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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Aïe, il semblerait que le passage en tunnel soit obligatoire maintenant pour monter au col de Romeyère par Saint-Gervais… http://www.photos-dauphine.com/les-coulmes/20090104 http://cyclosport.over-blog.org/article-le-col-du-mont-noir-par-le-col-de-romeyere-72441624.html Donc prévoir un (bon) éclairage, ou oublier l'itinéraire précédent! Une alternative serait de grimper au col du Mont Noir par Cognin-les-Gorges, qui se trouve après Saint-Gervais (il y a aussi un passage vertigineux, mais qui sait il est peut-être fermé aussi, et il n'y a pas de tunnels…) ou par Izeron et le Faz. Après le col du Mont Noir (1400 m, peut-être est-il fermé?), redescendre sur le col de Romeyère et reprendre l'itinéraire tel que je l'ai décrit, en descendant sur Rencurel.
  2. Puisque tu aimes les fortes pentes, tu peux essayer le trajet suivant en Vercors (à lire en ayant une carte du coin sous les yeux) : De Grenoble tu files vers Veurey-Voroize vers le nord en suivant une des deux pistes cyclables le long de l'Isère, et à Veurey tu grimpes la raide côte de Montaud (5 km environ, les derniers à plus de 10%). Puis tu descends sur Saint-Quentin-sur-Isère, tu rejoins la piste cyclable le long de l'Isère, tu files à Saint-Gervais en longeant cette piste, et là tu montes le col de Romeyère, environ 10 km à 8% de moyenne. Se renseigner s'il est ouvert de ce côté! Attention, à un moment il y a un tunnel qu'il ne faut pas prendre (ou alors avec éclairage), à la place prendre le passage en encorbellement étroit et très vertigineux le long du canyon des Écouges… s'il est ouvert. Mais en montant tu es du bon côté de la route, donc peu de risques. Gaffe aux bagnoles descendantes quand même. Une fois le col de Romeyère passé, tu descends sur Rencurel, puis la Balme de Rencurel, et là en plein cœur de la Balme prends une petite route secondaire qui monte directement (et raidement) vers Saint-Julien en Vercors. De Saint-Julien, redescends vers Saint-Martin-en-Vercors, et un peu avant d'arriver à Saint-Martin prends la route forestière à gauche qui monte au col d'Herbouilly en quelques 7 km. D'Herbouilly tu redescends de l'autre côté, par paliers, sur Villard-de-Lans, et de là tu peux rentrer à Grenoble en passant par la route principale que tu connais déjà, ou Saint-Nizier.
  3. Ça fait quand même douze ans que je l'ai grimpée pour la dernière fois, la Bastille, ma mémoire peut donc me jouer des tours. Mais selon mes souvenirs, le (court) passage à 24% se trouvait bien en ligne droite, juste après une épingle à gauche. Et le très très court passage à 40% se trouvait à l'extrême intérieur d'une épingle à gauche, peut-être la même. Dans cette épingle, il y avait trois pourcentages de marqués à la peinture : celui de l'extérieur qui devait être autour de 20%, celui du centre déjà plus élevé et celui de l'intérieur, marqué donc 40%. Mais j'imagine bien qu'aucun cycliste n'est passé à l'intérieur de ce virage, à moins d'être suicidaire. Ne serait-ce qu'à cause du manque de visibilité et de la possibilité qu'une voiture arrive en face… En tout cas, moi je m'étais bien gardé de le faire!! Je n'ai pas de compteur, je dois faire confiance à ce genre d'inscription sur la route, ou à mes guides de balade, le Web ou certains livres (comme l'encyclopédie Cotacol des côtes et cols de Belgique ou les guides Altigraph en France) pour me renseigner sur les pourcentages des routes que je grimpe. Le pourcentage le plus raide que j'ai jamais grimpé, ce serait 26% à Hoeilaart au sud de Bruxelles. Il y a là un mur pavé d'à peine 100 m, la rue J.B. Deridder, mais à 17% de moyenne et avec un bref passage à 26% sur 5 m selon l'encyclopédie Cotacol (qui appelle ce mur "Trepkens").
  4. Sur 1 m grand maximum, et à l'intérieur d'une épingle vers la gauche, quand même. Donc aucun cycliste n'est vraiment obligé de se les farcir, ces 40%, sauf à grimper à deux de front. Et puis, 40% c'est ce qui était marqué sur le sol à cet endroit, ce n'était peut-être pas une mesure exacte. Mais c'est vrai que ça semblait vraiment, vraiment très raide… 😬
  5. T'as vraiment besoin d'insulter les autres pour imposer ton point de vue?
  6. Exactement ce que je pense…
  7. Vingt dieux, t'as la condition! Faire tout ça dès tes premiers jours de montagne! 24% maxi, la Bastille : c'est du moins ce qui était marqué au sol quand j'ai fait la montée chronométrée en 2000 (braquet mini 28/30, temps 12'32'' pour les 2 km, c'est dire le morceau). Et encore, je ne parle pas des intérieurs de virages… Je crois qu'il y avait un 40% qui traînait par là…
  8. Franck PASTOR

    Pneu vélo.

    Je n'ai jamais roulé sur autre chose que des pneus. Michelin et Hutchinson à une époque, un très court passage sur Vittoria et maintenant uniquement Continental. En ce moment, des Grand Prix 4 Seasons de 25 mm de section. Ils satisfont largement à mes principales exigences en matière de pneumatiques : robustesse, durabilité et fiabilité. Bref, ce qu'il faut pour ces s......ries de routes belges! Peut-être qu'un jour j'essaierai le boyau, pour voir la différence. Faudra juste que j'apprenne à en changer en cas de crevaison (je roule quasi toujours seul et je ne fais pas de compétition). Je suppose que j'y arriverai, mais vu l'état des routes que je parcours, je ne serais pas tranquille avec un seul boyau de rechange. J'ai toujours au moins deux chambres à air de secours dans ma sacoche de selle, alors je me vois difficilement me trimbaler avec deux boyaux de rechange! Mais il est plus probable que je teste le Tubeless dans un avenir proche.
  9. Est-ce qu'ils ont sorti de telles excuses? Ce genre de trucs arrive rarement trois fois par an… De mémoire, Offredo avaient plaidé la pure et simple distraction dans deux des trois cas.
  10. Hier, il faisait un temps splendide et je n'ai pas pu rouler, emploi du temps oblige. C'est aujourd'hui que j'avais une possibilité de sortir. Évidemment il a fait dégueulasse, averses de grêle, froid de canard… Je suis maudit!! 😢 Enfin bon, soyons positif, j'ai pu me dégourdir les jambes pendant deux heures, faire quelques bons exercices de force-gainage en côte, et avec ces conditions climatiques ça a été l'occasion de tester en profondeur le lubrifiant recommandé par Steve Disalvo pour éviter que les crasses des routes belges s'accumulent sur ma chaîne. Mon vélociste m'avait recommandé de le mettre par dessus mon lubrifiant habituel, à forte viscosité car prévu pour les conditions très humides. Bilan: pas trop mal, les grincements n'ont commencé qu'à la fin de la sortie, et ils étaient plus discrets. Avant ils se déclenchaient immédiatement après le moindre passage boueux ou sablonneux. Mais ce n'est donc pas encore la panacée (si celle-ci existe). J'aurai encore l'occasion de tester le bazar, étant donné la météo annoncée pour les prochains jours… 📢
  11. J'étais dans ton coin de prédilection hier. Forêt de Soignes, Hoeilaart (avec les 100m de la J-B Deridderstraat et ses 26% maxi), Overijse-Terlanen (et sa Moskestraat avec ses 17% maxi), Ottenburg, Sint Agatha-Rode, Oud-Heverlee, Leuven et retour par Tervuren. Cinq heures de vélo sans grand événement à part le vent assez fort en effet, sinon qu'il m'a suffi encore d'un court passage boueux pour faire grincer la chaîne à nouveau. Je crois que je vais tester quand même la Finish Line Dry, mon vélociste l'a déjà et ça ne pourra pas être pire que la version Wet pour retenir les saletés…
  12. Mets les vêtements que tu aurais mis s'il ne pleuvait pas, et ajoutes-y un imperméable, de préférence respirant (si possible genre Gore-TeX), et des gants longs et surchaussures raisonnablement étanches mais peu épais puisque la température prévue n'est pas glaciale. Si tu es frileux de la tête ou sensible des oreilles et si ton imper a une capuche, n'hésite pas à la mettre sous ton casque, ou bien un bonnet pas trop perméable. Si tu utilises une sacoche de selle, ce ne serait pas une mauvaise idée de la protéger (sauf si tu as un garde-boue arrière), car l'eau projetée par la roue arrière pénètre dedans très vite et abîme ce qu'elle contient. Certaines sacoches sont vendues avec une housse protectrice qu'on met en cas de pluie. Ça doit être facile de se procurer une housse de ce genre si tu n'en as pas.
  13. Paris-Roubaix 1994 avec la victoire d'Andreï Tchmil après plus d'une heure d'échappée en solitaire dans des conditions climatiques épouvantables. Jamais je n'ai été autant scotché devant ma télé que pour cette course-là. Tchmil qui s'en va seul à une cinquantaine de bornes de l'arrivée. Johan Museeuw, muni d'un vélo tout suspendu, qui revient à 6 secondes de Tchmil et puis qui reperd du temps, de plus en plus de temps avant de crever. Duclos-Lassale et Ballerini qui crèvent simultanément sur le même secteur pavé transformé en bourbier et qui doivent continuer quand même, au ralenti, la moto neutre de dépannage mettant une éternité à arriver. Tchmil qui saute par-dessus un terre-plein au centre d'une placette de village au lieu d'en faire le tour. Etc.
  14. Idem, je mets une goutte par maillon et jamais plus. Ça m'avait bien réussi à la Grinta de Tournai, les routes étaient aussi détrempées, mais la chaîne était restée silencieuse tout le long des 150 bornes. Je l'ai nettoyée ensuite et ai lubrifié de la même manière avant de sortir aujourd'hui. Mais ici à Bruxelles, grincements dès 20 km dans les mêmes conditions (routes détrempées). Ça se produit notamment dès que je dois rouler sur de longues flaques de boue dégoulinant des talus. À désespérer. 😢 Comme lubrifiant, j'utilise du Finish Line, le modèle "Wet", pour temps humide comme le nom l'indique. Vu le climat actuel, ça paraît de circonstance, et ça a été efficace à la Grinta. Mais si ça repousse l'eau, ça semble bien retenir les saletés du sol bruxellois! Hier, j'ai lu sur je ne sais plus quel site que l'idéal dans ce cas serait d'abord d'appliquer le lubrifiant "Wet" sur la chaîne, et ensuite de vaporiser par dessus un lubrifiant en aérosol, la version "Dry" pour temps sec. Étant à viscosité légère, ce lubrifiant retiendrait moins les saletés. Je vais tester ça bientôt, je pense.
  15. Ce matin, sortie courte mais intense d'1h30 sur un parcours presque tout plat (essentiellement la Woluwelaan au nord-est de Bruxelles). Parti tout doucement, j'ai au fur et à mesure accéléré la cadence et la vitesse pour finir à fond la caisse à une cadence de 110 tours/minutes vent de face, sur environ sur une vingtaine de minutes, entrecoupées malheureusement de feux de circulation 📢. J'ai regretté de ne pas avoir de compteur pour savoir les vitesses que j'avais atteintes. Ensuite, 15 min de retour au calme avant de rentrer au bercail. Vent fort et de direction variable, temps lourd et orageux et quelques bruines sans conséquence. Par contre, les routes étaient trempées suite aux fortes pluies qu'il y a eu cette nuit et tôt ce matin. Résultat, le vélo est à nouveau couvert de sable, surtout la chaîne qui faisait un bruit épouvantable en fin de sortie. Je n'ai jamais vu une terre aussi sablonneuse (en dehors de la côte belge évidemment) que celle du Brabant. Ça use le matos à petit feu, ça… 😢
  16. Justement, il disait qu'un de ses rayons avait morflé. Ça paraissait confirmer l'hypothèse du dérailleur dans la roue.
  17. Dans ce cas, le dérailleur ne s'est pas pris dans les rayons, et ça devient mystérieux. Une cassure franche de ce genre, c'est quand même bizarre! Je suis curieux de savoir ce que va en dire Shimano…
  18. Ce qui pourrait confirmer que ce qui a provoqué la casse, c'est que ton dérailleur s'est pris dans les rayons. Ça peut arriver quand la chape (le train de galets) est positionné trop proche de la roue, lorsque la chaîne est sur le grand pignon. Alors il suffit d'une roue un peu voilée et/ou d'un pédalage en force pour que la chape se prenne dans la roue, et crac! Est-ce que tu étais sur le grand pignon quand ton dérailleur s'est cassé?
  19. Si le braquet est bien choisi, donc vraiment, VRAIMENT minuscule dans le cas du 15%, ça doit être assez proche comme dépense d'énergie globale. Moi je n'hésiterais pas à mettre un braquet du genre 24/36, ou même plus petit. Il y a également un côté technique à l'affaire. Dans les passages les plus raides, le vélo peut se cabrer, ou la roue arrière patiner en cas de route humide (surtout en danseuse). Il faut savoir éviter ça…
  20. Pour ceux qui veulent (re)vivre cette belle cyclo belge, voici le reportage photo qu'André Tignon (correspondant du magazine Le Cycle en Belgique) en a fait sur son site : http://tignon.andre.free.fr/report.php?id=1407 Notez qu'on y croise un participant du forum, qui se reconnaîtra! 😉
  21. Il faudrait nous en dire plus sur le matériel qui équipe actuellement ton vélo: marque, modèles, etc. Comme ça on pourra mieux voir comment le faire évoluer à moindre frais…
  22. Les routes et pistes cyclables sont à Bruxelles comme presque partout en Belgique: désastreuses, mais bon, c'est pas nouveau… Plus généralement, rouler à Bruxelles peut être désagréable, mais ce n'est pas particulièrement suicidaire, je trouve, tant qu'on reste conscient de la présence de nombreuses bagnoles. Je suis très prudent de nature, j'utilise les pistes cyclables quand il y en a (et heureusement il y en a de plus en plus, même si ça progresse lentement), je respecte le code de la route… Je n'y ai jamais eu d'accidents jusqu'à présent, et j'y ai habité neuf ans en tout (en décomptant mon intermède tournaisien de trois ans). Pour ce qui est des parcours, j'affectionne particulièrement de rouler dans le sud de Bruxelles, à l'intérieur d'un triangle formé grosso modo par Bruxelles même, Tubize et Wavre. Les collines y sont particulièrement nombreuses et certaines sont très proches en difficulté de celles du Pays des Collines et des Ardennes Flamandes (pavés, pourcentages…). Par contre la dénivelée fait défaut: seules quelques rares collines approchent les 100 m de dénivelée sans les dépasser. À ce niveau-là, le Mont Saint-Aubert avec ses 120 m de dénivellation me manque un peu.
  23. Que les coureurs qu'il a mis à terre soient importants ou non, on s'en fiche, Ferrari aurait dû être exclu de toutes façons. Sa manœuvre était intolérable. Et d'après ses réactions on dirait qu'il ne s'en rend même pas compte. Danger public?
  24. Il ne s'est pas pris dans les rayons, ton dérailleur? Quant au maillon cassé, une cause classique en est "ligne de chaîne trop croisée + pédalage en force". J'ai cassé une chaîne comme ça, lorsqu'en me mettant en danseuse en côte mon genou avait heurté la manette de changement de pignons (elles étaient sur le cadre à l'époque) et la chaîne, déjà sur le petit plateau, s'était retrouvée sur le petit pignon…
  25. La pompe n'est pas obligatoire, mais bien pratique si on crève plusieurs fois dans la même sortie, ce qui peut arriver à tout le monde. Tandis qu'une bombe anti-crevaison ne peut servir qu'une fois. Alors soit tu prends plusieurs bombes anti-crevaison, soit tu choisis l'économie et la prudence et tu prends une pompe, mais alors tu vas devoir te faire mal aux bras pour arriver à une pression convenable. Ou encore tu prends une pompe ET une bombe anti-crevaison, pourquoi pas. À toi de voir. Si tu prends une mini-pompe, ne la mets pas dans la poche arrière, ça pourrait faire très mal si tu tombais sur le dos. J'ai vu quelqu'un en chaise roulante parce qu'il était tombé en arrière sur son sac à dos en randonnée pédestre, et malheureusement pour lui dans son sac il y avait un objet rigide. Fixe ta mini-pompe sous un porte-bidon. Normalement quand on achète une mini-pompe, les plots de fixation de la pompe sont vendus avec, et ils se fixent eux-même entre le porte-bidon et son support, habituellement.
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