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Votre sortie du jour 2025


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il y a 56 minutes, Alexandre a dit :

J'ai l'exemple de cette sortie à dominante endurance pure sur du plat.

J'ai mis du braquet pour faire de la musculation et j'ai fait en sorte de ne pas faire monter mon cardio. Résultat à 116 pulsations de moyenne et tout en Z1.

Ce qui compte uniquement pour moi sur mes sorties c'est mon cardio, peu importe la moyenne.

 

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Ne fais pas voir tes statistiques à ta femme : elle te demanderait ce que tu as fait pendant ta pause d’une heure !!! 🤣

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il y a 35 minutes, Geoffroy CACHAT a dit :

Séance de seuil ce midi : 4x 6'/4'. 32km, 557m de D+ en 1h20.

Mon fils qui fait de l’Athlétisme m’envoie sur Strava ses sorties et tout comme toi il me parle en séance seuil , etc…..,

je vais t’avouer que je n’y comprends pas grand-chose mais comme il atteint ses objectifs cela doit être efficace

dans le monde d’avant faire des bornes ,les pancartes ainsi que le haut des bosses étaient pour la plupart d’entre nous notre entraînement !

j’oubliais le scooter en file indienne derrière et pour les plus costaud le passer et rester devant un cours instant .

dis nous si tu vois une réelle amélioration au fil des sorties et si les objectifs sue tu t’es fixé sont atteints .

bon courage 👍

 

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il y a 13 minutes, Nicolas JOARY a dit :

Tu crois qu'un tbl aurait quand même pu avoir un problème avec ça ? Pour rappel, le pneu est intact. C'était une pincette.

Chaque crevaison, il y a une part de chance de malchance, c’est donc difficile de faire des prévisions

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il y a 1 minute, Pierre PLANA a dit :

Chaque crevaison, il y a une part de chance de malchance, c’est donc difficile de faire des prévisions

J'avais compris qu'un des atouts du tubeless est que l'absence de chambre rend impossible la crevaison par pincement. Qu'aurait-il pu se produire avec le tubeless dans l'incident que j'ai vécu ? Une fuite (liquide et pression) en bordure de jante, bien que le pneu soit intact ?

Je n'ai pas d'expérience tubeless à vélo, donc j'aime bien comprendre...

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il y a 12 minutes, Jean-Pierre COURQUIN a dit :

Mon fils qui fait de l’Athlétisme m’envoie sur Strava ses sorties et tout comme toi il me parle en séance seuil , etc…..,

je vais t’avouer que je n’y comprends pas grand-chose mais comme il atteint ses objectifs cela doit être efficace

dans le monde d’avant faire des bornes ,les pancartes ainsi que le haut des bosses étaient pour la plupart d’entre nous notre entraînement !

j’oubliais le scooter en file indienne derrière et pour les plus costaud le passer et rester devant un cours instant .

dis nous si tu vois une réelle amélioration au fil des sorties et si les objectifs sue tu t’es fixé sont atteints .

bon courage 👍

 

Dans l'état actuel des connaissances, la majorité des entraîneurs pensent (et affirment) que l'entraînement "polarisé" donne les meilleurs résultats. Très schématiquement, il faut distinguer nettement les sorties foncières et le travail de l'intensité, et éviter de passer trop de temps dans la zone intermédiaire qui fatigue beaucoup mais fait peu progresser. J'ai essayé de m'inspirer de cette théorie lorsque j'ai acheté mon gps garmin et le capteur de puissance et les progrès ont été rapides... d'après les estimations de garmin, mais ça ne s'est pas vraiment concrétisé sur le terrain, ou du moins mes progrès n'ont pas duré. Est-ce que j'ai fait trop d'intensité en suivant le programme garmin et que je me suis un peu cramé ??? 

 

D'après mon expérience, ce sont les sorties avec du dénivelé qui relèvent le mieux mon niveau (pour les cyclosportives et randos), donc à une intensité "intermédiaire" qu'il faudrait soi-disant éviter. Je ne sais donc plus trop que penser et qui croire et ma "recette" ne conviendrait sans doute pas pour des courses avec des départs canons, des relances, des poursuites et des sprints. Avec le recul, je me dis qu'il faut travailler un peu toutes les qualités en début de saison et qu'il faut ensuite s'entraîner plus spécifiquement en fonction de ses objectifs. Un entraînement de pistard ne fera pas un bon grimpeur et un programme de préparation à un CLM ne convient sans doute pas à un sprinteur qui vise les classiques.

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il y a 42 minutes, Jean-Pierre COURQUIN a dit :

Mon fils qui fait de l’Athlétisme m’envoie sur Strava ses sorties et tout comme toi il me parle en séance seuil , etc…..,

je vais t’avouer que je n’y comprends pas grand-chose mais comme il atteint ses objectifs cela doit être efficace

dans le monde d’avant faire des bornes ,les pancartes ainsi que le haut des bosses étaient pour la plupart d’entre nous notre entraînement !

j’oubliais le scooter en file indienne derrière et pour les plus costaud le passer et rester devant un cours instant .

dis nous si tu vois une réelle amélioration au fil des sorties et si les objectifs sue tu t’es fixé sont atteints .

bon courage 👍

 

Oh il y a 30 ans on connaissait déjà l'intérêt du fractionné (le nom à l'époque) en CAP mais aussi à vélo. Quand les courses étaient commencées, c'était beaucoup de fractionné tous les dimanches. Ceux qui voulaient être au top dès le début de saison en faisait quelques semaines avant. Mais comme déjà détaillé avant il ne faut surtout pas oublier de faire des séances de récupération régulièrement

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il y a 4 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Dans l'état actuel des connaissances, la majorité des entraîneurs pensent (et affirment) que l'entraînement "polarisé" donne les meilleurs résultats. Très schématiquement, il faut distinguer nettement les sorties foncières et le travail de l'intensité, et éviter de passer trop de temps dans la zone intermédiaire qui fatigue beaucoup mais fait peu progresser. J'ai essayé de m'inspirer de cette théorie lorsque j'ai acheté mon gps garmin et le capteur de puissance et les progrès ont été rapides... d'après les estimations de garmin, mais ça ne s'est pas vraiment concrétisé sur le terrain, ou du moins mes progrès n'ont pas duré. Est-ce que j'ai fait trop d'intensité en suivant le programme garmin et que je me suis un peu cramé ??? 

 

D'après mon expérience, ce sont les sorties avec du dénivelé qui relèvent le mieux mon niveau (pour les cyclosportives et randos), donc à une intensité "intermédiaire" qu'il faudrait soi-disant éviter. Je ne sais donc plus trop que penser et qui croire et ma "recette" ne conviendrait sans doute pas pour des courses avec des départs canons, des relances, des poursuites et des sprints. Avec le recul, je me dis qu'il faut travailler un peu toutes les qualités en début de saison et qu'il faut ensuite s'entraîner plus spécifiquement en fonction de ses objectifs. Un entraînement de pistard ne fera pas un bon grimpeur et un programme de préparation à un CLM ne convient sans doute pas à un sprinteur qui vise les classiques.

 

Effectivement, c'est la théorie qui a cours dans la majorité des cas.

 

J'ai reconstruit ma condition physique sur cette base depuis le mois de janvier, avec beaucoup de foncier à basse intensité et depuis 4 mois l'introduction de séances variées (PMA, seuil, sprints, force/vélocité etc), aussi ciblées en fonction de mon objectif principal, Milan/San Remo, une cyclo où cela va rouler fort, et relancer souvent, avant de se terminer par des efforts au seuil dans les capi du final.

Ce que je peux vous dire : après deux années très moyenne au niveau de ma structuration d'entrainement et une prise de poids que je n'ai pas maîtrisé (quelques kilos mais quand on est proche du quintal), je remonte aussi vite les pentes en vitesse de croisière que dans mes années où j'étais plus léger (800m/h), et ce à rythme cardiaque très maîtrisé (ce qui était moins le cas avant). J'ai retrouvé mon "punch" sur des efforts courts.

 

Les deux bémols me concernant : j'ai perdu un peu en puissance max, et je n'ai pas ma capacité à aller au delà des 900m/h sur des efforts longs en grands cols, chose que j'arrivais à faire lors de ma meilleure année (avec 8kgs de moins). Pour ce dernier bémol donc, je le mets davantage sur le compte de la différence de poids que sur l'entrainement, même si je n'ai pas travaillé spécifiquement les longues montées jusqu'à maintenant (il faudrait faire davantage de seuil justement).

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il y a 30 minutes, Nicolas JOARY a dit :

J'avais compris qu'un des atouts du tubeless est que l'absence de chambre rend impossible la crevaison par pincement. Qu'aurait-il pu se produire avec le tubeless dans l'incident que j'ai vécu ? Une fuite (liquide et pression) en bordure de jante, bien que le pneu soit intact ?

Je n'ai pas d'expérience tubeless à vélo, donc j'aime bien comprendre...

A priori oui tu as raison. J’ai fait Paris Roubaix en faisant sonner la jante plusieurs fois dans la tranchée d’Arenberg. Mais si tu prends un gros trou, tu ne sais jamais comment va finir ton pneu pour peu le bord du trou te déchire le flanc, ça se joue à quelques centimètres.

  • Merci 1
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il y a 20 minutes, Marquez a dit :

Oh il y a 30 ans on connaissait déjà l'intérêt du fractionné (le nom à l'époque) en CAP mais aussi à vélo. Quand les courses étaient commencées, c'était beaucoup de fractionné tous les dimanches. Ceux qui voulaient être au top dès le début de saison en faisait quelques semaines avant. Mais comme déjà détaillé avant il ne faut surtout pas oublier de faire des séances de récupération régulièrement

J’ai pris ma première licence en 1966 à 18 ans après l’l’Athlétisme  !

j’arrête ça vieux c**

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il y a 11 minutes, Geoffroy CACHAT a dit :

 

Effectivement, c'est la théorie qui a cours dans la majorité des cas.

 

J'ai reconstruit ma condition physique sur cette base depuis le mois de janvier, avec beaucoup de foncier à basse intensité et depuis 4 mois l'introduction de séances variées (PMA, seuil, sprints, force/vélocité etc), aussi ciblées en fonction de mon objectif principal, Milan/San Remo, une cyclo où cela va rouler fort, et relancer souvent, avant de se terminer par des efforts au seuil dans les capi du final.

Ce que je peux vous dire : après deux années très moyenne au niveau de ma structuration d'entrainement et une prise de poids que je n'ai pas maîtrisé (quelques kilos mais quand on est proche du quintal), je remonte aussi vite les pentes en vitesse de croisière que dans mes années où j'étais plus léger (800m/h), et ce à rythme cardiaque très maîtrisé (ce qui était moins le cas avant). J'ai retrouvé mon "punch" sur des efforts courts.

 

Les deux bémols me concernant : j'ai perdu un peu en puissance max, et je n'ai pas ma capacité à aller au delà des 900m/h sur des efforts longs en grands cols, chose que j'arrivais à faire lors de ma meilleure année (avec 8kgs de moins). Pour ce dernier bémol donc, je le mets davantage sur le compte de la différence de poids que sur l'entrainement, même si je n'ai pas travaillé spécifiquement les longues montées jusqu'à maintenant (il faudrait faire davantage de seuil justement).

Au-delà des théories, il faut garder du bon sens et se demander quelle intensité on peut maintenir sur une durée donnée. Sur une cyclo montagnarde de 6 ou 7 heures, par exemple, il est illusoire de rouler tout le temps à son allure ftp, on est plutôt dans le haut de la zone 2/ début zone 3 (en moyenne). C'est donc plutôt le premier seuil ventilatoire qu'il faut relever en priorité dans ce cas précis. C'est plus compliqué pour ton Milan-San Remo parce que le rythme est changeant et il faudra supporter les moments plus intenses.

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il y a 19 minutes, Geoffroy CACHAT a dit :

 

Effectivement, c'est la théorie qui a cours dans la majorité des cas.

 

J'ai reconstruit ma condition physique sur cette base depuis le mois de janvier, avec beaucoup de foncier à basse intensité et depuis 4 mois l'introduction de séances variées (PMA, seuil, sprints, force/vélocité etc), aussi ciblées en fonction de mon objectif principal, Milan/San Remo, une cyclo où cela va rouler fort, et relancer souvent, avant de se terminer par des efforts au seuil dans les capi du final.

Ce que je peux vous dire : après deux années très moyenne au niveau de ma structuration d'entrainement et une prise de poids que je n'ai pas maîtrisé (quelques kilos mais quand on est proche du quintal), je remonte aussi vite les pentes en vitesse de croisière que dans mes années où j'étais plus léger (800m/h), et ce à rythme cardiaque très maîtrisé (ce qui était moins le cas avant). J'ai retrouvé mon "punch" sur des efforts courts.

 

Les deux bémols me concernant : j'ai perdu un peu en puissance max, et je n'ai pas ma capacité à aller au delà des 900m/h sur des efforts longs en grands cols, chose que j'arrivais à faire lors de ma meilleure année (avec 8kgs de moins). Pour ce dernier bémol donc, je le mets davantage sur le compte de la différence de poids que sur l'entrainement, même si je n'ai pas travaillé spécifiquement les longues montées jusqu'à maintenant (il faudrait faire davantage de seuil justement).

Donc avant tu roulais mieux , tu montais mieux  et tu avais + de puissance 😁

Pour moi le meilleur entraînement c'est rouler en club , savoir se faire mal la gueule et surtout pouvoir récupérer....

Varier les intensités c'est la base on a rien inventé maintenant....

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il y a 7 minutes, Sylvain KARLE a dit :

Donc avant tu roulais mieux , tu montais mieux  et tu avais + de puissance 😁

Pour moi le meilleur entraînement c'est rouler en club , savoir se faire mal la gueule et surtout pouvoir récupérer....

Varier les intensités c'est la base on a rien inventé maintenant....

Avant, c'était quand il était plus jeune 😇

 

Je roulais en club il y a 25-30 ans, mais ce n'était pas le meilleur entraînement pour les cyclosportives ardennaises avec beaucoup de dénivelé. J'ai fait mes meilleurs temps après des vacances montagneuses (pas de haute altitude mais des ascensions plus longues que les mini bosses de chez moi).

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il y a 24 minutes, Sylvain KARLE a dit :

Donc avant tu roulais mieux , tu montais mieux  et tu avais + de puissance 😁

Pour moi le meilleur entraînement c'est rouler en club , savoir se faire mal la gueule et surtout pouvoir récupérer....

Varier les intensités c'est la base on a rien inventé maintenant....

Non Sylvain, tu as mal lu. Avant, j'arrivais à mieux monter seulement, avec 8kg de moins. Pour le reste, je suis plus facile maintenant, en ayant toutefois moins de puissance pure (sur un sprint à PMax).

Et à côté de mon entrainement, je roule en club ou en groupe. Je viens de terminer un stage où nous roulions tous les jours ensemble 😆 et nous avons terminé exactement comme tu le disais, en se faisant mal à la gueule en mode chacun pour soi mais le plus vite possible sur un segment de 21 bornes avec 460m de D+. Vu ce que j'ai sorti lors d'un dernier jour après les efforts consentis les jours qui ont précédé, je peux vraiment te dire que ma prépa fonctionne.

Modifié par Geoffroy CACHAT
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il y a 13 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Avant, c'était quand il était plus jeune 😇

 

Je roulais en club il y a 25-30 ans, mais ce n'était pas le meilleur entraînement pour les cyclosportives ardennaises avec beaucoup de dénivelé. J'ai fait mes meilleurs temps après des vacances montagneuses (pas de haute altitude mais des ascensions plus longues que les mini bosses de chez moi).

Oui le grand dénivelé et les grands cols, il n'y a vraiment rien de tel pour sécher et être en forme. Mais avant de vraiment pouvoir les grimper sans que ce ne soit un calvaire, mieux vaut déjà se préparer un peu (surtout pour un gabarit comme moi 😆)

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il y a 4 minutes, Marquez a dit :

Oui bon ce soir en guise d'interval training, j'en suis à 66 cl de picon bière avec les potes, on verra demain su la sortie club si c'est efficace, mais d'habitude ça l'est assez.

 

Tu as déjà testé différents dosages pour déterminer celui qui donne les meilleurs résultats ?

  • Haha 1
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il y a 49 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Tu as déjà testé différents dosages pour déterminer celui qui donne les meilleurs résultats ?

Ah dans ces moments là, ce n'est pas trop les performances du lendemain qui comptent si vous voyez ce que je veux dire. Mais j'en ai l'expérience et aucun souci la forme est bien là, en tout cas suffisamment pour emmener le 53 (sans trop de trous à l'AR s'entend) suer plus de 100 bornes , le privilège de l'âge???? 

Pour le Picon bière attention de ne pas trop charger en Picon (2/3 cl max), sinon c'est moins agréable à boire.

Modifié par Marquez
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