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Jérémie LAPLAC

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Tout ce qui a été posté par Jérémie LAPLAC

  1. la ultegra 11v s adapte sur corps 10v? Oui, Ultegra 8000
  2. Prends une nouvelle Ultegra, c'est bien moins cher que l'Edco, simple à trouver, plus solide....
  3. élargir le corps de roue entre 2 et 3 mm pour y intégrer le 11 vitesses Pas avec une disqueuse, mais avec un tour pour conserver la surface d'appui dans le plan. Tu reprends en fait 1,85mm, qui est le delta d'épaisseur entre une K7 10 et une 11 vitesses. Attention cependant : les nouvelles K7 Shimano Ultegra 11 vitesses sont à nouveau compatible avec les CRL 10 vitesses. Tu as bien lu, je suis tout à fait sérieux 😇. La raison officielle est que ce retour à l'ancien standard (qui est resté celui du VTT jusqu'en 11 vitesses) se justifie par une meilleure géométrie des moyeux, ceux-ci étant plus large.
  4. Ces Salsa me font de l'oeil : https://www.bike-components.de/de/Salsa/Fargo-27-5-29-Titan-Rahmenkit-p57941/ Je l'accorde, c'est beaucoup d'argent mais j'en parlais à un ami qui traine souvent ici sur le forum, c'est un vélo qui me permettrait de faire du vélo (encore) plus engagé, sans devoir tracter un VTT
  5. le 'gravel petites-routes' n'existe que chez ceux qui ont oublié ce qu'était une randonneuse. Pas tout à fait 😉 J'ai utilisé une randonneuse Cannondale pendant dix ans, elle ne m'a jamais donné la sensation de maniabilité, de légèreté et de polyvalence de mes vélos Gravel actuel. Certes, les temps ont changé, mais il m'était impensable de faire une sortie sportive et rapide avec la randonneuse. Le Gravel permet justement - à moi, en tout cas - de faire n'importe quelle sortie en évitant tous les grands axes. Quant aux 1800€, on s'est mal compris, je trouve au contraire que si la somme paraît élevée, elle reste raisonnable par rapport à la qualité du montage et au prix demandé par la concurrence. Enfin, Gravel Monstercross n'existe pas, mais je ne sais comment nommer un vélo qui a une géométrie pensée pour un cintre route et des roues de 29 avec des pneus VTT 🙄
  6. Koga est une marque à la réputation solide dès qu'il s'agit de faire des vélos taillés pour l'aventure. Le prix peut sembler élevé mais est largement justifié au regard de l'équipement. J'avais vu leur cintre très évasé - un peu trop à mon gout, mais ça semble se justifier sur un "monster gravel" comme leur Beachracer, un Moots Baxter ou un Salsa Cutthroat. Ceci dit, ces monster gravel me semblent mieux adaptés à un usage 100% terre, bien plus engagé que du gravel petites routes, routes non asphaltées et chemins de randonnée.
  7. C'est bien, Franck. Mes sorties actuelles se limitent au vélotaf. Le reste du temps, y compris le WE, c'est travail travail .....
  8. C'est bien, ça ! J'aurais voulu être là, d'autant plus que la météo était pour le moins surprenante pour un 30 septembre.Quant à la Steilstrecke, je vois très bien de qui tu parles. Ce type raconte parfois des plaisanteries sur un ton on ne plus sérieux 🤐
  9. les pros dimanche auront à se frotter à un fameux raidar avec un passage à... 25% après 240 km! L'Autriche possède les plus grosses saloperies que j'ai eu le plaisir de grimper, les concepteurs de route ne connaissant guère la forme géométrique de l'épingle à cheveux. @ Franck : rien de décidé pour demain. Par contre, je me demande toujours quelle mouche t'a piqué le jour où tu as décidé de te lancer dans la Steilstrecke 😃
  10. Possible que je sois là, Franck, mais j'ai beaucoup de travail en ce moment.
  11. Jo, je viens de regarder ton strava. Si tu ne veux plus être à l'arrêt dans les virages gravel, essaye des pneus plus larges comme par exemple les Maxxis Rambler en 40(38 effectif). Tu ne perds pas énormément sur l'asphalte, mais ces pneus conçus pour le Gravel te procurent un grip énorme dans les sentiers comme tu en rencontres.
  12. ça tourne trop au monologue pour moi . Je te comprends ....
  13. Pour le titane, Du papier à poncer en 60 pour enlever le gros de la peinture, ensuite du scotch brite que tu humidifies à l'eau et de l'huile de bras. Une troisième passe au papier à poncer assez fin, du 200 fera l'affaire. Deux heures de travail et tu récupères l'aspect brut du titane. Les wishbone carbone, uniquement un petit coup de papier à poncer puis tu appliques un vernis en bombe que tu trouves chez n'importe quel marchand de pièces pour voiture, en prenant soin de masquer les jonctions. Il te reste à apposer de jolis stickers Colnago et voilà. C'est ainsi que je procède, ça marche à tous les coups.
  14. LBL et le Tour des Flandres sont deux épreuves diamétralement opposées. En Flandre, entre les bosses, c'est plat et venteux. LBL, entre les bosses, ce sont des bosses non-répertoriées, et c'est également venteux.
  15. Si j'ai bien compris, c'était un Dirty Boar très propre cette année Oui Franck, à part les cinq derniers kilomètres, il n'y avait guère de boue ou d'eau sur les pistes. Car nous pouvons parler de pistes dans la mesure où 95% du parcours est constitué de route non asphaltées, à l'instar de ce qui se fait dans les pays nordiques. 4% d'apshalte et 1% de chemins, on ne doit pas être loin de la réalité. C'était ton vélo orange que tu avais aujourd'hui, je suppose ? Ouaips, avec les pneus crantés de 40mm en tubeless. 11/32 derrière, 48/32 devant. L'avenir du vélo de route belge serait-il donc le gravel ? Retour aux sources. Avant, seules les grands axes étaient asphaltés, le cyclisme était obligatoirement du Gravel.
  16. Je m'étais donc promis de refaire cette Dirty Boar si la météo était au grand beau. Et je n'ai pas été déçu, ni par le soleil, ni par les paysages et encore moins par le parcours et l'organisation. Hier matin à 7 heures à Ovifat, signal de départ, c'est parti au milieu des 500 autres cyclistes. Je sais que la journée va être compliquée : pas beaucoup de vélo en août la faute au travail, les dernières semaines ont été chargées et j'ai accumulé un peu de fatigue. Ce sera sans doute en mode survie. La première portion un peu cassante et abordée très calmement. Arrivé au Signal de Botrange après une dizaine de kilomètres, nous voilà partis sur les pistes roulantes des Hautes Fagnes. Il fait froid, la lumière est magnifique et je me contente de me laisser rouler en profitant du paysage. KM 50, premier ravitaillement. A ce stade, je n'ai pas fait d'effort violent et les sensations sont bonnes. Une banane, de l'eau dans les bidons et c'est reparti en direction d'Eupen. Le terrain est incroyablement sec alors qu'il a plus la semaine ; je ne vais pas me plaindre. KM 70 : un petit raidar. J'essaie de passer en force mais il faut se rendre à l'évidence : ce sera sur le 32/32. A partir de ce moment, les choses sont claires ; si je veux rejoindre l'arrivée, ce sera au moral. Je laisse filer la bande, m'arrête longuement pour me refaire la cerise et évaluer éventuelles les options de replis. Je remonte sur le vélo et décide de rejoindre le deuxième ravitaillement au KM 110. J'y fait une longue pause, m'alimente bien et décide de repartir gentiment pour attaquer le morceau le plus dur de la journée : du barrage d'Eupen au plateau des hautes Fagnes, ce ne sont que 300 mètres de D+, mais ça monte et ça descend sans arrêt avec un vent dans la figure qui m'empêche de me relâcher dans les descentes. 35 kilomètres en prise, sur des pistes sèches, certes, mais exposées, des faux plats interminables. Je ne prends guère de plaisirs et mon humeur ne s'améliore pas quand une dizaine de cyclos que je dépasse sautent dans ma roue avant de refuser de prendre le moindre relais, sans aucune gêne. KM 133 : ravitaillement trois. Des pâtes, des fruits, du sucré, du salé, du café pour ceux qui veulent.... Il reste 35 bornes en suivant la trace, ou 6 en rentrant en direct. J'opte pour la première solution en sachant qu'il y a, dans ces 35 bornes, un tronçon qui risque d'être épouvantable, où l'année passée, nous avions galéré dans des sentiers défoncés et gorgés d'eau. Bonne nouvelle de la journée : les Eaux et Forêts ont gravillonné ces pistes, ce qui me fait penser qu'en Belgique, on entretient mieux les sentiers forestiers que les routes 😃 Curieusement, les jambes reviennent et les kilomètres défilent assez vites ; je mets une heure tout pile pour avaler 25 kilomètres. KM 160, une vallée encaissée splendide où, l'année dernière, les eaux étaient tellement hautes qu'il était impossible de passer les gués. Cette année, il n'y a guère plus de quelques centimètres dans les cours d'eau, ça roule assez vite et la dernière difficulté est avalée gentiment. Je passe la ligne à 16h30, fatigué mais satisfait de l'avoir fait. 8h05 de roulage effectif, c'est certes moins bon que la première édition mais avec les jambes que j'avais, c'est déjà miraculeux. Comme l'an passé, organisation au top ! Des ravitaillements parfaits, un fléchage irréprochable (pas évidents sur un tel parcours) qui rendait la navigation par GPS superflue, une très bonne ambiance au départ et à l'arrivée. A refaire ..... et surtout, j'espère que ce type d manifestation va se développer.
  17. et je viens de monter les plateaux absolute black oval en 46-30 Comment est le shifting ?
  18. Je ne connaissais pas le Macho King ; belle pièce ! Quelle montage ?
  19. L'essentiel, Franck, est le plaisir que tu as sur ton vélo. Le reste, on s'en fiche un peu. Personnellement, j'ai passé l'âge de vouloir faire des moyennes et il n'est pas question de faire des sorties avec un cardio pour aller me mettre dans une zone ou dans une autre. Je monte sur le vélo pour aller travailler ou pour me faire plaisir.
  20. S'il y a un point sur lequel Jo Garo a raison, c'est que pour progresser, il faut rouler à l'envers par rapport à la façon à laquelle on est habitué. Pas simple dans la réalité. Que veux-tu dire précisément par "progresser" ? Augmenter son niveau ou améliorer ses moyennes sur parcours vallonnés ? J'entends par là rouler plus vite avec la même dépense énergétique. Dans le cas de Franck par exemple, c'est se forcer à moins tourner les jambes et à rouler plus vite sur le plat, se forcer à rester dans les roues sans se mettre dans le rouge tout en continuant à grimper aussi vite qu'il le fait. Les moyennes qu'il nous annonce ne reflètent pas du tout ses capacités intrinsèques dans la mesure où Franck s'arrête au sens propre du terme dès que la route devient plate, alors que dans les côtes, il roule bien plus vite que la majorité des cyclistes. On a l'impression que ça l'ennuie de ne pas grimper ou descendre 😆
  21. Et ensuite, sûrement acquérir plus de puissance, c'est une évidence. Tu l'as. La puissance (en watt), c'est le couple de force que multiplie la vitesse de rotation. Tu mets certes un peu moins de force en côte, mais tu compenses largement par une cadence très rapide. Et la force, ça se travaille très facilement, même hors du vélo - surtout hors du vélo devrais-je dire. en dehors des montées longues ou raides, j'ai une tendance très marquée à lever le pied C'est en effet une constante. Dans la vallée de l'Amblève au Géant des Ardennes par exemple, on s'est fait systématiquement déposer par des types bien moins rapides en côte. S'il y a un point sur lequel Jo Garo a raison, c'est que pour progresser, il faut rouler à l'envers par rapport à la façon à laquelle on est habitué. Pas simple dans la réalité.
  22. La Redoute, c'était une bonne blague de Jérémie, que je n'avais pas du tout prévu. Merci Jérémie :-) Tout le plaisir est pour moi. Des bonne blagues ainsi, j'en ai plein la besace
  23. Belle aventure, beau CR, Franck. Faudrait que je la fasse un jour, mais ça tombe pendant un WE traditionnellement consacré à la famille et où, en plus, les contraintes professionnelles viennent s'ajouter....
  24. je me retrouve à marcher sur cinq kilomètres sur les hauteurs dans 5 cm d'une neige non annoncée Mais ce que je voulais dire, c'est que ça ne dure jamais bine longtemps. Quatre heures plus tard, c'est soit fondu, soit déneigé et nous voilà repartis de plus belle.
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