Aller au contenu

Fluoflashfun33

Membre
  • Compteur de contenus

    1 083
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    29

Tout ce qui a été posté par Fluoflashfun33

  1. Ok, ce qui explique alors les passages à vide après 200Km. La prochaine fois je mangerais et je boirais plus régulièrement, et surtout dès le début. Merci pour les conseils 😉
  2. Il n'y aurait pas un problème ? Le message est vide sur les trois quarts 😕 Sinon les paysages sont comment de ton côté ?
  3. WOW, 100.000 Km, impressionnant !
  4. haha non pas du tout, je pesais 90Kg 😉
  5. C'est une bonne question. Pourtant j'ai l'impression d'avoir bu et mangé correctement. C'est vrai que sur le début, en pleine nuit, je n'ai pas assez bu car sur 100Km je n'ai bu que quelques gorgées (et encore, parce que je me suis forcé). Par contre je n'ai pas transpiré et j'avais un peu froid. Après, quand il a commencé à faire chaud, j'ai souvent rempli mes gourdes. Elles sont isothermes donc l'eau restait à peu près fraîche. J'avais mes deux sandwichs et mes deux bananes que j'ai mangé vers 11h30. J'ai mangé une dizaine de barres de céréales et les trois tubes de gel. Quand je suis rentré, je n'avais pas spécialement faim et soif, j'ai quand même mangé et bu un peu après la douche. D'un autre côté, c'est vrai que les passages à vides ont été à chaque fois "guéris" par un petit moment de pause et de grignotage. Le plus flagrant ça a été mon arrêt au bar avec le coca frais, quand je suis repartis j'étais de nouveau en pleine forme et je pouvais rouler à bonne vitesse. Le fait d'avoir regardé pas mal de vidéos et de témoignages de gens qui font des grandes distance m'a permis de ne pas trop m'affoler sur ces moments de passage à vide, je savais que c'était passager et qu'il suffisait de laisser passer, de se reposer un peu et de grignoter.
  6. LOL comme beaucoup d'animaux, je les voyais au dernier moment, tous fuyaient dès que j'arrivais. Lui je n'ai vu que son derrière, il avait l'air un peu pataud. On aurait dit un gros chat, mais la queue ressemblait presque à celle d'un écureuil. Enfin bon, je l'ai vu rapidement, je me trompe peut-être. Je n'ai absolument aucune idée de ce que ça pouvait être ^^
  7. Merci Michel, mais à mon avis c'est là que je m'arrêterais pour "sortie du jour" car il n'y aura pas assez d'heures dans la journée pour faire plus ^^ Non mais sinon je pense que je pourrais me blesser en voulant pousser plus loin. Déjà ce matin je me suis pesé, j'ai perdu 3Kg d'un coup (que je vais reprendre vite). Mon genoux droit qui a toujours été "faible" me faisais un peu mal sur la fin. Rien de grave c'est juste qu'il a été très sollicité alors qu'il est déjà "faible" à la base. Ce qui m'a été le plus utile en faisant cette longue distance, c'est que ça me permet d'aborder les distances plus courtes avec moins de craintes. Il y a peu de temps encore, j'avais peur de faire le trajet de chez moi à chez mes parents, 140Km. Après avoir fait 400Km je peux dire que 140Km, c'est plus que largement faisable, même si les dénivelés ne sont pas les mêmes.
  8. Désolé, je ne peux m'empêcher de rebondir là-dessus : - Souvent avant d'exister physiquement, nous existions sous forme d'un désir.
  9. Alors... je vous donne le contexte : Dans la semaine, j'ai acheté une lampe pour vélo "raveman 1200". Puissance 1200 lumen avec plusieurs niveaux de puissance, et une télécommande à fil qu'on peut mettre sur le cintre. J'avais des petites lumières 300 lumens mais l'autonomie n'était pas géniale, et comme je voulais installer la lumière au bout de mes prolongateurs histoire de pouvoir utiliser mes prolongateurs pour transporter un sac de couchage, une tente etc (j'ai rajouté une barre pour fixer la lampe) et bien la télécommande est une très bonne idée pour gérer la lumière sans aller la chercher tout au bout. Bref, je ne l'avais jamais utilisée encore et j'étais curieux de la mettre à l'épreuve en roulant la nuit avec, et de voir si l'autonomie promise était réelle. En plus, j'ai déjà entendu dire qu'il fallait au moins une fois tester de rouler en pleine nuit... Toute la semaine il était prévu du beau temps et demain de la pluie, donc je voulais en profiter, mais j'hésitais entre deux choix : - Aller de chez moi jusqu'à la pointe du cap ferret, rouler de nuit pour tester la lampe et arriver à destination au levé du jour pour apprécier le moment - Faire un petit bout de la voie verte le long du canal du midi, accessible en passant par la piste Roger Labépie et en se dirigeant ensuite vers La Réole. J'ai pour projet de faire un voyage jusqu'à Narbonne en passant par Toulouse, et sur plusieurs jours, et pour aller jusqu'à Toulouse, on peut emprunter cette voie verte. Bon, je n'arrivais pas à me décider et finalement je me suis dit que ça pouvait être un beau challenge de tout faire en essayant de ne pas dépasser 24h (un jour). Et pari gagné ! Mais ce ne fut pas facile ^^ J'ai pris peu de photos, parce que je ne voulais pas perdre de temps... Vendredi, en rentrant du travail, j'ai préparé mon vélo, fait un bon repas, puis je me suis couché très tôt pour me lever à 23h30. Départ à 00h30. J'ai donc commencé mon périple par la piste cyclable Bordeaux - Lacanau. J'ai eu un peu froid. J'ai vu beaucoup d'animaux et au début je psychotais un peu. J'imaginais qu'un sanglier carnivore très très méchant pouvait surgir à tout moment des buissons, ou bien un gros ours zombie à mes trousses (très très méchant lui aussi), mais en fin de compte c'était les animaux qui avaient peur de moi 😛 J'ai vu des chats, des lapins (beaucoup), des crapauds, des jeunes cerfs, un hérisson (oui, un seul 😞 ). J'ai vu aussi un animal qui ressemblait à un gros chat noir avec le poil très touffu et une queue qui pouvait faire penser à un écureuil. Je pense que c'est le fameux "chacureuil touffu" des landes ^^ Plus tard, dans la journée, je verrais d'autres genre d'animaux, notamment des serpents... beaucoup ! Au moins une dizaine dont deux entrain de s'accoupler. La première fois qu'on voit un serpent en plein milieu de la piste, on fait pas trop le malin, et puis quand on voit qu'ils s'enfuient directe... Je suis arrivé quelques heures plus tard au niveau du belvédère du cap ferret, il faisait encore nuit, alors j'ai repris ma route. Je me suis quand même arrêté au moment où le jour se levait... J'ai vu le jour se lever, mais aussi se coucher, vers la fin de ma sortie (c'était sur la piste Roger Labépie, proche de Sauveterre). J'ai bien aimé aussi la voie verte du canal du midi, je trouve vraiment que c'est un coin magnifique ! Alors bon, bilan de l'expérience : - 400Km, d'une traite, c'est mon maximum, je ne me vois pas faire plus que ça. - A partir de la moitié du parcours, j'ai eu des moments de vide, de fatigue, des passages à vide. Comme je me suis pas mal intéressé à la longue distance en regardant beaucoup de vidéos (notamment celles du Biking man que j'aimerais tenter un jour), j'avais cru comprendre que c'était normal, qu'il y avait des passages à vide et effectivement, après une petite pause, une barre de céréales, un coup de flotte et puis pourquoi pas une petite sieste, ça repars ! J'ai eu des passages à vide et puis quelques temps plus tard je retrouvais la forme. Et ça a été ça toute la deuxième moitié du trajet. Lorsque je suis arrivé à Sauveterre, qui était ma dernière étape avant la fin, il restait plus que 63Km, je me suis arrêté dans un bar et j'ai commandé un coca bien frais. Le coca plus la pause, pourtant relativement courte, m'ont reboosté et j'ai pu terminer en forme ! - Physiquement je ne dirais pas que c'est foufou, mais ça va c'est surtout de la fatigue ! J'ai les jambes en coton, une sensation pas très agréable dans les mains (partie "basse" des paumes de la main et petit doigt) par contre aucune tendinite ou autre blessure. C'est quand même incroyable la fiabilité de la mécanique biologique ! - Concernant la selle qui m'a été conseillée lors de l'étude posturale, une SMP WELL M1, les premiers 40 ou 50Km, je ne la sens pas du tout, rien, nada, comme si j'étais assis sur un nuage. Et puis après je commence à la sentir. Par moment ce n'est pas confortable, par moment je l'oublie complètement. - Pour le ravitaillement, j'avais apporté deux sandwichs, deux bananes, une dizaine de barres de céréales et trois tubes de gel. Les tubes de gel, je les réserve pour les situation d'urgence, si je vois que je manque vraiment d'énergie. Peu après les 200Km, j'ai commencé à avoir des passages à vide, j'ai donc décidé de répartir les trois tubes de gel sur les 150Km restants (un à 150Km, un autre à 100Km et un dernier à 50Km) et je trouve que ça a bien fonctionné. - Concernant l'eau, j'avais deux gourdes isotherme, une de 450ml et une de 750ml. La grande était remplie d'un mélange eau et poudre isotonique, la plus petite juste de l'eau. Les 100 premiers Kms, j'ai quasiment pas bu, je n'avais pas soif mais je me suis forcé à boire. à partir du moment où il a commencé à faire chaud, j'ai bu comme un trou ! J'avais anticipé en commençant par les pistes cyclables jusqu'à Lacanau, car il me semble difficile de trouver des points d'eau, donc autant commencer par ça. Ensuite l'après midi, j'ai trouvé des cimetières, j'ai sollicité des gens aussi lorsque je les voyais dans leur jardin. J'ai rempli mes gourdes au bar à Sauveterre également. Contrairement à la dernière fois, j'ai mieux géré l'eau puisque je n'en ai jamais manqué. Voilà voilà ! Bah maintenant je vais me coucher hein 😛
  10. Je compatis Michel, pour tes soucis de santé 😕 Pédaler plus en douceur, profiter du plaisir de rouler sans forcément vouloir péter des chronos, et puis on se rend compte qu'on a fait une belle ballade, une longue ballade, et qu'on arrive chez sois en étant encore bien. C'est plutôt mon approche du vélo même si parfois on a envie de faire un bon score. Tu as pris la bonne décision, elle te permettra de prendre plus de plaisir à vélo et de te ménager. Quand je faisais du roller (avec des très bons riders), on m'avait dit "un bon rider c'est un rider vieux" (dans le sens où, les meilleurs sont celles et ceux qui arrivent à durer).
  11. ça fait plus de 3Kg, j'ai un antivol pliant ABUS et un gros U ABUS. Pour le test j'ai fixé le pliant sur le cadre avec le truc fait pour, et j'ai laissé le U à la maison. En temps normal, le vélo est rangé au boulot dans un cagibi fermé à clef, nous ne sommes pas beaucoup à y avoir accès, je pense que le U n'est pas nécessaire. Là je suis rentré, aucun problème de chocs, donc ça devait être à la fois les roues un peu plus rigides que les anciennes, les pneus trop gonflés et le sac à dos.
  12. Ce matin je suis parti bosser avec le vélo, j'y suis allé sans sac à dos et sans mon énorme U de 2Kg dedans. Et bien il semblerait que le sac à dos amplifie les chocs au niveau des cervicales. Là ça allait très bien, certes le vélo est un peu "raide", mais rien de rédhibitoire. Dans les avis des utilisateurs de roues Mavic disent qu'à priori ce sont des bonnes roues pour mettre sur un mulet ou sur un vélo retapé. Donc voilà... c'est très %@!? 😛
  13. Haha je ne sais plus compter ! Non 277 Km voyons 😛
  14. Merci Michel, mais tu as vu, je roule très peinard ! Rien à voir avec quelqu'un qui fait une course 😉 j'en serais incapable. Je suis ravi de mon vélo aussi, il est génial, confortable, il roule hyper bien.
  15. Je confirme, même mes zaffira pro ont été difficiles à monter...
  16. Bonjour, sortie du jour : Lormont (banlieue de Bordeaux) => Royan aller retour. L'aller en passant par le bac de Lamarque, puis remontée le long de la côte, puis redescente par la Vélodyssée en prenant le bac à Royan. 177Km si on retire les portions de bac, sinon ça fait 285Km. J'ai tracé l'itinéraire sur Komoot. J'ai choisi de le faire dans ce sens car la première moitié jusqu'à Royan comporte des portions de route, donc je préférais les faire au début, et puis par rapport aux bacs je trouvais que c'était plus sûr (je ne risquais pas de les louper). Je suis parti tôt, sachant qu'il y avait 40Km entre chez moi à Lamarque et que le premier bac était à 9h30, en prenant de la marge cela m'imposait une grosse pause en attendant d'embarquer. Une grosse pause à Lamarque, une grosse pause à Royan, de cette manière je me suis économisé. Arrivée au bac à 8h30 J'ai découvert les routes et les pistes cyclables de Charente Maritime... pas le même budget 🙂 ! Après quelques Km sur des routes littéralement défoncées, la ballade m'a amenée sur des chemins de gravier. C'était assez roulant cependant pour le vélo de route, mais j'aurais été sans doute mieux en gravel ^^ Le long de la côte, si je m'étais écouté, je me serais arrêté toutes les 30s pour prendre des photos ! Les paysages étaient magnifiques, de très bons souvenirs 🙂 J'approche de Royan, j'ai dépassé Talmont, traversé Meschers. C'est une petite ville qui me tient à coeur car j'y ai souvent passé des vacances lorsque j'étais gamin. Et c'est marrant parce que la place de l'église me paraît plus petite que dans mes souvenirs, et moins "moderne". Aujourd'hui c'est mignon tout plein 😛 Arrivée à Saint-Georges de Didonne, juste à côté de Royan ^^ Royan : Son bunker géant en forme de cathédrale, sa prison pour animaux et sa fête à neuneu permanente 😛 Le fameux tatouage tribal en graisse de chaîne ! Là j'attendais le bac à Royan, j'étendais mes jambes et je découvrais ^^ Bon, visiblement je n'étais pas le seul à faire du vélo 😛 Reprise de la route après l'arrivée au Verdon. Soulac sur mer. Après, bah... c'est de la piste cyclable classique des Landes. C'est un peu moins intéressant, alors j'ai fais moins de photos et puis le temps défilait. Heureusement j'avais prévu l'éventualité de faire de la route de nuit. Arrivée à Saumos, j'avais déjà 232Km dans les pattes, et aucunes douleurs aux jambes, aucune douleurs au dos, par contre mal au cul ! Mais ma selle est presque neuve, je n'ai pas encore eu le temps de bien la faire, et puis je pense qu'à un moment c'est normal d'avoir le cul un peu en compote sur des grosses distances. Plus tard, à 3,8Km de l'arrivée, le boss de fin : le pont d'Aquitaine ! Bon ça va, ça monte à 5%, mais je ne savais pas si il me restait assez de jambe pour le monter. Bah si, c'est monté ! Et enfin, l'arrivée ! Alors comme vous pouvez le constater, j'ai mis longtemps pour cette sortie, c'est dû aux longues pauses mais aussi parce que j'ai pédalé tranquillement, sans chercher à faire un chrono. Je suis content car bien entendu, je suis un peu fatigué de cette sortie, mais franchement ça va ! La dernière fois où j'avais fait 222Km, au 150éme Km j'avais le genou droit en souffrance, alors que là, 277Km et aucune douleur aux genoux. Je dois sans doute cela à l'étude posturale 🙂 Voilà, bah la prochaine fois il faudra que je tente les 300 bornes ^^
  17. Merci, alors déjà je croyais que ces Mavik étaient justement des roues plutôt rigides, donc je regarderais pour changer les pneus 😉
  18. Ha et les pneus sont des Vittoria Saffira pro en 25mm.
  19. Merci pour ta réponse. Je ne connais pas le modèle de roue du Willier. Le Montegrappa est à 1200 euros, pour un Willier c'est vraiment le moins cher qui existe et je crois que la technicienne m'avait dit qu'il s'agissait de "tout venant".
  20. Bonjour, j'ai refais un vélo que j'utilise maintenant pour aller au boulot. C'est un ancien vélo décathlon, cadre en acier Columbus Thron qui était équipé à la base avec des roues Campagnolo Mexico 98. Comme je souhaitais le passer en transmission Shimano 105, j'ai changé les roues pour qu'elles soient compatibles avec les casettes Shimano. J'ai acheté une paire de roues Mavic Aksium. Au départ ça se passait bien, ce vélo est une petite bombe, mais depuis quelques temps, je ressens comme si le vélo était plus rigide et je ressens des petits chocs dus aux imperfections de la route. Je me suis demandé si cela pouvait provenir : - de la peinture, car c'est une peinture dure et cuite au four, je me suis demandé si ça n'avait pas rigidifié le cadre - du fait que maintenant je porte un sac à dos un peu lourd, car dedans je mets mon gros antivol en U et mon antivol pliant, ça rajoute 2,5 Kg dans le sac à dos ! - du fait de la pression des pneus - du fait de la rigidité des roues. J'ai dégonflé les pneus d'un bar, avant je gonflais à 9 bars (je pèse 90Kg) et avec 1 bar de moins c'est déjà beaucoup mieux. Donc je pense que ça doit surtout venir des roues. C'est là que j'ai besoin de votre avis : J'ai un second vélo que j'utilise pour faire des grosses ballades. C'est un Willier Montegrappa, c'est le premier prix de la marque, l'entrée de gamme. Donc en théorie, les roues sont bas de gamme. Est-ce que cela veut dire qu'elles sont moins rigides ? Car si c'est le cas, si les Mavics Aksium sont mieux, je pourrais peut-être passer les roues du Willier sur le deuxième vélo, et les Mavics sur le Willier ? Je pense que ça ne poserais pas de soucis car les deux sont compatibles avec les cassettes Shimano. Le Willier est en 10v et le second vélo est en 11v, il suffirait juste que j'échange les cassettes. Mais pour le moment je suis satisfait du comportement du Willier avec ses roues d'origine, si les Mavics sont plus rigides, je vais perdre en confort sur les longues distances... Que pensez-vous de tout cela ? Demain je prévois une grosse grosse ballade, je ne pense pas que ce soit le moment de tester...
  21. Fluoflashfun33

    Plateaux

    Et puis ça dépend ce que vous appelez "rouler vite". Pour moi, sur du plat, 35Km/h ça commence à être "rouler vite", et je ne suis pas monté à plus de 40Km/h. En descente 60Km/h, pas plus. Ce vélo que j'ai monté, ce n'est pas pour faire de la course, c'est pour aller bosser et me faire plaisir, pas pour courir en peloton, et je trouve qu'il me permet d'aller bien assez vite. Le Willier, mon second vélo, je le réserve pour faire de longues ballades, et comme mon objectif est de faire beaucoup de distance, je ne cherche pas à aller au-dessus d'une moyenne de 23Km/h. Je ne cherche donc pas la vitesse à tout prix, et mon montage avec deux cassettes mixées pour en faire une 14-30, ça me convient totalement. Quand j'étais avec la cassette 11-30, j'avais tendance à choisir les mauvais pignons, j'avais mal aux jambes parce que je pense que je pédalais trop en force. Depuis que je suis en 14-30, j'avance avec une vitesse qui me convient, qui est convient largement à mes déplacements en ville (je roule souvent entre 25 et 35Km/h). En ayant la possibilité de monter jusqu'au pignon 30 dents, j'arrive à monter toutes les côtes que je rencontre sans devoir descendre du vélo, et puis surtout, je n'ai plus mal aux jambes. Donc pour moi, pour mon usage, pour mon niveau et mes prétentions, c'est parfait 😉
×
×
  • Créer...