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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Il faut savoir passer outre le catalogue, parfois 😆 J'ai peut-être eu de la chance, mais quand j'ai demandé à mon vélociste de me monter des roues à jantes plates de 36 rayons, les plus résistantes possibles, et que je me fichais du poids de l'ensemble, il a aussitôt accepté. Je ne me souviens plus du prix exact (ça fait déjà quatre ans), mais l'ensemble obtenu, jantes Mavic Open Pro + 36 rayons + moyeux Shimano Tiagra + montage, était loin d'être onéreux.
  2. Et encore tu oublies le col de la Cluse entre le Granier et les Égaux! 😬
  3. Salut Eric, Je n'ai pas grand'chose à redire sur ton dernier message, excepté ceci quand même : Un voile de roue et/ou un mauvais réglage de dérailleur ne devrait pas pouvoir amener les deux éléments à entrer en collision. Malheureusement si. En tout cas sur mes vélos, un mauvais réglage de la course du dérailleur peut toujours faire en sorte qu'il touche les rayons, même sans voile. Quant au voile, il est difficilement prévisible. J'ai eu moi aussi des roues qui se voilaient régulièrement (sur les routes belges ce n'était pas particulièrement difficile, d'ailleurs). Ce n'est que depuis que j'utilise des roues à 36 rayons que je suis relativement tranquille de ce côté.
  4. Il y a confusion en effet. La languette métallique dont tu parles (en fait il y en a deux), c'est la chape du dérailleur. La patte, c'est la partie du cadre sur laquelle est boulonnée le dérailleur. Cette partie du cadre fait la jonction entre la base arrière droite et le hauban droit du cadre. J'espère que c'est plus clair expliqué comme cela. Cette patte est démontable sur pas mal de cadres modernes. Mais maintenant que ce problème de terminologie est clarifié, je vois que c'est la chape de ton dérailleur qui a été arrachée par les rayons. La patte de ton cadre est, elle, probablement intacte, ce qui nous donne donc un diagnostic plus optimiste. Il n'y aura donc probablement que le dérailleur et la chaîne à remplacer, et peut-être la roue à retaper. Si tu ne veux pas avoir la même mésaventure sur ton VTT, il faut bien sûr faire corriger le plus vite possible tout voile de la roue arrière 😉 mais il faudrait aussi régulièrement vérifier que la course inférieure de ton dérailleur est correcte, c'est-à-dire que ton dérailleur n'est pas trop proche des rayons en position "plus petit braquet". Dans cette position, il faut idéalement que la chape (en fait, les galets) soit bien alignée avec le grand pignon. Il y a une vis sur le dérailleur pour régler cela, souvent estampillée "L" (low). Elle est à côté ou en-dessous d'une vis souvent marquée "H" (High) qui sert elle à régler la course supérieure du dérailleur, c'est-à-dire faire en sorte que les galets soient bien alignés avec le petit pignon en position "plus grand braquet". Demande conseil à ton vélociste à ce sujet. C'est sûr que si tu n'es pas souvent sur le 22/32, tu ne risqueras guère d'avoir cet incident, mais qui sait. Il suffit d'une fois!
  5. Le dérailleur arrière est certainement démontable, mais la partie du cadre sur lequel il est fixé (la "patte" arrière droite, qui reçoit aussi l'axe de la roue arrière) ne l'est pas forcément. Lis ce petit article pour savoir de quoi il s'agit exactement (problème d'une patte arrière non démontable qui doit être redressée): http://velo-reparation.fr/entretien/derailleur_aligner_patte.php Mais quand j'y repense, si cette patte s'est cassée aussi nettement, c'est qu'elle avait de bonnes chances d'être en effet démontable. Dans ce cas, a priori, le cadre n'aura pas été atteint. Dans le cas contraire (que je pense comme toi improbable), je ne crois pas que tu puisses faire jouer une garantie, ni, de toutes façons, faire prendre en charge les frais de la réparation par ton vélociste. Ce dernier est peut-être responsable d'un éventuel mauvais réglage du dérailleur (mauvais réglage qui ne peut pas être prouvé vu l'état actuel de ce dérailleur…), mais il ne peut pas être tenu responsable du voile de la roue arrière qui est tout aussi important dans l'histoire. Tiens-nous au courant, en tout cas. Et si tu te fâches vraiment contre le cyclisme de route, dis-toi qu'en VTT ce genre d'incidents arrive aussi… En fait, c'est sur un VTT que je l'ai vue cette année. Le dérailleur arrière du gars s'était retrouvé au niveau du pédalier, c'était spectaculaire. Et dans un magasin de cycles près de Grenoble on m'a raconté un jour que l'ancien pro Jacky Durand avait eu la même histoire en grimpant la Bastille de Grenoble (1,5 km à 17%) à l'entrainement avec un 42/21…
  6. Ça confirme ce que je pensais : la chaîne sur le petit braquet, la roue arrière voilée au départ, la course inférieure du dérailleur probablement mal réglée (ce qui pourrait d'ailleurs expliquer le bruit que tu entendais lorsque la chaîne était sur les deux plus grands pignons), le voile supplémentaire entraîné par le passage en danseuse… Tout ça réuni a dû envoyer le dérailleur dans la roue. Pour le prix de la réparation, je ne sais pas exactement. Si la patte du cadre où se trouvait fixé le dérailleur était effectivement démontable, tu devrais en être quitte pour une nouvelle patte, une nouvelle chaîne, un nouveau dérailleur, et faire retaper la roue qui a dû morfler aussi. Bref, ça devrait être raisonnable comme coût. Si par contre la patte était partie intégrante du cadre, là tu risques de devoir en racheter un! Mais comme je n'ai pas ton vélo sous les yeux, ce ne sont que des supputations. Ton vélociste t'en dira plus, et mieux.
  7. Si ça s'est produit sur le 30/27, et si c'est ton plus petit braquet, c'est que ton dérailleur arrière s'est pris dans les rayons. C'est un accident classique, qui se produit lorsque la course inférieure du dérailleur est mal réglée (ou s'est déréglée en cours de route), c'est-à-dire que la chape se trouve trop près des rayons lorsque la chaîne est sur le plus petit braquet. Il suffit alors que la roue se voile un peu, par exemple suite à un passage en danseuse sur une pente raide, et crac! En tout cas, le cadre lui-même n'y est probablement pour rien. Ce qui m'étonne, c'est que la patte de dérailleur se soit retrouvée à l'avant. Était-elle démontable?
  8. Arf, j'ai toujours un pincement un cœur quand je vous vois faire mes bonnes vieilles routes… Une vieille connaissance pour moi, la montée de Saint-Mury. Personnellement, je ne la trouvais pas aussi dure que celle de Saint-Agnès juste à côté. Les collectionneurs de cols peuvent prolonger cette montée au-delà de Saint-Mury en montant au col de Pré long, à 1200 m d'altitude environ, de mémoire, mais attention, ce col est (était?) un cul-de-sac pour les vélos de route, puisque de l'autre côté c'est d'abord un ou deux kilomètre de descente sur un sentier en terre avant de retrouver la route. J'ai quand même osé faire ce sentier un jour avec mon vélo de route, de quoi voir que c'était seulement praticable lorsque le temps était sec. Je serais curieux de savoir si cette portion a été bitumée depuis.
  9. Un grand classique, la chute à l'arrêt… Ça m'est arrivé aussi, à un feu rouge en côte, du temps où je roulais encore avec cale-pieds et baskets. Au moment de poser pied à terre j'avais oublié que j'avais serré les courroies pour mieux grimper la côte. Je suis tombé au ralenti, sans me faire mal ailleurs qu'à l'amour-propre… 😳
  10. Casartelli n'avait pas de casque, pas plus que Kivilev. Mais Weylandt si. http://www.memosport.fr/1995-le-deces-tragique-de-fabio-casartelli.html Le casque tel qu'il est conçu actuellement, contrairement à ce que tu dis, protège, en absorbant toute ou partie de l'onde de choc, selon l'intensité de ce choc. Le casque est conçu pour ça, et c'est justement pour cette raison qu'un casque qui a «servi» est bon pour la poubelle, même s'il a l'air intact. Ça c'est ce que mes connaissances expertes en physique m'ont raconté, mon père en particulier (professeur de mécanique). Si tu as tes sources, merci de les citer. Au-delà d'une certaine force de collision, il peut toutefois ne pas suffisamment absorber le choc. La part non absorbée de l'onde de choc peut alors être suffisamment grande pour être fatale… C'est ce qui s'est passé pour Weylandt. De là à dire qu'il ne protège pas… Tu n'as donc jamais entendu parler de chocs anodins qui ont envoyé certaines personnes sur la chaise roulante, ou au cimetière? Le cerveau est terriblement fragile, et toute protection est bonne à prendre. À tous les sceptiques, vous pouvez toujours faire un test, mais à vos risques et périls : placez-vous sous une cage d'escalier en «dur» (pierre, béton) et redressez-vous brusquement. La première fois avec votre casque (qui va être bon pour la poubelle après), la deuxième fois sans… Dans un cas comme dans l'autre, j'ai fait involontairement l'expérience. Croyez-moi, on sent la différence. Dans le premier cas je n'ai rien senti, mais dans le deuxième cas, je dirais de façon pédante que l'intégralité de l'onde de choc a bien traversé ma boîte crânienne 🙄 et croyez-moi, ça m'a fait plus que mal!!
  11. Alors Didier, tu l'as fait alors, ce «Gordel voor Wielertoeristen»? Pour ma part j'ai répondu présent. Donc, 140 km aujourd'hui à travers les Ardennes flamandes du Tour des Flandres, et le Pajottenland (ouest et sud-ouest de Bruxelles), en 7h45. En fait, c'était plutôt 150 bornes vu que je me suis perdu trois fois durant le parcours, mais je ne pourrai jamais le savoir, n'ayant pas de compteur. Départ à 8h23 d'Audenarde sous un ciel chargé, qui le restera pendant toute la journée. Grosse «drache» (averse) un peu après, et aussi juste avant l'arrivée, et entre-temps alternance de temps sec et de crachin. Mais c'est surtout la nuit précédente qu'il avait plu, et les routes étaient dans un état calamiteux: jonchées de branchages et caillasses ou bien recouvertes de boue dégoulinant des bas-côtés. Par endroits on roulait dans de véritables mares. Les pavés étaient bien entendus glissants, et j'ai failli me ramasser plusieurs fois… En une heure, ma chaîne et mon dérailleur arrière avaient perdu tout lubrifiant et leur bruit grinçant m'a accompagné pendant tout le reste de la sortie. Dans les points positifs, la température était douce et, important pour moi, le vent n'était pas trop fort. Et j'ai discuté en cours de route avec quelques personnes sympas, en français et in het Nederlands. Tous des passionnés. D'ailleurs, il faut l'être pour vouloir rouler sur des routes pareilles… 😬 L'attraction principale, c'était en cours de randonnée l'ascension chronométrée du fameux Muur van Geraardsbergen, le Mur de Grammont cher aux coureurs du Tour des Flandres. Le départ du chrono était donné au-dessus de l'église de la Grand-Place, sur le boulevard appelé Vesten, et l'arrivée bien sûr au sommet, à la chapelle. Verdict pour ma part: 3 mn 44 s, soit 18 secondes de mieux que mon meilleur temps précédent. 😄 Bon, pour relativiser, Cancellara mettait 2 mn 20 s sur le même trajet lors du Tour des Flandres 2010…
  12. Et pourtant en Chartreuse, si tu montes le Charmant Som à partir de Grenoble, ça te fait déjà 1360 m de dénivelée, et la Croix-de-Fer versant Rochetaillée, ce n'est pas beaucoup plus : 1465 m. Bon, maintenant, si on compte à partir de Vizille, c'est autre chose ! Et le Galibier, quand à lui, est un cran au-dessus, même en partant de Bourg-d'Oisans. Au juste, prudence dans le Lautaret, mais je suppose que tu connais… Moi, quand j'y allais je mettais systématiquement un éclairage, et tant pis pour le poids supplémentaire.
  13. Sortie habituelle du milieu de semaine, soit les deux heures comprenant les trois ascensions traditionnelles du Mont Saint-Aubert (mont qui fait 120 m de dénivelé, pour ceux qui croiraient encore qu'il s'agit d'une vraie montagne…). Beau temps, vent tolérable (pour une fois), température idéale, juste autour de 20°. Les trois grimpettes effectuées «au seuil» pour me tester. Le bruit parasite au niveau de la direction, dont je me plaignais lors de la sortie précédente, était toujours là, et mon vélo est donc chez le vélociste depuis ce soir. Quelque chose au niveau des cônes de direction, apparemment… Rayon anecdote : une déviation due à des travaux sur la route m'a fait m'égarer complètement pendant un bon quart d'heure, et je me suis retrouvé à parcourir un chemin de ferme boueux et caillassé… Donc, si je positive la chose, cette sortie m'aura offert un petit entraînement de cyclo-cross en prime! 🆒
  14. Oui, c'est bien ça. Vu le contexte, je vais affûter mon néerlandais ! 😆
  15. Aujourd'hui sortie de six heures dans les Ardennes flamandes, en prévision d'une randonnée de 140 km le week-end prochain dans la même région. Parmi les bosses du jour, le Mont de l'Enclus, la côte de Trieu, le Paterberg, le fameux Koppenberg, le Horlitin et à nouveau le Mont de l'Enclus… Le tout avalé sans problème autre qu'un bruit épisodique bizarre au niveau de la direction (voir le forum matériel). Et pour finir le retour sur Tournai le long de l'Escaut, avec fort vent de face, comme d'habitude cette année… Merci Éole de m'avoir forcé à m'aplatir sur le guidon pendant au moins 25 km, le plus souvent sur un ridicule 36/21!
  16. Belle classique, en effet, cette trilogie ! Et pour ceux qui veulent un peu sortir des sentiers battus, il y a une autre trilogie cartrusienne qui vaut le détour : Granier par Chapareillan - Cucheron - Coq. Attention, forts pourcentages ! 😬 Si on boucle cet enchaînement, on est sûr d'être en forme.
  17. Aujourd'hui, mes habituelles deux heures de sortie dans la semaine avec mes trois ascensions habituelles du Mont Saint-Aubert, à un rythme crescendo : le versant nord cool, le versant sud-est à un bon rythme sans être à bloc, et le versant sud-ouest à fond les manettes. Ce week-end, excursion programmée de six heures dans les Ardennes flamandes et le Pays des collines.
  18. Oui, le versant pavé des Hauts… Cette horreur vaut bien le Koppenberg ! Nettement plus longue et à peine moins raide, et comme par hasard ce sont les 300 m les plus pentus qui sont pavés. Et des pavés bien déformés avec ça.
  19. La Tournay, à Tournai, c'est d'abord ça: http://www.brasseriedecazeau.be/fr/produits/tournay/ 😆 C'est aussi une cyclo très courue dans le coin, que j'ai faite d'ailleurs cette année, en mai, dont le nom complet est «Grinta challenge - La Tournay»: http://sport.be.msn.com/cyclingtour/grintachallenge/2011/fr/
  20. Aujourd'hui, l'après-midi, 4 h 30 de sortie vallonnée avec, quelle surprise, le Mont Saint-Aubert au programme (120 m de dénivelé, je le rappelle, donc rien d'une montagne, mais c'est quand même l'Alpe d'Huez tournaisien ;). Mais je l'ai fait six fois de suite, c'est-à-dire deux fois chacun des trois accès. Hier j'ai changé la chaîne de ma bécane, et pour l'anecdote ça a été la grosse galère : nouvelle chaîne brisée au montage à cause d'un dérive-chaîne défectueux, j'ai dû en acheter un autre dare-dare et, heureusement, j'avais une autre chaîne en réserve… Donc j'ai préféré ne pas trop m'éloigner de Tournai — comme à chaque première sortie après que je monte une nouvelle chaîne, au cas où il y aurait un problème… — et j'ai fait deux fois le même circuit comprenant le Mont Saint-Aubert par ses trois accès et quelques casse-pattes plus courts. Je ne sais pas si c'est dû à la chaleur, pourtant raisonnable (27° à l'ombre) par rapport à ce que les «sudistes» nous rapportent ici, à l'atmosphère orageuse (sans que l'orage éclate finalement), ou à un début de méforme, mais j'ai fini complètement claqué. À surveiller pour voir si ça persiste.
  21. L'altitude du Mont Saint-Aubert, je l'ai déjà dite plusieurs fois, j'avoue que j'aurais la flemme de la répéter à chaque message 🆒. Je devrais donc peut-être plus souvent rappeler que le Mont Saint-Aubert est le point culminant de la région autour de Tournai, et que Tournai est en Belgique mais à deux pas de Lille. Et comme la plupart des Français doit savoir quand même que les environs de Lille ne sont pas précisément réputés pour leurs dénivellations, vous aurez un tableau réaliste de la situation… 😉 Je précise également à toutes fins utiles que pour monter au Saint-Aubert on part de 20 m d'altitude, que ça en fait donc quand même une bonne petite bosse et qu'on la sent passer à vélo. 1,8 km de montée constante pour le plus court versant, 2,4 km de grimpée très irrégulière entrecoupée de deux très courtes descentes pour le plus long (il y a un troisième accès qui rejoint le versant régulier à mi-pente, mais il part de nettement plus haut). Certains secteurs sont pentus : 300 m à 10-11% sur le versant régulier, 100 m à 14% sur l'irrégulier, avec un passage à 17%. C'est en tout cas une des plus fortes dénivelées de Hainaut, Brabant et Flandre réunis, si ce n'est la plus forte. C'est dire si cette partie de Belgique est, objectivement, plate. Du moins par rapport aux Alpes ! Les coureurs du Tour des Flandres ont sans doute un avis plus nuancé sur cette platitude… 😃
  22. Bien sûr que je connais ! Et même par cœur. Rappelle-toi notre randonnée à Saint-Nizier, je redescendais ensuite sur la région de Pont-en-Royans pour rejoindre une maison familiale. Dans mes plus jeunes années, elle a été la base d'un nombre incalculables d'excursions cyclistes Pastoriennes en Vercors, cette maison ! Je crois qu'il n'y a aucune route du Vercors, de Montaud au col du Rousset, qui n'ait pas vu un jour mes roues défiler dessus. D'ailleurs, l'année dernière à la même époque, j'avais (re)fait la montée de Presles par Pont-en-Royans sur un vieux vélo Peugeot à 6 vitesses. Tu ne t'en souviens apparemment pas, mais on en avait parlé. C'était dans le sujet « Votre sortie du jour » version 2010. J'avais également grimpé la route menant à Chatelus (qu'on devine sur une de tes photos), de l'autre côté des gorges de la Bourne, vis-à-vis des falaises de Presles. Courte montée, mais raide, et un magnifique panorama sur les falaises de Presles et les gorges de la Bourne sous un angle inusité. Si tu aimes les « randonnées du vertige » en vélo, voici une idée de sortie, qui ressemble à la tienne mais en plus corsé : Grenoble - Saint-Gervais - col de Romeyère - col du Mont noir - Malleval - gorges de Malleval - Cognin - Izeron - Saint-Pierre de Chérennes - le Faz - col du Mont noir (bis) - col de Romeyère (bis) - Rencurel - col de Pra l'Étang - Presles - falaises de Presles - Choranche-les-Bains - Gorges de la Bourne - Villard de Lans - Lans en Vercors - Saint-Nizier - Grenoble. Tout pour plaire : panoramas, frissons (de vertige), longueur et dénivelée !
  23. Faut pas généraliser ! Mes posts, tous sur la haute montagne??? 😃 Quand je ne suis pas à Grenoble chez mes parents, c'est-à-dire 340 jours par an, l'altitude maximale de mes sorties, c'est 150 m (Mont du Hotond, près de Renaix, pour être précis). Quant au Mont Saint-Aubert que je grimpe à quasi chacune de mes sorties, il culmine à 145 m…
  24. Aujourd'hui, horaire resserré à la dernière minute, donc sortie d'1h30 seulement, ce qui m'a contraint à faire deux ascensions du Mont Saint-Aubert tournaisien au lieu des trois prévus. À part ça, il faisait beau, presque chaud, il y avait peu de vent, j'avais de bonnes jambes… Un agréable moment sur le vélo, mais trop court !
  25. Puis col des Mouilles, Le Mas Julien, Corps d'Uriage, Le Rossin, le tous entièrement sur la plaque (50-23) , exercices de puissance en me mettant bien dans le rouge. Hé ben… Tous ces casse-pattes sur la plaque jusqu'au 50/23… T'avais pas peur de casser la chaîne? 😬 Pour ma part, aujourd'hui c'était ma première reprise de contact cycliste avec les Ardennes flamandes et le Pays des collines. 3 h 30 de sortie avec ascensions du Mont-de-l'Enclus, du Knokteberg et du Mont-Saint-Aubert. Mon petit séjour grenoblois m'ayant filé de très bonnes jambes, j'ai pu grimper ces trois collines nettement plus vite que d'habitude. Vent assez fort (comme d'hab 😕), mais pour le reste temps idéal, ni chaud ni froid, beau soleil, à peine quelques nuages. Un monde dingue au Mont-de-l'Enclus et au Mont-Saint-Aubert, cyclos, randonneurs, motards, voitures…pour profiter de cette première journée de beau temps depuis longtemps !
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