Finalement un Giro peu emballant. D'abord une première partie soporifique. On pensait que la montagne allait donner une course palpitante, mais la plupart des arrivées ont accouché d'une souris. Au final, un outsider vainqueur et des favoris qui se regardent et n’attaquent pas. Pas de grandes envolées à la Froome 2018. Seule consolation : une bagarre pour les places d’honneur, le Giro étant joué depuis Courmayeur. Ce Giro 2019 me fait penser à la fade édition 2012 remportée par Hesjedal. Vivement le Tour de France !