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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Aujourd'hui, 130 bornes dont 90 correspondant au circuit « La route des collines ». Le « Pays des collines » est en fait le prolongement en Wallonie des Ardennes flamandes. La route des collines est un circuit balisé parcourant cette belle région. Sentiment mitigé : le paysage était spectaculaire, mais le circuit, contrairement à mes attentes, évitait soigneusement les côtes les plus intéressantes. Il passait quand même par trois côtes notables : l'Escalette, la Houppe et les Hauts de Saint-Sauveur (pour ce dernier le circuit évitait soigneusement le côté le plus dur, grr), le reste était peu remarquable. En plus, le balisage n'était pas top : il manquait plusieurs panneaux, d'où pas mal de km supplémentaires parcourus en pure perte. Et pour couronner ce sentiment désagréable, j'ai cassé un rayon vers la fin du parcours. Il n'y avait pourtant pas de pavés ou très peu sur ce circuit ! Les derniers 30 km à parcourir l'ont donc été avec une roue bien voilée, mais ça passait. Ouf !
  2. Ah, désolé pour la confusion. C'était un défaut de conception du boyau, alors ? Ou est-ce dû à la chaleur là aussi ?
  3. Oui mais, et ton histoire le prouve à nouveau, la colle qui tient le boyau à la jante est susceptible de fondre par forte chaleur… Avec la difficulté de réparation, c'est ce problème qui me tient éloigné du boyau.
  4. Et là aussi, il pourront broder en montant au Saint-Eynard avant d'aller au Porte, et/ou en prolongeant ce dernier jusqu'au Charmant Som. Puis rentrer en reprenant le Cucheron et le Granier dans l'autre sens… Il y a matière à des sorties vraiment démentes rien qu'en restant dans ce massif ! 😛
  5. S'ils veulent s'achever, il peuvent enchaîner avec le col du Coq versant Saint-Hugues 😆
  6. Ma sortie du jour : une autre boucle ayant pour thème le Tour des Flandres. http://www.rvv.be/fr/tourisme/itineraires/rvv-itinerairesdevelo/rvv-itinerairedevelo-verte Celle-ci fait 112 bornes, et j'ai décidé de prendre la bagnole pour aller au départ de la boucle. Pour la précédente boucle (72 bornes), j'y étais allé et j'en étais revenu à vélo, ce qui m'avait rajouté 60-70 bornes environ au circuit. Pour le circuit d'aujourd'hui, j'ai eu un peu peur de la distance totale que cela aurait fait si j'étais parti de chez moi sur ma bécane (autour de 180 bornes), d'où le choix de la bagnole pour rallier le départ. Rien de particulier à dire sur ce circuit, par rapport au précédent. Les Ardennes flamandes sont toujours aussi belles à arpenter :-) Il y avait bien sûr d'autres joyeusetés du Tour des Flandres au programme, les plus connues étant le Berendries, le Mur de Grammont (superbe panorama au sommet, et dire que les coureurs n'en ont probablement jamais profité :-)) et le Bosberg. Tout s'est très bien passé, sauf que j'avais oublié une partie de mon ravitaillement dans la bagnole, ce qui m'a fait acheter un « couque suisse » et des pruneaux secs dans une supérette de Grammont (heureusement j'avais pris un cadenas…). Imaginez un cycliste perché sur ses cales proéminentes et arpentant les rayons d'un magasin… Je devais faire rire en coin les autres clients et les caissières ! La seconde partie de la boucle, avec vent de face, était interminable, mais je me suis surpris à être nettement moins fatigué que prévu à l'arrivée. Les bornes accumulées commencent peut-être à se capitaliser…
  7. Petit braquet à revoir peut-être ? Je suis originaire du coin (Le Versoud), et les routes de Chartreuse sont suffisamment pentues pour souvent remettre le choix de ses braquets en question ! Granier par Chapareillan, col du Coq versant Saint-Hughes, la route du Charmant Som, la Charmette, etc. Sans parler de la Bastille… Que des casse-pattes !
  8. Hier matin, sortie d'entretien de deux heures dans les environs de Tournai. Au programme, le tour du Mont Saint-Aubert agrémenté des ascensions des trois accès à cette bosse de 120 m de dénivelée. Mine de rien, cette colline présente la plus forte dénivelée de la région à 50 km à la ronde, y compris par rapport aux Ardennes flamandes voisines. Lors de ma deuxième ascension, sur la partie la plus pentue de celle-ci (10-12 %) je rejoins un duo composé d'un homme assez âgé et d'un gamin d'une petite dizaine d'années. Le monsieur est à pied et le gamin tricote gaiement sur son vélo ! Ça doit être un peu vexant… 😛 Lors de ma troisième ascension, au début de celle-ci je rejoins deux autres cyclistes. L'un d'entre eux m'accompagne un moment, puis démarre et me lâche au plus fort de la pente (la même portion pentue que précédemment, rejointe par un autre accès). Comme il ralentit un peu ensuite, je le rejoins juste au sommet. Arrivés là-haut, on discute un peu, et c'est là qu'il me dit qu'il vient de Wasquehal, pas loin d'ici mais en France, qu'il fait une sortie de préparation pour l'Étape du Tour et qu'il est en train de gravir TRENTE FOIS le Mont Saint-Aubert pendant cette journée avec son camarade. Toujours sur le même versant, qui plus est, lequel fait 1,8 km de long par ailleurs. Ils en étaient à leur vingtième ascension quand je les ai rejoints ! Outre leur force physique remarquable, particulièrement pour le cycliste que j'ai rejoint (il devait grimper avec un 42/21 la portion à 10-12 % tandis que j'étais sur 28/24), je suis épaté par leur résistance morale : j'avoue que je serai incapable, mentalement, de faire la même montée trente fois de suite. Je préfèrerais faire pour ma part 40 ou 50 ascensions de bosses différentes, même à dénivelées plus faibles. J'ai besoin d'un minimum de diversité dans mes sorties !
  9. 100 tours de 800 m, Joachim ! Tu ne vas pas t'emm… ? Aujourd'hui encore, parcours d'un circuit touristique balisé dans les Ardennes flamandes. Cette fois-ci, il s'agit d'une des trois « Ronde van Vlaanderen fietsroutes » (parcours cyclistes du Tour des Flandre), la plus courte des trois mais la plus dure car celle qui propose le plus d'ascensions. En tout, elle fait 72 km et reprend une bonne partie des ascensions du Tour des Flandres. Pour les intéressés, le détail du parcours se trouve ici : http://www.rvv.be/fr/tourisme/itineraires/rvv-itinerairesdevelo/rvv-itinerairedevelo-orange Je l'avais déjà faite l'année dernière et j'avais fini complètement ratatiné. Les ascensions répertoriées, dans l'ordre : le Mont de l'Enclus, le Knokteberg (ou côte de Trieu), le vieux Kwarémont, la montagne de la Croix, le Hotond, le Paterberg, le fameux Koppenberg, le Steenbeekdries, le Taaienberg et l'Eikenberg. Plus quatre ou cinq ascensions non répertoriées (soit courtes et raides, soit longues et peu pentues), toutes situées entre le Koppenberg et le Taaienberg, ça doit faire une dénivelée non négligeable, même si aucune de ces ascensions ne dépassait le 100 m de dénivelée. Beaucoup d'entre elles sont pavées (on est en Flandre, hein !), et d'autres secteurs à parcourir le sont aussi, dont deux en forte descente ! Séances de marteau-piqueur au programme. En y ajoutant les 30 km environ à parcourir à l'aller puis au retour pour rejoindre le circuit, ça m'a fait une bien belle sortie de 7 heures en tout, dont deux pauses-café d'une demi-heure chacune et une distance parcourue de l'ordre de 130 km. Ce qui me fait penser que je devrais m'acheter un compteur, ça fait un bout de temps que je n'en ai plus ! Temps magnifique et peu de vent (c'est rare dans la région !), aucun pépin mécanique à signaler à part une chaîne qui saute du pédalier au pied du Taaienberg. Mes pneus Continental Grand Prix 4000 de section 25 ont fait merveille sur les pavés. J'a croisé une course cyclosportive appelée la « Johan Museeuw classic », du nom de l'ancien champion, qui y participait paraît-il. Voir ici : http://www.johanmuseeuwclassic.be/johan_museeuw_classic%20FR.htm Ça m'a valu de me faire photographier comme tous les concurrents par une charmante jeune fille au sommet du Paterberg. La photo devrait être téléchargeable gratuitement d'ici la semaine prochaine. J'espère que j'y fais bonne figure :-) Au final, j'ai terminé en bien meilleur état que l'année dernière, où les derniers 40 km, au retour, avec un très violent vent de face m'avaient vidé. Rien de tel ici, même si j'étais quand même content d'en avoir terminé ::
  10. Aujourd'hui, sortie-balade dans les Ardennes Flamandes, là où se trouvent les « joyeusetés » du Tour des Flandres. J'ai parcouru un circuit cyclotouriste de 46 km très bien balisé, appelé la « Eddy Merckx route ». Son départ est situé à Ruien là où le Cannibale a gagné sa dernière course en 2007. C'est un circuit de difficulté modérée : quatre difficultés au programme, dont trois font partie du « Ronde van Vlaanderen » : — le Mont de l'Enclus, une bonne bosse asphaltée, courte (une borne à peu près) et assez pentue (à vue de nez, 8-9 % de moyenne et 15 % sur un passage vers la fin). Habituellement, les coureurs passent sur une variante de difficulté semblable ; — le Vieux Kwarémont, bien connu, la plus longue ascension pavée de Belgique (et des pavés bien disjoints, nondidju !), dépassant les deux bornes ; — le Paterberg, 600 m d'ascension, mais pavée, à 12 % de moyenne, passage à plus de 20 %. — On y ajoute le mont du Hotond, point culminant de la province de Flandre orientale, à… 150 m (ceci dit l'altitude la plus basse du circuit est à 15 m), et on a fait le tour des ascensions… du moins, celles qui figurent sur le descriptif. Pour les curieux qui n'habitent pas trop loin (Lille, Roubaix, Tournai, Mouscron…), les détails du parcours se trouvent ici : http://www.rvv.be/fr/tourisme/itineraires/itinerairesdifficiles/EddyMerckx Pour ma part, outre les 46 km du circuit, j'ai abattu à l'aller et au retour les 30 km séparant mon domicile tournaisien du départ du circuit. Soit au final un bon entraînement d'une centaine de kilomètres. Bizarrement, les quatre difficultés sont concentrées sur la première partie du circuit. Le mont de l'Enclus est attaqué dès le départ du circuit, mieux vaut être échauffé au préalable, ce qui est donc mon cas. Ensuite, le Vieux Kwarémont, où il faut prendre garde de ne pas coincer sa roue entre deux pavés (heureusement, j'ai mis des 25), le Paterberg qui s'avale en injection (merci à mon 28/32 digne du VTT), et le Hotond pour finir, en plusieurs tronçons très roulants. Entre tous ces monts, bien des montées et des descentes non répertoriées, plus courtes mais parfois pavées également… Peu après le Hotond, le circuit devient complètement plat pour les 20 derniers kilomètres, où on slalome à travers champs et villages le long de l'Escaut. Bilan : un paysage très chouette, très agreste, des routes agréables en dehors des secteurs pavés, bien qu'elles soient quasiment toujours très étroites, et parfois dangereuses (on ne voit pas toujours ce qui nous attend derrière un virage, même si c'est un tracteur…). On profite de points de vue étonnamment lointains pour des dénivellées si faibles, même si elles sont rudes. C'est un circuit qui peut se faire avec assez peu d'entraînement, si on a l'habitude de rouler et grimper sur des pavés. Attention, ceci dit, son côté vallonné et sinueux, surtout dans sa première partie, fausse la moyenne. Ainsi j'ai mis 2 h 15 pour faire ces 46 km, alors que, même si je ne suis qu'un cyclotouriste, j'aurais pensé mettre moins de deux heures, étant relativement en forme. Pour les curieux du Nord qui n'habitent pas trop loin (Lille, Roubaix, Tournai, Mouscron…) et qui veulent profiter d'un beau paysage et de quelques belles difficultés typiques du coin, les détails du parcours (avec la description des bosses) se trouvent ici (en néerlandais ou en anglais, pas de traduction française disponible pour ce circuit) : http://www.rvv.be/fr/tourisme/itineraires/itinerairesdifficiles/EddyMerckx
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