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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Quand on consulte leurs sites, on voit que Canyon et Rose affichent des prix très proches pour des fiches techniques à peu près pareilles aussi. Normal : ils sont concurrents et les échos sont bons pour l'un et l'autre. L'atout, chez Rose, c'est toutes les possibilités de personnalisation... mais là, gare à la facture ! Toutes les options ne sont pas gratuites. Après, ça reste de la VPC. À moins de pouvoir essayer (copain qui en a un, par exemple) ou d'avoir une expérience précédente dans la marque, on n'est pas sûr à 100 % de son choix.
  2. Quel que soit le coût, ça garde l'apparence du gaspillage, non ?
  3. Oui, 5 ans c'est pas beaucoup. Mais si on se donne ça comme prétexte pour balancer les crasses, la nature n'est pas près de perdre son statut peu enviable de décharge publique "gratuite". Mais j'admets aussi qu'il n'y a pas que les cyclistes qui polluent. Les spectateurs sont sans doute pires, mais, heureusement, ils se regroupent à certains endroits où les organisateurs ou la municipalité "n'ont plus qu'à repasser". Maigre consolation. Près de chez moi, les déchets qu'on trouve un peu partout sont en premier lieu (et de loin !) les cannettes vides et les emballages de friandises et autres pommes chips. Et ça, c'est pas les cyclos... Vous avez dit "éducation" ?
  4. "Aprés chaque épreuve c'est la chasse aux bidons et c'est tant mieux pour les spectateurs pour le reste comme le disait un forumeur c'est Biodégradable , donc pas de probléme ." Ce n'est pas une vérité partout ! Quand le peloton traverse des agglomérations ou des endroits où il y a des spectateurs, les bidons sont probablement ramassés. Rien qu'au TdF, épreuve copieusement médiatisée, les concurrents empruntent des routes où on ne voit pas une âme pendant des kilomètres, sans parler des descentes de col où il n'y a personne et où des bidons et emballages divers filent au fossé. Quant à l'aspect "biodégradable", je veux bien y croire, mais ça prend combien de temps ? Et les résidus qui se dégradent sont-ils polluants ou non ? En Alsace/Vosges, où sont maintenus de nombreux sentiers balisés, j'ai un jour vu un grand panneau (au-dessus de Ribeauvillé, sentiers des "trois châteaux", il me semble) où sont indiqués les temps mis par différents déchets pour se dégrader. Rien qu'une peau de banane, ça prend énormément de temps ! Alors, le reste... 🙁 Un exemple ici : http://www.consoglobe.com/duree-vie-dechets-nature-1386-cg
  5. Qu'on les oblige à rendre la vidange pour obtenir un bidon plein !
  6. Je me souviens d'une course ou étape de course où Thomas Voeckler avait pris les devants. Quand il a commencé à tourner moins bien les jambes et que son avance a diminué, il est allé près de la voiture de son DS pour se ravitailler. Le mec lui passait des trucs à avaler, Voeckler les prenait, y jetait juste un coup d’œil, puis les balançait rageusement sur le bas-côté. En gros plan à la télé, chouette exemple, non ?
  7. Souvent, quand on voit les images des ravitaillements, de nombreux coureurs balancent immédiatement des denrées qu'ils prennent dans leur musette ! Un peu comme si ça ne leur plaisait pas ou qu'ils n'en avaient pas besoin ! On devrait supprimer les séances de ravito (musette). Ils n'ont qu'à se mettre dans les poches dès le départ ce qu'ils pensent consommer.
  8. Moi, à vélo, même avec des patins sur les jantes, j'ai jamais le moindre problème pour freiner. Pour accélérer, par contre, c'est autre chose.
  9. En tout cas, moi aussi je lui souhaite de réussir. Ce serait un beau couronnement pour la fin de carrière de ce coureur toujours généreux dans l'effort et qui ne se cachait jamais.
  10. Et tiens, une question en passant... Est-ce qu'il existe un branchement pour recharger un smartphone ou un GPS, quand on dispose d'un moyeu producteur de courant ?
  11. Excellent !
  12. Tu as un lien vers un article scientifique qui explique ça ? Je comprends pas pourquoi on roule pas avec des plateaux de 60 dents et plus.
  13. Oui, c'est peut-être ça, mais je ne pense pas qu'il faille aller jusqu'à parler de différence de rendement. Elle doit être infime, puisque si la transmission de l'effort peut être qualifiée de meilleure, davantage de dents en contact avec la chaîne donnent aussi davantage de frottements. Peut-être que la partie "inutilisée" de la chaîne (les maillons qui sont "dans le vide" par rapport à ceux qui sont "en accroche") est ressentie comme du poids mort ? Avec plus de vibrations ?
  14. J'aime mieux cette dernière argumentation, Franck. 😉
  15. Si le pédalier est le même, le bras de levier est identique (distance entre l'axe de la pédale et l'axe de rotation). Alors, si par exemple un 48:16 a un meilleur rendement qu'un 42:14 ou qu'un 39:13, ce n'est certainement pas pour une question de bras de levier. Et à braquet identique, tu ne moulines pas plus avec le petit qu'avec le grand plateau. J'ai pourtant moi aussi l'impression que le rendement est meilleur, à braquet identique, quand on emmène plus de dents, mais je ne sais pas pourquoi. Ce n'est peut-être qu'une impression.
  16. Désolé, Claude, mais c'était vraiment une autre époque. Surtout au niveau de la médiatisation, de l'argent, des mentalités... Je ne veux pas dire par là que les coureurs étaient moins bons et que les courses étaient moins difficiles, bien au contraire d'ailleurs, mais ça se passait globalement un peu différemment. Il ne me semble pas que beaucoup de coureurs, par exemple, basaient leur saison sur une ou deux épreuves. Il fallait courir plus de courses pour tenter de gagner sa vie. Après les grands tours, Merckx et d'autres faisaient les critériums pour empocher un peu plus d'argent. Il n'y avait pas de coureurs payés à "se préparer" pendant des mois. Certains couraient les classiques et un ou deux grands tours, et faisaient même de la piste ou du cyclocross. À l'époque, seuls les cracks étaient bien payés. Et ils étaient des cracks parce qu'ils couraient et gagnaient. Les équipiers comptaient beaucoup sur les primes de victoire de leurs leaders pour arrondir leurs gains. Et les courses n'étaient pas médiatisées comme maintenant. On allumait la télé et, souvent, on attendait (si les coureurs avaient du retard sur l'horaire) que le "direct" (plutôt court) passe à l'antenne. Il y avait moins de fric dans tout ça. Merckx a raconté avoir terminé le TdF, en 75 et en 77, uniquement pour ne pas laisser tomber ses équipiers, alors qu'il était blessé, malade... Je n'étais qu'un gamin, en ce temps-là, et j'écoutais les "flashs" d'info à la radio, quand un des reporters faisait arrêter la moto sur le bord de la route pour chronométrer un écart ! Des gens mieux au courant que moi des subtilités du cyclisme professionnel de ces années-là pourront sans doute apporter d'autres détails et précisions. Tout ça n'enlève rien à la grandeur du cannibale, bien sûr, qui reste le plus grand champion cycliste de l'Histoire. Mais, même si tu n'aimes pas cette expression, je persiste à dire que c'était une autre époque. Et c'était comme ça pour d'autres sports aussi, comme le football par exemple. Je me souviens des coupes européennes à l'ancienne, où les petits pays avaient des chances de briller...
  17. " (...) Sur un triple, tu peux utiliser bien plus de pignons (tous en fait, sauf les deux extrêmes) lorsque la chaîne est sur le plateau médian. (...)" Et après, tu viens nous dire qu'on a une meilleure ligne de chaîne avec un triple qu'avec un double ? Sûrement pas quand on l'utilise comme ça ! Désolé. Je n'ai rien contre les doubles, les triples, les compacts, les simples, les fixies ou tout ce que vous voulez, mais il ne faut pas utiliser d'arguments contradictoires pour justifier un choix.
  18. Un 50:11 sur le plat, j'admire ! Même en descente, je ne parviens pas à m'en servir pour autre chose que de me dire que je l'ai quand même utilisé un tout petit peu.😆
  19. Son palmarès donne le vertige. Mais c'était aussi une autre époque, où un champion pouvait réussir sans se "spécialiser". Aujourd'hui, tout est médiatisé et beaucoup plus gangrené par le fric. Un Merckx ou un Hinault n'en gagnerait plus autant, et certainement plus sur presque tous les terrains. Je ne sais plus quel ancien coureur (excusez ma mémoire vieillissante), contemporain d'Eddy Merckx, avait répondu à un journaliste qui lui parlait des petits arrangements du genre "à toi l'étape, à moi le maillot", qu'avec le champion belge, il n'y avait pas d'arrangement possible : il ne roulait que pour gagner.
  20. En tout cas, sur la route des vacances, accrochés aux bagnoles (à l'arrière, sur le toit, sur la remorque...), ce sont les plus nombreux : B'Twin, Rockrider... Des familles complètes se fournissent chez DKat. Avec parfois des "route" et des "vtt" mélangés sur le porte-vélo. J'ai vu aussi des gens emmener, au sommet du Ventoux et à la force des guibolles, des vélos de chez DKat. Et ils n'avaient même pas honte. 😆
  21. Ah oui, les gants latex ! J'en ai toujours aussi avec mon petit matériel.
  22. Je suis loin d'être un spécialiste, je dirais même que je n'y connais pas grand-chose au vélo en montagne, mais comme à basse vitesse le gain aérodynamique est très faible, il me semble que c'est surtout tactique, psychologique. Le mec de devant : "Bon, il me suit, là, l'autre. Il est facile ou pas ? Est-ce que je pourrais le larguer en haussant un peu le rythme ? Est-ce qu'il n'attend pas le bon moment pour me surprendre ? En plus, je dois me retourner pour voir sa bobine ou sa manière d'enrouler. Et quel braquet il met ?" Le mec de derrière : "Je le suis sans rien montrer. Il a déjà accéléré un peu, je me suis fait mal pour le suivre mais j'ai vu tout de suite qu'il n'était pas facile non plus. Et sur ce passage, ici, il a remonté d'une dent." AMA, tant qu'il n'est pas largué, le mec qui suit est le mieux renseigné.
  23. Une cassette plus "grosse" ne suffirait pas ?
  24. Je l'ai grimpé début de cette semaine et c'était une première pour moi, puisque jamais je n'avais tenté de gravir un col à vélo, quel qu'il soit. Prudent, j'ai choisi le côté le plus "facile", par Sault. La route est très belle, j'ai mouliné tranquillement pendant les vingt premiers kilomètres, résistant à la tentation de remettre du braquet dans les passages les plus doux. Les six dernières bornes, après le Chalet Reynard, c'est autre chose ! Et c'est le dernier kilomètre qui m'a semblé le plus dur, non seulement parce qu'il est pentu, mais aussi parce qu'il vient après tous les autres. J'ai parcouru les 26,3 km qui séparent le centre de Sault (parking place du marché) du sommet en 1h58. Rien de glorieux, mais j'étais heureux d'être en haut et de l'avoir fait sans m'arrêter. Ce qui m'a impressionné, ce n'est pas ce que j'ai fait, mais ce que j'ai vu faire ! C'est inouï ! Il y a des cyclistes qui arrivent là-haut véritablement au courage, à l'énergie, à l'inconscience... Des hommes, des femmes, des enfants, des gros, des maigres, des seniors... En vélo de route, en VTT, en tandem, sur une bicyclette de location, en randonneuse avec bagages... À voir tous ceux-là, j'étais admiratif. Incroyable ce que la pratique du vélo peut susciter comme dépassement de soi !
  25. Quand y aura plus que 3 branches, Mercedes va réclamer des royalties...
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