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Bernard MOREAU

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Tout ce qui a été posté par Bernard MOREAU

  1. Sitôt qu'il a décidé de consacrer sa vie au cyclisme, sa famille a fait bloc derrière lui. Au point que son frère est devenu pharmacien 🤐 Là je sens que je vais me faire tabasser 😢😕😆
  2. On peut ici voir le profil : http://www.tourdesuisse.ch/fileadmin/user_upload/user_upload/9._Etappe_Marschtabelle.pdf Bien que cela se passe à BERNE, le profil ne semble pas avoir été choisi pour favoriser Cancellara, Pinot devrait pouvoir tirer son épingle du jeu si bien sûr il n'est pas ds un mauvais jour.
  3. .pas fan de vélo les Autrichiens.. Crois-tu que ce soit différent quand le Giro vient grimper l'Izoard? D'accord avec toi pour les images. Cela donne envie d'aller faire cette grimpette, sans poursuivre pour autant jusqu'à 2829 m et au-delà de l'arrivée de ce jour à 2660m, surtout s'il y a un long tunnel et qu'il faut s'équiper de lumières.
  4. En surestimant bcp, ce n'est quand même pas compliqué de connaître la pression atm. et la température pour obtenir la "densité" de l'air à 1 ou 2% près! De sorte que l'incertitude correspondante en ascension devient totalement négligeable.
  5. on peut avoir 10% d'erreur sur la masse volumique 😲😲😲 Faut vraiment vouloir se tromper !!!
  6. Tu as fait fort sur le Granfondo Ventoux😲 BRAVO!
  7. Je n'y peux rien si Grappe ne sait pas compter, vois avec lui.
  8. Drôle de raisonnement qui revient à dire que l'erreur tend vers zéro avec le nombre d'ascensions. Il en est pourtant ainsi lorsque les incertitudes sont de nature statistique et non pas systématique 😉
  9. Je ne vais pas te faire une réponse complète, seulement donner qq éléments : - le vent annoncé par la météo est mesuré 10 m au-dessus du sol. Au niveau du cycliste, 1m du sol, sa vitesse est divisée par 2. Evidemment la présence de bâtiments, d'une ville, réduit encore cette vitesse (sauf effet Venturi). - pour des circuits, dans le cas de vents modérés, les effets favorables et défavorables tendent à s'annuler (pour un A/R la moyenne des vitesses = la vitesse sans vent //je ne parle pas de la vitesse moyenne) - en montagne, j'en ai des exemples près d'ici, une forêt peut annuler complètement le vent. Par contre, il peut arriver que tu aies un courant descendant ou ascendant dû à des effets thermiques au lever du soleil ou dans l'après-midi. - dans une vallée large, sans lacets, de plus orientée est-ouest, comme au Lautaret, tu dois avoir du mal à trouver un jour propice à des calculs. - tu auras sûrement constaté que la présence d'une brume tenace en montagne est synonyme le plus souvent d'une absence de vent. Quand elle existe en présence de vent tu la vois se déplacer. Sur le site cyclingnews.com, et pour le circuit olympique de Sydney, Tom Compton donne un exemple avec tous les éléments pour calculer le temps en fonction de la puissance et du vent. Comme quoi, MÊME SUR LE PLAT, EN PLAINE, MAIS EN SE DONNANT BCP DE MAL, ON ARRIVE à OBTENIR DES RéSULTATS VALABLES (le problème posé était celui du choix des roues). Cela étant dit, dans une région comme la Beauce les calculs se compliquent sérieusement. POUR VOIR CE QU'ON PEUT FAIRE avec un wattmètre malgré le vent, cet article de Robert Chung, en anglais où il montre qu'on peut déterminer le SCx et le Crr!!! http://anonymous.coward.free.fr/wattage/cda/indirect-cda.pdf
  10. Une incertitude sur rho*Cx*S de plus de 10 % n'est pas irréaliste Ce qui donne env. 1% sur une ascension à 8-10% 😃 8 W sur 400 W et peut placer le coureur flashé dans une zone "grise" Sur une seule ascension, soit 4W s'il s'agit de la moyenne de 4 ascensions et moins de 4 W s'il y a davantage d'ascensions. T'as pas l'air bien réveillé 😃
  11. En 2013 j'avais pris soin de vérifier l'année de naissance de Garin.
  12. Emile, puisqu'on parle de maurice Garin, pourrais-tu confirmer qu'il a traversé les USA à vélo sur 5000 km l'année de ses 80 ans? J'avais lu un article à ce sujet à l'époque dans le Télégramme. Je crois que ce journal est aujourd'hui complètement numérisé mais je n'ai pas le temps actuellement de me lancer ds une recherche.
  13. Ce qui était reproché à Vayer dans le précédent fil, c'était d'une part de se justifier en "vendant" Portoleau comme ingénieur, alors que Portoleau n'a pas le diplôme, et d'autre part de faire une interprétation trop rigide des calculs, sans prendre en compte les incertitudes, ce qui faussait les conclusions. Portoleau est bien ingénieur. Par ailleurs il est inutile d'avoir un quelconque diplôme, il suffit de connaître le sujet et de savoir calculer. La seule incertitude réelle concerne le vent ressenti, les autres incertitudes sont négligeables quand il ne s'agit que d'une précision comparable à celle des wattmètres, soit 1 à 2% dans le meilleur des cas. Plus la pente est forte et moindre est l'incertitude dans les calculs. Pour ma part, ds mon cas personnel j'ai confiance ds mes calculs à partir de 6% de pente. Pour les pros à partir de 7-8% de pente. Càd que je pense, dans les cas favorables, arriver à une précision d'environ 2%.
  14. mais cela est un problème personnel Je ne voudrais surtout pas m'ingérer ds ta vie personnelle 😆 Ben oui, encore du Vayer. Portoleau fait les calculs, Vayer les interprète. Le problème de fred Grappe c'est qu'il n'a personne pour lui faire ses calculs et que lui-même ne sait pas 🙁
  15. Je ne répondrai pas à Michel Roth car j'ai déjà dit tout ce que j'ai à dire sur le sujet. Je choisis donc de te répondre à toi qui pense que Portoleau se fait démonter dans le fil que tu cites et je me contente de citer ma 1ère contribution à ce fil que j'avais ouvert : Tous ceux qui comme moi regrettent la disparition en mode actif du site cyclismag peuvent à l'occasion retrouver Frédéric Portoleau et ses calculs de puissance sur Rue89 ou sur la flammerouge. C'est ainsi que je viens de trouver ce matin: http://www.rue89.com/rue89-sport/2012/07/17/puissances-sur-le-tour-froome-meilleur-grimpeur-pinot-super-regulier-233861 Ce n'est qu'un rapport intermédiaire concernant le tour 2012, puisque daté du 17 juillet. Donc Frédéric, sache que nous(?) - en tout cas moi - continuons à suivre tes calculs. J'en fais aussi à l'occasion, mais cette année les circonstances m'en ont empêché. Pour moi ces calculs apportent avant tout un indice de crédibilité (ou non) de l'épreuve. PS : Giro 2012 http://laflammerouge.com/les-chiffres-du-giro-avec-frederic-portoleau/ PS" , plateau ovoïde http://www.lemonde.fr/sport/article/2012/07/11/le-plateau-ovoide-botte-secrete-de-bradley-wiggins_1731653_3242.html
  16. Plutôt que de te répondre moi-même, je laisse la parole à volodalen.com L'entraînement en altitude permet-il d'améliorer les performances au niveau de la mer ? Non En 1975, Adams et coll ont formé deux groupes de six coureurs de demi-fond bien entraînés. Le groupe A s'entraîna 3 semaines au niveau de la mer puis 3 semaines en haute altitude (2300m). Le groupe B fit l'inverse. La performance à un test de 3,2 kilomètres et la VO2max des sujets furent évaluées régulièrement pendant les deux phases d'entraînement. Au cours du séjour en altitude, la VO2max des athlètes baissa de plus de 17% et la performance de plus de 7%. Ces résultats s'expliquent logiquement par la rareté de l'oxygène. En revanche, ce qui était moins attendu c'est l'absence d'amélioration des performances après le retour en plaine. Loin d'avoir des effets bénéfiques sur l'aptitude aérobie, le séjour en altitude avait même engendré une légère baisse (près de 3%) de la VO2max des athlètes. Depuis 1975, de nombreuses études ont confirmé l'absence d'effets bénéfiques sur la performance en plaine de séjours effectués en altitude. D'autres recherches ont établi le contraire… Oui En 1996, une équipe de chercheurs autrichiens a comparé les résultats obtenus par deux groupes de coureurs amateurs. Un groupe vivait et s'entraînait au niveau de la mer (187m) l'autre groupe vivait et s'entraînait en altitude (2315m). Les deux groupes ont réalisé un programme d'entraînement identique s'étalant sur 12 jours et comprenant de l'interval training et des courses à allure régulière. Pour les 2 groupes, la performance était mesurée au niveau de la mer à trois reprises : 1 semaine avant, 3 jours et 2 semaines après la période d'entraînement. Après entraînement, le groupe "altitude" a montré une augmentation de VO2max et de performance bien supérieure à celle du groupe "mer". Pour les chercheurs, l'entraînement en altitude est un moyen très intéressant pour élever le potentiel aérobie des coureurs amateurs. La méthode préconisée consiste à combiner les courses par intervalles et les courses continues en régulant l'intensité de l'effort par des niveaux cardiaques maintenus constants. Les nombreuses différences de protocole permettent de comprendre une partie des différences observées. Parmi celles-ci, le moment de l'évaluation a son importance. Parfois oui, parfois non Lors du retour en plaine, suite à un entraînement en altitude, l'organisme passerait par trois phases successives : Dans un premier temps (0 à 5 jours), l'organisme serait en mesure de réaliser de très bonnes performances Dans un deuxième temps (6 à 12 jours) sa capacité de performance est amoindrie. Cette phase dépressive correspondrait au temps nécessaire pour assimiler les stress provenant de la montée en altitude, de l'entraînement en condition hypoxique (faible quantité d'oxygène) et du retour en plaine. A partir du 12ème jour et jusqu'à 30-50 jours, une phase de surcompensation serait propice à la réalisation de performances aérobies. Ces trois phases seraient corrélées aux modifications biologiques (taux de 2,3 DPG, activité enzymatique…) mesurées au niveau de l'organisme du sportif. Elles permettraient d'expliquer les différences de performances obtenues par les sportifs à leur retour en plaine.
  17. Malheureusement, si je m'en réfère à meteox.com, nous n'aurons pas de belles images des montagnes autrichiennes 🙁
  18. drôle de ligne d'arrivée , très sinueuse et paraissant en légère descente , heureusement que c'était sec !!! C'est pratiquement une habitude au Tour de Suisse
  19. Merci d'être intervenu. Pour ma part j'en ai marre d'essayer d'expliquer. Je trouve profondément désespérant de voir qu'après des années d'explications répétées en tous lieux tant de forumeurs ne comprennent toujours pas le concept de cycliste-étalon, ou encore le fait que la puissance moyenne ne soit pas la même sur un effort de 20 mn (Verbier) ou sur le Ventoux (1 h), etc. Bon courage.
  20. Tu as absolument raison pour les 2 t. J'étais trop pressé ce matin pour prendre le temps de vérifier. Pire : ma carte Michelin No 217 n'indique que Pso del S. Gottardo et St Gotthardpass. Toutefois ma carte officielle de l'Automobile Club Suisse indique Pso del S. Gottardo et St. Gotthard. Elle doit dater d'avant 1980, mais j'y ai noté au crayon mes temps de passage à Gletsch, Furka, Hospental, Gotthard, Airolo, Nufenen, Airolo + Dép et Arrivée à Naters à l'époque cette trilogie était facile à faire. Je la garde donc comme une relique 😃
  21. En fait je dis le Gothard et le Pordoï. Et, peu cohérent, le Monte Bondone, etc. Comme j'adore l'espagnol, forcément c'est Puerto de Nevacerrada 😉 Par ailleurs je dis aussi Londres, Coni (pas Cuneo), Coire (pas Chur) et jamais, ô grand jamais Beijing mais Pékin. Pour Mumbaï/Bombay, j'arrive pas à me décider, j'oscille. Et puis horreur, je dis Le col du Roc Trévézel et ne sais même pas le dire en breton 😳 (A ma décharge, on ne l'appelait pas "col" quand dans ma jeunesse je le passais régulièrement)
  22. Je remarque que velo101 se met au suisse alémanique puisque ce col y est renommé Gothardpass. En anglais ce serait Gothard pass.
  23. Oui, mais tu ne considères pas le pb que soulève Cédric. Cédric a bien sûr raison. Quand tu moulines tu fais faire à tes cuisses davantage d'allers-retours par minute. Donc tu accélères la masse de tes jambes plus fréquemment vers le haut puis vers le bas pour au final une puissance nulle transmise à la roue arrière. (Il suffit de se mettre sur un vélo d'apt avec une charge nulle et de lire la fréquence cardiaque en fonction du nb de tours/mn pour voir qu'il ne s'agit pas d'une quantité négligeable) Les études en labo sont extrêmement difficiles si je considère le fait qu'il y a tellement de résultats contradictoires sur le rendement mécanique du cycliste en fonction de divers paramètres. En conditions réelles, quand on réduit trop la vitesse de jambe on doit pour une certaine puissance appliquer une force trop importante qui devient difficile à supporter en particulier pour l'articulation du genou et les muscles qui travaillent. Au final il semble que le rendement mécanique varie très très peu sur une assez grande plage de tours/mn. On n'aura jamais sur un vélo un aussi bon rendement mécanique que dans une course pédestre en escalier, où le rendement peut monter jusqu'à 27% pour un escalier en ligne droite. PS : pour une fréquence élevée, les aspects NEUROmusculaires deviennent très importants.
  24. A la même époque se disputait le championnat de France de course à pied sur 24h à Albi. Les concurrents y ont bcp souffert de la température caniculaire et au moins autant de l'humidité. On peut consulter les classement ici pour les diverses catégories, dont la V3 de Louis. http://www.albi24h.fr/wp-content/uploads/2015/06/Albi-24H-Classement-Final-FRANCE-Categorie.pdf On voit que ses 216 km en 28 h (soit 185 km par 24 h) à Roubaix l'auraient bien situé dans cette catégorie ou au scratch.
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