Nicolas JOARY

C'est typiquement le discours commercial de m* qu'on ose souvent nous servir et qu'il faut être naïf pour gober à 100%. Passe encore pour le montage d'usine directement en FàD, on met ça parce que ça fait bien. Mais il y a FàD et FàD... Sur les vélos d'entrée de gamme (et il faut des vélos d'entrée et de milieu de gamme, parce que c'est la plus grosse part du marché, question volume), on va rogner sur le coût des équipements : transmission, freins, roues... C'est peut-être très "in" d'avoir du carbone et des disques, mais si c'est de la qualité au rabais, est-ce bien ? Pour l'autre commentaire du genre "on ne trouvera plus de pièces de rechange pour les groupes mécaniques", c'est de la vaste blague. Le marché pour cela est énorme et va le rester. Il y a de la demande tant en neuf qu'en pièces de rechange. Ce n'est pas parce que le marketing essaie de convaincre les riches de changer de vélo qu'ils vont le faire ; quant aux moins riches et aux pauvres, ils sont les plus nombreux et n'ont pas les moyens de suivre la mode.

Ah oui. Avec un bon réflecteur et une bonne régulation de tension, ça crache ! En tout cas les lampes de vélo...

Moi, je ferais facilement l'inverse.

Tu peux expliquer un petit peu ce phénomène ? Parce que je fais partie des gens qui ne prennent pas facilement un kilo mais qui en perdent dès qu'ils ingèrent moins de calories (en cas de maladie, par exemple).

Et même les 10v ! 😂

Difficile de critiquer la tactique gagnante, non ? Elle a fait les efforts nécessaires quand il le fallait, guettée par beaucoup d'autres qui attendaient d'elle qu'elle se fatigue en supportant la plus grosse part du poids de la course. Qu'elle l'emporte dans ces circonstances, faisant honneur à son statut de favorite, est d'autant plus remarquable. Qu'aurait-elle pu faire de plus que gagner ?

Ouïe ouïe ouïe. Voilà qui n'incitera pas les hésitants à se ruer sur le tubeless...

Finale à suspense dans la course des Dames, sur ce difficile circuit urbain. Très belle victoire de Kopecky, que ses adversaires n'ont pas épargnée, et pas de chance pour Van Vleuten avec ses ennuis mécaniques (mais ça prend quand même longtemps pour le dépannage), surtout quand on voit qu'elle recolle deux fois ! Chapeau aussi à Chabbey, seule devant pendant des kilomètres (70?) et qui rentre bredouille...

C'est peut-être la photo (effet dû à la lumière), mais la jante semble bizarre elle aussi.

Ah, les vélos de ville donnés en location, ça se rapproche souvent de l'enclume !

Beau temps ce matin, contrairement à hier, où c'était c*ca jusqu'au milieu de la journée. Je suis allé faire une rando organisée par un club proche de chez moi ; 72 km très agréables sur beaucoup de routes que je connaissais (fatalement, celles qui sont dignes de rouler dessus sont souvent parcourues par les cyclos du coin - beaucoup de balisages divers au sol en témoignent), mais aussi deux ou trois bonnes que j'ajouterai aux itinéraires fréquentables. Très beau temps pour rouler, les derniers kilomètres par vent défavorable, même si relativement plats, m'ont quand même fait mal aux jambes. J'avoue manquer un peu de patate, ayant peu roulé la semaine écoulée (une seule sortie de 43km lundi). En ajoutant la liaison entre chez moi et le point de départ, cela m'a fait 85 bornes. Je devrais dormir correctement (et rêver de la Provence au lieu d'y penser dans mes insomnies).

Et au milieu de tout cela, le pique-nique ! Et chapeau pour la copine au monovitesse. Comme quoi quand on veut, c'est déjà une bonne part de faite. Et même si tu ne nous étonnes plus avec tes distances, c'est toujours aussi respectable.

Kim Clijsters répondait en français, au début de sa carrière internationale, puis elle a cessé parce qu'elle maîtrisait mal son français et ses erreurs et approximations pouvaient être mal interprétées. En outre, si j'ai bonne mémoire, son papa était probablement un peu flamingant.

Le Pino Hase, c'est un tandem un peu spécial... Il existe dans diverses versions, avec ou sans assistance électrique : Je mets ce lien vers leur site...

Hahaha. Non, pas le Valais pour moi. Je suis récemment rentré de Provence et je suis occupé à m'organiser pour y retourner, peut-être pour longtemps à présent que je suis retraité. Sinon, bravo pour tes sorties. Et c'est sympa de pouvoir y associer Madame. Nous le faisons parfois nous aussi, mais ce n'est pas évident. J'ai vu récemment un Pino Haze, qui est un tandem très particulier que j'aimerais bien essayer, à condition que ma femme se prête à l'exercice...

Et dire qu'il y a des Belges qui envisagent sérieusement de s'établir dans le sud... 😄

Je n'ai rien vu du tout. J'avais du taf (ouais, même retraité, ça arrive). Tant mieux pour Remco, il faisait partie des favoris, mais il faut toujours assumer.

À ce que je vois, rouler sur des tubeless ne dispense pas d'emporter de quoi réparer "traditionnellement" (démonte-pneus, chambre, cartouches...).

Des fois, ça vient juste des chaussures...

Une semaine sans vélo, ça peut aussi faire un peu de bien. Par moments, il faut relâcher un peu et se changer les idées.

Et ceux qui ont terminé n'étaient pas des seconds couteaux, si j'en crois le classement.

Merci pour le partage, Fluo ! C'est toujours plaisant de lire tes aventures illustrées par l'image. Et tes commentaires sur le matériel et l'équipement peuvent servir à d'autres !

Une crevaison, ça n'a rien de mathématique. C'est de la malchance, éventuellement de la maladresse. Si, sur une saison, tous les coureurs subissent le même nombre de crevaisons en course, il n'y aura égalité... qu'au nombre de crevaisons ; car, entre deux coureurs subissant une seule crevaison, par exemple, les circonstances créeront des différences importantes. Crever à 10 bornes de l'arrivée de Paris-Roubaix pour l'un et 10 bornes après le départ de Milan-San Remo pour l'autre, c'est différent. Pour l'un, ce sera une course perdue, pour l'autre un incident sans grandes conséquences. Pour mettre fin à la polémique, je voudrais rappeler que, lorsque j'ai soulevé la question du temps perdu lors d'une crevaison, je ne parlais pas d'inégalités de chances entre concurrents, mais je m'interrogeais sur le fait que, désormais, la crevaison semble faire perdre davantage de temps qu'auparavant, quand les attaches étaient rapides et les freins à patins.

Hahaha. J'aime prendre des photos quand c'est joli, mais je n'aime pas m'arrêter dans une côte. C'est l'attrait du paysage qui décide. Et les plus belles vues ne sont pas souvent au sommet. Donc...

Une montée qui ne laisse pas beaucoup de répit. Enfin, si, mais pour cela il faut s'arrêter en chemin ! 🤪