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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. C'est effectivement ce qui me vient à l'esprit à son sujet : maîtrise, intelligence de course. En plus de son incontestable talent, il "sent" la course et ses adversaires comme personne. Et il prend aussi ses responsabilités. (Hier, il fait l'effort au bon moment derrière Moreno). Je ne pense pas qu'on puisse le taxer d'attentisme. L-B-L ce n'est pas n'importe quelle course et, puisqu'il la gagne, c'est qu'il a tactiquement raison. Je me dis parfois que si Rodriguez avait le quart du sens tactique de Valverde, il gagnerait davantage de courses.
  2. C'est intéressant, ce que tu écris. L'an dernier, j'ai vu toutes sortes de gens grimper là-haut, de tous âges et sur toutes sortes de vélos. J'étais admiratif devant leur courage, leur volonté d'aller au bout de l'effort. Je ne songeais pas à ce moment-là, et notamment au sujet des gamins qui arrivaient en haut, que certains pouvaient mettre leur santé en danger.
  3. Pareil. Lave-vaisselle et, de temps en temps, passage des couvercles quelques minutes à l'eau bouillante.
  4. J'avais posté un lien, il y a quelques mois, où Spe présentait cette technologie SRAM monoplateau sur un hybride. Je pense qu'il s'agissait, d'origine sur le vélo, d'un plateau de 40 dents avec une cassette 10-42. Non seulement ça me paraissait d'un intérêt très discutable, mais la cassette coûtait aussi un bras (de l'ordre de 300 euros, si ma mémoire est bonne) ! Enfin ! Ceux qui aiment les "trous" aussi bien dans l'échelonnement des braquets que dans leurs finances y trouveront peut-être leur compte...
  5. Je présume que c'est très difficile à régler, comme problème. Les trains ont des horaires (qu'ils ne respectent pas toujours) et les coureurs ont des horaires de passage "estimés". La solution de bon sens serait d'éviter les passages à niveau dans l'itinéraire, mais je suppose que c'est compliqué.
  6. Une belle course, dans son final qui m'a un peu rappelé ceux de Gand-Wevelgem et du Tour des Flandres : des petits groupes, tout le monde à fond pour essayer de "boucher les trous" et personne vraiment au-dessus du lot. À chaque fois un beau vainqueur, costaud et opiniâtre, généreux dans l'effort. Pas un très grand cru, sans doute, mais du suspense quand même.
  7. J'ai bien aimé le "bec de sel" !😉
  8. Un bien beau récit chargé de noms et de souvenirs ! Merci ! (Et qui me rappelle combien d'années ont déjà filé depuis lors... 😢)
  9. "Ce que je suis incapable de comprendre ce sont ces crétins qui sont simplement jaloux qu'un cycliste puisse se faufiler ici ou là et qui veulent se venger sur eux de cet état de fait!" Oui. C'est incroyable, mais je vis cela assez fréquemment, lorsque je vélotaffe. Mais c'est toujours en fin de journée, au retour, alors que le matin, ça ne se produit presque jamais ; mais il est vrai qu'à ces heures-là, en semaine, il n'y a généralement sur la route que des gens qui vont bosser. C'est peut-être une explication...
  10. Oui, bien sûr, c'est à prendre au second degré, ce que j'ai fait. Mais il n'empêche qu'on peut s'interroger quant à l'auteur (ou les auteurs) de l'article et leurs motivations. Sous le paravent de gros humour beauf véhiculé par ces "conseils", je sens clairement l'existence d'une véritable haine du cycliste sur route (qui peut être motivée par certains comportements, je le concède). Et si on en adresse le reproche à l'auteur, il répondra que "ouais, mais c'est pour rire". Je rappelle que, même "pour rire", il y a des propos bien moins violents que ceux-là qu'il est interdit de tenir publiquement ; mais évidemment ils ne portent pas sur les cyclistes, "cycliste" n'étant pas une race et "cyclisme" une religion. J'ai déjà été la cible de certains comportements suggérés dans l'article (heureusement, avec plus de peur que de mal), alors que je respecte le code, que je roule seul et n'ennuie ni ne provoque les autres usagers. Entre autres choses : hurlement soudain du passager par la vitre de la voiture qui dépasse, queues de poisson volontaires, "tassement" contre la bordure pour m'empêcher de remonter une file par la droite. Ces agissements sont heureusement le fait d'une minorité, mais c'est ceux-là qu'on remarque. Exactement comme les automobilistes remarquent surtout les cyclistes qui se croient tout permis.
  11. Il y a aussi un Ravel qui passe tout près de l'abbaye de Maredsous 😉 ; et il est très bien entre Fosses-la-Ville et Maredret. (À éviter le dimanche après-midi par beau temps, par contre...)
  12. Lourdingue à ce point-là, ça ne me fait pas rire, même si ça part de quelques excellentes observations quant au comportement de certains cyclistes. Exposé avec un peu de finesse, ça m'aurait probablement amusé.
  13. +1 pour la boîte à outils format bidon.
  14. Pour un 34 mars, je trouve qu'il a fait bon.
  15. Si ton objectif n'est pas de "faire un chrono", mais juste d'arriver là-haut sans problème, je dirais qu'il n'est pas indispensable de s'entraîner en montagne. Il faut surtout de l'endurance et des braquets adaptés à ton niveau, partir reposé (de bonne heure l'été) et pas un jour de grand vent.
  16. Ha, ha, ha !
  17. "Moi j'irais chez le velociste du coin et je changerais chambres et pneus pour éviter que les premières sorties ne deviennent galères. Et pourquoi ne pas mettre les vélos en révision chez ce même velociste? Cela vous rassurera sur l'état du matériel.Il faut peut être aussi vérifier l'état de la chaîne etc'...." La voix de la sagesse. Je plussoie sans hésiter.
  18. Voilà. C'est fait. Mais j'ai dû choisir "autre" pour Vittoria.
  19. Sinon, pour répondre à la question initiale : "Rouler 3 mois pour grimper le Ventoux çà suffit ?" A priori, je dirais que oui. Beaucoup arrivent d'ailleurs là-haut en moins de trois heures. (Oui, je sais, c'est bête, mais on est le 1er avril...)
  20. Poisson d'avril ?
  21. Un conseil pour les SMP : bien suivre le mode d'emploi pour le réglage de base. Ensuite, peaufiner (surtout l'inclinaison) un tout petit peu à la fois. Avec ce type de selle, il faut être patient (pas de sorties trop longues au début) pour que le séant s'habitue à être posé différemment. Les problèmes de prostate ou d'engourdissements, ça motive, bien entendu ! Les SMP, certains cyclistes ne s'y font pas, mais ceux qui s'y font ne veulent plus rien d'autre.
  22. Je suis d'autant plus admiratif que dans des conditions comme celles-là, je ne sors même pas mon vélo.
  23. Une bonne petite tempête de neige dans les Alpes pour Quintana, en juillet ?
  24. En beaucoup plus petit.
  25. Des voix se sont élevées : il aurait fallu annuler l'épreuve, etc. Je trouve que c'est aussi ça qui fait l'intérêt de ces classiques : la météo, les pavés, les bosses... Impressionnants, en tout cas, les efforts consentis (et juste pour rester sur la route, dans certains cas)! Et il y avait moins de quarante courageux à l'arrivée. Chapeau à eux !
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