin, j'ai quand même bouclé ce magnifique parcours. Même sous la pluie, l'Ardenne luxembourgeoise est magnifique, tout particulièrement du côte de la vallée de l'Aisne et du plateau des Tailles (les environs d'Odeigne et de la Baraque de Fraiture). Et la côte de la rue Saint-Roch à Houffalize, bien connue grâce à Liège-Bastogne-Liège et qui bouclait le parcours, est toujours aussi raide : elle aussi est un bon moyen de tester son « tout-à-gauche » 🙂 et elle réchauffe même le plus refroidi des cyclistes (pas la descente qui suit, par contre 🥶) : https://climbfinder.com/fr/montees/saint-roch
  18. Pluie à Houffalize (Luxembourg belge) ce matin comme hier après-midi. 12 degrés, vent froid. On a connu mieux ce printemps !
  19. Chouffe Classic bouclée ! 🙂 Les 175 km (selon compteur 182 !) et 3000 m de dénivelé officiel parcourus à 21,2 km/h de moyenne. Sensations bonnes si ce n’est que la pluie, le froid et le vent annoncés était bien présents : flotte continue du km 100 à l’arrivée, en fait, alors que la météo prévoyait des crachins intermittents… Plus de détails demain une fois rentré chez moi : j’écris d’une chambre d’hôtel à Houffalize, sur mon smartphone, ce qui n’est pas très pratique.
  20. Bon, après moult tergiversations, je viens de m'inscrire pour la Chouffe Classic de demain, longue distance (175 km). https://chouffeclassic.be/fr/ https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/16352531 Je connais bien le parcours, qui me convient a priori, qui plus est dans une région que j'aime beaucoup (sauf pour l'état des routes, mais c'est la rengaine habituelle). Mais les prévisions météo ne sont pas folichonnes : 6°C à 7 h du matin 🥶 et 14° C maxi l'après-midi à Houffalize, le lieu de départ et d'arrivée, du vent (maxi force 4) et en prime de la pluie annoncée pour l'après-midi. L'Ardenne dans toute sa splendeur, quoi. 😎
  21. 38 km de sortie-détente hier soir après le boulot (vive l'heure d'été !) sur un tracé à cheval sur les trois régions belges : Bruxelles, Flandre, Wallonie. Logique puisque c'est le cas aussi de la forêt de Soignes, dans laquelle je suis resté pendant la majorité du trajet. 🙂 https://fr.wikipedia.org/wiki/Forêt_de_Soignes
  22. Pour ma part, c'est passé sur 24/36 (équivalent à 30/45) après 92 km. Pour ma sortie du jour : 46 km de sortie en décontraction dans le sud-est de Bruxelles, par un temps doux, modérément venteux et gris, avec un très court crachin en fin de parcours. Samedi, les 175 km de la Chouffe Classic, si les sensations restent correctes. Mais je ne dors pas beaucoup ces derniers jours, à cause du boulot. J'espère reprendre mon temps de sommeil habituel avant samedi, sinon je passerai mon tour.
  23. C'est toujours mieux que moi, j'en suis à 2968. Quant à mon dénivelé, je ne suis pas équipé pour le mesurer, mais il n'est sûrement pas comparable au tien.
  24. En supposant une circonférence de 2,13 m, cela fait 116 tours/minutes. Pas mal 😉
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